Archive pour le Tag 'mécontent'

Politique : mécontent de la trêve olympique les  » Insoumis  » tentent de réinstaller la chienlit

Politique : mécontent de la trêve olympique les  » Insoumis  » tentent de réinstaller la chienlit

Visiblement le parti de Mélenchon n’a pas apprécié la trêve olympique qu’il dénonce d’ailleurs dans une tribune allant même jusqu’à demander la destitution du président de la république. Une destitution en l’état du rapport de force à la fois impossible politiquement et juridiquement. Les « Insoumis » réclament la nomination de la candidate du nouveau Front populaire tout en sachant qu’elle ne pourra être retenue faute de majorité même relative suffisante. Le véritable objectif est de créer et d’entretenir un climat délétère dans le pays, de favoriser le chaos notamment social et économique aux fins de discréditer un peu plus un pouvoir qui il est vrai apparaît particulièrement usé.

Cette demande de destination destitution est évidemment encore une manœuvre à usage médiatique d’une part parce que les « Insoumis » ne souhaitent pas assumer la responsabilité du pouvoir au gouvernement,  d’autre part parce que la seule préoccupation de Mélenchon est de préparer l’élection présidentielle. La justification de cette démarche s’appuie sur la voix supérieure du peuple. Or le problème c’est qu’aucune majorité ne s’est dégagée en France où trois blocs complètement incompatibles s’affrontent : la gauche, le centre et d’extrême droite. Cette situation est inextricable et va durer au moins un an : délai juridique nécessaire pour à nouveau dissoudre l’Assemblée nationale.

On espère évidemment que les « Insoumis » ne sortiront pas le drapeau du Venezuela à l’Assemblée nationale pour illustrer leur attachement au principe supérieur de la voix du peuple !

Loi travail –licenciements : le Medef mécontent

Loi travail –licenciements : le Medef mécontent

 

 

 

D’une certaine manière, le Medef relaie le mécontentement exprimé par la CGPME concernant la modification apportée aux conditions de licenciement dans le projet de loi travail. Du coup le patron du Medef demande de revenir à la première version du projet. Une contestation de nature économique mais aussi idéologique. Même s’il est vrai que le les conditions du contrat de travail doivent évoluer avec des garanties réciproques pour les patrons comme pour les salariés il n’empêche qu’il ne s’agit sans doute pas là du facteur explicatif dominant des difficultés d’embauche. Le frein à l’embauche est surtout constitué par le manque de consistance des carnets de commandes ensuite par le poids de la fiscalité qui tue la compétitivité. Le patron du Medef en relayant les préoccupations de la CGPME essaye de rééquilibrer ses revendications qui favorisaient surtout les grandes entreprises dans le projet initial sur la loi travail.  Alors que Manuel Valls a présenté ce lundi une version réécrite du projet de loi Travail, le Medef a lancé qu’il allait se battre pour demander une «version 3» du projet de loi sur le travail, dont la nouvelle mouture lèse principalement les petites entreprises selon l’organisation patronale, a indiqué mardi son président Pierre Gattaz. «Nous allons continuer de demander une version 3» du texte, a déclaré Pierre Gattaz lors de sa conférence de presse mensuelle. «Les grandes victimes de cette version 2 sont les petites entreprises», qui sont pourtant le «vrai gisement des créations d’emplois», a-t-il souligné, se disant «très déçu» par les reculs sur le barème des indemnités prud’homales et les mesures permettant aux dirigeants de petites et moyennes entreprises (PME) de trouver un accord directement avec leurs salariés.  Pierre Gattaz, le patron du Medef, se désole: «ce qui nous ennuie considérablement, c’est le déplafonnement des prud’hommes, car sachez que c’est un élément important pour que les employeurs, notamment les plus petits, puissent relancer l’emploi».  «C’est bien ce que nous craignions, c’est une réforme à l’envers», a souligné pour sa part le numéro un de la CGPME, François Asselin. «Il y aura malheureusement peu d’avancées» concernant les TPE et les PME, a-t-il déclaré, déplorant notamment un compte personnel d’activité qui s’élargit sur le champ de la formation avec un droit universel à la formation pour tout demandeur d’emploi. «Que restera-t-il pour la formation continue dans les entreprises?», s’est interrogé François Asselin qui redoute les changements éventuels que le texte pourrait encore subir lors de son examen à l’Assemblée nationale. Le dirigeant patronal craint que le texte ne se retourne contre ceux pour qui normalement il était fait.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol