Archive pour le Tag 'médailles'

Paralympiques : toujours des médailles

Paralympiques : toujours des médailles

 

 

La France se situe désormais au cinquième rang au nombre des médailles. Des échecs bien sûr en ping-pong notamment mais aussi des satisfactions et toujours des médailles. Tout d’abord avec Mateo Boheas, éliminé en demi-finale de para tennis de table et automatiquement en bronze. Une soirée qui s’accélère puisque Ugo Didier a récolté l’argent quelques minutes plus tard sur le 100m dos (S9). La paranatation décidément riche en médailles puisque Laurent Chardard a décroché le bronze sur le 50m papillon (S9). Enfin, Alex Portal a récolté une quatrième médaille personnelle avec de l’argent sur le 200m 4 nages (SM13).

 

Paralympiques: encore des médailles

Paralympiques: encore des médailles

En le paratriathlon, grand pourvoyeur de médailles. Jules Ribstein s’est offert l’or paralympique en PTS2, avant que Thibaut Rigaudeau et Antoine Perel ne prennent l’argent et le bronze dans la catégorie PT6. Quelques minutes plus tard, le porte-drapeau Alexis Hanquinquant a survolé son épreuve pour s’imposer en PTS4.

Avant ça, Aurélie Aubert a apporté un nouveau titre à la France avec une médaille d’or en boccia. La journée avait commencé par une médaille de bronze en parabadminton avec la victoire lors de la «petite finale» de la paire Lucas Mazur et Faustine Nöel. Le badiste français que l’on a retrouvé dans la soirée, en simple, pour décrocher l’or après une finale folle. En fin de soirée, Charles Noakes a parfaitement conclu la journée avec un nouveau titre en parabadminton. 11e sacre pour la délégation française ! Cocorico et à demain.

JO France: Des médailles qui cachent le grand vide de l’athlétisme

JO France:  Des médailles qui cachent  le grand vide de l’athlétisme

La France peut s’enorgueillir à juste titre de bons résultats globaux aux JO. À noter cependant qu’il s’agit de récompenses dans des disciplines relativement techniques voire parfois marginales et qui cachent le grand vide du pays dans l’épreuve reine de l’athlétisme. Heureusement pour la France avec le temps, on a multiplié les disciplines de toutes sortes où le pays peut parfois briller. Par contre dans l’épreuve reine au cœur des jeux à savoir l’athlétisme,  c’est à peu près le vide absolu. En cause la politique sportive du pays qui a notamment pas très petitement disparu de l’enseignement scolaire et qui demeure encore marginale dans la population malgré quelques progrès dans ce domaine. Pour résumer comme le signale Teddy Riner  la France n’est pas un pays sportif. En effet ses résultats sporadiques même brillants cachent l’indigence du sport dans le pays.

 

À la date du 7 août, encore trois médailles, mais aucune en or pour les Bleus. La délégation française reste quatrième au tableau des médailles avec 51 médailles, dont 13 en Or, 17 en Argent, 21 en Bronze. Si le podium est désormais composé des Etats-Unis, la Chine et de l’Australie qui a pris le large avec 18 médailles d’or, l’Equipe de France doit désormais regarder derrière. La Grande-Bretagne, la Corée et le Japon talonnent les Bleus avec seulement une médaille d’or de moins (12).

 

JO 2024 à Paris :pour les médailles, il y a encore du travail pour la France !

JO 2024 à Paris :pour les médailles,  il y a encore du travail pour la France !

intreview sur FranceInfo ( extrait)

 

 

Pour Claude Onesta, manager de la haute performance à l’Agence nationale du sport (ANS), certaines fédérations en retrait durant les Jeux de Tokyo, comme l’athlétisme, ont une organisation qui « ne produit plus ses effets ».  »On va les accompagner de manière plus directive », a-t-il prévenu dans la perspective des JO 2024 de Paris.

Quel bilan tirez-vous de ces JO de Tokyo ?

Claude Onesta : Il y a des belles surprises et des déceptions. Il y a des choses qu’on voyait arriver. Il y a les fédérations dont les organisations liées à la performance sont opérationnelles. Il y a une deuxième population de fédérations qui réussissent, mais pourraient mieux faire. Il faut que ceux qui faisaient cinq médailles soit capables d’en faire huit ou dix, et que ceux qui en font zéro puissent en faire une ou deux. Le système sur lequel est organisé certaines autres fédérations ne produit plus ses effets. En athlétisme par exemple, le fait que le résultat soit faible va obliger à un bilan sans concessions. Pour ces dernières, on va les accompagner de manière plus directive. 

Que comptez vous mettre en place dans les trois ans qui viennent ?

Transformer la natation ou l’athlétisme en trois ans, ce n’est pas possible. Ce qui m’intéresse, c’est que ce travail débute, et ce qu’il faut, c’est qu’on ait une équipe qui travaille sur la réalisation à court terme pour les sportifs qui sont à proximité des médailles. Il ne faut pas garder les gens dans un même lot. Dans chaque fédération, je veux que des athlètes soient dans une cellule dédiée « performance 2024″ et qu’on puisse calculer des solutions pour qu’ils soient opérationnels pour les JO de Paris.

Avez-vous identifié précisément la génération 2024 susceptible de rapporter des médailles à Paris ?

Elle est là. Elle n’est pas forcément à Tokyo, elle est déjà dans les circuits de « perf » des fédérations. Si on arrive à transformer des médailles d’argent en médailles d’or, c’est qu’ils sont déjà au coeur de la performance, ce n’est pas impossible. Et il y a aussi ceux qui ont été quatrième ou cinquième, il y en a à peu près 25 aujourd’hui qui ont fini à ces places là, dont la proximité au podium est donc une réalité. Il faut qu’on arrive à les traiter de manière très spécifique pendant les trois ans à venir, pour les amener à un affinage qui va leur permettre de franchir le petit seuil supplémentaire qui pourrait permettre de comptabiliser les médailles.

Sibeth Ndiaye ( porte parole du gouvernement): de médailles .. à défaut de masques et de tests …et de rémunération

Sibeth Ndiaye ( porte parole du gouvernement):  de médailles .. à défaut de masques et de tests …et de rémunération

A défaut de masques et de tests ( et de rémunération) qui manquent encore  pour lutter efficacement contre la crise sanitaire, la porte-parole du gouvernement propose une distribution massive de médailles. La porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, a défendu dimanche la création d’une « médaille de l’engagement » pour « récompenser tous ceux qui ont contribué à l’effort dans la lutte contre le coronavirus », malgré les critiques de plusieurs soignants qui veulent des rémunérations correctes et non des médailles.

Une « médaille de l’engagement face aux épidémies » avait été créée après l’épidémie de choléra en 1884 avant de disparaître au début des années 1960. L’annonce de sa « réactivation », mercredi, à l’issue du conseil des ministres, avait suscité la raillerie ou la colère de nombreux soignants.

Personnel soignant et victimes : Après les médailles, un mémorial ( la république en marche ) !!

Personnel soignant et victimes : Après les médailles, un mémorial ( la république en marche ) !!

  • On peut légitimement se demander si une partie de l’entourage de Macron n’est pas devenue complètement folle en imaginant des récompenser le personnel soignant alliait une vieille médaille oubliée. Maintenant, on va plus loin , on pense  même à l’édification d’un mémorial ! Il est clair que l’équipe de Macron est davantage préoccupée de communication que de politique sanitaire. Pourquoi pas aussi demain un mémorial pour les 2 millions de chômeurs supplémentaires, une médaille aussi ce qui auront été victimes d’un licenciement. Tout cela révèle évidemment que le pouvoir à l’Élysée ne sait plus quoi faire pour remédier à la chute de popularité irréversible du président. « Il n’y a pas de réflexion à ce stade sur ce point », aurait toutefois nié l’Élysée, interrogé par le quotidien local. En coulisses toutefois, plusieurs conseillers du Président étudieraient ce projet. « C’est séduisant sur le papier, mais le président n’a pas d’avis pour le moment. Il nous demande juste d’y réfléchir », confie ainsi un proche d’Emmanuel Macron .  L’idée a elle aussi déjà suscité des critiques sur les réseaux sociaux. Sophie de Menthon, présidente du mouvement patronal ETHIC, a ainsi fustigé cette idée avec ironie dans un message sur Twitter très partagé : « et pourquoi pas pour les victimes de la gastro ?». Dans le même ordre d’idée, l’annonce en Conseil des ministres, mercredi dernier, d’une médaille «de l’engagement» et d’un hommage le 14 juillet a plus agacé que convaincu dans le milieu des soignants.

Sondage: Macron remonte grâce aux commémorations et aux médailles

Sondage: Macron remonte grâce aux commémorations et aux médailles

 

 

 

Un nouveau bon en avant de Macron d’après un sondage IFOP pour les très complaisants médias Paris-Match et Sud-Radio (toujours en pointe pour souligner les remontées de Macron !). Une remontée due en grande partie à l’omniprésence de Macron dans les médias et qui à dessein a multiplié les commémorations et la distribution de médailles. Des médailles parfois justifiées quand elles concernaient des personnalités qui ont réellement servi l’intérêt général mais plutôt douteux quand il s’agit de gens du showbiz ou de sportifs. Macon a largement distribué les récompenses alors qu’il avait plutôt promis d’être davantage rigoureux en matière de distribution des distinctions Avec 38% de jugements favorables sur son action et 62% (-6) des personnes interrogées d’un avis contraire, le chef de l’Etat gagne au total 9 points depuis le mois d’avril et la fin du grand débat.
L’enquête a été réalisée en ligne du 26 au 27 juin auprès de 1002 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, avec une marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.

Macron, le distributeur de médailles

Macron, le distributeur de médailles

Paradoxe, Macron avait déclaré qu’il entendait réduire de manière drastique le volume des distinctions nationales en particulier la Légion d’honneur. Dans les faits, Macron chaque semaine ou presque attribue généreusement à telle ou telle  catégorie-les distinctions dont il avait promis une plus grande rareté. Si on peut comprendre que ces distinctions soient grandement méritées dans le cas d’actes courage exceptionnels notamment pouvant aller jusqu’au sacrifice de la vie dans l’intérêt général par contre la distribution de médailles est plus contestables  quand il s’agit de sportifs ou de vedettes du showbiz. Macron ne manque pas une occasion de présider des commémorations. Ce qui lui donne l’occasion de discours fleuves pour tenter de rassembler une opinion par ailleurs très critique sur la politique générale. Macron lui-même reconnaît cette sorte d’instrumentalisation de la douleur collective. Exemple ce qu’il a déclaré aux Sables d’Olonne «Aux Sables-d’Olonne, comme dans tous les ports de France, la mer c’est la vie, c’est la mort, ce sont nos joies, nos peines, nos souffrances et nos espérances. Parfois, dans la douleur du deuil, dans le brouillard de nos doutes, les naufrages nous rassemblent et nous transcendent.». Évidemment on aurait aussi souhaité des propos sur la prévention des risques en mer et sur une organisation des secours qui ne reposent pas uniquement sur le bénévolat.

 

 

Sauvetage maritime Vendée : des médailles mais aussi des moyens

Sauvetage maritime  Vendée : des médailles mais aussi des moyens

D’une certaine manière les pouvoirs publics s’en tire à bon compte en distribuant des médailles après la catastrophe maritime en Vendée. Des distinctions sans doute mérité mais qui ne doivent pas cacher la misère des moyens et de l’organisation sauvetage maritime. La plupart des canots de sauvetage de la société nationale de sauvetage en mer sont en effet obsolète. Certes un canot moderne avait été affecté aux Sables d’Olonne mais il n’était pas utilisable le jour de la catastrophe. D’une manière générale on peut s’interroger sur les conditions de secours en mer qui repose essentiellement sur le bénévolat. Point pourtant le secours en zone terrestre et lui placer sous la responsabilité de professionnels est financé seulement par les pouvoirs publics dans les grandes villes entre parenthèses le volontariat demeure uniquement dans les petites localités). On ne peut que s’étonner de la détester du matériel concernant les opérations de sauvetage en mer. Il n’est pas normal non plus qu’on ce repose uniquement sur le courage exceptionnel des bénévoles. De toute évidence une réflexion devrait être engagée pour harmoniser l’organisation des secours en mer et sur terre.




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