Archive pour le Tag 'Medvedev'

Russie–Medvedev, l’alcoolique notoire, délire

Russie–Medvedev, l’alcoolique notoire,  délire

 

L’ancien président de la Russie Medvedev choisi par Poutine pour assurer pendant un court instant la présidence ( le temps que Poutine la reprenne), est un alcoolique notoire. En outre, un inconstant puisqu’il avait tenté un rapprochement entre l’Occident et la Russie. Ce que précisément Poutine lui reproche. Du coup l’intéressé le plus souvent sou l’emprise de l’alcool doit montrer sa radicalité à Poutine. Ainsi par exemple il menace régulièrement l’Occident de bombardements nucléaires. Sans parler des injures qui sentent la vodka.

« Macron s’apprête à se rendre à Kiev? Mais c’est un trouillard zoologique! », a écrit sur son compte X, anciennement Twitter, l’allié de Vladimir Poutine habitué des frasques cinglantes.

Les deux chefs d’État ont « convenu de rester en étroit contact, notamment concernant la visite du président de la République en Ukraine, qui devrait intervenir dans les prochaines semaines », selon un communiqué de la présidence française.
Dmitry Medvedev a alors donné des conseils au président français, avec des termes assez crus. « Quoi qu’il en soit: je recommande à son bureau de prendre plusieurs paires de caleçons! Ça sentira très fort… », a-t-il lancé.

Et d’ajouter: « J’ai écrit ça ce matin et je n’ai pas eu le temps de le publier! Et le soir il s’était déjà chié dessus. Pauvre France! »

 

Bref le langage des voyous de la mafia qui détienne aujourd’hui le pouvoir en Russie.

Russie : Pourquoi les provocations de Dmitri Medvedev qui demande la liquidation de Zelinsky ?

Russie : Pourquoi les provocations de Dmitri Medvedev qui demande la liquidation de Zelinsky ?

La dernière provocation de Medvedev est de demander la liquidation de Zelinsky. Un papier de France Télévisions s’interroge sur les raisons des provocations réitérées de l’ancien président russe Medvedev. À juste titre le papier considère que l’ex chef d’État en rajoute en matière de radicalisation pour se rendre davantage crédible auprès d’un Poutine qui s’est toujours méfié de lui ( (Medvedev avait en effet tenté dans un premier temps de libéraliser un peu la Russie). En réalité, la rhétorique guerrière de Medvedev est surtout alimentée par sa démence liée à sa consommation totalement excessive d’alcool ( comme Eltsine). Ses facultés de discernement sont largement atteintes et en dépit de cela , il tente d’exister d’ailleurs dans une fonction tout à fait symbolique.

Il faut l’admettre : Dmitri Medvedev est un homme créatif. Depuis le début de la guerre en Ukraine, l’ancien président russe multiplie les déclarations choc sur l’actualité internationale, ce qui lui vaut l’attention des médias du monde entier. Peut-être parce que son style sied peu à un ancien locataire du Kremlin. Comme lorsqu’il compare le mandat d’arrêt international lancé contre Vladimir Poutine à du « papier toilette ». Ou lorsqu’il qualifie les dirigeants du G7 d’ »idiots », ironise sur un « quatrième Reich » des pays occidentaux, menace de lâcher une bombe nucléaire sur Londres ou encore de frapper la Cour pénale internationale avec un missile hypersonique. Quant à la Pologne, il la considère comme un « chien maléfique » prêt à « avaler les restes » de l’Ukraine.

Ses menaces sont d’ailleurs le plus souvent dirigées contre les « drogués nazis fous » et les « cafards » au pouvoir en Ukraine, un « régime nazi » à pourfendre. L’ancien locataire du Kremlin agrémente parfois sa logorrhée d’images, comme lorsqu’il publie sur Telegram un montage* présentant Volodymyr Zelensky sous les traits d’Adolf Hitler. A l’occasion, Dmitri Medvedev verse également dans le vocabulaire mystique. « Le but est d’arrêter le souverain suprême de l’enfer, quel que soit le nom qu’il utilise – Satan, Lucifer ou Iblis », lançait-il à l’automne, quand la thématique de la « désatanisation » de l’Ukraine était en vogue.

Avant le début de la guerre, il accusait déjà les dirigeants ukrainiens d’être « des gens faibles qui ne cherchent qu’à se remplir les poches », dans le journal Kommersant*. Peu après le début de l’invasion, il s’est offert un nouveau terrain de jeu en créant sa chaîne Telegram. Plus d’un million de personnes sont désormais abonnées aux publications de « Dimon », qui s’est progressivement imposé comme l’un « des politiciens les plus grossiers et radicaux de Russie », selon les mots* du journaliste indépendant Ivan Davydov, début novembre. Cinq mois plus tôt, l’intéressé avait justifié* ses coups de sang vulgaires adressés au pouvoir de Kiev.

« La réponse, c’est que je les déteste. Ce sont des salauds et des dégénérés. Ils veulent la mort de la Russie. Tant que je vivrai, je ferai tout pour les faire disparaître. »

Dmitri Medvedev n’a pas toujours eu les ailes d’un faucon. Au contraire, il a longtemps été considéré comme une figure politique modérée, par opposition à la ligne dure des siloviki de l’armée ou des services de sécurité.

Champion universitaire d’haltérophilie, passionné de photographie, cet ancien professeur de droit et juriste a rencontré Vladimir Poutine dans les années 1990, dans l’entourage d’Anatoli Sobtchak, maire de Leningrad (redevenue quelques mois plus tard Saint-Pétersbourg). Dmitri Medvedev devient directeur de campagne du futur chef d’Etat lors de la présidentielle de 2000, puis son directeur de cabinet. A cette époque, il rejoint également le conseil de surveillance de la puissante compagnie Gazprom.

« Sa rhétorique, depuis le début de la guerre en Ukraine, surprend par sa violence, car elle est à l’opposé du personnage qui rencontrait Bill Gates et était bien vu par les élites occidentales. »

En 2008, Vladimir Poutine doit passer la main après deux mandats successifs à la tête de la Russie. Dmitri Medvedev prend la relève, sans grande marge de manœuvre. « Il porte l’héritage d’un courant libéral économique en perte de vitesse, mais qui existe encore », souligne Olga Gille-Belova, maîtresse de conférence en civilisation russe contemporaine à l’université de Bordeaux. Le président russe veut alors « réinitialiser » les relations avec les Etats-Unis de Barack Obama et vante les vertus d’une « modernisation », fondée sur l’innovation technologique. « Il tente aussi de proposer quelques mesures de libéralisation politique, et les grandes manifestations de 2011 et 2012 lui sont d’ailleurs reprochées, comme un effet indésirable de son discours. »

A cette époque, Dmitri Medvedev adule son iPhone offert par Bill Gates, visite les locaux de Twitter et confie son amour de jeunesse pour les groupes Led Zeppelin et Black Sabbath. Mais la modernisation russe reste en grande partie autoritaire, décidée par les élites. « Une blague circulait alors : Medvedev s’installe dans une belle voiture, très heureux, puis finit par demander où se trouve le volant. On lui répond qu’elle est entre des mains fiables », raconte la chercheuse Cécile Vaissié, professeure à l’université de Rennes. Après le retour de Vladimir Poutine au Kremlin, Dmitri Medvedev est nommé chef du gouvernement, et retrouve un rôle d’homme de paille.

En 2017, la fondation de l’opposant Alexeï Navalny révèle son immense patrimoine immobilier, dans une enquête sur la corruption des élites. « Il avait nié les accusations, mais avait dû faire profil bas après ces révélations », qui avaient provoqué des manifestations dans plusieurs villes du pays. On y brandissait un petit canard, en référence à la mare installée dans l’une de ses demeures cossues. « Ces années-là, il a perdu ce qui lui restait de crédibilité », analyse Cécile Vaissié. Beaucoup de photos* et de vidéos circulaient en ligne pour le ridiculiser. » Pour ne rien arranger, il a été surpris plusieurs fois en train de dormir, lors de cérémonies et d’allocutions officielles.

Trois ans plus tard, Dmitri Medvedev quitte la Maison Blanche de Moscou, résidence du Premier ministre et siège du gouvernement russe. « Certains ont interprété sa démission comme la fin de sa vie politique, et il semblait ne plus avoir aucun poids », relève Olga Gille-Belova.

Toujours à la tête du parti Russie unie, Dmitri Medvedev prend alors la vice-présidence du Conseil de sécurité, un poste créé pour lui. Son périmètre est plutôt flou, d’autant que le secrétaire Nikolai Patrouchev tient fermement les rênes du conseil consultatif. « Il est très difficile de connaître le rôle politique de Dmitri Medvedev aujourd’hui, poursuit la chercheuse, mais il est toujours présent dans l’entourage de Vladimir Poutine. »

Guerre en Ukraine : Pourquoi les provocations de Dmitri Medvedev ?

Guerre en Ukraine :P ourquoi les provocations de Dmitri Medvedev ?

Un papier de France Télévisions s’interroge sur les raisons des provocations réitérées de l’ancien président russe Medvedev. À juste titre le papier considère que l’ex chef d’État en rajoute en matière de radicalisation pour se rendre davantage crédible auprès d’un Poutine qui s’est toujours méfié de lui ( (Medvedev avait en effet tenté dans un premier temps de libéraliser un peu la Russie). En réalité, la rhétorique guerrière de Medvedev est surtout alimentée par sa démence liée à sa consommation totalement excessive d’alcool. Ses facultés de discernement sont largement atteintes et en dépit de cela , il tente d’exister d’ailleurs dans une fonction tout à fait symbolique.

Il faut l’admettre : Dmitri Medvedev est un homme créatif. Depuis le début de la guerre en Ukraine, l’ancien président russe multiplie les déclarations choc sur l’actualité internationale, ce qui lui vaut l’attention des médias du monde entier. Peut-être parce que son style sied peu à un ancien locataire du Kremlin. Comme lorsqu’il compare le mandat d’arrêt international lancé contre Vladimir Poutine à du « papier toilette ». Ou lorsqu’il qualifie les dirigeants du G7 d’ »idiots », ironise sur un « quatrième Reich » des pays occidentaux, menace de lâcher une bombe nucléaire sur Londres ou encore de frapper la Cour pénale internationale avec un missile hypersonique. Quant à la Pologne, il la considère comme un « chien maléfique » prêt à « avaler les restes » de l’Ukraine.

Ses menaces sont d’ailleurs le plus souvent dirigées contre les « drogués nazis fous » et les « cafards » au pouvoir en Ukraine, un « régime nazi » à pourfendre. L’ancien locataire du Kremlin agrémente parfois sa logorrhée d’images, comme lorsqu’il publie sur Telegram un montage* présentant Volodymyr Zelensky sous les traits d’Adolf Hitler. A l’occasion, Dmitri Medvedev verse également dans le vocabulaire mystique. « Le but est d’arrêter le souverain suprême de l’enfer, quel que soit le nom qu’il utilise – Satan, Lucifer ou Iblis », lançait-il à l’automne, quand la thématique de la « désatanisation » de l’Ukraine était en vogue.

Avant le début de la guerre, il accusait déjà les dirigeants ukrainiens d’être « des gens faibles qui ne cherchent qu’à se remplir les poches », dans le journal Kommersant*. Peu après le début de l’invasion, il s’est offert un nouveau terrain de jeu en créant sa chaîne Telegram. Plus d’un million de personnes sont désormais abonnées aux publications de « Dimon », qui s’est progressivement imposé comme l’un « des politiciens les plus grossiers et radicaux de Russie », selon les mots* du journaliste indépendant Ivan Davydov, début novembre. Cinq mois plus tôt, l’intéressé avait justifié* ses coups de sang vulgaires adressés au pouvoir de Kiev.

« La réponse, c’est que je les déteste. Ce sont des salauds et des dégénérés. Ils veulent la mort de la Russie. Tant que je vivrai, je ferai tout pour les faire disparaître. »

Dmitri Medvedev n’a pas toujours eu les ailes d’un faucon. Au contraire, il a longtemps été considéré comme une figure politique modérée, par opposition à la ligne dure des siloviki de l’armée ou des services de sécurité.

Champion universitaire d’haltérophilie, passionné de photographie, cet ancien professeur de droit et juriste a rencontré Vladimir Poutine dans les années 1990, dans l’entourage d’Anatoli Sobtchak, maire de Leningrad (redevenue quelques mois plus tard Saint-Pétersbourg). Dmitri Medvedev devient directeur de campagne du futur chef d’Etat lors de la présidentielle de 2000, puis son directeur de cabinet. A cette époque, il rejoint également le conseil de surveillance de la puissante compagnie Gazprom.

« Sa rhétorique, depuis le début de la guerre en Ukraine, surprend par sa violence, car elle est à l’opposé du personnage qui rencontrait Bill Gates et était bien vu par les élites occidentales. »

En 2008, Vladimir Poutine doit passer la main après deux mandats successifs à la tête de la Russie. Dmitri Medvedev prend la relève, sans grande marge de manœuvre. « Il porte l’héritage d’un courant libéral économique en perte de vitesse, mais qui existe encore », souligne Olga Gille-Belova, maîtresse de conférence en civilisation russe contemporaine à l’université de Bordeaux. Le président russe veut alors « réinitialiser » les relations avec les Etats-Unis de Barack Obama et vante les vertus d’une « modernisation », fondée sur l’innovation technologique. « Il tente aussi de proposer quelques mesures de libéralisation politique, et les grandes manifestations de 2011 et 2012 lui sont d’ailleurs reprochées, comme un effet indésirable de son discours. »

A cette époque, Dmitri Medvedev adule son iPhone offert par Bill Gates, visite les locaux de Twitter et confie son amour de jeunesse pour les groupes Led Zeppelin et Black Sabbath. Mais la modernisation russe reste en grande partie autoritaire, décidée par les élites. « Une blague circulait alors : Medvedev s’installe dans une belle voiture, très heureux, puis finit par demander où se trouve le volant. On lui répond qu’elle est entre des mains fiables », raconte la chercheuse Cécile Vaissié, professeure à l’université de Rennes. Après le retour de Vladimir Poutine au Kremlin, Dmitri Medvedev est nommé chef du gouvernement, et retrouve un rôle d’homme de paille.

En 2017, la fondation de l’opposant Alexeï Navalny révèle son immense patrimoine immobilier, dans une enquête sur la corruption des élites. « Il avait nié les accusations, mais avait dû faire profil bas après ces révélations », qui avaient provoqué des manifestations dans plusieurs villes du pays. On y brandissait un petit canard, en référence à la mare installée dans l’une de ses demeures cossues. « Ces années-là, il a perdu ce qui lui restait de crédibilité », analyse Cécile Vaissié. Beaucoup de photos* et de vidéos circulaient en ligne pour le ridiculiser. » Pour ne rien arranger, il a été surpris plusieurs fois en train de dormir, lors de cérémonies et d’allocutions officielles.

Trois ans plus tard, Dmitri Medvedev quitte la Maison Blanche de Moscou, résidence du Premier ministre et siège du gouvernement russe. « Certains ont interprété sa démission comme la fin de sa vie politique, et il semblait ne plus avoir aucun poids », relève Olga Gille-Belova.

Toujours à la tête du parti Russie unie, Dmitri Medvedev prend alors la vice-présidence du Conseil de sécurité, un poste créé pour lui. Son périmètre est plutôt flou, d’autant que le secrétaire Nikolai Patrouchev tient fermement les rênes du conseil consultatif. « Il est très difficile de connaître le rôle politique de Dmitri Medvedev aujourd’hui, poursuit la chercheuse, mais il est toujours présent dans l’entourage de Vladimir Poutine. »

Apocalypse en Occident : les prédictions du courtisan fou Dmitri Medvedev

Apocalypse en Occident : les prédictions du courtisan Dmitri Medvedev

Medvedev qui un temps avait assuré l’intérim de président de la Russie avant de retransmettre le pouvoir à Poutine s’est fait une spécialité de noircir les perspectives pour l’Occident. Il faut dire qu’il en rajoute comme courtisan particulièrement zélé car Poutine s’est toujours méfié de lui. D’abord quand Medvedev a manifesté des velléités de se représenter comme président russe ensuite quand il a fait évoluer un peu le pays vers une conception un peu plus libérale. Du coup, pour se crédibiliser à nouveaux auprès de Poutine, il en rajoute des tonnes et prévoit l’effondrement de l’Occident
et la guerre civile aux États-Unis.Comme d’habitude il s’agit de la rhétorique soviétique qui consiste à dire tout, n’importe quoi et le contraire. Ou la conversion de l’ancien libéral modéré en suppôt zélé du dictateur également fou.
Une maladie qui semble contagieuse chez les oligarques russes.

Extrait des prévisions dans le Figaro

Medvedev commence par affirmer que le prix du pétrole atteindra 150 dollars le baril et que le prix du gaz dépassera 5000 dollars pour 1000 mètres cubes, soutient que le Royaume-Uni rejoindra de nouveau l’Union européenne, laquelle devrait s’effondrer après ce retour. L’ancien président va jusqu’à redessiner les contours de l’Europe et assure que la Pologne et la Hongrie occuperont les régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Il n’hésite pas à évoquer la création d’un quatrième Reich qui «englobera le territoire de l’Allemagne et de ses satellites, à savoir la Pologne, les États baltes, la Tchéquie, la Slovaquie, la République de Kiev et d’autres parias».

Medvedev ne s’arrête pas là et soutient que la guerre éclatera entre la France et l’Allemagne menant à la division de l’Europe. La Pologne sera divisée et l’Irlande du Nord se séparera du Royaume-Uni pour rejoindre la République d’Irlande. Les États-Unis ne seront pas en reste puisqu’une guerre civile mènera, dans l’esprit de Medvedev, à l’indépendance du Texas et de la Californie. Après ce conflit fratricide, ce sera à Elon Musk, élu président des États-Unis selon Medvedev, de recoller les morceaux. L’Asie deviendra alors le refuge des grands marchés boursiers et des activités financières qui quitteront les États-Unis. L’euro et le dollar cesseront, eux, de circuler en tant que réserve mondiale après l’effondrement du système de gestion monétaire de Bretton Woods.

L’ancien président russe termine ses prédictions délirantes par souhaiter de «joyeuses fêtes à tout le monde, aux amis anglo-saxons et à leurs joyeux porcelets grognant». Depuis l’invasion de l’Ukraine, le 24 février dernier, Medvedev, pourtant réputé pour être un modéré, s’est transformé en faucon, multipliant les sorties haineuses envers Kiev et les Occidentaux. Il n’a pas hésité depuis à décrire le conflit en termes apocalyptiques et religieux, qualifiant les Ukrainiens de «cafards» dans un langage que Kiev qualifie ouvertement de génocidaire.

Dmitri Medvedev est accusé par la fondation anticorruption de l’opposant politique Alexeï Navalny d’avoir monté un système de pots-de-vin dans son intérêt et d’avoir détourné plus d’un milliard de dollars par ce biais. Ces accusations sont reprises dans le documentaire Ne l’appelez pas Dimon (2017) — qui est vu plus de 33 millions de fois jusqu’en janvier 2020 — et auraient pesé sur sa carrière politique40.
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GUERRE EN UKRAINE: MEDVEDEV menace avec de nouvelles armes

GUERRE EN UKRAINE: MEDVEDEV menace avec de nouvelles armes

L’ex-président russe, MEDVEDEV , une nouvelle fois joue les chiens qui aboient fort en déclarant que la Russie prépare de nouvelles armes vis-à-vis de l’Occident et pas seulement vis-à-vis de l’Ukraine.

Medvedev a l’habitude de jouer le chien de garde de Poutine. Un Poutine qui se méfie cependant de lui. Et Medvedev tente désespérément d’en rajouter pour se crédibiliser auprès de Poutine. Il affirme que de nouveaux « moyens de destruction » sont en fabrication et qu’ils pourraient être utilisés contre l’Occident. « Notre ennemi ne s’est pas retranché uniquement dans le Gouvernement de Kiev », a-t-il assuré.

L’ex-président russe et actuel numéro 2 du Conseil de sécurité, Dmitri Medvedev, a affirmé ce dimanche que Moscou fabriquait les « moyens de destruction les plus puissants » basés sur de « nouveaux principes », en menaçant de s’en servir contre l’Occident.

Le chien de garde autoproclamé de Poutine tente ainsi de dissimuler la défaite militaire de la Russie en élargissant le champ des opérations.

Dans le même temps Poutine parle aujourd’hui d’accord pour mettre fin provisoirement aux hostilités. Sans doute aussi une répartition des rôles entre les responsables russes.

Poutine et Medvedev prêts à accueillir le refugié fiscal Depardieu ! ou la grâce des dictateurs

Poutine et Medvedev prêts à accueillir le refugié fiscal Depardieu ! ou la grâce des dictateurs

 

La fraude fiscale et le pillage de riches du pays les apparatchiks russe connaissent ; c’est pourquoi ils proposent accueillir le réfugié fiscal Depardieu. Le Premier ministre russe, Dimitri Medvedev, a réitéré vendredi l’invitation faite à l’acteur français Gérard Depardieu à s’installer en Russie, en l’assurant qu’il ne risquait pas d’augmentation d’impôts dans ce pays. « Que Depardieu vienne. Chez nous, l’impôt sur le revenu est de 13% et nous n’allons pas le modifier », a déclaré M. Medvedev, cité par l’agence Interfax. La veille, le président russe Vladimir Poutine avait déjà déclaré être prêt à accorder un passeport russe à M. Depardieu si celui-ci le souhaitait.  « Si Gérard veut vraiment avoir un permis de séjour ou un passeport russe, c’est une affaire réglée, et un passeport russe, aussi »  ; C’est l justice en Russie où les apparatchiks ont pillé le pays en quelques années ; En outre c’est le dictateur qui décide de tout avant même tout examen par la justice ou l’administration russe ; Un pays qui met en prison des chanteuses pour avoir contesté (en cahnson) l’autorité ; de Poutine peut bien accueillir un chanteur qui lui ne conteste pas l’autorité des crapules qui se disent ses amis. Drôle de compagnonnage. Une manière aussi pour Poutine de critiquer les règles européennes et françaises  et se paye la tête de la France ; Poutine défend les riches mais pas les pauvres de son pays où le salaire ne dépasse pas 5OO euros. ! Pendant ce temps les riches russe (ancien du PC) détiennent les plus grandes fortunes du monde et peuvent même se payer le luxe d’acheter des clubs de foot en Grande Bretagne.




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