Archive pour le Tag 'mars'

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Inflation : forte en mars

Inflation : forte en mars

Les prix à la consommation ont augmenté de 0,8% en mars après une hausse de 0,3% le mois précédent, pour progresser de 1,0% sur un an, selon les statistiques publiées jeudi par l’Insee. Cette augmentation reflète une hausse des prix des produits manufacturés après la fin des soldes et de services liés aux vacances d’hiver, précise l’institut de la statistique dans un communiqué. Les prix de l’énergie, notamment ceux des produits pétroliers, ont en revanche baissé. L’indice des prix harmonisé IPCH, qui permet des comparaisons avec les autres pays de la zone euro, s’inscrit en hausse de 0,8% sur un mois et de 1,1% sur un an. Quinze économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une hausse de 0,7% pour l’indice IPCH, leurs estimations allant de 0,5% à 0,9%, et une hausse de 1,0% sur un an, leurs estimations allant de 0,8% à 1,2%. Corrigé des variations saisonnières, l’indice des prix à la consommation est hausse de 0,3% en mars (+1,0% sur un an).

 

Croissance : récession secteur manufacturier en mars

Croissance : récession secteur manufacturier en mars

L’activité du secteur manufacturier en France s’est révélée légèrement supérieure aux attentes au mois de mars, mais sa contraction reste prononcée, selon les données publiées mardi par Markit. L’indice des directeurs d’achat du secteur manufacturier en France est ressorti à 44 en mars, contre 43,9 en février. Il était attendu stable à 43,9 le mois dernier. « Bien que se redressant très légèrement par rapport à février [...] et affichant un plus haut de trois mois, l’indice PMI [...] continue de signaler un fort taux de contraction dans le secteur », souligne Markit dans un communiqué. Un chiffre supérieur à 50 indique une expansion de l’activité, tandis qu’un chiffre inférieur à 50 dénote un recul. « La forte détérioration de la conjoncture se poursuit, en mars, dans le secteur manufacturier français, malgré une très légère hausse de l’indice PMI », indique Jack Kennedy, économiste chez Markit.

 

Ventes voitures : nouveau plongeon en mars sauf à bas coût

Ventes voitures : nouveau plongeon en mars sauf à bas coût

 

La chute des immatriculations de voitures neuves s’est accentuée en France en mars, à 16,4% en données brutes, selon les données publiées ce mardi par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA).A nombre de jours ouvrables comparable, le recul atteint 12,5%, avec 165.244 voitures immatriculées, selon un communiqué.Le français PSA Peugeot Citroën a particulièrement souffert, avec une baisse de ses immatriculations de 23,6%. Le groupe Renault a limité la casse (-8,3%) grâce à la bonne performance de sa marque à bas coûts Dacia (+29,3%).Les constructeurs étrangers dans leur ensemble ont connu une baisse de 15,5% de leurs immatriculations. Les immatriculations de voitures neuves connaissent un début d’année noire en France. En février, le décrochage était de 12,1% en février en données brutes, mais la situation devrait s’améliorer un peu d’ici la fin de l’année, espèrent les experts du secteur. A nombre de jours ouvrables comparable, la baisse est limitée à 7,7% à 143 366 unités, selon des chiffres publiés vendredi par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA). Les immatriculations avaient déjà reculé de près de 14% l’an dernier, à 1,899 million d’unités, au plus bas depuis 1997, et de 15% en janvier, dans un contexte économique morose. Aucune reprise réelle n’est attendue par les constructeurs avant 2014 ou 2015. Pour autant, les constructeurs et les experts du secteur ne désespèrent pas de voir la situation se redresser un peu d’ici la fin de l’année. Le numéro deux français Renault table sur un repli du marché compris entre 3 et 5%, une prévision qui correspond à celle de Flavien Neuvy, responsable de l’Observatoire Cetelem spécialisé dans l’automobile. Le CCFA est plus pessimiste et voit un marché des immatriculations « autour de -5% » sur l’année, a indiqué un porte-parole. M. Neuvy s’appuie pour cela sur le niveau de prises de commandes des constructeurs automobiles, « qui sont moins mauvaises que les -12% des immatriculations ». « On devrait aller vers une stabilisation du marché d’ici la fin du premier semestre », estime-t-il. Il faut en effet quelques mois avant de voir les commandes se transformer en immatriculations. « Nous avons un marché des commandes sensiblement meilleur que celui des immatriculations », confirme Bernard Cambier, directeur commercial France chez Renault, qui estime qu’il est stable par rapport à l’an dernier. Comme en 2012, les différents constructeurs automobiles connaissent des sorts différents en ce début d’année. Les Français souffrent toujours un peu plus que les étrangers. Le numéro un PSA Peugeot Citroën a perdu 15,5%, plombé par sa marque Citroën (-22%). « Le niveau de commandes est stable », précise la marque aux chevrons pour qui les immatriculations de février « ne reflètent donc pas l’activité commerciale ». Le groupe Renault a vu ses immatriculations reculer de 10,8% à cause de la marque au losange (-19,5%), tandis que celles de Dacia ont bondi de 37,3%. « Nous sommes très satisfaits de ces résultats », indique cependant M. Cambier. Le recul des ventes de Renault s’explique par la fin du petit monospace Modus et de la Clio III dans sa version break, qui seront remplacés au printemps, ce qui devrait permettre à la marque de « remonter lors des mois suivants », a-t-il expliqué. Les groupes étrangers s’en sortent un peu mieux. Leurs immatriculations ont glissé dans l’ensemble de 10,2%. La chute la plus forte est celle de l’Américain Ford (-33,4%). General Motors recule de 14,7%, le Japonais Nissan de 10,3%, l’Italien Fiat de 11,8% et les groupes allemands Volkswagen, BMW et Daimler de respectivement 7,5%, 2,7% et 10,3%. « Des groupes qui avaient bien résisté jusqu’à présent, comme VW et le haut de gamme, baissent », souligne Flavien Neuvy. A l’inverse, le Japonais Toyota a connu une hausse de ses immatriculations de 12,3% et le Sud-Coréen Hyundai-Kia de 5%. « Toyota profite de l’engouement pour l’hybride », domaine où il est en pointe et « les marques à bas coûts se portent bien » comme Dacia, Hyundai et Kia, commente l’expert. Les ventes de véhicules utilitaires légers, un indicateur de l’activité des entreprises, ont baissé de 11,8% sur le mois de février. En Espagne, la chute des ventes de voitures neuves a été amortie par le plan de soutien gouvernemental et a atteint 9,8% en février.

 

Mali: retrait des français dès mars

Mali: retrait des français  dès mars

Le gouvernement l’avait déjà annoncé : la France na pas vocation à rester au Mali. En cause d’abord le très faible soutien de la communauté internationale à commencer par l’Union européenne, ensuite le risque de s’embourber come en Afghanistan dans une guerre d’usure avec les terroristes. En faiat il restera le plus dur à faire pour les forces africaines car finalemenet les pertes dans les rangs islamistes sont assez peu nombreuses. Au mali, on s’inquiète déjà des conséquences de ce retrait précipité des forces françaises. Les soldats français entameront leur retrait du Mali à partir de mars, ont annoncé mardi les autorités françaises, qui ont pour la première fois évoqué un bilan de « centaines » de combattants islamistes tués depuis le début de l’intervention militaire dans ce pays.   »Je pense qu’à partir de mars, si tout se passe comme prévu, le nombre de troupes françaises devrait diminuer », a déclaré le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, dans un entretien avec le quotidien Metro à paraître mercredi.   »La France n’a pas vocation à rester durablement au Mali. Ce sont les Africains et les Maliens eux-mêmes qui doivent être les garants de la sécurité, de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de ce pays », a répété le ministre, évoquant un « passage de relais » à la Misma, la force ouest-africaine pour le Mali.  Cette force doit à terme comprendre environ 6.000 soldats, dont 2.000 seulement sont déjà au Mali. Un contingent distinct de 2.000 Tchadiens est, quant à lui, déjà presque entièrement déployé. Quelque 4.000 soldats français sont aujourd’hui au Mali, plus de trois semaines après le début de l’intervention française.  Et pour la première fois, les autorités françaises ont donné mardi soir un bilan des frappes aériennes et des combats « frontaux » qui opposent soldats français et maliens aux islamistes au Mali: « plusieurs centaines » de combattants islamistes ont été tués en plus de trois semaines d’intervention militaire.  Ils ont péri dans les « frappes aériennes » françaises sur des pick-up transportant des hommes ou du matériel de guerre et pendant « des combats directs, frontaux à Konna (centre) et Gao (nord) », a précisé le ministre de la Défense, Jean-Yves le Drian.  Côté français, un officier français, pilote d’hélicoptère, a été tué le 11 janvier, premier jour de l’opération française. Bamako avait fait état à la mi-janvier de onze militaires maliens morts à Konna, mais n’a pas donné d’autre bilan depuis.  Sur le terrain, les rebelles touareg du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) ont affirmé mardi qu’ils « coordonnaient » leurs actions dans le nord du Mali avec les forces françaises contre les « terroristes » islamistes en fuite. Un porte-parole, qui a défendu le « réel engagement » du MNLA « dans la lutte contre le terrorisme », n’a pas donné de détails sur la façon dont le groupe coopérait avec les soldats français à Kidal, à 1.500 km au nord-est de Bamako, près de la frontière algérienne.  Le ministre français de la Défense a reconnu que les soldats français avaient à Kidal « des relations fonctionnelles avec le MNLA ».   »A partir du moment où le MNLA déclarera – il semble qu’il le fasse – qu’il n’est ni terroriste, ni scissionniste, et qu’il veut rentrer dans le dialogue interne au Mali qu’il faut engager, il sera à la table » des discussions, a-t-il ajouté.  Les soldats français contrôlent l’aéroport et la ville de Kidal elle-même est « sécurisée » par quelque 1.800 Tchadiens, selon Paris.  Kidal était un bastion du groupe islamiste armé Ansar Dine (Défenseurs de l’islam), mais elle est passée sous le contrôle du Mouvement islamique de l’Azawad (MIA, dissidence d’Ansar Dine s’affirmant « modérée ») et des rebelles touareg du MNLA juste avant l’arrivée de soldats français dans la nuit du 29 au 30 janvier.  Ces deux groupes ont apporté leur soutien à l’entrée dans la ville de soldats français, mais ont refusé la présence de militaires de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), dont ne fait pas partie le Tchad, de crainte d’exactions contre les Arabes et les Touareg, souvent assimilés aux groupes islamistes.  Les soldats français poursuivent dans le même temps leur traque des chefs et combattants islamistes qui se seraient réfugiés dans le massif des Ifoghas, au nord de Kidal, près de la frontière algérienne. Des frappes aériennes massives ont été effectuées ces derniers jours dans la région de Tessalit et d’Aguelhok, au nord de Kidal, visant « principalement des dépôts logistiques et des centres d’entraînement », et elles se poursuivront mardi soir, selon le ministre français de la Défense.  C’est aussi dans cette région de grottes et de montagnes que se trouveraient les sept otages français enlevés au Niger et au Mali en 2011 et 2012 par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et un autre groupe islamiste armé, le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao).  Selon des sources de sécurité et un député malien touareg, une délégation des Touareg des Ifoghas a récemment rencontré leurs ravisseurs, assurant que certains se sont montrés dans « de bonnes dispositions ».  Parmi les chefs islamistes probablement réfugiés dans les Ifoghas figurent l’Algérien Abou Zeïd, un des émirs les plus radicaux d’Aqmi, et Iyad Ag Ghaly, chef d’Ansar Dine, ex-rebelle touareg malien des années 1990, originaire de Kidal, qui connaît parfaitement la région.  A Gao, la plus grande ville du Nord du Mali, reprise le 26 janvier par les soldats français et maliens, le Mujao a affirmé mardi avoir attaqué les positions des soldats français et africains, une information démentie par la force ouest-africaine, alors que des témoins ont fait état d’explosions lointaines.

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