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Convention citoyenne pour le climat : une nouvelle manipulation avec un référendum!

Convention citoyenne pour le climat : une nouvelle manipulation avec un référendum!

 

 

Il se confirme que la fameuse convention citoyenne de 150 personnes tirées au sort pourrait être une belle manipulation pour faire avaler l’augmentation de la fiscalité et notamment la taxe carbone ! Pour redonner aussi du tonus à une popularité de de  Macron qui s’effrite.

Le  gouvernement a donc lancé sa   convention citoyenne sur le climat dont personne ou presque n’en parle.  Une convention citoyenne qui est composée de 150 citoyens tirés au sort bien encadrés par des experts (120!) et surtout des politiques. On voit mal ce qui pourrait sortir d’une réunion aussi composite ou évidemment on pourra facilement manipuler les participants. Cette espèce de démocratie directe est évidemment illusoire car les problèmes étudiés sont généralement complexes exigent à la fois connaissance et expérience. Or la convention citoyenne va ressembler à la discussion d’un super bistrot. Cette démarche s’inscrit dans la volonté d’écarter les corps intermédiaires et les organisations compétents sur le sujet. Le dialogue direct voulu par Macron relève tout simplement d’une méthode théocratique.

Composée de 150 citoyens tirés au sort, cette convention est chargée de “redessiner toutes les mesures concrètes d’aides aux citoyens sur la transition climatique dans le domaine des transports, de la rénovation des logements”. Le chef de l’Etat s’est engagé à ce que ses conclusions soient soumises “sans filtre”, au vote du Parlement, soit à référendum, soit à une application réglementaire directe. Mais le premier ministre a déjà prévenu : pas question de reprendre n’importe quelle proposition de la convention dont d’ailleurs presque personne ne parle tellement cette  histoire de pseudo démocratie est marginale.Ou quand l’enquête trottoir se subtutusitue à la démocratie. Avec en plus la grosse ficelle du referendum! ( pas sur les retraites, sur l’environnement!)

Convention citoyenne pour le climat : une nouvelle manipulation avec un reférendum!

Convention citoyenne pour le climat : une nouvelle manipulation avec un reférendum!

 

 

Il se confirme que la fameuse convention citoyenne de 150 personnes tirées au sort pourrait être une belle manipulation pour faire avaler l’augmentation de la fiscalité et notamment la taxe carbone ! Pour redonner aussi du tonus à une popularité de de  Macron qui s’effrite.

Le  gouvernement a donc lancé sa   convention citoyenne sur le climat dont personne ou presque n’en parle.  Une convention citoyenne qui est composée de 150 citoyens tirés au sort bien encadrés par des experts (120!) et surtout des politiques. On voit mal ce qui pourrait sortir d’une réunion aussi composite ou évidemment on pourra facilement manipuler les participants. Cette espèce de démocratie directe est évidemment illusoire car les problèmes étudiés sont généralement complexes exigent à la fois connaissance et expérience. Or la convention citoyenne va ressembler à la discussion d’un super bistrot. Cette démarche s’inscrit dans la volonté d’écarter les corps intermédiaires et les organisations compétents sur le sujet. Le dialogue direct voulu par Macron relève tout simplement d’une méthode théocratique.

Composée de 150 citoyens tirés au sort, cette convention est chargée de “redessiner toutes les mesures concrètes d’aides aux citoyens sur la transition climatique dans le domaine des transports, de la rénovation des logements”. Le chef de l’Etat s’est engagé à ce que ses conclusions soient soumises “sans filtre”, au vote du Parlement, soit à référendum, soit à une application réglementaire directe. Mais le premier ministre a déjà prévenu : pas question de reprendre n’importe quelle proposition de la convention dont d’ailleurs presque personne ne parle tellement cette  histoire de pseudo démocratie est marginale.Ou quand l’enquête trottoir se subtutusitue à la démocratie. Avec en plus la grosse ficelle du referendum! ( pas sur les retraites, sur l’environnemene=t!)

Convention citoyenne pour le climat : une nouvelle manipulation !

Convention citoyenne pour le climat : une nouvelle manipulation !

 

 

Il se confirme que la fameuse convention citoyenne de 150 personnes tirées au sort pourrait être une belle manipulation pour faire avaler l’augmentation de la fiscalité et notamment la taxe carbone !

Le  gouvernement a donc lancé sa   convention citoyenne sur le climat dont personne ou presque n’ne parle.  Une convention citoyenne qui est composée de 150 citoyens tirés au sort bien encadrés par des experts (120!) et surtout des politiques. On voit mal ce qui pourrait sortir d’une réunion aussi composite ou évidemment on pourra facilement manipuler les participants. Cette espèce de démocratie directe est évidemment illusoire car les problèmes étudiés sont généralement complexes exigent à la fois connaissance et expérience. Or la convention citoyenne va ressembler à la discussion d’un super bistrot. Cette démarche s’inscrit dans la volonté d’écarter les corps intermédiaires et les organisations compétents sur le sujet. Le dialogue direct voulu par Macron relève tout simplement d’une méthode théocratique.

Composée de 150 citoyens tirés au sort, cette convention est chargée de “redessiner toutes les mesures concrètes d’aides aux citoyens sur la transition climatique dans le domaine des transports, de la rénovation des logements”. Le chef de l’Etat s’est engagé à ce que ses conclusions soient soumises “sans filtre”, au vote du Parlement, soit à référendum, soit à une application réglementaire directe. Mais le premier ministre a déjà prévenu : pas question de reprendre n’importe quelle proposition de la convention dont d’ailleurs presque personne ne parle tellement cette  histoire de pseudo démocratie est marginale.

Convention citoyenne : grosse manipulation pour un referendum

Convention citoyenne : grosse  manipulation pour un referendum

 

Convention climat : un référendum même bidon pour obtenir 80 % de réponses positives ?

En mal dans les sondages de popularité, Macron, pourrait se résoudre à proposer un sondage bidon pour obtenir 60 à 80 % de réponses favorables à une question forcément évidente du type pour ou contre l’écologie. Avec des propositions nunuches des 150 citoyens tirés au hasard et qui découvrent la lune. La puissance de la crise sanitaire relance cette hypothèse, à la veille de la présentation d’un «nouveau chemin». La fin de la Convention climat pourrait être l’occasion, pour le chef de l’État, d’expérimenter ce type de consultation, dont la dernière en date remonte à 2005 avec la Constitution européenne. Le référendum est l’un des outils institutionnels dont dispose le président de la République, avec la démission, la dissolution de l’Assemblée, le remaniement. Pourquoi pas aussi un referendum pour ou contre la fiscalité ?

 

 

Pour répondre aux revendications écologiques fortes qui ressortiront des travaux de ces 150 citoyens tirés au sort, le président de la République étudie plusieurs pistes, dont le référendum.

Convention citoyenne pour le climat : une nouvelle manipulation !

Convention citoyenne pour le climat : une nouvelle manipulation !

 

 

Il se confirme que la fameuse convention citoyenne de 150 personnes tirées au sort pourrait être une belle manipulation pour faire avaler l’augmentation de la fiscalité et notamment la taxe carbone ! mais aussi à Macron de retrouver un peu de crédit à travers un référendum bidon du type pour ou contre l’écologie !  Le  gouvernement a donc lancé sa   convention citoyenne sur le climat dont personne n’a beaucoup parlé en raison de la crise sanitaire mais aussi de cet espèce d’auberge espagnole où toutes les idées plus ou moins pertinentes côtoient les idées les plus tordus. Un seul exemple l’alimentation de vitesse à 110 km/h sur les autoroutes. Bref l’obligation quasi obligatoire pour les usagers de l’autoroute de racheter une 2CV chevaux d’occasion Une convention citoyenne qui est composée de 150 citoyens tirés au sort bien encadrés par des experts et surtout des politiques. On voit mal ce qui pourrait sortir d’une réunion aussi composite ou évidemment on pourra facilement manipuler les participants. Cette espèce de démocratie directe est évidemment illusoire car les problèmes étudiés sont généralement complexes exigent à la fois connaissance et expérience. Or la convention citoyenne va ressembler à la discussion d’un super bistrot. Cette démarche s’inscrit dans la volonté d’écarter les corps intermédiaires et les organisations compétents sur le sujet. Le dialogue direct voulu par Macron relève tout simplement d’une méthode théocratique.

Composée de 150 citoyens tirés au sort, cette convention est chargée de “redessiner toutes les mesures concrètes d’aides aux citoyens sur la transition climatique dans le domaine des transports, de la rénovation des logements”. Le chef de l’Etat s’est engagé à ce que ses conclusions soient soumises “sans filtre”, au vote du Parlement, soit à référendum, soit à une application réglementaire directe. Mais le premier ministre a déjà prévenu : pas question de reprendre n’importe quelle proposition de la convention dont d’ailleurs presque personne ne parle tellement cette  histoire de pseudo démocratie est marginale. Pour Macon c’est une sorte d’ingénierie politique, celle de la substitution d’une sorte de démocratie du trottoir pour se débarrasser de toutes les organisations intermédiaires composées d’experts de militants et de spécialistes qui l’empêchent de mettre en œuvre ses idées de plus en plus farfelues.

 

Convention citoyenne pour le climat : une nouvelle manipulation !

Convention citoyenne pour le climat : une nouvelle manipulation !

 

 

Il se confirme que la fameuse convention citoyenne de 150 personnes tirées au sort pourrait être une belle manipulation pour faire avaler l’augmentation de la fiscalité et notamment la taxe carbone !

Le  gouvernement a donc lancé sa   convention citoyenne sur le climat dont personne ou presque ne parle.  Une convention citoyenne qui est composée de 150 citoyens tirés au sort bien encadrés par des experts et surtout des politiques. On voit mal ce qui pourrait sortir d’une réunion aussi composite ou évidemment on pourra facilement manipuler les participants. Cette espèce de démocratie directe est évidemment illusoire car les problèmes étudiés sont généralement complexes exigent à la fois connaissance et expérience. Or la convention citoyenne va ressembler à la discussion d’un super bistrot. Cette démarche s’inscrit dans la volonté d’écarter les corps intermédiaires et les organisations compétents sur le sujet. Le dialogue direct voulu par Macron relève tout simplement d’une méthode théocratique.

Composée de 150 citoyens tirés au sort, cette convention est chargée de “redessiner toutes les mesures concrètes d’aides aux citoyens sur la transition climatique dans le domaine des transports, de la rénovation des logements”. Le chef de l’Etat s’est engagé à ce que ses conclusions soient soumises “sans filtre”, au vote du Parlement, soit à référendum, soit à une application réglementaire directe. Mais le premier ministre a déjà prévenu : pas question de reprendre n’importe quelle proposition de la convention dont d’ailleurs presque personne ne parle tellement cette  histoire de pseudo démocratie est marginale.

Une convention citoyenne sur l’avenir de la police…… ou la manipulation démocratique permanente

Une convention citoyenne sur l’avenir de la police…… ou la manipulation démocratique permanente

 

 

Christophe Castaner qui dans sa jeunesse a fréquenté de près la mafia, il  continue avec des méthodes plus que douteuses dans son activité politique. On a vu avec quel manque de professionnalisme et quelle provocation il avait géré l’ordre à l’occasion du mouvement des gilets jaunes. Une politique qui continue avec le mouvement social en cours ; Castaner  surtout en scène les violences pour discréditer  des manifestations pourtant très bien encadrées par les syndicats.

Du coup , Castaner  qui veut sans doute plaire au monarque après de grosses bavures copie le modèle démocratique de Macron. Comme pour l’environnement, il propose une convention citoyenne sur l’avenir de la police. Une initiative particulièrement démagogique qui démontre d’une part que ce gouvernement s’oriente de plus en plus vers un régime théocratique éliminant tous corps intermédiaires y compris et peut-être surtout le parlement. Cette forme de fausse  consultation constitue une arnaque démocratique intolérable surtout quand il s’agit de sujets particulièrement techniques. Sur la lancée on pourrait aussi imaginer le lancement de convention citoyenne dans tous les ministères par exemple dans la santé sur les traitements thérapeutiques, dans les sciences sur l’avenir de l’ordinateur quantique ou dans l’économie sur la croissance exogène.

Il est  Évident  que l’avis des experts être discuté voire contester mais les remplacer par des discussions de bistrot relève de l’escroquerie démocratique d’un régime de plus en plus théocratique

 

Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner ouvrira  donc lundi matin place Beauvau la conférence citoyenne dans le cadre du livre blanc de la sécurité intérieure. Un panel représentatif de 100 Français âgés de 18 à 77 ans, sélectionnés par l’institut de sondage Ifop, doit en effet, à l’issue d’une séance de présentation et d’ateliers de réflexions, faire ses propositions le 25 janvier prochain notamment sur les relations police – population ou sur la place du numérique. « Les Français savent ce qu’ils doivent au quotidien aux policiers et gendarmes. Le but de cette conférence est de dépasser les alternatives simplistes », indique le ministre qui « souhaite que cette parole ait autant de valeur que celle des experts ».…

Sondages grève 5 décembre: une manipulation des chiffres ?

Sondages  grève  5 décembre: une manipulation des chiffres ?

 

La guerre des sondages pour influencer l’opinion se confirme surtout de la part des financiers propriétaires des médias soutenant  de Macron. Curieux cette  soudaine baisse du soutien des Français au moment du 5 décembre annoncé par BFM ( chaîne champion du sensationnalisme qui approuve clairement le gouvernement). D’après BFM , 53% des Français interrogés approuvent la mobilisation contre la réforme des retraites. Un chiffre qui, bien que majoritaire, serait  en baisse de 11 points en comparaison avec une étude de datant début novembre. Le JDD ( journal inconditionnel de Macron)  fait mieux , il titre que les Français sont divisés sur la grève seulement approuvée par 46% !  le sondage le plus diffusé affiche un soutien de 66% à la grève.

 

Selon un sondage ViaVoice pour Libération, 62 % des Français soutiennent les grèves annoncées pour le 5 décembre prochain. D’après ce dernier sondage , les popularités du chef de l’État et du Premier ministre Édouard Philippe reculent en novembre : 57 % des Français ont une « mauvaise opinion » d’Emmanuel Macron (+3 points), contre 31 % une « bonne » (-1 point), et 54 % ont une « mauvaise opinion » d’Édouard Philippe (+3 points), contre 32 % une « bonne » (-2 points). Les personnes interrogées sont mécontentes de la politique économique et sociale de l’exécutif, qui doit en « changer » selon une large majorité de Français (75 %, dont 35 % « changer totalement » et 40 % « en grande partie »). 18 % sont d’un avis contraire.

Ils sont aussi 64 % à juger qu’Emmanuel Macron « comprend mal » les « difficultés sociales » (31 % « comprend bien »), et 59 % à ne pas lui faire confiance pour y répondre (29 % lui font confiance). Idem pour Édouard Philippe (56 % « pas confiance », 30 % « confiance »).

Les personnes interrogées pensent en effet à une écrasante majorité (89 %) que la France traverse « actuellement une crise sociale », mettant au premier rang des « principales difficultés » rencontrées au quotidien « le coût de la vie » (69 %), devant « les inégalités sociales » et « le manque de moyens et de personnels dans certains services publics » (51 % chacun), mais aussi « le financement des retraites (futures ou actuelles) » (49 %).

 

Grève 5 décembre: une manipulation des sondages ?

Grève  5 décembre: une manipulation des sondages ?

 

Curieux cette  soudaine baisse du soutien des Français au moment du 5 décembre annoncé par BFM ( chaine champion du sensationnalisme qui soutient clairement le gouvernement). D’après BFM, 53% des Français interrogés approuvent la mobilisation contre la réforme des retraites. Un chiffre qui, bien que majoritaire, serait  en baisse de 11 points en comparaison avec une étude de datant début novembre.

Or selon un sondage de l’institut Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et France Info, , 66% soutiennent le mouvement du 5 décembre..

Selon un autre  sondage ViaVoice pour Libération, 62 % des Français soutiennent les grèves annoncées pour le 5 décembre prochain.

D’après ce dernier sondage , les popularités du chef de l’État et du Premier ministre Édouard Philippe reculent en novembre : 57 % des Français ont une « mauvaise opinion » d’Emmanuel Macron (+3 points), contre 31 % une « bonne » (-1 point), et 54 % ont une « mauvaise opinion » d’Édouard Philippe (+3 points), contre 32 % une « bonne » (-2 points). Les personnes interrogées sont mécontentes de la politique économique et sociale de l’exécutif, qui doit en « changer » selon une large majorité de Français (75 %, dont 35 % « changer totalement » et 40 % « en grande partie »). 18 % sont d’un avis contraire.

Ils sont aussi 64 % à juger qu’Emmanuel Macron « comprend mal » les « difficultés sociales » (31 % « comprend bien »), et 59 % à ne pas lui faire confiance pour y répondre (29 % lui font confiance). Idem pour Édouard Philippe (56 % « pas confiance », 30 % « confiance »).

Les personnes interrogées pensent en effet à une écrasante majorité (89 %) que la France traverse « actuellement une crise sociale », mettant au premier rang des « principales difficultés » rencontrées au quotidien « le coût de la vie » (69 %), devant « les inégalités sociales » et « le manque de moyens et de personnels dans certains services publics » (51 % chacun), mais aussi « le financement des retraites (futures ou actuelles) » (49 %).

Sondage 5 décembre: une manipulation des chiffres ?

Sondage 5 décembre: une manipulation des chiffres ?

 

Curieux cette  soudaine baisse du soutien des Français au moment du 5 décembre annoncé par BFM ( chaine champion du sensationnalisme qui soutient clairement le gouvernement). D’après BFM , 53% des Français interrogés approuvent la mobilisation contre la réforme des retraites. Un chiffre qui, bien que majoritaire, serait  en baisse de 11 points en comparaison avec une étude de datant début novembre.

Or  Selon un sondage ViaVoice pour Libération, 62 % des Français soutiennent les grèves annoncées pour le 5 décembre prochain.

D’après ce dernier sondage , les popularités du chef de l’État et du Premier ministre Édouard Philippe reculent en novembre : 57 % des Français ont une « mauvaise opinion » d’Emmanuel Macron (+3 points), contre 31 % une « bonne » (-1 point), et 54 % ont une « mauvaise opinion » d’Édouard Philippe (+3 points), contre 32 % une « bonne » (-2 points). Les personnes interrogées sont mécontentes de la politique économique et sociale de l’exécutif, qui doit en « changer » selon une large majorité de Français (75 %, dont 35 % « changer totalement » et 40 % « en grande partie »). 18 % sont d’un avis contraire.

Ils sont aussi 64 % à juger qu’Emmanuel Macron « comprend mal » les « difficultés sociales » (31 % « comprend bien »), et 59 % à ne pas lui faire confiance pour y répondre (29 % lui font confiance). Idem pour Édouard Philippe (56 % « pas confiance », 30 % « confiance »).

Les personnes interrogées pensent en effet à une écrasante majorité (89 %) que la France traverse « actuellement une crise sociale », mettant au premier rang des « principales difficultés » rencontrées au quotidien « le coût de la vie » (69 %), devant « les inégalités sociales » et « le manque de moyens et de personnels dans certains services publics » (51 % chacun), mais aussi « le financement des retraites (futures ou actuelles) » (49 %).

FDJ: la manipulation du gouvernement qui désigne les administrateurs avant la privatisation.

FDJ: la manipulation du gouvernement qui désigne les administrateurs avant la privatisation.

 

Une double manipulation, celle qui  veut faire croire que le rendement sera plus important avec la privatisation que les énormes retours financiers (3.5 milliards par an ). Ensuite le fait de designer des administrateurs avant même la privatisation.

 

La France manifeste une curieuse application du capitalisme, ainsi a-t-elle désigné les futurs administrateurs de la  FDJ avant même la privatisation. Le signe sans doute qu’il s’agit d’une privatisation sous la houlette étatique alors  que le ministre de l’économie avait annoncé une occasion de démocratiser le capital. Les actionnaires de l’entreprise ont désigné ce lundi de nouveaux membres du conseil d’administration, qui devront épauler la PDG Stéphane Pallez une fois la privatisation achevée. Parmi eux figurent l’ancien patron de Pernod Ricard ou la directrice générale adjointe d’Orange. Bref dans le capitalisme français on s’arrange entre amis pour se partager les postes et les jetons de présence des conseils d’administration. De fait,  la plupart des administrateurs se tiennent  par la barbichette et les conseils d’administration ne sont le plus souvent que des chambres d’enregistrement des décisions des directions générales. Il faut d’ailleurs avoir été administrateur de société pour se rendre compte à quel point ces conseils d’administration sont souvent formels. En deux heures tout au plus, parfois beaucoup moins, des décisions très stratégiques sont entérinées avec un débat bâclé. Évidemment chaque administrateur espère en retour que des collègues présents dans sa propre société se montreront également bienveillants. Le plus grave évidemment ,c’est que les assemblées générales n’ont également que très peu de pouvoirs sauf situation exceptionnelle. Elles aussi sont là pour entériner bilan et orientation d’un conseil d’administration lui-même  sous la tutelle de direction générale. Bref le capitalisme à la française présente des structures de pouvoir inversées.

Convention citoyenne pour le climat : une belle manipulation

Convention citoyenne pour le climat : une belle manipulation

 

 

Il se confirme que la fameuse convention citoyenne de 150 personnes tirées au sort pourrait être une belle manipulation pour faire avaler l’augmentation de la fiscalité et notamment la taxe carbone !

Le  gouvernement vient de lancer  son projet de convention citoyenne sur le climat. Une convention citoyenne qui est composée de 150 citoyens tirés au sort bien encadrés par des experts et surtout des politiques. On voit mal ce qui pourrait sortir d’une réunion aussi composite ou évidemment on pourra facilement manipuler les participants. Cette espèce de démocratie directe est évidemment illusoire car les problèmes étudiés sont généralement complexes exigent à la fois connaissance et expérience. Or la convention citoyenne va ressembler à la discussion d’un super bistrot. Cette démarche s’inscrit dans la volonté d’écarter les corps intermédiaires et les organisations compétents sur le sujet. Le dialogue direct voulu par Macron relève tout simplement d’une méthode théocratique.

Composée de 150 citoyens tirés au sort, cette convention sera chargée de “redessiner toutes les mesures concrètes d’aides aux citoyens sur la transition climatique dans le domaine des transports, de la rénovation des logements”. Le chef de l’Etat s’est engagé à ce que ses conclusions soient soumises “sans filtre”, au vote du Parlement, soit à référendum, soit à une application réglementaire directe. Mais le premier ministre a déjà prévenu : pas question de reprendre n’importe quelle proposition de la convention dont d’ailleurs presque personne ne parle tellement ceste histoire de pseudo démocratie est marginale.

La manipulation de la pensée par les algorithmes (l’économiste Pierre Dockès)

La manipulation de la pensée par les algorithmes (l’économiste Pierre Dockès)

 

Pierre Dockès, économiste,  Professeur honoraire d’économie à l’université Lyon-2 dénonce la manipulation de la  pensée  par les algorithmes utilisés par des grandes entreprises et des Etats.

 

 

(Tribune le Monde, extraits).

 

«  Les grandes vagues de changement technique ont toutes suscité des réactions de rejet pouvant aller jusqu’à la révolte. Le Moyen Age rejetait les innovations estimées maléfiques. La révolution industrielle provoqua les révoltes luddistes [luddisme : mouvement opposé au machinisme au début de la révolution industrielle]. L’avènement de la grande industrie faisait de l’usine un « bagne mitigé » et de la société une « mégamachine ».

Pourtant la technologie n’est pas, en elle-même, responsable des maux dont on l’accable. Les luddistes s’en prenaient aux machines, mais leurs conséquences négatives s’expliquaient par leur mise en œuvre sous des rapports sociaux spécifiques. Les techniques ne sont cependant pas « innocentes » puisqu’elles ont été configurées dans un certain schéma social.

Il en va de même aujourd’hui : l’être humain est menacé d’une expropriation majeure de ses « capabilités » (pour reprendre les termes de l’économiste indien Amartya Sen, prix Nobel d’économie 1998), ses libertés substantielles. Pour la philosophe Simone Weil (1909-1943), « la société la moins mauvaise est celle où le commun des hommes a les plus grandes possibilités de contrôle sur l’ensemble de la vie collective et possède le plus d’indépendance » (Réflexions sur les causes de la liberté et de l’oppression sociale, 1934, Simone Weil, Gallimard, 1999). Elle valorise ainsi la vie rude du pêcheur ou celle de l’artisan médiéval car ce sont des vies « d’homme libre ». C’est sous cet angle de l’aliénation qu’il faut juger la révolution numérique, et pas seulement comme une énième révolution industrielle.

Manipulation des comportements

Aux deux processus historiques majeurs reconnus par l’économiste Max Weber (1864-1920) – la formation du capital par l’expropriation des petits producteurs autonomes de leurs moyens de production (repris de Marx), et la formation de l’Etat comme détenteur du monopole de la violence légitime (dans Politik als Beruf, 1919) – s’ajoute aujourd’hui une troisième phase appuyée sur les vagues précédentes.

Cette aliénation rencontre et forge nos désirs, pour mieux les conformer aux intérêts dominants

Nos données privées captées, agrégées par le croisement des dossiers et revendues, permettent la manipulation des comportements, une publicité et une propagande ciblées. Les smartphones, les objets connectés (que la 5G va permettre de centupler) sont autant d’espions. Lessafe cities capables de suivre précisément les déplacements de chacun et de repérer le moindre comportement « anormal » se multiplient. La monnaie privatisée va permettre une mainmise approfondie sur nos données vitales….. »

La manipulation des algorithmes de Facebook pour influencer l’opinion

La manipulation des algorithmes de Facebook pour influencer l’opinion

Jennifer Grygiel, Professeure en information-communication à l’Université de Syracuse , décrypte les manipulations des algorithmes de Facebook pour orienter l’information.

« L’algorithme du fil d’actualités de Facebook détermine ce que les utilisateurs voient sur la plateforme – des memes amusants aux commentaires d’amis. La société met régulièrement à jour cet algorithme, ce qui peut considérablement modifier les informations consommées.

À l’approche des élections de 2020, l’opinion publique craint qu’il n’y ait de nouveau une « ingérence de la Russie», à l’instar de l’élection présidentielle de 2016. Mais ce qui n’attire pas assez l’attention, c’est le rôle que jouent les modifications de l’algorithme de Facebook, intentionnellement ou non, dans ce genre d’ingérence.

Un contrepoint essentiel à la campagne de désinformation en Russie a été le journalisme factuel de sources fiables - qui a touché nombre de leurs lecteurs sur Facebook et d’autres plateformes de médias sociaux. En tant que chercheur et enseignant en médias sociaux, je constate que les modifications apportées à l’algorithme du fil d’actualités de Facebook ont ​​supprimé l’accès des utilisateurs à un journalisme crédible dans la perspective de l’élection de Donald Trump.

Les acteurs politiques savent que Facebook joue un rôle de gatekeeper de l’accès à l’information de plus de 200 millions d’Américains et de deux milliards d’utilisateurs dans le monde. Les actions et les abus perpétrés sur les plateformes ont suscité beaucoup d’inquiétude et de débats publics, notamment sur la quantité de désinformation et de propagande que les Américains ont vue avant les élections. On n’a pas suffisamment parlé de l’effet des changements algorithmiques de Facebook sur l’accès aux informations et la démocratie.

Changer le système

À la mi-2015, Facebook a introduit un changement d’algorithme majeur qui a favorisé les contenus partagés par les amis des utilisateurs plutôt que ceux des médias et des journalistes. Facebook a expliqué que ce changement avait pour vocation d’assurer aux utilisateurs de ne pas manquer les histoires de leurs amis. Mais les données ont montré que l’un des effets de ce changement a été de réduire le nombre d’interactions entre les utilisateurs de Facebook et les médias crédibles.

Quelques mois avant les élections de 2016, un changement d’algorithme encore plus important visant les posts d’amis et des membres de la famille a eu un deuxième impact négatif sur le trafic des éditeurs. Un grand nombre d’éditeurs de presse ont constaté que leur contenu était nettement moins visible pour les utilisateurs de Facebook.

 

Dans mes recherches, je me suis concentrée sur l’engagement sur Facebook auprès des principaux médias lors de l’élection de 2016. Mes conclusions confortent celles des autres : l’algorithme de Facebook a fortement réfréné l’engagement du public auprès de ces éditeurs.

Les données de CrowdTangle, une société de veille des médias sociaux, montrent que le trafic sur Facebook a sensiblement diminué chez CNN, ABC, NBC, CBS, Fox News, le New York Times et le Washington Post après que la société a mis à jour ses algorithmes pour favoriser les amis et la famille en juin 2016.

Cela prouve que l’algorithme a fonctionné conformément à la manière dont il avait été conçu, mais je crains que ce ne soit pas le cas pour les grands éditeurs américains. L’intérêt des électeurs pour l’élection présidentielle était plus élevé en 2016 que dans les deux décennies précédentes et la désinformation était généralisée. Les changements apportés par Facebook ont ​​rendu plus difficile la communication des informations crédibles liées à l’élection des principaux organes de presse reflétant l’ensemble du spectre politique.

Facebook était au courant des problèmes de son algorithme avant même la tenue des élections. Un des ingénieurs de Facebook a signalé ces effets potentiels des modifications de l’algorithme de Facebook en juillet 2015. Trois mois plus tard, le mentor de Mark Zuckerberg, Roger McNamee, tentait également d’alerter Mark Zuckerberg et les dirigeants de Facebook que la plateforme était utilisée pour manipuler des informations concernant les élections.

Juste après les élections, les recherches du journaliste de BuzzFeed Craig Silverman ont montré que les fausses informations électorales avaient sur performé par rapport aux « vraies informations ». Fin 2018, une déclaration officielle de Facebook révélait des problèmes quant à la manière dont son algorithme récompensait un «contenu limite» sensationnel et provocateur, comme beaucoup d’informations hyper-partisanes qui émergeaient avant les élections.

Des recherches plus récentes menées par le Shorenstein Center de Harvard ont montré que le trafic de Facebook a continué de diminuer de manière significative pour les éditeurs après le changement d’algorithme de Facebook en janvier 2018.

 

À ce jour, les recherches sur le fonctionnement de l’algorithme de Facebook ont ​​été limitées par le manque d’accès à son fonctionnement interne exclusif. Il ne suffit pas d’enquêter sur les effets des modifications apportées au fil d’actualités de Facebook. Je pense qu’il est important de comprendre pourquoi cela s’est passé et d’examiner plus directement les décisions commerciales de Facebook et leur incidence sur la démocratie.

Un aperçu récent des processus internes de l’entreprise montre que Facebook commence à comprendre l’étendue de son pouvoir. En juillet 2019, Bloomberg News a révélé que la société avait déployé des logiciels sur sa propre plateforme afin de rechercher des messages décrivant Facebook lui-même de manière potentiellement trompeuse, réduisant ainsi leur visibilité afin de préserver la réputation de la société.

Certains juristes internationaux ont commencé à demander des lois pour protéger les démocraties contre la possibilité que la manipulation algorithmique puisse générer des victoires électorales. Il n’existe aucune preuve que les changements de Facebook avaient des intentions politiques, mais il n’est pas difficile d’imaginer que la société pourrait modifier ses algorithmes à l’avenir si elle le souhaitait.

Pour se prémunir contre ce risque, de nouvelles lois pourraient interdire toute modification de l’algorithme au cours des périodes précédant les élections. Dans le secteur financier, par exemple, des « périodes de calme » précédant les annonces importantes d’entreprises visent à empêcher les efforts de marketing et de relations publiques d’influencer artificiellement le prix des actions.

Des protections similaires pour les algorithmes contre les manipulations des entreprises pourraient aider à s’assurer que les dirigeants de Facebook politiquement actifs et à la recherche de pouvoir- ou de toute autre société ayant un contrôle important sur l’accès des utilisateurs à l’information – ne peuvent pas utiliser leurs systèmes pour façonner l’opinion publique ou le comportement de vote.

 

Billet originellement publié en anglais sur The Conversation et republié sur Méta-Media avec autorisation. Version également disponible en français sur The Conversation.

 

 

 

La manipulation des algorithmes de Facebook pour influencer l’opinion

Jennifer Grygiel, Professeure en information-communication à l’Université de Syracuse , décrypte les manipulations des algorithmes de Facebook pour orienter l’information.

« L’algorithme du fil d’actualités de Facebook détermine ce que les utilisateurs voient sur la plateforme – des memes amusants aux commentaires d’amis. La société met régulièrement à jour cet algorithme, ce qui peut considérablement modifier les informations consommées.

À l’approche des élections de 2020, l’opinion publique craint qu’il n’y ait de nouveau une « ingérence de la Russie», à l’instar de l’élection présidentielle de 2016. Mais ce qui n’attire pas assez l’attention, c’est le rôle que jouent les modifications de l’algorithme de Facebook, intentionnellement ou non, dans ce genre d’ingérence.

Un contrepoint essentiel à la campagne de désinformation en Russie a été le journalisme factuel de sources fiables - qui a touché nombre de leurs lecteurs sur Facebook et d’autres plateformes de médias sociaux. En tant que chercheur et enseignant en médias sociaux, je constate que les modifications apportées à l’algorithme du fil d’actualités de Facebook ont ​​supprimé l’accès des utilisateurs à un journalisme crédible dans la perspective de l’élection de Donald Trump.

Les acteurs politiques savent que Facebook joue un rôle de gatekeeper de l’accès à l’information de plus de 200 millions d’Américains et de deux milliards d’utilisateurs dans le monde. Les actions et les abus perpétrés sur les plateformes ont suscité beaucoup d’inquiétude et de débats publics, notamment sur la quantité de désinformation et de propagande que les Américains ont vue avant les élections. On n’a pas suffisamment parlé de l’effet des changements algorithmiques de Facebook sur l’accès aux informations et la démocratie.

Changer le système

À la mi-2015, Facebook a introduit un changement d’algorithme majeur qui a favorisé les contenus partagés par les amis des utilisateurs plutôt que ceux des médias et des journalistes. Facebook a expliqué que ce changement avait pour vocation d’assurer aux utilisateurs de ne pas manquer les histoires de leurs amis. Mais les données ont montré que l’un des effets de ce changement a été de réduire le nombre d’interactions entre les utilisateurs de Facebook et les médias crédibles.

Quelques mois avant les élections de 2016, un changement d’algorithme encore plus important visant les posts d’amis et des membres de la famille a eu un deuxième impact négatif sur le trafic des éditeurs. Un grand nombre d’éditeurs de presse ont constaté que leur contenu était nettement moins visible pour les utilisateurs de Facebook.

 

Dans mes recherches, je me suis concentrée sur l’engagement sur Facebook auprès des principaux médias lors de l’élection de 2016. Mes conclusions confortent celles des autres : l’algorithme de Facebook a fortement réfréné l’engagement du public auprès de ces éditeurs.

Les données de CrowdTangle, une société de veille des médias sociaux, montrent que le trafic sur Facebook a sensiblement diminué chez CNN, ABC, NBC, CBS, Fox News, le New York Times et le Washington Post après que la société a mis à jour ses algorithmes pour favoriser les amis et la famille en juin 2016.

Cela prouve que l’algorithme a fonctionné conformément à la manière dont il avait été conçu, mais je crains que ce ne soit pas le cas pour les grands éditeurs américains. L’intérêt des électeurs pour l’élection présidentielle était plus élevé en 2016 que dans les deux décennies précédentes et la désinformation était généralisée. Les changements apportés par Facebook ont ​​rendu plus difficile la communication des informations crédibles liées à l’élection des principaux organes de presse reflétant l’ensemble du spectre politique.

Facebook était au courant des problèmes de son algorithme avant même la tenue des élections. Un des ingénieurs de Facebook a signalé ces effets potentiels des modifications de l’algorithme de Facebook en juillet 2015. Trois mois plus tard, le mentor de Mark Zuckerberg, Roger McNamee, tentait également d’alerter Mark Zuckerberg et les dirigeants de Facebook que la plateforme était utilisée pour manipuler des informations concernant les élections.

Juste après les élections, les recherches du journaliste de BuzzFeed Craig Silverman ont montré que les fausses informations électorales avaient sur performé par rapport aux « vraies informations ». Fin 2018, une déclaration officielle de Facebook révélait des problèmes quant à la manière dont son algorithme récompensait un «contenu limite» sensationnel et provocateur, comme beaucoup d’informations hyper-partisanes qui émergeaient avant les élections.

Des recherches plus récentes menées par le Shorenstein Center de Harvard ont montré que le trafic de Facebook a continué de diminuer de manière significative pour les éditeurs après le changement d’algorithme de Facebook en janvier 2018.

 

À ce jour, les recherches sur le fonctionnement de l’algorithme de Facebook ont ​​été limitées par le manque d’accès à son fonctionnement interne exclusif. Il ne suffit pas d’enquêter sur les effets des modifications apportées au fil d’actualités de Facebook. Je pense qu’il est important de comprendre pourquoi cela s’est passé et d’examiner plus directement les décisions commerciales de Facebook et leur incidence sur la démocratie.

Un aperçu récent des processus internes de l’entreprise montre que Facebook commence à comprendre l’étendue de son pouvoir. En juillet 2019, Bloomberg News a révélé que la société avait déployé des logiciels sur sa propre plateforme afin de rechercher des messages décrivant Facebook lui-même de manière potentiellement trompeuse, réduisant ainsi leur visibilité afin de préserver la réputation de la société.

Certains juristes internationaux ont commencé à demander des lois pour protéger les démocraties contre la possibilité que la manipulation algorithmique puisse générer des victoires électorales. Il n’existe aucune preuve que les changements de Facebook avaient des intentions politiques, mais il n’est pas difficile d’imaginer que la société pourrait modifier ses algorithmes à l’avenir si elle le souhaitait.

Pour se prémunir contre ce risque, de nouvelles lois pourraient interdire toute modification de l’algorithme au cours des périodes précédant les élections. Dans le secteur financier, par exemple, des « périodes de calme » précédant les annonces importantes d’entreprises visent à empêcher les efforts de marketing et de relations publiques d’influencer artificiellement le prix des actions.

Des protections similaires pour les algorithmes contre les manipulations des entreprises pourraient aider à s’assurer que les dirigeants de Facebook politiquement actifs et à la recherche de pouvoir- ou de toute autre société ayant un contrôle important sur l’accès des utilisateurs à l’information – ne peuvent pas utiliser leurs systèmes pour façonner l’opinion publique ou le comportement de vote.

 

Billet originellement publié en anglais sur The Conversation et republié sur Méta-Media avec autorisation. Version également disponible en français sur The Conversation.

 

 

 

L’affaire Carlos Ghosn : une manipulation du patron de Nissan

L’affaire Carlos Ghosn : une manipulation du patron de Nissan

 

La presse révèle aujourd’hui ce dont on pouvait se douter à savoir que l’arrestation de Carlos Ghosn visait surtout à empêcher l’intégration totale de Nissan dans le groupe Renault. Certes comme on l’a souvent répété ici le patron de Renault n’est pas sans reproche. Comme beaucoup de patrons, il a un peu confondu son portefeuille avec la caisse de son groupe. Il a sollicité tous les moyens pour augmenter ses revenus et ses rémunérations accessoires. Une attitude qui a d’ailleurs créé un conflit entre le pouvoir politique et l’intéressé. Observons toutefois que Carlos Ghosn a aussi été sollicité par Ford qui lui proposait le double de la rémunération de Renault. Sans doute peut-on considérer à juste titre ces revenus comme tout à fait excessifs et insupportables mais c’est le lot dans la plupart des pays. Carlos Ghosn est loin d’être le seul responsable de cette situation qui est surtout liée au fait  que les patrons d’entreprises souvent plus proches des intérêts des actionnaires de leurs salariés voir de leur entreprise. Lors d’une rencontre avec  un patron de Renault,  le directeur général de Nissan a avoué qu’il avait bien mis en place une machination en transmettant des preuves contre son propre patron au gouvernement japonais afin  d’empêcher l’absorption de Nissan (actuellement Renault est seulement majoritaire dans le capital de Nissan) dans le groupe Renault. Dommage que l’État français ait  lâché lamentablement Carlos Ghosn en raison des différents déjà évoqués. Carlos Ghosn et Renault ne méritaient pas une telle humiliation. Faut-il rappeler que Carlos Ghosn a d’abord redressé Renault puis Nissan enfin constitué le premier groupe constructeur d’automobiles. Pour le moins dans cette affaire le gouvernement français a fait preuve d’une grande

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