Archive pour le Tag 'marges'

Economie -Les marges en hausse mais baisse des salaires (l’OCDE)

Economie -Les marges en hausse mais baisse des salaires (l’OCDE)

Alors que les salaires ont continué de baisser de 4 % en euros constants, les marges parallèlement s’envolent d’après une étude de l’OCDE. Les entreprises de la plupart des pays affichent donc des profits suffisamment importants pour pouvoir absorber des hausses de salaires nécessaires à un environnement d’inflation élevé, a déclaré l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) .

Entreprises n’ont pas augmenté les salaires au même rythme que l’inflation dans 31 pays sur les 34 suivis dans le dernier rapport des perspectives de l’emploi, publié par l’organisme basé à Paris.

Une fois l’inflation prise en compte, les salaires ont chuté de 3,8% sur un an au premier trimestre 2023, celui des hongrois affichant la plus forte régression, en baisse de 15,6%, selon le rapport.

Si l’inflation a érodé le pouvoir d’achat des travailleurs, les profits des entreprises ont progressé plus rapidement que les salaires après la pandémie dans tous les pays suivis dans le rapport.

« Une crise du coût de la vie doit être partagée entre les gouvernements, les entreprises et les travailleurs », a déclaré Stefano Scarpetta, directeur de la direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales (ELS) de l’OCDE.

« Il y a un peu de marge pour que les profits s’ajustent à des salaires plus élevés sans générer de spirale prix/salaires », a-t-il ajouté.

Ces augmentations de salaires varient en fonction des pays et des secteurs, a-t-il précisé.

Inflation-Les marges en hausse mais baisse des salaires (l’OCDE)

Inflation-Les marges en hausse mais baisse des salaires (l’OCDE)

Alors que les salaires ont continué de baisser de 4 % en euros constants, les marges parallèlement s’envolent d’après une étude de l’OCDE. Les entreprises de la plupart des pays affichent donc des profits suffisamment importants pour pouvoir absorber des hausses de salaires nécessaires à un environnement d’inflation élevé, a déclaré l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) .

Entreprises n’ont pas augmenté les salaires au même rythme que l’inflation dans 31 pays sur les 34 suivis dans le dernier rapport des perspectives de l’emploi, publié par l’organisme basé à Paris.

Une fois l’inflation prise en compte, les salaires ont chuté de 3,8% sur un an au premier trimestre 2023, celui des hongrois affichant la plus forte régression, en baisse de 15,6%, selon le rapport.

Si l’inflation a érodé le pouvoir d’achat des travailleurs, les profits des entreprises ont progressé plus rapidement que les salaires après la pandémie dans tous les pays suivis dans le rapport.

« Une crise du coût de la vie doit être partagée entre les gouvernements, les entreprises et les travailleurs », a déclaré Stefano Scarpetta, directeur de la direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales (ELS) de l’OCDE.

« Il y a un peu de marge pour que les profits s’ajustent à des salaires plus élevés sans générer de spirale prix/salaires », a-t-il ajouté.

Ces augmentations de salaires varient en fonction des pays et des secteurs, a-t-il précisé.

Social- Marges en hausse mais baisse des salaires (OCDE)

Social- Marges en hausse mais baisse des salaires (OCDE)

Alors que les salaires ont continué de baisser de 4 % en euros constants, les marges parallèlement s’envolent d’après une étude de l’OCDE. Les entreprises de la plupart des pays affichent donc des profits suffisamment importants pour pouvoir absorber des hausses de salaires nécessaires à un environnement d’inflation élevé, a déclaré l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) .

Entreprises n’ont pas augmenté les salaires au même rythme que l’inflation dans 31 pays sur les 34 suivis dans le dernier rapport des perspectives de l’emploi, publié par l’organisme basé à Paris.

Une fois l’inflation prise en compte, les salaires ont chuté de 3,8% sur un an au premier trimestre 2023, celui des hongrois affichant la plus forte régression, en baisse de 15,6%, selon le rapport.

Si l’inflation a érodé le pouvoir d’achat des travailleurs, les profits des entreprises ont progressé plus rapidement que les salaires après la pandémie dans tous les pays suivis dans le rapport.

« Une crise du coût de la vie doit être partagée entre les gouvernements, les entreprises et les travailleurs », a déclaré Stefano Scarpetta, directeur de la direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales (ELS) de l’OCDE.

« Il y a un peu de marge pour que les profits s’ajustent à des salaires plus élevés sans générer de spirale prix/salaires », a-t-il ajouté.

Ces augmentations de salaires varient en fonction des pays et des secteurs, a-t-il précisé.

Inégalités-Les marges en hausse mais baisse des salaires (OCDE)

Inégalités-Les marges en hausse mais baisse des salaires (l’OCDE)

Alors que les salaires ont continué de baisser de 4 % en euros constants, les marges parallèlement s’envolent d’après une étude de l’OCDE. Les entreprises de la plupart des pays affichent donc des profits suffisamment importants pour pouvoir absorber des hausses de salaires nécessaires à un environnement d’inflation élevé, a déclaré l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) .

Entreprises n’ont pas augmenté les salaires au même rythme que l’inflation dans 31 pays sur les 34 suivis dans le dernier rapport des perspectives de l’emploi, publié par l’organisme basé à Paris.

Une fois l’inflation prise en compte, les salaires ont chuté de 3,8% sur un an au premier trimestre 2023, celui des hongrois affichant la plus forte régression, en baisse de 15,6%, selon le rapport.

Si l’inflation a érodé le pouvoir d’achat des travailleurs, les profits des entreprises ont progressé plus rapidement que les salaires après la pandémie dans tous les pays suivis dans le rapport.

« Une crise du coût de la vie doit être partagée entre les gouvernements, les entreprises et les travailleurs », a déclaré Stefano Scarpetta, directeur de la direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales (ELS) de l’OCDE.

« Il y a un peu de marge pour que les profits s’ajustent à des salaires plus élevés sans générer de spirale prix/salaires », a-t-il ajouté.

Ces augmentations de salaires varient en fonction des pays et des secteurs, a-t-il précisé.

Les marges en hausse et baisse des salaires (l’OCDE)

Les marges en hausse et baisse des salaires (l’OCDE)

Alors que les salaires ont continué de baisser de 4 % en euros constants, les marges parallèlement s’envolent d’après une étude de l’OCDE. Les entreprises de la plupart des pays affichent donc des profits suffisamment importants pour pouvoir absorber des hausses de salaires nécessaires à un environnement d’inflation élevé, a déclaré l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) mardi.

Entreprises n’ont pas augmenté les salaires au même rythme que l’inflation dans 31 pays sur les 34 suivis dans le dernier rapport des perspectives de l’emploi, publié par l’organisme basé à Paris.

Une fois l’inflation prise en compte, les salaires ont chuté de 3,8% sur un an au premier trimestre 2023, celui des hongrois affichant la plus forte régression, en baisse de 15,6%, selon le rapport.

Si l’inflation a érodé le pouvoir d’achat des travailleurs, les profits des entreprises ont progressé plus rapidement que les salaires après la pandémie dans tous les pays suivis dans le rapport.

« Une crise du coût de la vie doit être partagée entre les gouvernements, les entreprises et les travailleurs », a déclaré Stefano Scarpetta, directeur de la direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales (ELS) de l’OCDE.

« Il y a un peu de marge pour que les profits s’ajustent à des salaires plus élevés sans générer de spirale prix/salaires », a-t-il ajouté.

Ces augmentations de salaires varient en fonction des pays et des secteurs, a-t-il précisé.

Inflation : Attaque modérée contre les marges indues (Bruno Le Maire)

Inflation :Attaque modérée contre les marges indues (Bruno Le Maire)

De manière implicite, le ministre de l’économie reconnaît que les industriels de l’alimentaire réalisent des marges indues. Ils menacent donc de les taxer si des prix ne diminuent pas. Et d’affirmer sans réel argumentation pertinente que ces prix vont baisser à partir de juillet. Le problème est que l’inflation va sans doute se tasser mais on n’est pas prêt de voir les prix reculer car une partie de l’inflation et structurelle( même si une partie est effectivement spéculative).

Le ministre de l’économie a cité sur le plateau de BFM TV les pâtes, la volaille, les céréales ou encore les huiles, à savoir ceux dont « les prix sur les marchés de gros baissent ». « C’est ce à quoi se sont engagés les industriels lors d’une réunion jeudi à Bercy », a-t-il ajouté, précisant que la liste lui sera transmise la semaine prochaine. Il y a urgence : la hausse des prix à la consommation s’est élevée à 5,1% en mai sur un an, mais celle des produits alimentaires atteint encore 14,1%.

Les grands industriels de l’agroalimentaire, tels que Coca-Cola, L’Oréal, Mondelez ou Nestlé, se sont également engagés à rouvrir les négociations commerciales avec les supermarchés sur les contrats conclus pour 2023, selon le ministre.

Il a aussi souligné que « le taux de marge des entreprises de l’agroalimentaire a fortement progressé au cours des premiers mois de l’année 2023 et plus que rattrapé les pertes qu’ils avaient faites lors des deux années passées, tant mieux pour elles » !!!

Carburants : les marges inadmissibles des distributeurs

Carburants : les marges inadmissibles des distributeurs

Les prix des carburants est exagérément élevé d’après l’association de consommateurs CLCV. Cette dernière accuse les distributeurs d’avoir engrangé des « marges brutes explosives » ces quatre derniers mois. « un record historique » pour les marges des distributeurs depuis le début de l’année, dépassant les 25 centimes au litre. Or, en se référant à la moyenne annuelle de 2018 à 2021, l’association estime que cette marge brute se situe en général aux alentours de 15 centimes le litre.

Selon la CLCV, les distributeurs opèrent actuellement un rattrapage de leurs marges après les pertes encaissées l’an dernier. Après le déclenchement de la guerre en Ukraine et la crise énergétique qui a suivi, les distributeurs avaient en effet décidé de ne pas répercuter l’intégralité de la très forte hausse des cours du brut. Leurs marges brutes avaient chuté à des niveaux très faibles et ont même parfois été négatives, comme en septembre et en octobre.

Après avoir connu « un bref retour à la normale en décembre », ces marges sont brutalement remontées à partir de janvier 2023, déplore la CLCV, qui évoque des marges brutes atteignant 29 centimes le litre pour le gazole en avril. Or, en parallèle, les prix du brut ont fortement reculé, oscillant autour de 70-75 dollars le baril.

« S’il s’agissait probablement d’une opération de reconstitution de marges après avoir effectué des gestes pour le pouvoir d’achat cet été, ces marges explosives ne sont désormais plus justifiées. Les prix à la pompe doivent diminuer de 10 centimes », estime l’association.

Carburants : les marges invraisemblables des distributeurs

Carburants : les marges invraisemblables des distributeurs

Les prix des carburants est exagérément élevé d’après l’association de consommateurs CLCV. Cette dernière accuse les distributeurs d’avoir engrangé des « marges brutes explosives » ces quatre derniers mois. « un record historique » pour les marges des distributeurs depuis le début de l’année, dépassant les 25 centimes au litre. Or, en se référant à la moyenne annuelle de 2018 à 2021, l’association estime que cette marge brute se situe en général aux alentours de 15 centimes le litre.

Selon la CLCV, les distributeurs opèrent actuellement un rattrapage de leurs marges après les pertes encaissées l’an dernier. Après le déclenchement de la guerre en Ukraine et la crise énergétique qui a suivi, les distributeurs avaient en effet décidé de ne pas répercuter l’intégralité de la très forte hausse des cours du brut. Leurs marges brutes avaient chuté à des niveaux très faibles et ont même parfois été négatives, comme en septembre et en octobre.

Après avoir connu « un bref retour à la normale en décembre », ces marges sont brutalement remontées à partir de janvier 2023, déplore la CLCV, qui évoque des marges brutes atteignant 29 centimes le litre pour le gazole en avril. Or, en parallèle, les prix du brut ont fortement reculé, oscillant autour de 70-75 dollars le baril.

« S’il s’agissait probablement d’une opération de reconstitution de marges après avoir effectué des gestes pour le pouvoir d’achat cet été, ces marges explosives ne sont désormais plus justifiées. Les prix à la pompe doivent diminuer de 10 centimes », estime l’association.

États-Unis : « des marges d’action réduite pour Biden ? »

États-Unis : « des marges d’action réduite pour Biden ? »

 

Plusieurs experts anticipent que Biden, élu comme président, disposerait de marges d’action réduites en matière économique. Cela en raison du fait qu’il aura un Sénat composé en majorité de républicains. Certes politiquement, Biden ne disposera pas d’un environnement forcément favorable. C’est cependant oublier  que l’économie américaine n’est pas comme en France par exemple orientée en permanence par le président de la république. Certes des mesures budgétaires massives par exemple pour financer les infrastructures seront contraintes par les oppositions. Mais l’atout majeur de Biden sera de contribuer à rétablir la confiance des opérateurs avec une ligne beaucoup plus claire tant vis-à-vis de la Chine que l’Europe ou d’autres zones. C’est cette confiance qui sera  l’atout majeur du soutien à une économie qui par parenthèse a toujours des assises assez solides. Enfin, il est toujours dangereux d’hypothéquer la stratégie à venir de responsables politiques jugés faibles mais qui peuvent se révéler très efficaces une fois pouvoir (et inversement !). Ce que peut apporter Biden, c’est une stabilité interne et internationale qui manque pour la confiance des acteurs économiques et des consommateurs. Tout n’est pas macro-économique et peut dépendre aussi largement de comportements micro-économiques .

 

 

Trois économistes décryptent pour Le Figaro les conséquences d’une possible victoire de Joe Biden sur l’économie américaine, les marchés et les relations avec l’Europe.

Paul Jackson, directeur de la recherche multi-Asset EMEA ETF chez Invesco Asset Management

«La probable victoire de Joe Biden risque de laisser des traces. Sa victoire risque d’être beaucoup plus discutée. Donald Trump va faire appel devant les cours de justice. Cela peut être un processus assez long. Dans tous les cas, les marchés retiendront qu’au final, le Sénat restera républicain donc il y aura une sorte d’équilibrage dans le système politique, comme aujourd’hui. Cela veut dire beaucoup moins de risques de législations qui créeraient des dégâts pour des secteurs comme la pharmaceutique ou la Tech.

S’il est élu, Joe Biden souhaite remonter les taux d’imposition sur les entreprises et les grandes fortunes et doubler le salaire minimum à 15 dollars. Cela soutiendra la consommation des ménages qui n’ont pas d’épargne. Ceci dit, un Sénat républicain compromet tout cela. Joe Biden aura moins de marge de manœuvre. En revanche, les exportations globales pourraient profiter de son élection avec une possible levée des tarifs douaniers contre la Chine, l’Europe ou la Turquie. Plus généralement, son comportement sera beaucoup plus stable, ses actions plus faciles à prévoir, donc cela baissera les tensions géopolitiques. Les relations commerciales seront apaisées.

À court terme, la question est de savoir de quelle ampleur sera le plan de relance que le futur président présentera pour soutenir l’économie. Avec un Sénat républicain, qui est très conservateur au niveau fiscal, ce plan risque d’être moins élevé que prévu. Cela veut dire que l’économie sera moins dynamique dans un contexte de hausse du nombre de cas de Covid 19. Toutefois, si Biden est élu, je pense qu’il apportera, d’un point de vue économique, plus de stabilité et de calme. De cette manière, on peut envisager plus d’investissements de la part du secteur privé, qui avec Donald Trump ne sait pas sur quel pied danser.

À plus long terme, je pense que la dette sera le vrai problème du prochain président. Ce problème d’endettement s’est aggravé avec la récession de 2020. Pire encore, vers la fin de la décennie, même s’il n’y avait pas eu la crise de cette année, l’endettement aurait augmenté à cause des problèmes démographiques. Et ce taux d’endettement qui ne cesse de grimper signifie que le président aura dans tous les cas moins de flexibilité.»

Véronique Riches-Flores, économiste indépendante, fondatrice de RichesFlores Research

 «C’est au moins une conclusion que nous pouvons formuler sans grand risque d’erreur : la probabilité que l’un ou l’autre des partis gagne à la fois la présidence, la Chambre des représentants et le Sénat apparaît très réduite à ce stade. Joe Biden semble en passe de rassembler une majorité à la Chambre mais pas le Sénat et le schéma serait l’inverse pour Donald Trump. La conséquence première d’une telle situation est de réduire les chances de réformes d’ampleur dont l’économie américaine aurait besoin pour retrouver le chemin d’une croissance structurelle plus solide. Cette conclusion, si elle se confirme, devrait conduire à une révision à la baisse des perspectives de croissance pour les quatre années à venir. Il est indiscutable qu’en l’absence de majorité au Sénat, la latitude de Joe Biden, s’il est élu, sera réduite et les réformes souhaitées beaucoup plus compliquées et plus longues à mettre en place que généralement considéré dans les scénarios chiffrés ces derniers mois. Dans ce cas, le scénario de reprise plébiscité par les marchés ces derniers jours risque d’être mis à mal.

Cela concerne bien entendu les perspectives des secteurs les plus cycliques, lesquels auraient été, de loin, les plus favorablement exposés à une large victoire du candidat démocrate, en particulier aux aspects les plus structurels de son programme : infrastructures, environnement, consommation. Le changement de perspectives d’inflation, dont les anticipations semblent dorénavant exposées à un risque de baisse non négligeable, fragilise le secteur bancaire dans un contexte déjà impacté par les effets de la crise sanitaire, en particulier par la dégradation de la solvabilité des ménages et entreprises.

Sauf énorme surprise de dernière minute dont on voit mal d’où elle pourrait émaner, les résultats de ce scrutin n’incitent pas à penser que l’élan de confiance des marchés boursiers de ces derniers jours puisse aller bien loin. Il y a un risque évident d’avoir une administration trop ligotée pour réellement être en mesure de changer la donne, tout au moins à brève échéance.»

Antoine Lesné, responsable de la recherche et de la stratégie de SPDR

 «En cas de victoire, Joe Biden aura probablement moins de possibilités de mettre en place un projet purement démocrate. Il proposait de faire un package de soutien à l’économie de quelque 3000 milliards de dollars avec un programme plus clair sur l’infrastructure et un effort demandé aux entreprises et aux familles plus aisées. Mais tout cela risque d’être plus compliqué à faire passer. Aujourd’hui, c’est plus le statu quo qui prévaut. Dans cette optique, il y a beaucoup d’incertitudes.

Si Joe Biden l’emporte, l’une des réformes qui pourrait passer concerne la partie sur les infrastructures, qui peut relancer l’économie. Elle ne passera pas de façon aussi ambitieuse, ça prendra plus de temps, mais c’est déjà amorcé. Et ce qui est intéressant, c’est qu’avec Joe Biden, on peut s’attendre à un rapprochement avec l’Europe. À noter toutefois que le point de contentieux concernant les géants de la Tech va perdurer. Aux États-Unis, ces derniers craignaient de nouvelles réglementations avec des législations antitrust. Mais ces dernières pourraient ne pas passer dans un congrès divisé, ce qui est positif pour les Gafa.

En attendant, sur les marchés, l’attentisme prévaut. Mais on peut envisager que cet environnement va favoriser les actifs risqués et de qualité comme la Tech dans les prochains mois. Peut-être que s’il gagne, Joe Biden réussira aussi à convaincre le Sénat de faire passer un important stimulus économique ! Mais c’est mal engagé. Le Congrès trouvera un juste milieu mais ça sera un stimulus plus mesuré. Du coup, les marchés obligataires anticipent une bonne croissance en 2021 mais pas aussi élevée qu’espérée.»

Crise agricole : des marges de manœuvre limitées (Jean-Christophe Bureau, spécialiste en économie agricole)

Crise agricole : des marges de manœuvre limitées (Jean-Christophe Bureau, spécialiste en économie agricole)

Jean-Christophe bureau, spécialiste en économie agricole souligne les limites d’intervention sur les prix agricoles tant de la part de la France que de l’Europe. Une analyse pertinente mais qui fait cependant l’impasse sur la question du modèle industrialisé de l’élevage et sur  la qualité des produits (interview Le Figaro)

Jean-Christophe BUREAU. - La France a les poings liés en ce qui concerne le soutien au prix et les aides liées à la production depuis le Traité de Rome en 1957. Elle peut aider socialement les éleveurs mais pas aider les cours. Elle a plus de liberté sur les aides qui ne sont pas liées directement aux quantités produites, comme celles qui concernent des actions sociales ou environnementales. Cette discipline européenne empêche par exemple de soutenir les prix du porc. De toute façon, même sans contrainte européenne, la France ne pourrait pas vraiment garantir un prix plus élevé, car cela supposerait des achats publics très couteux. Elle n’en a absolument pas les moyens.

Quels sont les points de blocage?

Ce qui bloque, c’est le dialogue avec la distribution, et plus encore avec les transformateurs. Dans la charcuterie salaison par exemple, les entreprises cherchent la matière première la moins chère, même si elle est importée. Il n’y a pas vraiment de dynamique de filière bien organisée comme on peut en trouver dans les productions végétales (NDLR: le sucre par exemple). Les coopératives ne peuvent pas rémunérer beaucoup plus les producteurs car elles auront du mal à vendre leurs produits aux transformateurs. Elles ont insuffisamment investi dans la transformation à haute valeur ajoutée. Il y a un problème de valeur ajoutée et d’innovation, notamment dans la filière de la viande bovine et au niveau des abattoirs, les faibles marges permettent peu d’investir. On se retrouve dans un cercle vicieux, duquel il est difficile de sortir.

L’Europe possède-t-elle agir sur les prix?

La nouvelle politique agricole commune (PAC) prévoit un système de filets de sécurité pour intervenir quand les cours sont bas. Mais seules des actions assez ponctuelles sont possibles qui ne permettent pas de soutenir structurellement les cours. Cela peut prendre la forme d’aide au stockage d’une partie de la production par exemple. Mais nous sommes au niveau européen, en production porcine et laitière, sur un excédent de production relativement chronique depuis deux ans, qui a empiré suite à des aléas extérieurs comme l’embargo russe, la chute du marché grec, la baisse de la demande chinoise de produits laitiers. Dans le cas de l’embargo russe, il s’agit de négociations politiques. Sur ce type de problèmes, la Commission ne peut intervenir que pour faciliter les relations extérieures entre l’Europe et la Russie. L’Europe n’est pas très bien armée pour agir sur les prix. Il faut voir que certains producteurs peuvent offrir du lait ou du porc à des prix très bas comme les Irlandais qui peuvent produire du lait à 26 centimes le litre. L’Europe pourrait décider de soutenir les prix à 30 ou 32 centimes, avec des achats publics. Mais il y aurait un afflux de production et la création de surplus deviendrait rapidement ingérable.

Peut-elle limiter le dumping social?

Là où il y a effectivement distorsion de concurrence, c’est sur le coût du travail. En Allemagne, il y a beaucoup de travailleurs détachés dans la filière du porc par exemple, ce qui permet de produire moins cher. Mais la Commission ne peut pas jouer sur l’aspect social. Cela nécessite des négociations politiques entre États-membres, pour qu’ils se mettent d’accord sur une législation sociale commune. L’Allemagne, le Danemark, réussissent à être concurrentiel; que la France soit dans la panade ne les touche pas forcément.

Les marges des entreprises d’abord ensuite les investissements (Geoffroy Roux de Bézieux)

Les marges des entreprises d’abord ensuite les investissements (Geoffroy Roux de Bézieux)

 

Geoffroy Roux de Bézieux,  vice-président du Medef, dans uen interview à la Tribune pense que le gouvernement na’ pas totalement compris la logique du retour à la compétitivité de l’ économie française.

La Tribune- Quel avis portez-vous sur le plan en faveur de l’investissement annoncé le 8 avril par Manuel Valls et en particulier sur la mesure de « suramortissement » ?

Geoffroy Roux de Bézieux. C’est une mesure utile, c’est indéniable. Mais elle ne répond pas au problème immédiat des entreprises françaises, celui de la compétitivité. Rappelez-vous le fameux théorème d’Helmut Schmidt « les profits d’aujourd’hui feront les investissements de demain et les emplois d’après-demain ». Or, nous n’en sommes qu’à la phase un. La priorité actuelle des entreprises est d’améliorer leurs marges. Le pacte de responsabilité va aider à cela mais, pour l’instant, sur les 41 milliards d’euros annoncés en faveur des entreprises seuls les 6 milliards d’euros accordés en 2014 au titre du crédit impôt pour la compétitivité et l’emploi sont réellement effectifs.

Et quelles sont vos autres réserves ?

Nous ne sommes pas très à l’aise avec les mesures « spot ». Or, la mesure de suramortissement ne concerne que les investissements réalisés entre avril 2015 et avril 2016. Nous préférons les mesures pérennes. Il convient aussi de modérer son importance réelle. En prenant pour hypothèse que toutes les entreprises sont soumises à un impôt sur les sociétés de 33%, le bonus fiscal n’est que de 2,6% par an sur cinq ans.
Enfin, nous aurions préféré des mesures plus larges. Car si vous regardez bien le dispositif, certains investissements ne sont pas concernés. Par exemple, ce qui est quand même dommage, les dépenses consacrées à la transition numérique en sont exclues.
Un dernier point nous interpelle. Nous espérons que les 2,5 milliards d’euros pour le financement de la mesure ne seront pas prélevés sur les 41 milliards consacrés au Pacte de responsabilité.

Concrètement alors, vous auriez souhaité quoi ?

Je vous le répète, nous n’étions pas demandeurs. Le niveau des investissements actuels est équivalent à celui de 2007, avant la crise financière. C’est le taux de marge qui est nettement inférieur. Nous aurions été favorables à une mesure plus large et plus pérenne. Nous sommes contre les changements incessants qui créent une insécurité fiscale.
Le Président du Medef, Pierre Gattaz, estime, à la différence de Manuel Valls, que le  « compte y est » s’agissant des contreparties en emplois au pacte de responsabilité…

Et il a raison. Je vous renvoie au théorème de Schmidt. Nous n’en sommes qu’à la phase « un » et pas encore à la phase « 3 » mais ça va venir. D’ailleurs, je constate que le ministre des Finances Michel Sapin s’attend à une inversion de la courbe du chômage en 2016.

Vous aussi vous estimez qu’il y a un frémissement actuellement sur la croissance ?

Oui et nous nous en réjouissons. Ce redémarrage est dû à des facteurs exogènes comme la baisse de l’euro et du coût du pétrole, ceci booste l’activité des entreprises qui exportent. Et la baisse des prix de l’essence favorise le pouvoir d’achat et donc la consommation. Ceci dit, cette reprise est très différenciée selon les secteurs. Par exemple, les travaux publics continuent de beaucoup souffrir en raison des baisses des dotations aux collectivités locales qui freinent leurs dépenses d’investissement.

Les débats s’accentuent au sein même du gouvernement autour du besoin de flexibilité du marché du travail et de réforme du contrat de travail. Estimez-vous avoir gagné la bataille des idées et des esprits ?

Bien entendu, je souhaite que ça bouge sur ce terrain. Mais ce que je regrette le plus c’est que certains, et notamment des syndicats, refusent absolument d’ouvrir le débat sur le contrat de travail à durée indéterminée, alors que nous avons 10% de chômage et que 80% des embauches se font sous contrat à durée déterminée. Le sujet du contrat de travail ne doit pas être tabou. Nous avons avancé nos idées pour sécuriser le CDI, en proposant des motifs prédéterminés de rupture. Parlons-en.

 

« Hausse spectaculaire des marges des entreprises » (INSEE)….poisson d’avril !

« Hausse spectaculaire des marges des entreprises »  (INSEE)….poisson d’avril !

 Ils ont devenus fous à l’INSEE ( à quand un organisme indépendant ?) ou plus exactement de plus en plus serviles en annonçant une  reprise spectaculaire des marges des entreprises. D’après la docile INSEE,  les marges des entreprises, qui n’ont eu de cesse de se dégrader depuis 2010 ont commencé à repartir à la hausse à la fin 2014. La bonne nouvelle pour les chefs d’entreprises est que l’Insee voit cette embellie se poursuivre, le taux de marge passerait ainsi de 29,9% (au dernier trimestre 2014) à 31,2% au premier trimestre. Dans le détail, le Crédit Impôt compétitivité emploi (CICE) contribuerait pour près de la moitié à cette hausse de 1,3%, le pacte de responsabilité jouerait pour 0,4% et la baisse des prix du pétrole pour 0,3%. Ce taux progresserait encore au deuxième trimestre pour s’élever à 31,3%. Cette hausse impressionnante ramènerait ainsi le niveau de marge des sociétés à celui de 2011. Mais il serait encore un peu en dessous de sa moyenne d’avant-crise de 32,7% sur la période 1988-2007.En faiat l’INSEE faiat l’impasse sur la baise tendancielle des prix dans le secteur manufacturier. Une baisse qui annule les effets positifs de la très petite croissance annoncée. L’INSEE prend quand même des précautions oratoires pour relativiser son optimisme un peu béat puisque  malheureusement, l’amélioration des conditions financières des entreprises ne permettrait pas à l’investissement de s’envoler. L’Insee note, en effet, que « que les enquêtes de conjoncture, notamment dans les services, indiquent que les chefs d’entreprises resteraient encore attentistes et en seraient guère enclins à accélérer franchement leur investissement ». Au final, leur évolution serait quasi-stable (+0% au premier trimestre puis +0,1% au deuxième). Pour expliquer son optimisme,  l’INSEE compte sur une hypothétique amélioration du pouvoir d’achat des ménages. Hypothétique car cette amélioration est fondée sur la baisse de l’inflation calculée sur un indice des prix obsolète en raison de la modification de la structure de consommation. D’après l’INSEE Le pouvoir d’achat des ménages s’était déjà repris en 2014, après avoir stagné en 2013. Au premier semestre 2015, il devrait continuer son ascension, en gagnant 1,6%, grâce notamment à une inflation toujours très faible. L’Insee estime, en effet, que l’évolution des prix va rester dans le rouge, avec -0,1% sur un an à juin 2015. L’effet de la chute des prix du pétrole jouerait à plein. C’est l’une des principales sources de satisfaction de la note de conjoncture: la hausse de la consommation des ménages, principal moteur de l’économie française (environ 55% du PIB) va s’accélérer. L’Insee table ainsi sur une augmentation de leurs dépenses de 0,6% puis de 0,3%. Des chiffres qui s’expliqueraient à la fois par un retour à la normale des dépenses d’énergie ainsi que par la hausse du pouvoir d’achat évoquée plus haut. Au final cependant le taux de chômage augmenterait encore, passant à 10,6% en France (DOM compris) contre 10,4% fin 2014.

 

Marges des producteurs : mise en cause de la grande distribution

Marges des producteurs :mise en cause de la grande distribution

 

Il est clair que la crise conduit à écraser prix et marges. De ce fait les producteurs souffrent surtout avec la concentration des centrales d’achat. La grande distribution elle-même a rogné se propres marges car le chiffre d’affaires n’évoluent pas. Les producteurs , eux sont surtout victime de ces appels d’offres répétés qui tirent les prix vers le bas. C’est vrai pour l’agriculture mais aussi pour l’industrie. Le PDG de la filiale française du groupe suisse Nestlé, Richard Girardot lance un cri d’alarme et se plaint de la pression des distributeurs, qui ont poussé les producteurs à réduire leurs marges, et s’interroge sur l’attitude des pouvoirs publics.  « Nous avons écrasé nos marges pour continuer d’être référencés chez les distributeurs » qui « sont revenus nous mettre la pression toute l’année », écrasant aussi leurs propres marges pour faire baisser « de 7% les prix sur les produits leaders comme le Ricoré ou Mousline [...]  Pour compenser cet effort, ils ont augmenté les prix des produits vendus sous leurs marques propres. » Ainsi, le PDG de Nestlé-France Richard Girardot, dont le groupe est l’un des premiers fournisseurs des grandes surfaces en France, a vivement dénoncé les méthodes de la grande distribution dans une interview au Figaro, lundi 30 mars. Et de renchérir : les distributeurs « refusent de signer des chartes de bonnes pratiques avec les industriels, alors que nous en signons avec les agriculteurs ». Richard Girardot rappelle que l’Autorité de la concurrence ne s’est toujours pas prononcée sur les rapprochements entre grandes enseignes telles Auchan/Système U et Casino/Intermarché, qui constituent ainsi des forces de frappe ultra-puissantes face aux acheteurs. « Cela fait sept mois que les premiers rapprochements entre centrales d’achat ont été annoncées et l’Autorité n’a toujours pas rendu sa décision sur le sujet, laissant passer la période cruciale des négociations tarifaires annuelles », insiste le PDG de Nestlé-France. Saisie en novembre du sujet par le ministre de l’Économie Emmanuel Macron et par la Commission des affaires économiques du Sénat, elle avait promis de rendre un avis « au cours du premier trimestre 2015″, qui s’achève mardi soir. « C’est stupéfiant! », s’écrie le patron de Nestlé-France, ajoutant que l’Autorité de la concurrence est « toujours prompte à prendre la parole contre les industriels ».

 

Entreprises : nouvelle baisse des marges en 2014 (INSEE)

Entreprises : nouvelle baisse des marges en 2014 (INSEE)

Finalemenet le CICE n’aura pas servi à grand-chose, ses bénéfices ont été mangés par l’absence de la demande et au total les marges des entreprises vont encore baisser en 2014. Les dépenses d’investissement des entreprises se replieraient de nouveau, pénalisées par l’atonie persistante de la demande. Elles reculeraient de 0,3% au troisième trimestre et de 0,2% au quatrième, leur repli atteignant 0,6% sur l’ensemble de l’année. Le taux de marge des entreprises ne progresserait pas en 2014, s’établissant à 29,4% après 29,8% en 2013 et 30,5% en 2012, malgré l’effet favorable du CICE, souligne par ailleurs l’Insee. La croissance des exportations serait un peu plus soutenue qu’au premier semestre, grâce notamment aux effets de la dépréciation de l’euro.  Mais la demande étrangère restera peu dynamique, prévoit l’institut de conjoncture, qui s’attend à une croissance du PIB de la zone euro de 0,2% aux troisième et quatrième trimestres tirée par l’Allemagne et l’Espagne.  Au total, la contribution du commerce extérieur à la croissance sera nulle au second semestre comme sur l’ensemble de l’année. La consommation publique progresserait quant à elle de 0,3% par trimestre d’ici fin 2014, sa croissance se maintenant en moyenne sur l’année sur le même rythme (+1,8%) que les années précédentes (+1,7% en 2012 et +1,9% en 2013). L’Insee souligne que ce scénario est entouré d’aléas qui portent notamment sur la demande des entreprises en France comme dans la zone euro.  « Si la dégradation estivale du climat des affaires s’accentue à l’automne, leur attentisme pourrait peser plus encore sur la demande intérieure », écrit l’Insee en évoquant les incertitudes liées aux différentes crises géopolitiques, notamment en Ukraine. « En revanche, si la dépréciation récente de l’euro se poursuit, les entreprises européennes pourraient revoir en hausse leurs anticipations de demande », poursuit l’institut, dont le chef du département de conjoncture a rappelé qu’une dépréciation de 10% de l’euro se traduit par 0,5 point de croissance en plus à l’horizon d’un an. « L’attitude résolue des autorités monétaires à éviter tout risque de déflation pourrait aussi inciter les entreprises à augmenter un peu plus leur niveau de dépenses », estime aussi l’Insee.

 

Baisse de l’IR « dès qu’il y aura des marges de manoeuvre » : donc à la St Glinglin

Finalement les fameuses réductions d’impôts sur le revenus ne sont peut être pas pour demain, ni pour 2015, peut-être juste avant les élections de 2017 pour attirer les gogos. Il faudrait pour cela des marges de manouvre reconnait-on à l’Elysée ;  or ces marges de manœuvre n’existent pas car le rentrées fiscales sont mauvaises, la croissance pas au rendez vous et les fumeuses  économies budgétaires encore à réaliser. Du coup les couches moyennes risquent de trinquer encore un moment.  Manuel Valls a dit qu’il ferait des annonces concernant l’impôt sur le revenu dans les prochaines semaines. Mais pas sûr qu’il baisse dès l’année prochaine, car il faut des marges de manœuvres pour financer un telle mesure. Toucher à l’impôt sur le revenu ? Bien sûr ! dès qu’on aura des marges de manœuvres, nous dit-on dans l’entourage de François Hollande.  La nuance est de taille. Car si la volonté politique est là, Manuel Valls a dit qu’il ferait des annonces concernant l’impôt sur le revenu dans les prochaines semaines, on a bien conscience aussi qu’il faut financer une telle mesure. Mais avec quel argent ? Sur les économies sur les dépenses, on ne peut guère aller plus loin. Quant à la croissance, les dernières prévisions de l’Insee ne sont guère réjouissantes.  Dans ce contexte, le gouvernement ne peut pas s’appuyer sur l’activité pour financer un coup de pouce supplémentaire aux ménages. Le dernier en date, ciblé sur les ménages les plus modestes, a été financé grâce au milliard d’euro en plus récupéré sur la régularisation des évadés fiscaux. Alors, une baisse de l’impôt sur le revenu pour les classes moyennes en 2015 ? Le coup d’après, c’est pour eux ! nous promet un proche du chef de l’Etat. Mais avant il faut trouver de nouvelles recettes, aujourd’hui inexistantes.

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