Archive pour le Tag 'meilleur'

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ONU, Trump « : je suis le meilleur »

ONU, Trump « : je suis le meilleur »

 

 

Comme Trump ne s’attendait sans doute pas à un soutien massif de sa politique, il n’a pas hésité à se dresser lui-même des lauriers. En toute modestie, il a déclaré qu’il avait engagé davantage de réformes que pendant toute l’histoire du pays. Un beau moment de rigolade dans l’assistance de l’ONU. Probablement moins habitués que les Américains aux satisfécits et superlatifs que s’octroie à longueur d’interventions publiques le milliardaire républicain, plusieurs membres de l’assistance – chefs d’État et de gouvernement, ministres, ambassadeurs des 193 pays membres de l’organisation mondiale – ont alors souri.

Pause de Donald Trump. «C’est tellement vrai», a-t-il insisté, provoquant à ce moment-là l’hilarité générale. «Je ne m’attendais pas à cette réaction, mais ça va», a-t-il ajouté, fair-play, en souriant lui-même. Avant d’enchaîner avec la longue liste de ce qu’il considère être ses succès.

 

Meilleur retour à l’emploi des chômeurs

Meilleur  retour à l’emploi des chômeurs 

 

Meilleur retour à l’emploi, selon une étude publiée mercredi par l’opérateur public. Pôle emploi et l’institut BVA ont suivi les parcours de demandeurs d’emplois qui se sont inscrits sur ses listes en décembre 2014, et les a comparés aux parcours de ceux inscrits en décembre 2012, 2010 et 2008. Résultats: 41,8% du panel 2014 occupaient un emploi en juin 2015, six mois après l’inscription à Pôle emploi, 49,7% en décembre 2015, 12 mois après l’inscription, et 57,8% en juin 2016, 18 mois après l’inscription. De décembre 2014 à juin 2016, 81,6% du panel a occupé au moins un emploi. Ces taux sont tous supérieurs à ceux des trois panels précédents, en particulier par rapport à celui de décembre 2012 (écarts de +3,0 à +6,3 points). L’embellie est notamment liée à « l’amélioration de la situation du marché du travail », explique l’étude de Pôle emploi. Selon l’Insee, la France a enregistré 131.000 créations nettes d’emplois en 2015 et 120.000 au 1er semestre 2016. « On est dans une période conjoncturelle plus favorable, mais cela ne suffit pas à expliquer toute la hausse du taux de retour à l’emploi. On constate également une amélioration de l’efficacité de Pôle emploi », estime-t-on chez l’opérateur, qui met notamment en avant les bienfaits de la « personnalisation de l’accompagnement » dispensé aux demandeurs d’emploi.

Retraites : le meilleur système en France….pour l’instant !

Retraites : le meilleur système en France….pour l’instant !

 

Confirmation, la France dispose du meilleur système de retraites mais pour l’avenir il est largement hypothéqué par son financement. C’est la conclusion  de l’indice Mercer Melbourne qui évalue les systèmes de retraite de 30 pays, Par rapport à 2016, la France recule de trois places, à la 16ème place, même si son indice global (59,6) s’améliore grâce à de meilleures perspectives économiques. Mais le pays affiche des résultats contrastés. Avec un indice de 80,4, la France occupe en effet la première place de l’indice « performance », c’est-à-dire que son système offre le meilleur niveau de vie à ses retraités. En revanche, sa pérennité semble inquiéter les analystes de Mercer. Avec un indice de 38,6, le pays pointe à la 24ème place, juste derrière l’Allemagne (40,9). « Le problème est que tout repose sur les régimes obligatoires, qui fonctionnent par répartition (les cotisations des actifs financent immédiatement les pensions de retraite, NDLR). Il n’y a donc aucun préfinancement. Et la dette de ces régimes est équivalente à une part très importante du PIB », indique Christel Bonnet, consultante retraite chez Mercer. En termes de transparence et de simplicité, la France semble également pouvoir largement s’améliorer, puisqu’elle se classe 25ème sur 30. En ce sens, « la réforme des retraites promise par Emmanuel Macron, devant aboutir à un système par points, serait bénéfique en ter, disant ou à la saint-glinglin pour le pour l’arrêt de l’autorisation du visiophone (commercialisé notamment sous l’appellation ronde). Visiblement personne n’est vraiment d’accord ni en Europe ni au sein même du pour permettre à l’agriculture française de trouver un produit de remplacement moins polluant et moins dangereux pour la santé. Enfin Nicolas Hulot parle un jour de trois ans un autre d’un délai se situant dans la mandature présidentielle Gouvernement français Mes de compréhension », selon Christel Bonnet.

Meilleur placement pour les Français : les comptes courants !

Meilleur placement pour les Français : les comptes courants !

Paradoxalement les Français choisissent de manière préférentielle les comptes courants pour placer leur argent. Des comptes  qui évidemment ne rapportent rien. Il est vrai que les dépôts sur le livret A ne rapporte pas non plus grand chose puisque la rémunération a été ramenée à zéro 0. 75 % quand l’inflation officielle tourne autour de 1 %. Les experts de la Banque de France et les lobbys bancaires souhaitent d’ailleurs une nouvelle diminution de la rémunération des livrets d’épargne notamment du livret A. Cette situation de gel de l’épargne sur les comptes courants traduits en fait les incertitudes des épargnants quant à l’avenir économique. Tant que la reprise ne sera pas plus significative et plus durable, l’épargne en  grande majorité sera gelée. On préfère attendre plutôt que de placer ses fonds et/ou  d’en investir une partie dans des investissements.  Notons que ce taux d’épargne toujours très fort en France tourne autour de 14 %. Donc Les Français laissent toujours dormir leurs économies sur leurs comptes courants. À la fin mars, près de 429,2 milliards d’euros dormaient sur les comptes courants des ménages français, contre 414,4 milliards à la fin de 2016. Sur le premier semestre de 2017, les flux vers les dépôts à vue ont atteint 25 milliards d’euros, selon le dernier tableau de bord de l’épargne et du patrimoine des ménages de la Banque de France. Certes, les dépôts des ménages sur les comptes courants ont ralenti au deuxième trimestre, retombant à 5,9 milliards d’euros, contre 19,1 milliards au premier trimestre. Mais sur l’ensemble du premier semestre de l’année, les placements sur les comptes courants ont été deux fois supérieurs à ceux comptabilisés sur les livrets d’épargne et comptes épargne logement (CEL), qui ont capté 12,5 milliards d’euros. Depuis la fin de 2016, les livrets d’épargne semblent toutefois remonter la pente, après une période difficile de désaffection des Français pour ces produits. À cause de leurs taux de rendement bas, les épargnants étaient nombreux en effet à ne pas voir l’intérêt de placer leurs économies sur ces produits, préférant ainsi conserver leur épargne sur leurs comptes courants, plus flexibles et liquides, et facilement disponibles.

Etude COE-Rexecode: programme Fillon, le meilleur ? mais le moins applicable

Etude COE-Rexecode: programme Fillon,  le meilleur ?  mais le moins applicable

 

Selon une étude de COE-Rexecode  le programme de François Fillon serait le plus efficace à la fois pour relancer la croissance et réduire les déficits. Rappelons cependant que Rexecode est  l’émanation du Medef dont le président Gattaz s’est nettement prononcé en faveur de Fillon. Possible que les mesures que propose François Fillon puissent être les plus efficaces. Reste à savoir si elles sont réellement applicables ; sans doute pas ; car nombre de mesures serait susceptible de créer un désordre social sans précédent qui affecterait alors l’économie. Par ailleurs compte tenu des affaires qu’ils traînent, Fillon ne disposerait d’aucune autorité pour imposer aux pays entier une rigueur dont il s’exonère.  À noter que l’institut d’études considère que les programmes de Marine Le Pen  Mélenchon conduiraient à une catastrophe financière dont les conséquences ne sont même pas quantifiables tellement elles seraient considérables. S’il est clair que le redressement progressif des équilibres financiers est une voie de passage obligé reste qu’un programme politique est nécessairement donc compromis entre les nécessités économiques et la capacité sociale à y adhérer.  Le cabinet d’analyses économiques de sensibilité libérale a évalué les programmes des cinq grands candidats et conclut que seul celui de François Fillon (Les Républicains) permet de respecter les engagements budgétaires européens de la France. Selon COE-Rexecode, il permettrait de créer 1,5 million d’emplois, de porter la croissance de l’économie française à environ 2% chaque année entre 2020 et 2022, de ramener le déficit public sous la limite européenne de 3% du produit intérieur brut en 2020 et à 1,4% en 2022. L’institut estime que le programme d’Emmanuel Macron ne permettrait pas ramener le déficit sous 3%, alors qu’il s’est engagé à le faire. Les impératifs économiques  et la  capacité d’adhésion sociale a un plan de redressement OE-Rexecode applique en conséquence une mesure correctrice qui permettrait au candidat d’En Marche ! de tenir cet engagement, en durcissant les règles des retraites. En tenant compte de cette mesure, près de 1,1 million d’emplois seraient créés mais la croissance de l’économie n’accélèrerait que jusqu’à 1,3% en 2021 et 2022, le déficit public ne revenant sous 3% qu’en 2022.La création d’un service militaire obligatoire d’un mois annoncé samedi par Emmanuel Macron n’est pas retenu dans l’analyse. COE-Rexecode applique au programme de Benoît Hamon un ensemble de mesures correctrices que le candidat socialiste pourrait prendre pendant son quinquennat pour enrayer la dérive non soutenable des finances publiques qu’entraînera selon eux son projet – abandon de toute deuxième phase du revenu universel, arrêt à partir de 2019 des investissements et des recrutements prévus, reforme des retraites et hausse des prélèvements obligatoires. Avec ces mesures correctrices, quelque 370.000 emplois seraient créés, l’économie se contracterait en 2019 et en 2020, avant d’accélérer à 0,5% en 2021 et 0,8% en 2022, le déficit public atteignant 3,3% en 2019 et 2020, puis 3,7% en 2021 et 3,9% en 2022. Les programmes de Marine Le Pen (Front national) et Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) se distinguent des autres en prévoyant une rupture avec les engagements de la France et une sortie de l’euro. Pour l’un et l’autre, « l’hypothèse est que le scénario du programme bascule vers un scénario de crise monétaire violente », écrit COE-Rexecode. « Pour éviter le risque de déroute financière, une politique nouvelle, antinomique avec le programme initial s’impose alors. L’alternative est une fuite en avant que nous ne savons pas décrire. »

Sondage 2017 : Juppé meilleur que Fillon

 

Sondage 2017 : Juppé meilleur que Fillon

 

Si Alain Juppé devait remplacer l’actuel candidat de la droite, le maire de Bordeaux prendrait la première place avec 26,5% de suffrages, devant Emmanuel Macron (25%). Dans ce cas de figure, Marine Le Pen serait éliminée dès le premier tour, avec 24%. Les trois candidats testés sont tous dans la marge d’erreur statistique de trois points.  La droite ferait un meilleur score au premier tour de l’élection présidentielle avec Alain Juppé pour candidat à la place de François Fillon, selon ce  sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour « 13h15 le dimanche » de France 2, publié vendredi 3 mars)

Macron meilleur président que Fillon

Macron meilleur président que Fillon

Ce que pensent 55 % des Français dans un sondage au Doxa. De toute évidence, ceux qui pensait que Macron n’était qu’une bulle médiatique appelée à éclater rapidement son décontenancés. Certes,  rien n’est joué et au regard du discrédit qui frappe tout le système politique des surprises sont possibles,  des renversements d’opinion également. Reste que Macron a réussi en quelques mois seulement à crédibiliser réellement sa candidature. Pour cela,  il a même créé un mouvement qui compte maintenant environ 120 000 adhérents soit beaucoup plus que le parti socialiste qui en compte à peu près la moitié. Son premier meeting a même réussi à réunir près de 15 000 participants soit beaucoup plus que le dernier meeting de la Belle alliance du parti socialiste et même que François Fillon. Même à droite où les critiques visent surtout la gauche traditionnelle et le parti socialiste, on  commence à sérieusement s’interroger sur le phénomène Macron. «En l’espace de deux ans, avoir construit un mouvement d’opinion et de masse aussi conséquent, ça m’intrigue. Ce n’est probablement pas une bulle», était obligé de reconnaître Benoist Apparu, un des lieutenants de François Fillon,  jeudi sur France Info. En faite macro un espace relativement large centre-droit centre-gauche laissait libre par le radicalisme affiché de Fillon et la gauche Isa Sion du positionnement de valse. En outre le traditionnel clivage gauche droite apparaît de plus en plus superficiel à de nombreux Français qui par ailleurs ne souhaitent pas rejoindre l’utopie dangereuse des extrêmes. En l’état malgré sa progression notable dans l’opinion, macro ne paraît pas encore en capacité de se qualifier pour le second tour des présidentielles. Il est encore largement devancé d’une part par Marine Le Pen dont le simple des lecteurs est toujours solide même si le flou et les contradictions habitent de plus en plus le front national. D’un autre côté François Fillon paraît toujours en passe de se qualifier aussi même si dernièrement son radicalisme a été grandement affecté par ces rétro pédalage voir ses reculades notamment sur la sécurité sociale mais aussi sur le nombre de fonctionnaires voir sur la fiscalité. Si l’ascension de macro en continu, ce qui est vraisemblable il pourrait devenir une des cibles privilégiées de ces concurrents à droite comme à gauche.  Déjà devenu personnalité politique des Français selon un sondage Odoxa pour L’Express (35% d’opinions favorables) délogeant ainsi François Fillon (31%, soit une chute de six points), le leader d’En Marche vient maintenant marcher sur les plates-bandes de l’électorat de l’ancien premier ministre. Ainsi, 26% des sympathisants de droite considèrent que l’ancien locataire de Bercy serait un meilleur président que François Fillon. Autre point notable du sondage, Emmanuel Macron attire plus les sympathisants du Front national que François Fillon. 56% d’entre eux voient davantage le leader d’En Marche à l’Elysée plutôt que François Fillon.

Présidentielle 2017 : Macron meilleur candidat de la gauche, pourquoi

Présidentielle 2017 : Macron meilleur candidat de la gauche, pourquoi

Macron, meilleur candidat pour la gauche, sans doute plus exactement le moins pire. Selon un sondage* Odoxa pour France 2 publié samedi.  Avec 28%, le ministre démissionnaire de l’Économie arrive en tête de la liste des six personnalités testées, loin devant Jean-Luc Mélenchon (18%), talonné lui-même par Manuel Valls (17%). Viennent ensuite Arnaud Montebourg (13%) et Christiane Taubira (9%). François Hollande termine perdant de ce classement avec 8%. L’  ascension de Macron dans l’opinion est  relativement exceptionnelle pour un homme sans véritable organisation, sans passé politique significatif et même sans orientation très élaborée découle sans doute de plusieurs facteurs explicatifs. Le premier élément vient du phénomène d’usure de la classe politique traditionnelle organisée en partis dont les Français n’attendent plus grand-chose. La seconde raison tient vraisemblablement à la médiocrité de la plupart des personnalités qui ambitionnent d’accéder à  la magistrature suprême. Médiocrité sur le plan des connaissances socio économiques et sociétales mais aussi médiocrité intellectuelle. Or Macron comparé à la plupart des autres parvient à élever le débat même si on peut contester certaines orientations et surtout le flou programmatique notamment dans le domaine sociétal. L’atout principal de  Macron est peut-être aussi sa jeunesse comparée à l’âge des autres candidats de la génération des 50 à 70 ans usés par les travaux guerriers des luttes politiques intestines (de l’extrême gauche à l’extrême droite) et les discours démagos. D’une certaine manière, Macron ringardise.  On s’interroger sur la crédibilité qu’accordent certains candidats à leur propre propos tellement le manque de conviction est évident ou inversement tellement le trait  caricatural témoigne de la posture de comédien qui fait semblant de croire aux promesses de coiffeur faites  au bon peuple. Par ailleurs Macron s’aligne sur une évolution  sociétale et idéologique qui remet en cause les vieux clivages gauche droite usés  jusqu’à la corde. Usés par la gauche qui finalement se soumet maladroitement et avec retard aux impératifs des réalités économiques, usés par la droite également profondément trop marquée par l’étatisme. Une dernière caractéristique qui concerne tout autant l’extrême gauche et l’extrême droite. Il n’est pas certain évidemment que Macron  parvienne en 2017 à conquérir la magistrature suprême mais il est probable qu’il va provoquer une grande secousse sismique dans le paysage politique. Pourtant l’intéressé dans ses récentes et finalement courtes fonctions de ministre de l’économie n’a pas montré grand chose. La loi Macron 1 ressemblait davantage à une auberge espagnole qu’à un programme de réforme structurelle économique. Le plus intéressant chez Macron c’est ce qu’il n’a pas fait !  il faut dire qu’il a été en permanence empêché ou freiné par Valls qui a très vite décelé le danger de ce nouveau concurrent potentiel à la succession de François Hollande. Le passé politique d’Emmanuel Macron demeure assez inconsistant par contre certaines de ses analyses se sont montrées à la fois pertinentes et surtout compréhensibles car débarrassées de la langue de bois habituelle. Les autres responsables ont tendance à systématiquement dire tout et son contraire. Dernier exemple en date la réduction éventuelle de l’impôt sur le revenu à laquelle adhèrent presque tous les candidats mais conditionnée par une réforme fiscale globale qui inévitablement fera encore monter les prélèvements obligatoires. Un sujet un peu surréaliste puisqu’on fait croire qu’il y aurait deux catégories  de Français ceux qui payent l’impôt citoyen et ceux qui payent les autres impôts  non citoyens. La réforme est sans doute nécessaire encore faudrait-il en préciser l’objectif réel et les modalités. Emmanuel Macron, lui,  a le grand mérite d’être clair car son propos est débarrassé des oripeaux de la dialectique politicienne, sorte de charabia énarchique pour faire sérieux mais qui masque mal l’incompétence et l’immobilisme. Le tremblement provoqué par le jeune Macron  ne concernera pas seulement la gauche, une gauche par ailleurs condamné à la débâcle électorale et qui, extrême gauche comprise, ne représente plus que de l’ordre de 25 à 30 % dans le pays. Le séisme concernera aussi le centre et la droite classique car Macron va sans doute siphonner autant de voix à droite qu’à gauche compte tenu de son positionnement idéologique. Il est clair par exemple que nombre de sympathisants et même de responsables des républicains sont plus proches d’un du social libéral Macron  que du bonapartiste Sarkozy. L’extrême droite et l’extrême gauche vont également être affectées par les vagues de fond provoquées  par l’ancien ministre de l’économie dans la mesure où leurs propositions économiques (paradoxalement relativement proches) risquent  de montrer encore davantage leurs incohérences et leur démagogie. Reste que Macron  présente encore quelques faiblesses voire des handicaps sérieux ;  il risque notamment de traîner comme un boulet sont passé d’énarque mais aussi celui d’éphémère banquier. En outre il lui faudra faire bien des efforts pour persuader l’opinion qu’il est proche des vrais gens comme il dit lui-même ;  une formule d’ailleurs malheureuse et qui révèle la reconnaissance de son appartenance à une élite responsable d’une grande partie de la crise qui caractérise la France dans le domaine social, économique et sociétal. Pour parler clair, la question est de savoir si Macron propose de gouverner la France comme Hollande avec ses copains de l’ENA ou s’il est décidé d’ouvrir sa gouvernance éventuelle à des responsables de la société dite civile. Une dernière expression par ailleurs encore ridicule   pour distinguer ceux qui n’appartiennent pas à l’élite de la monarchie républicaine. La sémantique comme la politique sent la naphtaline.

 

Moral des ménages : meilleur mais encore sous la moyenne

Moral des ménages : meilleur mais encore sous la moyenne

 

Une petite amélioration d’un point en mars mais ce n’est pas encore l’euphorie et c’est toujours sous la moyenne de longue durée.  L’indicateur qui synthétise cette confiance ressort à 93 points, après 92 en février, un niveau en ligne avec les attentes des économistes interrogés par Reuters mais toujours nettement inférieur à sa moyenne de longue période (100). En mars, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle passée comme future est restée stable mais ils sont plus nombreux à considérer comme opportun de faire des achats importants (+2 points), ce dernier solde repassant au-dessus de sa moyenne de longue période pour la première fois depuis octobre 2007. La proportion de ménages estimant qu’il est opportun d’épargner, qui restait sur trois mois de forte baisse, est légèrement repartie à la hausse (+1 point). Nettement moins de ménages considèrent que le chômage va augmenter (-13 points), ce dernier solde retrouvant son niveau de septembre 2013, et leur opinion sur le niveau de vie en France poursuit son rebond aussi bien pour le passé (+2 points) que pour le futur (+2 points). Quant à la proportion des ménages qui considère que les prix ont augmenté, elle baisse pour le quatrième mois consécutif et reste à des plus bas depuis 1999. Ils sont également toujours moins nombreux à anticiper une augmentation des prix.

 

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