Archive pour le Tag 'masque'

Budget: une crise financière qui masque une crise sociétale

Budget: une crise financière qui masque une crise démocratique
En quelques semaines et de façon brutale , la France a découvert l’ampleur d’une crise qu’on va tenter de traiter de manière comptable en bouchant ici un trou avec les ressources d’un nouveau trou. Cette crise financière est certaine et même beaucoup plus grave encore qu’on ne le dit. La vérité c’est que les finances publiques évoluent selon la propre logique des structures qui les utilisent. En clair, plus personne ne gère les dépenses publiques concernant le budget de l’État, la sécurité sociale ou encore les collectivités locales. Un problème qui découle directement des contradictions mêmes de la classe dirigeante mais aussi de l’opinion.

S’ajoutent à cela depuis les lois de décentralisation l’ajout de multiples étagères inutiles au plan administratif et politique qui génèrent fonctions,  budgets et effectif inutiles ( communes, groupement de communes, communauté de communes, départements régions et nombre d’institutions et d’administration devenue ingérables). Parallèlement le champ des tâches régaliennes ne cesse de s’étendre du fait de l’empilement des structures dont les dépenses sont existentielles mais aussi en raison de la demande sociale.

Malheureusement, la puissance publique ne peut prendre en charge la totalité des taches qu’on lui impose et finalement l’État s’occupe de tout mais mal,  en tout cas dans nombre de secteurs y compris dans des secteurs aussi stratégiques que celui de l’éducation, la sécurité ou encore la santé.

Sur le plan strictement comptable et plus globalement économique,  le pays souffre d’une insuffisance de production de richesses. Pour parler simplement le volume et la qualité de travail sont insuffisants pour équilibrer les dépenses communes. Il convient donc d’emprunter, d’emprunter toujours pour boucher tous les trous. Un sujet largement tabou car il met aussi en cause le rapport au travail, le nombre d’actifs rapportés aux inactifs, la productivité, la durée du travail, l’entrée dans la production, le départ à la retraite etc.

Derrière cette crise comptable qui ne fait que révéler les insuffisances notamment économiques se dissimule une question plus grave relative à l’absence de vision et de projet pour le pays. La France encore moins que d’autres ne s’est préparée aux grandes évolutions technologiques, environnementales et sociétales. Pour parler simplement, c’est le grand vide politique et idéologique suite logique de la gestion complètement contradictoire, inefficace et condescendante d’un macronisme qui s’est surtout nourri de discussions de salon autour du septième arrondissement de Paris .

L’échec de Macron est total au plan intérieur et il continue d’ailleurs de sévir au plan international avec cette pathologie chronique qui consiste à parler de tout à tort et à travers et finalement à croire au  moins pendant un temps à ce qu’il dit.

C’est l’échec de ces élites politiques sorties des plus grandes écoles sans aucune expérience démocratique et politique qui ambitionnent de diriger le pays quand il mettrait une épicerie de quartier ou une association locale en faillite en moins d’un mois.

Les produits de l’ENA et autre instituts politique ont infecté  tous les partis politiques et ils ont surtout sécrété une sorte de pensée politique et de dialectique de représentant de commerce pseudo technocratique.

Macron ou encore Bruno Lemaire par exemple, considérés hier comme de grands intellectuels par les médias complaisants ont plombé durablement les comptes du pays mais au-delà surtout son avenir économique et sociétal.

Car au-delà de la dimension économique c’est aussi une crise de société avec ses valeurs, ses objectifs et sa démocratie qui sont en cause.

France : une crise financière qui masque une crise de civilisation

France : une crise financière qui masque une crise de civilisation
En quelques semaines et de façon brutale , la France a découvert l’ampleur d’une crise qu’on va tenter de traiter de manière comptable en bouchant ici un trou avec les ressources d’un nouveau trou. Cette crise financière est certaine et même beaucoup plus grave encore qu’on ne le dit. La vérité c’est que les finances publiques évoluent selon la propre logique des structures qui les utilisent. En clair, plus personne ne gère les dépenses publiques concernant le budget de l’État, la sécurité sociale ou encore les collectivités locales. Un problème qui découle directement des contradictions mêmes de la classe dirigeante mais aussi de l’opinion.

S’ajoutent à cela depuis les lois de décentralisation l’ajout de multiples étagères inutiles au plan administratif et politique qui génèrent fonctions,  budgets et effectif inutiles ( communes, groupement de communes, communauté de communes, départements régions et nombre d’institutions et d’administration devenue ingérables). Parallèlement le champ des tâches régaliennes ne cesse de s’étendre du fait de l’empilement des structures dont les dépenses sont existentielles mais aussi en raison de la demande sociale.

Malheureusement, la puissance publique ne peut prendre en charge la totalité des taches qu’on lui impose et finalement l’État s’occupe de tout mais mal,  en tout cas dans nombre de secteurs y compris dans des secteurs aussi stratégiques que celui de l’éducation, la sécurité ou encore la santé.

Sur le plan strictement comptable et plus globalement économique,  le pays souffre d’une insuffisance de production de richesses. Pour parler simplement le volume et la qualité de travail sont insuffisants pour équilibrer les dépenses communes. Il convient donc d’emprunter, d’emprunter toujours pour boucher tous les trous. Un sujet largement tabou car il met aussi en cause le rapport au travail, le nombre d’actifs rapportés aux inactifs, la productivité, la durée du travail, l’entrée dans la production, le départ à la retraite etc.

Derrière cette crise comptable qui ne fait que révéler les insuffisances notamment économiques se dissimule une question plus grave relative à l’absence de vision et de projet pour le pays. La France encore moins que d’autres ne s’est préparée aux grandes évolutions technologiques, environnementales et sociétales. Pour parler simplement, c’est le grand vide politique et idéologique suite logique de la gestion complètement contradictoire, inefficace et condescendante d’un macronisme qui s’est surtout nourri de discussions de salon autour du septième arrondissement de Paris .

L’échec de Macron est total au plan intérieur et il continue d’ailleurs de sévir au plan international avec cette pathologie chronique qui consiste à parler de tout à tort et à travers et finalement à croire au  moins pendant un temps à ce qu’il dit.

C’est l’échec de ces élites politiques sorties des plus grandes écoles sans aucune expérience démocratique et politique qui ambitionnent de diriger le pays quand il mettrait une épicerie de quartier ou une association locale en faillite en moins d’un mois.

Les produits de l’ENA et autre instituts politique ont infecté  tous les partis politiques et ils ont surtout sécrété une sorte de pensée politique et de dialectique de représentant de commerce pseudo technocratique.

Macron ou encore Bruno Lemaire par exemple, considérés hier comme de grands intellectuels par les médias complaisants ont plombé durablement les comptes du pays mais au-delà surtout son avenir économique et sociétal.

Car au-delà de la dimension économique c’est aussi une crise de société avec ses valeurs, ses objectifs et sa démocratie qui sont en cause.

Violences : un déni de réalité qui masque l’impuissance de l’Etat

Violences : un déni de réalité qui masque l’impuissance de l’Etat

Le pouvoir, les médias et les élites se réfugient souvent dans le déni de réalité pour masquer l’impuissance de l’État et l’ampleur du phénomène. Ainsi le plus souvent, on tente de transformer en faits divers des attentats mortels qui pourtant traduisent un phénomène plus général de violence, d’insécurité voire de racisme. Bref on refuse de voir la réalité de cette violence et du risque de décomposition de la société. Les Français qui vivent au quotidien l’insécurité en tout cas l’observent de près sont beaucoup plus pertinents concernant la nature et l’ampleur du phénomène. Ce n’est pas par hasard s’ils estiment notamment à hauteur de 91 % que le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française et que 87 % considèrent que la justice est trop laxiste.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société d’après un sondage d’Elabe pour BFM.

Rien d’étonnant à cela; Il faut parfois des mois et des mois pour rendre un jugement et en attendant les présumés coupables sont pour beaucoup en liberté et reprennent leurs activités délinquantes.

Par ailleurs au moment du jugement, on se satisfait trop souvent de peines symboliques comme du sursis.

Certes les prisons ne sont sans doute pas l’outil le plus s’adapté pour réduire l’agressivité des délinquants violents; n’empêche à la place, on ne peut lui substituer des peines avec sursis et des très symboliques sanctions avec travaux d’intérêt général.

Il y a certains délits qui méritent purement et simplement la prison dans les conditions actuelles. Mais pour beaucoup notamment chez les jeunes, il convient évidemment d’imaginer des établissements spécialisés visant à permettre les bases de la culture française, les valeurs de la société, les connaissances fondamentales, la valeur travail et la discipline.

Sondage Covid : le retour du masque ?

Sondage Covid : le retour du masque ?

Selon un sondage Odoxa/Backbone Consulting pour Le Figaro 66 % des personnes interrogées sont particulièrement inquiètes «pour leurs proches» et la moitié d’entre elles prévoient d’être prudentes pendant les fêtes de fin d’année, en respectant les gestes barrières et en évitant au maximum les contacts et la foule.

Moins de la moitié (46 %) des sondés portent encore systématiquement un masque dans les transports publics. Et pourtant, 76 % souhaitent qu’il y redevienne obligatoire. 58% des personnes interrogées réclament même le rétablissement du port du masque obligatoire dans tous les lieux publics. En outre, elles sont 77 % à penser qu’il faut élargir le télétravail afin de limiter les déplacements et réduire ainsi les risques de propagation du virus.

La coercition n’est pas à l’ordre du jour et le gouvernement préfère jouer la carte de la pédagogie et de la responsabilisation ; cependant le ministre de la Santé, François Braun, a récemment assuré sur le plateau de BFMTV que si tous les voyants (croissance de l’épidémie, saturation des hôpitaux…) virent au rouge et qu’il faut aller jusqu’à l’obligation, son «bras ne tremblera pas».

50 % des Français estiment que les établissements de santé sont mieux préparés à gérer l’arrivée des patients covidés», soit 10 points de moins que lors d’un sondage réalisé en septembre 2020. Et seuls 36 % d’entre eux pensent que le pays est prêt en termes de nombre de lits de réanimation disponibles pour les malades.

Covid: Forte hausse et retour du masque ?

Covid: Forte hausse et retour du masque ?

 

Alors que la France est actuellement touchée par un rebond de l’épidémie de Covid-19 avec Par exemple 147 000 cas nouveaux hier 29 juin 2022 ,la ministre de la Santé Brigitte Bourguignon «demande aux Français de remettre le masque dans les transports». 

 

«Je n’irais pas jusqu’à l’obligation mais je (le) demande. Il suffit de regarder un hall de gare ou un train bondé pour savoir qu’il faut se protéger soi-même et les autres. C’est quasiment un devoir citoyen», a-t-elle ajouté, évoquant le port du masque dans tous «les lieux clos». «Il faut qu’on fasse très attention à cette reprise». Environ 60.000 nouveaux cas de Covid sont actuellement détectés chaque jour en France. Hier 28 juin plus de 147 000 cas nouveaux ont été signalés en 24 heures.

Elle a aussi réitéré son appel à un nouveau rappel de vaccination avec la quatrième dose pour certaines catégories de la population. «Je fais un appel pour que les personnes qui n’y ont pas eu recours le fassent très vite», a-t-elle dit en citant les plus de 60 ans et les personnes immunodéprimées. Le Pr. Alain Fischer, président du conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, a appelé dimanche ces personnes à se faire administrer leur deuxième rappel de vaccination

 

Covid: Retour du masque

Covid: Retour du masque

 

Alors que la France est actuellement touchée par un rebond de l’épidémie de Covid-19, la ministre de la Santé Brigitte Bourguignon «demande aux Français de remettre le masque dans les transports», a-t-elle indiqué sur RTL ce lundi soir 27 juin.

 

«Je n’irais pas jusqu’à l’obligation mais je (le) demande. Il suffit de regarder un hall de gare ou un train bondé pour savoir qu’il faut se protéger soi-même et les autres. C’est quasiment un devoir citoyen», a-t-elle ajouté, évoquant le port du masque dans tous «les lieux clos». «Il faut qu’on fasse très attention à cette reprise». Environ 60.000 nouveaux cas de Covid sont actuellement détectés chaque jour en France. Vendredi dernier, 79.262 cas ont été signalés par Santé publique France

Elle a aussi réitéré son appel à un nouveau rappel de vaccination avec la quatrième dose pour certaines catégories de la population. «Je fais un appel pour que les personnes qui n’y ont pas eu recours le fassent très vite», a-t-elle dit en citant les plus de 60 ans et les personnes immunodéprimées. Le Pr. Alain Fischer, président du conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, a appelé dimanche ces personnes à se faire administrer leur deuxième rappel de vaccination

Face au rebond de l’épidémie, la première ministre Élisabeth Borne présidera d’ailleurs mardi une réunion sur le sujet du Covid avec les agences régionales de santé et les préfets. La réunion, qui débutera à 15H00, permettra d’émettre une série de recommandations pour les prochaines semaines, précise l’entourage de la première ministre. Ce lundi, 15.099 malades du Covid sont hospitalisés, dont 880 en soins critiques.

Véran retire son masque !

Il y a déjà plusieurs semaines que le bavard ministre de la santé ne nous inflige plus de discours creux à propos de la situation sanitaire. Il faut dire que la guerre en Ukraine a pratiquement effacé de l’actualité l’épidémie de Covid. qui pourtant continue même si elle est en nette régression.

Comme verra n’a pas grand-chose à dire, il rompt cependant le silence en indiquant qu’on peut retirer le masque dans les transports. Le sien sans doute aussi s’autorisait une parole politique qui a dû lui manquer

Le ministre de la Santé a indiqué ce qu’on savait déjà : «le port du masque ne sera plus obligatoire dans l’ensemble transports en commun», Cela à l’issue du dernier Conseil des ministres du premier quinquennat d’Emmanuel Macron. Encore heureux qu’on n’est pas convoqué un conseil de défense !  Olivier Véran précise Cependant que le port du masque reste «recommandé» dans les transports collectifs.

 

Covid-: fin du masque et du pass

Covid-: fin du masque et du pass

À compter de ce lundi, le passe vaccinal ne sera plus exigé et le port du masque ne sera également plus obligatoire dans les lieux clos, à quelques exceptions près.

 

À partir du 14 mars fin de l’obligation de présentation du passe vaccinal pour accéder à l’ensemble de ces lieux : restaurants, bars, discothèques, cinémas, théâtres, salles de spectacle, musées, stades, foires et salons. «Toutefois, le passe sanitaire (attestation de vaccination, résultat d’un test négatif ou d’un certificat de rétablissement) restera demandé à l’entrée des hôpitaux, des maisons de retraite et des établissements pour personnes handicapées, afin de protéger les personnes les plus fragiles», est-il précisé sur le site du gouvernement.

Le port du masque, déjà levé dans les lieux soumis au passe vaccinal depuis le 28 février 2022 tels que les cinémas ou les musées, ne sera également plus obligatoire dans les lieux clos tels que les administrations, les services publics mais aussi les magasins. Cependant, il restera exigé dans les transports collectifs de voyageurs et les établissements de santé. Le port du masque reste recommandé pour les personnes positives et cas contacts à risque, les personnes symptomatiques et les professionnels de santé.

Covid -fin du pass vaccinal et du masque: Du populisme ?

Covid -fin du pass vaccinal et du masque: Du populisme ?

Le  Premier ministre Jean Castex a annoncé la levée du pass vaccinal et la fin du port du masque obligatoire en intérieur à partir du 14 mars, sauf dans les transports collectifs.

Invité du journal télévisé de 13H sur TF1 jeudi, le Premier ministre Jean Castex a annoncé la levée du pass vaccinal et la fin du port obligatoire du masque en intérieur à partir du 14 mars, sauf dans les transports collectifs.

Le pass vaccinal aussi sera suspendu à partir de cette date dans tous les lieux où il est appliqué comme les restaurants, les cafés, les boîtes de nuits ou encore les cinémas. Si c’est possible, c’est parce qu’à l’hôpital aussi la pression se réduit, avec 2.329 malades du Covid-19 admis en soins critiques.

Or, pour le docteur Rochoy, la fin du masque au travail et à l’école notamment, « c’est du populisme électoral pour faire plaisir aux gens. Sur le plan sanitaire cela n’a aucun intérêt ». Le médecin s’inquiète : « Il n’y a aucune chance qu’en retirant le masque on n’ait pas une vague qui arrive. Les gens vont porter le masque dans les transports, puis aller au travail et le retirer, se partager le virus entre eux. Ils vont remettre le masque dans les transports comme ça ils ne contamineront pas d’inconnus, puis ils vont ramener le virus à la maison, contaminer les enfants. Les enfants vont contaminer les élèves, qui vont contaminer leurs propres parents… C’est comme ça que l’épidémie fonctionne depuis le début. »

 

Fin du masque dans les zones de pass

Fin du masque dans les zones de pass

 

Dès lundi, le masque n,’est  plus obligatoire dans les lieux exigeant un pass vaccinal. En clair, il ne sera plus imposé dans les musées, cinémas, restaurants. Il restera obligatoire au travail, dans les magasins, les administrations, les services publics et les transports.

A partir de lundi, un seul test devient nécessaire (autotest, PCR ou antigénique) deux jours après avoir été déclaré cas contact, pour les personnes vaccinées

Après la zone B, les contraintes s’allègent pour la zone A, de retour de vacances. Le protocole dans les écoles y passe au niveau 2, comme l’avait annoncé le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, le 11 février. Cela permet d’enlever le masque pendant la récréation et autorise davantage de brassage entre les élèves de même niveau. Toutefois, le port du masque restera obligatoire à l’intérieur pour les personnels et les élèves de 6 ans et plus.

Un enfant déclaré cas contact ne devra plus faire qu’un seul test de dépistage (PCR, antigénique ou autotest), deux jours après, avant de pouvoir revenir en classe s’il est négatif.

La fin du masque dans les lieux de pass vaccinal

La fin du masque dans les lieux de pass vaccinal

 

Le masque ne sera plus obligatoire dans les lieux soumis au passe vaccinal à partir de lundi, un nouvel assouplissement attendu, alors que la pandémie décroît fortement. Fini le masque dans les musées, cinémas, restaurants mais il restera obligatoire dans les transports, comme le train ou l’avion, où le passe est également exigé. La prochaine étape pourrait être la suppression totale du masque partout le 15 mars.

Le ministre de la santé avait fixé l’objectif de 1500 malades maxi en soins intensifs. (Actuellement autour de 2500)

 

Covid: Le port du masque retoqué aussi à Paris

Covid: Le port du masque retoqué aussi à Paris

Cette décision du tribunal administratif de retoquer le port du masque obligatoire à Paris pourrait bien s’étendre à toutes les agglomérations en France.

Il n’est pas certain cependant que la levée du port du masque soit générale, il se pourrait que le masque soit maintenu dans des lieux très fréquentés.

Le tribunal administratif de Paris a donc suspendu jeudi l’arrêté préfectoral qui rend obligatoire le port du masque en extérieur à Paris depuis le 31 décembre, a appris l’AFP auprès de la juridiction. Cette décision intervient au lendemain de celle du tribunal administratif de Versailles, qui avait suspendu un arrêté similaire, une première sur le territoire national, en estimant que la mesure portait «une atteinte excessive, disproportionnée et non appropriée (…) à la liberté individuelle».

Port du masque en extérieur retoqué

Une première, avec cette  décisios du tribunal administratif de Versailles de retoquer le port du masque en extérieur. Nombre d’experts considère en effet que ce port  en extérieur est relativement inutile compte tenue de la ventilation naturelle  des personnes. Seules de fortes concentrations humaines peuvent justifier l’utilité du masque.

Le tribunal administratif de Versailles a  donc suspendu mercredi l’arrêté préfectoral rendant obligatoire le port du masque en extérieur dans le département des Yvelines, une première sur le territoire national, a appris l’AFP par voie de communiqué. Saisi par des particuliers, le juge des référés a considéré que cette «obligation ne pouvait être imposée qu’à condition que la situation épidémiologique locale le justifie et que le port du masque soit limité aux lieux et aux heures de forte circulation», peut-on lire sur le communiqué. Il a ainsi estimé que la mesure portait «une atteinte excessive, disproportionnée et non appropriée (…) à la liberté individuelle».

Le retour du masque en extérieur ?

Le retour du masque en extérieur ?

Suite aux chiffres catastrophiques de ce mardi où on a constaté environ 20 000 contaminations soit quatre fois plus qu’il y a quelques semaines, on pourrait bien assister au retour du masque y compris en extérieur. Certaines communes d’ailleurs déjà pris cette disposition. Pour l’instant le gouvernement se contente de déclarer le pays en L mais sans mesures d’accompagnement supplémentaire

l’obligation du masque pourrait concerner : les rassemblements (sans pass sanitaire), les abords des écoles, les marchés, les files d’attente, les infrastructures de transports et les centres commerciaux. 

 De toute manière de nouvelles mesures s’imposent pour tenter de réguler l’explosion des statistiques. En effet mardi 21 novembre on a enregistré n nouveau record avec 19.778 nouveaux cas détectés.

L’épidémie continue de s’aggraver en France, où 48 personnes sont mortes du Covid-19 ces dernières 24 heures, selon le bilan du jour de Santé publique France. 7535 malades sont actuellement hospitalisés, dont 647 depuis la veille. 

Santé–Retour du masque dans les écoles

santé-Retour du masque dans les écoles

 

Avec une montée notamment de 10 000 contaminations par jour au lieu de 6000 en moyenne précédemment, on s’oriente vers une nouvelle vague Covid. Ce qui provoque un rétropédalage du gouvernement concernant  les mesures d’allègement des mesures sanitaires, alors que 79 territoires étaient exempts du masque dans les salles de classe.

Le masque redeviendra obligatoire dès lundi dans les écoles de 39 départements où les élèves avaient pu l’ôter, a annoncé mercredi 3 novembre le gouvernement, en raison du regain de l’épidémie. Une mesure à laquelle les syndicats s’attendaient mais qui pourrait être mal acceptée.

 

Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal l’a annoncé à l’issue du Conseil des ministres: le masque va être à nouveau rendu obligatoire pour les écoliers «dans les départements où le taux d’incidence s’est malheureusement restabilisé au-dessus de 50 pour 100.000 habitants». «Cela concerne pour lundi prochain 39 départements où le masque n’était plus obligatoire pour les enfants», a-t-il dit.

Sont concernés l’Ain, les Hautes-Alpes, les Ardennes, l’Aveyron, le Cher, la Corrèze, la Haute-Corse, les Côtes-d’Armor, la Creuse, la Drôme, l’Eure-et-Loir, le Gers, l’Ille-et-Vilaine, l’Indre-et-Loire, l’Isère, le Loir-et-Cher, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Lot, le Lot-et-Garonne, le Maine-et-Loire, le Morbihan, la Moselle, le Nord, l’Oise, les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées, les Pyrénées-Orientales, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, la Sarthe, la Savoie, la Seine-et-Marne, les Deux-Sèvres, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Var, la Vendée et la Vienne, selon un communiqué du ministère de l’Éducation nationale publié mercredi soir.

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