Archive pour le Tag 'maternelle !'

Bayrou: large exposé dans une ambiance de maternelle

Bayrou:  large  exposé dans une ambiance de maternelle

Dans un hémicycle bordélisé par les Insoumis, le Premier ministre très largement exposé ses projets soulignant notamment le grave problème de la dette et en permettant la remise en chantier des retraites. Une très longue intervention pour un premier ministre qui veut durer en dépit de l’ambiance de chaos et des attaques personnelles indignes de la part des oppositions nombreuses. Pas vraiment une image renforcée de la démocratie qui pourrait finir par lasser une opinion résignée qui porte déjà une critique sévère des partis politiques. 

Dette

Le Premier ministre a entamé son discours par la situation de la dette, qui atteint aujourd’hui 3 228 milliards d’euros, « une épée de Damoclès au-dessus de notre pays et de notre modèle social »

François Bayrou a souligné l’urgence de faire adopter un budget. « Est-il nécessaire que plus de 1 000 agences, organes ou opérateurs exercent l’action publique ? », s’est-il également interrogé. . Il a maintenu « l’objectif de 3% de déficit public en 2029″, avec un objectif de « déficit public pour 2025 à 5,4% du PIB [produit intérieur brut]« .

Le Premier ministre a annoncé la « création d’un fonds spécial entièrement dédié à la réforme de l’Etat, financé en réalisant une partie des actifs en particulier immobiliers qui appartiennent à la puissance publique ». Celui-ci devra permettre « des investissements, par exemple, dans le déploiement de l’intelligence artificielle dans nos services publics ».

Dans sa réponse aux groupes politiques, François Bayrou a fait d’autres annonces en matière budgétaire. Il entend ainsi travailler sur « une taxe anti-optimisation pour les hauts patrimoines », qui pourrait figurer dans le budget 2025, comme le demande le Parti socialiste. Il a également affirmé que les dépenses de santé augmenteront de 3,3% en 2025, dans la reprise du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), au lieu des 2,8% prévus par Michel Barnier.

« Notre bureaucratie est trop lourde », a dénoncé François Bayrou, affirmant que le poids des normes coûtait en moyenne 4% de PIB chaque année à la France. Il souhaite un  »puissant mouvement de débureaucratisation » , réclamant  »l’adoption rapide du projet de loi de simplification de la vie économique ».

Retraites

 Le  Premier ministre a annoncé « remettre ce sujet en chantier, avec les partenaires sociaux, pour un temps bref, et dans des conditions transparentes », en se basant sur des chiffres fournis prochainement par la Cour des comptes. 

Concrètement, afin de trouver « des voies de progrès » pour une « réforme plus juste »« une délégation permanente sera donc créée » dès vendredi, avec les représentants des partenaires sociaux.

Mode de scrutin

Sur le plan des institutions, François Bayrou a remis sur la table la question de la réforme du mode de scrutin aux législatives, avec « l’adoption du principe proportionnel pour la représentation du peuple », une de ses demandes de très longue date.

François Bayrou a aussi abordé la question de « la démocratie » durant son discours, avec pour objectif « la reconnaissance du pluralisme »« Je souhaite proposer que les partis politiques, comme les syndicats, puissent être reconnus comme des mouvements d’utilité publique. Je souhaite aussi la création de la banque de la démocratie », a-t-il lancé, « pour que le financement des partis politiques et des campagnes ne dépende plus de choix de banque privées ».

Immigration

« J’ai la conviction profonde que l’immigration est une question de proportions », a déclaré François Bayrou, en prenant l’exemple de Mayotte. « Il est donc de notre devoir de conduire une politique de contrôle, de régulation et de renvoi dans leur pays de ceux dont la présence met en péril, par leur nombre, la cohésion de la nation. » 

Écologie

« L’écologie, au contraire de ce que certains pensent, ce n’est pas le problème, c’est la solution », a défendu François Bayrou après une heure de discours. Le Premier ministre n’a pas manqué de mettre en avant l’énergie nucléaire, « essentielle », pour produire « de façon décarbonée »« accessible à tous »« La question de l’eau, nous devons la saisir à bras-le-corps à travers une grande conférence nationale déclinée dans les régions », a-t-il ajouté, tout en déclarant vouloir poursuivre le plan vélo lancé par Elisabeth Borne « avec les moyens qui lui sont nécessaires ».

Enseignement

« Comment accepter que l’école française, qui était la première du monde, se voit classée au rang qui est le sien aujourd’hui, en mathématiques comme en lecture ? », s’est interrogé François Bayrou. 

En début de soirée, après les prises de parole des groupes parlementaires, le Premier ministre a assuré aux députés socialistes qu’il n’y aurait pas 4 000 suppressions de postes d’enseignants, comme il était prévu dans le projet de budget pour 2025. Il a néanmoins évoqué des difficultés pour recruter de nouveaux professeurs.

 Nouvelle-Calédonie

François Bayrou et son gouvernement reprennent en main le dossier néo-calédonien, après des mois de tergiversations en raison d’une situation politique chamboulée. « Je souhaite que le processus politique reprenne avec des négociations qui devront aboutir à la fin du trimestre. J’inviterai fin janvier les forces politiques à venir à Paris pour ouvrir ces négociations », a avancé le Premier ministre. C’était le souhait de Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, en visite dans ce territoire en novembre(Nouvelle fenêtre). Manuel Valls, ministre des Outre-mer, sera « particulièrement » chargé de cette question institutionnelle.

Le logement 

« Nous avons besoin d’une politique de logement repensée et de grande ampleur », a insisté François Bayrou, alors qu’une crise du logement et de l’immobilier est régulièrement évoquée. « Nous pouvons aller plus loin en réduisant encore les délais, alléger les demandes d’autorisation, favoriser la densification, faciliter les changements d’usage… Cela suppose aussi de relancer l’investissement locatif et l’accession à la propriété, et de soutenir les maires bâtisseurs par un système d’encouragement à l’investissement, y compris à l’investissement privé », a-t-il précisé, sans détailler les mesures particulières qui seraient mises en œuvre par la ministre du Logement, Valérie Létard.

Santé

François Bayrou a réclamé que les hôpitaux passent d’une  »logique budgétaire annuelle à une logique de financement pluriannuel ». Il a confirmé que la santé mentale sera la « grande cause nationale » cette année, comme l’avait décidé son prédécesseur Michel Barnier.

Le Premier ministre a également promis que « la mesure de déremboursement de certains médicaments et des consultations ne sera pas reprise » et réitéré l’engagement de remboursement intégral des fauteuils roulants en 2025. Enfin, François Bayrou a confirmé la création du haut-commissariat à l’Enfance, annoncé par Emmanuel Macron fin décembre.

Réseaux sociaux : une application de rencontres pour les 10–21 ans….. et bientôt en maternelle ?

Réseaux sociaux : une application de rencontres pour les 10–21 ans….. et bientôt en maternelle ?

L’application Ophenya invite les très jeunes internautes à s’inscrire à une application baptisée « Crush » permettant de trouver l’amour, dès le plus jeune âge ! De quoi se demander si un opportuniste sans trop de scrupules ne va pas bientôt lancer une application de rencontres pour les maternelles ! Bref une application dans l’air du temps, idiote et dangereuse.

« Trouve ton crush (« coup de cœur », ndlr) en secret ». Sur l’App Store et le Google Play Store, une application baptisée « Crush » s’est fait une place avec ce slogan, en quelques heures, dans les classements des applis les plus populaires. Un engouement directement lié à la promotion commerciale par l’influenceuse Ophenya, suivie par près de 5 millions de personnes sur Tiktok, et 800.000 sur Instagram.

Ophenya invite tous ses abonnés à installer l’application au plus vite. Elle évoque la possibilité de créer des sondages concernant ses camarades de classe, par exemple pour savoir qui a des vues sur soi en toute discrétion.

« Tu vas sur Crush et tu réponds à des sondages anonymes sur des gens de ta classe… Évidemment des sondages un peu… » insinue Marc, le créateur de l’application, évoquant indirectement la présence de jeux de séduction dans l’application.

Rapidement, de nombreuses réactions négatives se sont multipliées sur les réseaux sociaux, évoquant les risques inhérents à une application dédiée aux « 10-21 ans ». Sur Tiktok, d’autres créateurs de contenus ont multiplié les vidéos critiquant la publicité diffusée par Ophenya.

Plusieurs autres éléments doivent inciter à la prudence: dès la création du compte – sans vérification que l’âge renseigné soit le bon, l’internaute est contraint d’accepter d’être géolocalisé, et invité à transmettre l’ensemble des contacts de son carnet d’adresse. Des données personnelles particulièrement sensibles, lorsqu’il s’agit de mineurs.

Parmi les critiques récurrentes figure également la présence d’achats intégrés à l’application Crush, qui invite ses très jeunes utilisateurs à payer pour savoir « qui l’admire en secret » pour la somme de 3,99 euros par semaine. Soit 12 euros par mois, avec un renouvellement automatique.

2022 : le droit de vote dès la maternelle ?

2022 :  le droit de vote dès la maternelle ?

 

 

À défaut d’une campagne électorale de haut niveau, on doit se satisfaire d’un débat démagogique et au ras des pâquerettes. Ainsi par exemple les promesses d’augmentation de salaire des différentes catégories sociales. Ainsi récemment concernant le droit de vote que la candidate socialiste veut ramener à 16 ans. Une proposition également soutenue par député François Jolivet (LREM). L’objectif est évidemment de rabattre une clientèle électorale jeune en espérant qu’elle récompensera les auteurs de la proposition.

 

Un débat évidemment surréaliste car on a déjà bien du mal en France à élever le niveau de responsabilité de jeunes gens de 18 ans . Pourquoi pas aussi le vote à 14 ans, à 12 ans voir à la maternelle.

 

On comprend évidemment que la candidate socialiste à la ramasse dans les sondages se laisse aller à la pire démagogie dans nombre de domaines. On comprend moins que la république en marche rejoigne le mouvement général de complaisance vis-à-vis de la nullité du débat.  À moins évidemment que dans les rangs de la majorité on commence à s’inquiéter quant aux certitudes de réélection de Macon. Lors d’un débat organisé à Midi Libre sur le thème des jeunes et l’Europe, la députée européenne Irène Tolleret (LREM) s’était curieusement elle aussi dit favorable à un «droit de vote à 16 ans». L’eurodéputée marcheuse rappelle cette semaine que «ces jeunes ont une conscience politique, une capacité de mobilisation. Pourquoi ne pas leur donner le droit de vote ?».

La candidate du Parti socialiste, Anne Hidalgo, en rajoute une couche. Dans une interview à Franceinfo ce lundi matin, la maire de Paris va jusqu’à suggérer «qu’il faudrait aussi permettre aux jeunes d’être éligibles». Elle estime notamment que le droit de vote dès 16 ans permettrait de «prendre conscience de ce que cela signifie d’être dépendant des autres», et de la «fragilité de la démocratie». Et pourquoi pas effectivement un président de la république de 16 ans et même de 8 ans ?

Présidentielle 2022 : et pourquoi pas le droit de vote dès la maternelle ?

2022 : et pourquoi pas le droit de vote dès la maternelle ?

 

 

À défaut d’une campagne électorale de haut niveau, on doit se satisfaire d’un débat démagogique et au ras des pâquerettes. Ainsi par exemple les promesses d’augmentation de salaire des différentes catégories sociales. Ainsi récemment concernant le droit de vote que la candidate socialiste veut ramener à 16 ans. Une proposition également soutenue par député François Jolivet (LREM). L’objectif est évidemment de rabattre une clientèle électorale jeune en espérant qu’elle récompensera les auteurs de la proposition.

 

Un débat évidemment surréaliste car on a déjà bien du mal en France à élever le niveau de responsabilité de jeunes gens de 18 ans . Pourquoi pas aussi le vote à 14 ans, à 12 ans voir à la maternelle.

 

On comprend évidemment que la candidate socialiste à la ramasse dans les sondages se laisse aller à la pire démagogie dans nombre de domaines. On comprend moins que la république en marche rejoigne le mouvement général de complaisance vis-à-vis de la nullité du débat.  À moins évidemment que dans les rangs de la majorité on commence à s’inquiéter quant aux certitudes de réélection de Macon. Lors d’un débat organisé à Midi Libre sur le thème des jeunes et l’Europe, la députée européenne Irène Tolleret (LREM) s’était curieusement elle aussi dit favorable à un «droit de vote à 16 ans». L’eurodéputée marcheuse rappelle cette semaine que «ces jeunes ont une conscience politique, une capacité de mobilisation. Pourquoi ne pas leur donner le droit de vote ?».

La candidate du Parti socialiste, Anne Hidalgo, en rajoute une couche. Dans une interview à Franceinfo ce lundi matin, la maire de Paris va jusqu’à suggérer «qu’il faudrait aussi permettre aux jeunes d’être éligibles». Elle estime notamment que le droit de vote dès 16 ans permettrait de «prendre conscience de ce que cela signifie d’être dépendant des autres», et de la «fragilité de la démocratie». Et pourquoi pas effectivement un président de la république de 16 ans et même de 8 ans ?

Présidentielle 2022 : et pourquoi pas le droit de vote dès la maternelle ?

Présidentielle 2022 : et pourquoi pas le droit de vote dès la maternelle ?

 

 

À défaut d’une campagne électorale de haut niveau, on doit se satisfaire d’un débat démagogique et au ras des pâquerettes. Ainsi par exemple les promesses d’augmentation de salaire des différentes catégories sociales. Ainsi récemment concernant le droit de vote que la candidate socialiste veut ramener à 16 ans. Une proposition également soutenue par député François Jolivet (LREM). L’objectif est évidemment de rabattre une clientèle électorale jeune en espérant qu’elle récompensera les auteurs de la proposition.

Un débat évidemment surréaliste car on a déjà bien du mal en France à élever le niveau de responsabilité de jeunes gens de 18 ans . Pourquoi pas aussi le vote à 14 ans, à 12 ans voir à la maternelle.

 On comprend évidemment que la candidate socialiste à la ramasse dans les sondages se laisse aller à la pire démagogie dans nombre de domaines. On comprend moins que la république en marche rejoigne le mouvement général de complaisance vis-à-vis de la nullité du débat.  À moins évidemment que dans les rangs de la majorité on commence à s’inquiéter quant aux certitudes de réélection de Macon. Lors d’un débat organisé à Midi Libre sur le thème des jeunes et l’Europe, la députée européenne Irène Tolleret (LREM) s’était curieusement elle aussi dit favorable à un «droit de vote à 16 ans». L’eurodéputée marcheuse rappelle cette semaine que «ces jeunes ont une conscience politique, une capacité de mobilisation. Pourquoi ne pas leur donner le droit de vote ?».

La candidate du Parti socialiste, Anne Hidalgo, en rajoute une couche. Dans une interview à Franceinfo ce lundi matin, la maire de Paris va jusqu’à suggérer «qu’il faudrait aussi permettre aux jeunes d’être éligibles». Elle estime notamment que le droit de vote dès 16 ans permettrait de «prendre conscience de ce que cela signifie d’être dépendant des autres», et de la «fragilité de la démocratie». Et pourquoi pas effectivement un président de la république de 16 ans et même de 8 ans ?

Ecole maternelle : un incendie volontaire avec attaques des pompiers

Ecole maternelle : un incendie volontaire avec attaques des pompiers

 

 

La situation en matière de sécurité apparaît de plus en plus surréaliste en France ou des provocations et des attaques se produisent et se reproduisent à intervalles réguliers contre les symboles de la république. Cette fois il s’agit d’une attaque une école maternelle à Lille avec en plus des pompiers visés par des tirs de mortiers.

 

Une véritable folie qui démontre l’État de déliquescence de la sécurité du pays. S’attaquer à une école constitue déjà un acte aussi idiot qu’inadmissible mais s’attaquer à une école maternelle est évidemment encore pire. À quand une attaque dans une crèche ou dans un hôpital ? Car c’est la prochaine étape incontournable de bande de sauvageons qui à travers ces actes veulent se venger des forces de police qui perturbent  le trafic de drogue local.

 

la  maire de Lille, Martine Aubry a dénoncé ces actes affirmant par ailleurs qu’il s’agissait d’un incendie volontaire. «Incendie volontaire ce soir dans une école à Lille. Je condamne fermement cet acte qui s’en prend à un lieu si essentiel pour les enfants, lieu d’éducation et d’émancipation, symbole vivant de la République». D’après les informations du site d’informations Actu.fr, les élèves ne pourront pas être accueillis dans l’établissement pour la rentrée en raison des dégâts, mais seront reçus dans d’autres écoles.

La métropole de Lille est en proie depuis plusieurs jours à des nuits agitées avec des tirs de deux d’artifice et des affrontements avec les forces de l’ordre, notamment à Tourcoing. Une vingtaine de personnes ont été interpellées. Les pompiers ont d’ailleurs indiqué vouloir porter plainte.

En marche : des députés qui sortent de maternelle

En marche : des députés qui sortent  de maternelle

 

La république en marche dispose évidemment d’une majorité écrasante qui normalement devrait lui donner la possibilité de faire émerger de nouveaux responsables de dimension nationale voire internationale. Le problème c’est qu’en marche ne constitue pas un véritable parti mais une sorte d’organisation virtuelle dirigée en faite par le président de la république qui craint par-dessus toute l’émergence de frondeurs. Pour preuve,  le seul député qui vient de voter contre le budget a été aussitôt exclu de ce parti. Une curieuse conception de la démocratie. Ces députés en marche sont comme Macron un peu hors sol, ils viennent de nulle part pour l’essentiel sauf quelques carriéristes recyclés du parti socialiste ou de la droite. Pas étonnant, ils ont été recrutés par petites annonces sur Internet. Non pas désignés par les organisations de base ou les militants mais par un triumvirat dans lequel figuraient notamment le sulfureux Ferrand actuellement président de l’assemblée nationale. Une sorte de recrutement sur dossier. Du coup les diplômés d’instituts politiques se sont engagés dans la brèche et ont rapidement noyauté le parti. Pour eux il ne s’agit pas de mandat électif au service de l’intérêt général mais de carrière. Ils sont donc prêts à avaler toutes les couleuvres. Cela d’autant plus que beaucoup sont particulièrement jeunes et donnent l’impression de sortir de maternelle. Il suffit de les voir sur les plateaux télé où rapidement ils se font balayer par les argumentaires d’opposants. Presque tous appartiennent à la bourgeoisie. Dans la partie en marche il n’y a pas place pour une sociologie représentative des électeurs (on objectera que c’était déjà le cas au parti socialiste). Notons que pour les européennes le parti en marche va aussi recruter par Internet mais avec à l’appui des vidéos. Drôle de manière de s’assurer de la légitimité sociale et politique dés intéressés et de leur attachement à l’intérêt général. On doit confondre communication et politique. Comme Macron, les jeunes députés deviennent vraiment insupportables par leurs propos infantiles qui se bornent en plus à répéter maladroitement, sans charisme et même sans conviction le catéchisme du pouvoir.

« Non aux d’ordinateurs en maternelle »(Boris Cyrulnik)

« Non aux  d’ordinateurs en maternelle »(Boris Cyrulnik)

 

Progressivement mais avec retard la France prend conscience que l’utilisation de l’ordinateur à l’école est plutôt néfaste pour la connaissance et le développement. Il y a encore peu de temps Hollande  qui sans doute entretenait  des liens approximatifs avec les outils informatiques et télématiques voulait mettre des ordinateurs partout. Or en France Le chercheur Boris Cyrulnik qui s’est vu confier par le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, la préparation des assises de la maternelle qui s’ouvrent cette semaine considère que la présence d’ordinateurs est néfaste en maternelle. Or aux Etats Unis dans nombre décolles que fréquentent les enfants des cadres des GAFA, il y a longtemps que les écrans sont interdits.   l’école interdit tout simplement les écrans dans ses classes. De tous types : ordinateurs, iPad ou télévision.   160 écoles aux Etats-Unis ayant adopté la méthode Steiner-Waldorf, du nom du philosophe autrichien Rudolf Steiner, né au XIXe siècle, et selon lequel l’éducation doit se faire notamment à travers les activités artistiques et manuelles. «Nous considérons que les enfants ont besoin de cuisiner ou de jouer avec des matériaux plutôt que d’être placés devant des ordinateurs pendant des heures, poursuit Lucy Valentine Wurtz. Nous privilégions aussi l’interaction avec le professeur, afin de développer le dialogue et les facultés de réaction. A ce que je sache, il n’y a encore aucun élément tangible qui montre qu’on reçoit une meilleure éducation avec des dizaines d’ordinateurs ou d’iPad dans les classes.» Pour discuter notamment de cette question,  le ministère de l’Education organise, mardi et mercredi, les Assises de la maternelle. Objectif : faire de celle-ci « l’école de l’épanouissement et du langage ». Pendant deux jours, scientifiques, enseignants, personnel de service et parents sont invités à réfléchir sur l’acquisition du langage, la mémoire chez l’enfant, le sommeil, la formation des enseignants, les pratiques musicales… Le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, chargé de diriger la réflexion, nous décrypte les enjeux. « La maternelle avait – et a toujours – une excellente réputation, mais elle doit s’adapter », dit-il. « Les enfants qui entrent à l’école ne sont plus les mêmes qu’il y a dix ou quinze ans. » Dans l’interview qu’il a accordée au JDD, il explique comment redonner « le plaisir d’apprendre » en introduisant parfois « de l’affect » et se base sur des exemples pédagogiques venus de l’étranger. Notamment d’Europe du Nord où les politiques éducatives « sécurisent les élèves, notent très tard – vers 10-11 ans –, et caracolent en tête des classements internationaux Pisa. » Il préconise également de « dédoubler les classes de maternelle » : « Réformer l’accueil de la petite enfance implique forcément des dépenses, mais les pays qui l’ont fait ont constaté un excellent ‘retour sur investissement’.  Et pour cela en particulier interdire les écrans : « Si les enfants ont l’air sages face à un écran, c’est parce qu’ils sont médusés, hypnotisés. Mais cette fascination implique une perte des relations. Non seulement ils n’apprennent rien, mais cela entraîne une altération de l’empathie et des troubles du développement. »

 

Confessions de Johnny Halliday : des attaques du niveau de la maternelle !

Confessions de Johnny Halliday :  de sattaques du niveau de la maternelle !

Première concernée, son ex-épouse Adeline Blondieau qui s’est dite « très en colère » par les violents propos de la star à son encontre, la traitant « d’hystérique », « un serpent qui me cocufiait tout le temps » avec « tous les petits mecs de Saint-Tropez » tout en jouant « les saintes-nitouches ». L’actrice de la série Sous le soleil a décidé de saisir la justice. « Je suis mère de famille, a-t-elle déclaré dans Nice-Matin, et il est hors de question qu’on puisse porter atteinte à mon image et à ma réputation. Je répondrai par la voie légale, par mon avocat. C’est-à-dire que je vais l’attaquer en diffamation tout simplement. » Elle dit avoir acheté deux exemplaires de l’autobiographie Dans mes yeux : « un pour moi et un pour mon avocat ». Même incompréhension de la part de la veuve du chanteur Henri Salvador, traité de « vieux con » par le rocker, parce qu’il avait organisé une bronca contre lui à ses débuts à l’Alhambra. « Les bras m’en tombent, c’est la douche froide », a reconnu Catherine Salvador dans Le Parisien/Aujourd’hui en France. « Je suis d’autant plus triste que l’on approche du cinquième anniversaire de la mort d’Henri. Et il ne mérite pas ça. Je suis blessée que l’on attaque des gens disparus, cela manque d’élégance. » C’est en substance ce que répond également Vincence Stark, dont le père a été l’imprésario du chanteur pendant plus de vingt ans et qui est qualifié de « premier grand traître » dans le fameux livre. « Pendant quatre ans, il ne m’a donné que la moitié de ce que je gagnais », écrit-il. « Je trouve bien facile de trahir la réputation de Johnny Stark, mort depuis 24 ans », remarque sa fille en soulignant que « le préjudice » ne devait pas être si important puisque la rock-star est revenue solliciter les services de son ancien agent, vingt ans après les faits…  Les anciens proches de Johnny, évincés peu à peu du clan depuis presque trois ans, montent également au créneau, à l’image du couple Angeli, des amis de quinze ans accusés eux aussi de traîtrise pour avoir vendu des photos de paparazzi du chanteur en jet-ski. Le rocker raconte comment son ami Daniel Angeli, photographe professionnel, serait monté sur un arbre pour le piéger. « Quand on sait que Daniel ne monte plus aux arbres depuis 35 ans, et que le reportage en question avait été validé par Laeticia elle-même, tout cela est ridicule », explique au Point.fr son épouse Cécile Angeli. « En vérité, Johnny voulait faire table rase, changer son entourage, et quand on veut abattre son chien, on l’accuse de la rage… » Le couple, mis en cause, réfléchit également à des poursuites judiciaires.  Et puis il y a ceux qui prennent cela avec humour. Comme Michel Sardou qui en a entendu d’autres… même s’il n’est jamais très agréable de se faire traiter de « vieux con réac’ ». « Je veux bien que l’on fasse des commentaires sur les mémoires de La Rochefoucauld, mais ceux de Johnny, je m’en tape ! » a répliqué Sardou sur le site internet du Figaro, en précisant qu’il « n’y a pas de quoi en faire une montagne… » Humour également de la part de Claude François Jr, dont le père est qualifié de « Poulidor » du show-biz, draguant les mêmes filles que la rock-star. « Je prends tout cela avec légèreté… Bien sûr qu’en seize ans de carrière, mon père a dû coucher avec des ex de Johnny, et alors ? L’inverse a également dû se produire. Si mon père était à la ramasse avec les femmes, ça se serait su ! » De son côté, Johnny tente de se justifier en partie sur ce soudain débordement de fiel, sans pour autant le regretter. « Il était temps que je le fasse parce que j’ai frôlé la mort il y a quelques années. C’était resté au fond de moi, j’avais besoin de me libérer », a-t-il reconnu dans les colonnes du Parisien/Aujourd’hui en France. « Les gens ont été beaucoup plus méchants avec moi que je le suis avec eux. » Un partout, la balle au centre…

 




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