SNCF-Brétigny : des vols non médiatisés
Selon un rapport policier, révélé jeudi par Le Point et dont l’AFP a eu connaissance, les hommes de la CRS 37 ont dû repousser à leur arrivée sur les lieux, le 12 juillet, « des individus venus des quartiers voisins, qui gênaient la protection des véhicules de secours en leur jetant des projectiles ». »Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s’emparer d’effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes », ajoutent les auteurs de ce document. Nathalie Kosciusko-Morizet a déclaré sur I-télé avoir « un sentiment de dégoût et d’une forme d’horreur » à la lecture de ce rapport. « Il y a un côté vautours (…) dans cette image, cette pensée de personnes cherchant à tirer parti d’une situation aussi dramatique », a-t-elle commenté. Pour la députée UMP de l’Essonne, « c’est quelque chose sur lequel le gouvernement doit s’expliquer ». Or, dit-elle, « manifestement, il y a une hésitation sur le sujet, on nous a dit que c’était un +acte isolé+ et, aujourd’hui, ce qui apparaît, c’est que c’était plus sérieux que cela ». »Si le gouvernement a essayé de camoufler ça, oui c’est un problème », a-t-elle conclu. Pour l’heure, aucun des faits signalés dans ce rapport de police n’a donné lieu à plainte dans l’Essonne.
Selon un rapport policier, révélé jeudi par Le Point et dont l’AFP a eu connaissance, les hommes de la CRS 37 ont dû repousser à leur arrivée sur les lieux, le 12 juillet, « des individus venus des quartiers voisins, qui gênaient la protection des véhicules de secours en leur jetant des projectiles ». »Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s’emparer d’effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes », ajoutent les auteurs de ce document. Nathalie Kosciusko-Morizet a déclaré sur I-télé avoir « un sentiment de dégoût et d’une forme d’horreur » à la lecture de ce rapport. « Il y a un côté vautours (…) dans cette image, cette pensée de personnes cherchant à tirer parti d’une situation aussi dramatique », a-t-elle commenté. Pour la députée UMP de l’Essonne, « c’est quelque chose sur lequel le gouvernement doit s’expliquer ». Or, dit-elle, « manifestement, il y a une hésitation sur le sujet, on nous a dit que c’était un +acte isolé+ et, aujourd’hui, ce qui apparaît, c’est que c’était plus sérieux que cela ». »Si le gouvernement a essayé de camoufler ça, oui c’est un problème », a-t-elle conclu. Pour l’heure, aucun des faits signalés dans ce rapport de police n’a donné lieu à plainte dans l’Essonne.