Archive pour le Tag 'Manifestations'

Manifestations contre Trump aux États-Unis

Manifestations contre Trump aux États-Unis

Passé le seuil de la sidération du fait des mesures extravagantes du président, les Américains commencent à sortir dans la rue et à manifester contre la politique monarchique de TRUMP et de sa bande. C’est aussi le réveil au sein même des démocrates. Il faut dire que jusque-là le président américain n’a aucune victoire à afficher dans aucun domaine. Pire ,il prépare une crise économique dans le prix sera payé par les Américains avec des conséquences mondiales.

La mobilisation était organisée par un groupement baptisé 50501, un chiffre correspondant à 50 manifestations dans les 50 États du pays et aboutissant à un mouvement unique d’opposition au milliardaire républicain. Le mouvement constitue «une réponse décentralisée rapide aux actes anti-démocratiques et illégaux de l’administration Trump et de ses alliés ploutocrates», explique-t-il sur son site internet.

Selon cette organisation, quelque 400 manifestations étaient prévues dans la journée et 50501 a appelé des millions de personnes à descendre dans la rue. Les chiffres réels sont difficiles à obtenir, de nombreux services de police se refusant à fournir des estimations.

État de droit : très faible participation aux manifestations gauchisantes

État de droit : très faible participation aux manifestations gauchisantes

Ce sont surtout des organisations très marquées à gauche qui ont appelé le 12 avril en faveur de la défense de l’État de droit. En fait une manifestation surtout anti rassemblement national.

En dépit de l’appel d’une quarantaine d’organisations dans la CGT la participation a été particulièrement faible un peu partout en France à tel point que les grands médias n’y consacrent souvent pas une ligne.

De ce point de vue les différentes manifestations sur ce thème auront reçu peu de soutien à droite comme à gauche en raison de la confusion du thème mais aussi des préoccupations des français sur bien d’autres sujets davantage prioritaires.

En réponse aux attaques lancées contre la justice – ayant condamné plusieurs reponsables du RN – associations, syndicats et ONG avaient lancé un appel à la mobilisation dans toute la France, ce samedi 12 avril.

Les rassemblements prévus, ce samedi 12 avril, dans plusieurs villes de France pour défendre « la démocratie » et l’ »État de droit » n’ont que faiblement mobilisé, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Après les attaques contre la justice ayant suivi la condamnation de plusieurs responsables du RN, au moins une quarantaine de manifestations étaient organisées à l’appel de plusieurs syndicats et associations.

À Paris, seulement plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées à République vers 17 heures, a constaté une journaliste de l’AFP.

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Les manifestants brandissaient des pancartes « touche pas à mon état de droit », « démocratie menacée, réagissons », ou « menacer l’état de droit, c’est menacer la démocratie ».

Parmi ces organisations, SOS Racisme, France Terre d’asile, la Ligue des droits de l’Homme, la Cimade, SOS Homophobie, Oxfam, Greenpeace ou encore la CGT et Solidaires.

Si les autres grandes centrales syndicales ne se sont pas jointes à l’appel (CFDT, FO, CFE-CGC, CFTC ou Unsa), les différentes formations de gauche ont, elles, répondu présentes.

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation très moyenne

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation très moyenne

Trois manifestations concurrentes auront lieu dimanche celle du rassemblement national pour protester contre les décisions de justice qui visent pratiquement à interdire à Marine Le Pen de se présenter aux élections présidentielles de 2027. L’autre en réplique en quelque sorte, celle de l’extrême gauche notamment des Insoumis et des Ecolos précisément contre l’extrême droite. Il y aura aussi le rassemblement de » Renaissance » prévue depuis longtemps et qui va se retrouve marginalisée entre les deux extrêmes

Si ces manifestations entrent dans le cadre normal de la démocratie, leur ampleur n’a pas à la hauteur de ce qu’espèrent leurs organisateurs. On pourrait même sans doute admettre que les participations ont été relativement faibles au regard des troupes que la rue rassemble assez régulièrement en France .

Si le trouble est certain du côté de militants du rassemblement national après la décision de justice négative concernant Marine Le Pen, il en va différemment de l’opinion qui ne s’est pas trop offusquée de la décision judiciaire brutale en première instance.

De la même manière et presque par résonance, il n’est pas certain que l’opinion publique se passionne pour manifester son opposition à l’extrême droite dans la rue.

D’autres sujets viennent sans doute en priorité chez les Français comme la question du pouvoir d’achat, de la sécurité, de l’Ukraine et des retraites.

La manifestation place de la République de l’extrême gauche se veut une réplique au «meeting de soutien à Marine Le Pen» organisé par le RN à partir de 15H00 de l’autre côté de la Seine, place Vauban, derrière les Invalides.

Enfin la manifestation de  » Renaissance » vise à relancer ce parti et en particulier la candidature de Gabriel Attal aux présidentielles

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise

Deux manifestations concurrentes auront lieu dimanche celle du rassemblement national pour protester contre les décisions de justice qui visent pratiquement à interdire à Marine Le Pen de se présenter aux élections présidentielles de 2027. L’autre en réplique en quelque sorte, celle de l’extrême gauche notamment des Insoumis et des Ecolos précisément contre l’extrême droite.Il y aura aussi le rassemblement de » Renaissance » prévue depuis longtemps et qui va se retrouver marginalisée entre les deux extrêmes

Si ces manifestations entrent dans le cadre normal de la démocratie- à condition d’éviter- la violence- par contre il n’est pas certain que leur ampleur soit à la hauteur de ce qu’espèrent leurs organisateurs. On pourrait même sans doute enregistrer des participations relativement faibles au regard des troupes que la rue rassemble assez régulièrement en France .

Si le trouble est certain du côté de militants du rassemblement national après la décision de justice négative concernant Marine Le Pen, il en va différemment de l’opinion qui ne s’est pas trop offusquée de la décision judiciaire brutale en première instance.

De la même manière et presque par résonance, il n’est pas certain que l’opinion publique se passionne pour manifester son opposition à l’extrême droite dans la rue.

D’autres sujets viennent sans doute en priorité chez les Français comme la question du pouvoir d’achat, de la sécurité, de l’Ukraine et des retraites.

L’échec de ces manifestations pourrait être bien plus négatif qu’espéré par les organisations qui les ont inspiré.

La manifestation place de la République de l’extrême gauche se veut une réplique au «meeting de soutien à Marine Le Pen» organisé par le RN à partir de 15H00 de l’autre côté de la Seine, place Vauban, derrière les Invalides.

États-Unis : premières manifestations contre Trump et Musk

États-Unis : premières manifestations contre Trump et Musk

Des milliers d’Américains ont protesté, samedi, à travers les États-Unis, notamment à Washington, pour exprimer leur rejet de la politique de Donald Trump et des coupes dans les budgets publics menées par Elon Musk.

Donald Trump invoque la légitimité populaire pour justifier son interventionnisme tous azimuts, au nom d’une conception maximaliste des prérogatives de l’exécutif. «Donald Trump et Elon Musk pensent que ce pays leur appartient. Ils prennent tout ce sur quoi ils peuvent faire main basse et mettent le monde au défi de les arrêter», peut-on lire dans un communiqué publié sur le site d’un des mouvements organisateurs de la manifestation, Indivisible. «Samedi 5 avril, nous descendons dans la rue dans tout le pays pour résister avec un message clair: bas les pattes!», affirme-t-il.

Des manifestations similaires se déroulaient samedi à travers le monde, notamment à Berlin, Paris et Londres. Donald Trump avait promis pendant sa campagne de réduire le poids de l’État fédéral et de tailler dans les dépenses, et a chargé son allié multimilliardaire Elon Musk de mettre en œuvre ce programme. Le patron de Tesla, SpaceX et X a lancé une vaste offensive destinée à réduire drastiquement les dépenses publiques, avec des méthodes décriées notamment par l’opposition démocrate et les syndicats, qui les jugent brutales et arbitraires

Deux manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise

Deux manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise

Deux manifestations concurrentes auront lieu dimanche celle du rassemblement national pour protestef contre les décisions de justice qui visent pratiquement à interdire à Marine Le Pen de se présenter aux élections présidentielles de 2027. L’autre en réplique en quelque sorte, celle de l’extrême gauche notamment des Insoumis et des écolos précisément contre l’extrême droite.

Si ces manifestations entrent dans le cadre normal de la démocratie- à condition d’éviter- la violence- par contre il n’est pas certain que leur ampleur soit à la hauteur de ce qu’espèrent leurs organisateurs. On pourrait même sans doute enregistrer des participations relativement faibles au regard des troupes que la rue rassemble assez régulièrement en France .

Si le trouble est certain du côté de militants du rassemblement national après la décision de justice négative concernant Marine Le Pen, il en va différemment de l’opinion qui ne s’est pas trop offusquée de la décision judiciaire brutale en première instance.
De la même manière et presque par résonance, il n’est pas certain que l’opinion publique se passionne pour manifester son opposition à l’extrême droite dans la rue.

D’autres sujets viennent sans doute en priorité chez les Français comme la question du pouvoir d’achat, de la sécurité, de l’Ukraine et des retraites.

L’échec de ces manifestations pourrait être bien plus négatif qu’espéré par les organisations qui les ont inspiré.

La manifestation place de la République de l’extrême gauche se veut une réplique au «meeting de soutien à Marine Le Pen» organisé par le RN à partir de 15H00 de l’autre côté de la Seine, place Vauban, derrière les Invalides.

Société-Des manifestations violentes en cas de victoire du RN ?

Société-

Société-Des manifestations violentes en cas de victoire du RN ?

 

Invitée de France 2 mercredi matin, Marine Le Pen a jugé qu’il y aurait «probablement des manifestations dans les rues», en accusant par avance «l’extrême gauche» d’en être «responsable». À l’inverse, «si pour notre plus grand malheur» ces mêmes opposants «gagnaient les législatives, il n’y aurait pas une manifestation dans les rues», a poursuivi l’ancienne chef de file des députés RN.

Marine Le Pen n’a sans doute pas tort cette fois d’annoncer l’hypothèse de réactions violentes de la part de l’extrême gauche surtout si le RN obtient la majorité absolue. L’extrême gauche rêve depuis toujours de révolution et une victoire totale du rassemblement national serait sans doute un excellent prétexte pour semer le trouble dans le pays en tout cas dans certaines grandes zones urbaines.

Dans une interview à paraître jeudi dans Valeurs actuelles, le président du RN dit «ne pas croire» à des émeutes ou des violences s’il était porté à la tête du gouvernement. «C’est l’argumentaire utilisé par nos adversaires dans une stratégie de la peur», raille l’eurodéputé. Bardella la prévoit cependant quelques manifestations, «mouvements» qui, selon lui, «resteront sporadiques et n’auront pas un grand pouvoir de nuisance».

 

Des manifestations violentes en cas de victoire du RN

Des manifestations violentes en cas de victoire du RN

 

Invitée de France 2 mercredi matin, Marine Le Pen a jugé qu’il y aurait «probablement des manifestations dans les rues», en accusant par avance «l’extrême gauche» d’en être «responsable». À l’inverse, «si pour notre plus grand malheur» ces mêmes opposants «gagnaient les législatives, il n’y aurait pas une manifestation dans les rues», a poursuivi l’ancienne chef de file des députés RN.

Marine Le Pen n’a sans doute pas tort cette fois d’annoncer l’hypothèse de réactions violentes de la part de l’extrême gauche surtout si le RN obtient la majorité absolue. L’extrême gauche rêve depuis toujours de révolution et une victoire totale du rassemblement national serait sans doute un excellent prétexte pour semer le trouble dans le pays en tout cas dans certaines grandes zones urbaines.

Dans une interview à paraître jeudi dans Valeurs actuelles, le président du RN dit «ne pas croire» à des émeutes ou des violences s’il était porté à la tête du gouvernement. «C’est l’argumentaire utilisé par nos adversaires dans une stratégie de la peur», raille l’eurodéputé. Bardella la prévoit cependant quelques manifestations, «mouvements» qui, selon lui, «resteront sporadiques et n’auront pas un grand pouvoir de nuisance».

 

Kenya : hausse des prix et manifestations sanglantes

Kenya : hausse des prix et manifestations sanglantes

 

Au moins cinq personnes ont été tuées et 31 blessées ce mardi lors d’un mouvement de protestation antigouvernemental au Kenya qui a viré au chaos dans la capitale Nairobi , après que des manifestants ont forcé les barrages de police et pénétré dans l’enceinte du Parlement. L’ONG Commission kényane des droits humains (KHCR) a affirmé avoir vu la police «tirer sur quatre manifestants, (…) tuant l’un d’entre eux», dans un communiqué sur X. Des journalistes AFP présents sur place ont vu trois corps inanimés, gisant dans des mares de sang, aux abords du Parlement, où un bâtiment était en feu.

 

Les violences découle des mesures du gouvernement visant à augmenter la fiscalité notamment sur les produits de consommation de quoi augmenter encore la pauvreté dans ce pays où le taux de chômage et de leur de 30 %

Le gouvernement du Kenya espère  compte lever 2,18 milliards d’euros supplémentaires à travers la loi de finances afin de redresser les comptes du pays. Il table ainsi sur un déficit budgétaire de 3,3 % du PIB, contre 5,7 % pour l’exercice en cours.

Le chef de l’État a hérité de ses prédécesseurs d’une dette colossale tandis que le shilling kényan subissait une forte dépréciation. Il cherche désormais à réduire sa dépendance aux emprunts pour boucler son budget. La dette publique s’élève à 76 milliards d’euros – soit un peu plus de 70 % du PIB – tandis que le service de la dette s’élèvera à 7,2 milliards d’euros lors du prochain exercice fiscal. De quoi absorber plus de la moitié des recettes fiscales.

 

Manifestations anti-RN samedi

Manifestations anti-RN   samedi 

 

D’après les services de renseignements, il faut s’attendre à plusieurs centaines de milliers de participants à une manifestation de protestation contre le RN. Une action à l’appel surtout des organisations les plus à gauche avec aussi des risques de violence.  Il n’est pas certain que de tels dérives éventuelles servent beaucoup la démocratie et l’image du pays déjà atteinte par les bouleversements politiques et la situation économique déjà fragile .En cas de débordement, c’est l’image aussi de la gauche qui pourrait être mise en cause.

Les  services de renseignements prévoient pas moins de 150 « actions » ce samedi à travers la France, qui devraient fédérer entre 200 000 et 250 000 participants. Si l’on rajoute les 50 000 à 100 000 manifestants appelés à battre le pavé parisien, ce sont bien donc jusqu’à 350 000 personnes qui pourraient descendre dans la rue pour rejoindre des cortèges assez structurés.

« Si la société civile va manifester son mécontentement, des éléments radicaux, des “antifas” et bien sûr des black blocs vont être au rendez-vous pour faire dégénérer les cortèges en fin de manifestation », prévoit un policier de haut rang, qui redoute « une configuration proche de celle rencontrée lors des violentes manifestations contre la réforme des retraites ».

Politique-Manifestations : Macron n’y participe pas …. c’est bien ça le problème

Politique-Manifestations : Macron n’y participe pas …. c’est bien ça le problème


«La place d’un président n’est pas d’aller à une marche» estime une nouvelle fois Macron qui précise par ailleurs qu’il n’a jamais participé à aucune manifestation. C’est bien là le problème majeur de ce président sorti de nulle part et qui n’a aucune expérience politique et même aucune légitimité réelle.

Ce président confond le statut présidentiel et le statut d’un monarque. Le fait d’affirmer que sa place n’est pas dans une manifestation traduit en effet positionnement hors sol. Notons par ailleurs que s’il n’a jamais participé à une manifestation il n’a pas davantage effectué son service militaire justifiant de son statut d’étudiant à l’époque.

Selon Emmanuel Macron, la «place d’un président de la République n’est pas d’aller à une marche». «Mon rôle est de travailler à la libération de nos otages, et de continuer à préserver dans cette période l’unité de notre pays, et de ne jamais renvoyer dos à dos les uns et les autres». Et de clamer: «Protéger les Français de confession juive, ce n’est pas mettre au pilori les Français de confession musulmane».

Le problème justement c’est que dans sa première explication il a renvoyé dos à dos la responsabilité des uns et des autres alors que l’objet de la manifestation n’était pas de se positionner sur les responsabilités en Israël et à Gaza, ni sur telle ou telle confession mais uniquement sur l’antisémitisme et la laïcité.

Cette valse hésitation des propos du chef de l’État témoigne d’abord de l’inconsistance politique et idéologique de l’intéressé et même pire de ses interrogations vis-à-vis de la participation possible. En effet dans les milieux de l’Élysée, on s’interrogeait aussi sérieusement sur le risque d’une manifestation relativement peu suivie. Encore un calcul politique perdu !

Manifestations : Macon n’y participe pas …. c’est bien ça le problème

Manifestations : Macon n’y participe pas …. c’est bien ça le problème


«La place d’un président n’est pas d’aller à une marche» estime une nouvelle fois Macron qui précise par ailleurs qu’il n’a jamais participé à aucune manifestation. Ces biens là le problème majeur de ce président sorti de nulle part et qui n’a aucune expérience politique et même aucune légitimité réelle.

Ce président confond le statut présidentiel et le statut d’un monarque. Le faite d’affirmer que sa place n’est pas dans une manifestation traduite en effet positionnement or sol. Notons par ailleurs que s’il n’a jamais participé à une manifestation il n’a pas davantage effectué son service militaire justifiant de son statut d’étudiant à l’époque.

Selon Emmanuel Macron, la «place d’un président de la République n’est pas d’aller à une marche». «Mon rôle est de travailler à la libération de nos otages, et de continuer à préserver dans cette période l’unité de notre pays, et de ne jamais renvoyer dos à dos les uns et les autres». Et de clamer: «Protéger les Français de confession juive, ce n’est pas mettre au pilori les Français de confession musulmane».

Le problème justement c’est que dans sa première explication il a renvoyé dos à dos la responsabilité des uns et des autres alors que l’objet de la manifestation n’était pas de se positionner sur les responsabilités en Israël et à Gaza, ni sur telle ou telle confession mais uniquement sur l’antisémitisme et la laïcité.

Cette valse hésitation des propos du chef de l’État témoigne d’abord de l’inconsistance politique et idéologique de l’intéressé et même pire de ses interrogations vis-à-vis de la participation possible. En effet dans les milieux de l’Élysée, on s’interrogeait aussi sérieusement sur le risque d’une manifestation relativement peu suivie. Encore un calcul politique perdu !

Manifestations antisémitisme : 70 % des Français approuvent

Manifestations antisémitisme dimanche : 70 % des Français approuvent

Les réticences et conditions restrictives des partis politiques à propos de la manifestation contre l’antisémitisme dimanche sont mal appréciées par les Français qui soutiennent l’initiative pour 70 % d’entre eux. Près de 60 % condamnent aussi le refus de certains responsables de défiler avec le RN et sans doute aussi avec elle LFI qui boudera l’initiative alors que ses partisans sont 75 % à l’encourager.(sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro)

Imaginée par des élus Renaissance et Les Républicains, la marche reçoit son plus fort soutien chez les proches du Parti socialiste (84%) et des Écologistes (81%). Les sympathisants macronistes et de droite sont respectivement 79% et 73% à s’y montrer favorables.

Le rassemblement, vilipendé par Jean-Luc Mélenchon qui y voit un «rendez-vous» des «amis du soutien inconditionnel au massacre», trouve pourtant grâce aux yeux des partisans de La France insoumise (LFI). Ils sont 75% à l’encourager, alors même que les Insoumis ont annoncé leur absence. En cause, «l’ambiguïté des objectifs de cette démarche». Les sympathisants de LFI sont d’ailleurs 79% à considérer que la marche ne s’assimile pas à un soutien au gouvernement israélien, une accusation pourtant portée par le mouvement de gauche.

De l’autre côté du spectre politique, les proches du Rassemblement national (RN) se montrent les plus hostiles à l’initiative parlementaire (70%). Ils sont par ailleurs les moins nombreux à estimer que la participation au rassemblement ne correspond pas à un support de l’État hébreu (69%). Marine Le Pen et Jordan Bardella étaient pourtant parmi les premiers à répondre présents à l’appel des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat. Ce qui n’a pas manqué de susciter les admonestations de la gauche mais également d’une partie de la macronie, pour qui le parti à la flamme n’a pas sa place dans le cortège.

Si l’Élysée n’a toujours pas communiqué sur la présence d’Emmanuel Macron ce dimanche, 54% des Français jugent que le président de la République ne devrait pas y participer.

Retraités: des manifestations pour demander 10 % d’augmentation

Retraités: des manifestations pour demander 10 % d’augmentation

Hier mardi des manifestations ont été organisées un peu partout en France par des organisations de retraités à fin de demander une augmentation immédiate de 10 %.

«Depuis le 1er janvier 2017, les années du président Emmanuel Macron ont fait perdre 9,6% et l’équivalent de 2,4 mois de pension, et même, pour ceux qui ont subi l’augmentation de la CSG au 1er janvier 2018, 11,5 % et 3,6 mois de pension», poursuivent-elles dans le communiqué, expliquant que cette situation était due au refus du gouvernement «d’appliquer la loi (article L161-25 du Code de la Sécurité sociale) qui stipule que les pensions doivent être revalorisées au niveau de l’inflation».

Bien que le ministère de l’Économie ait annoncé, en septembre, que les pensions de retraite de base devraient être augmentées de 5,2 % au 1er janvier 2024, les syndicats réclament davantage. De concert ce mardi, ils souhaitent une revalorisation de 10% de toutes les pensions, estimant que les retraités avaient perdu 9,6% de pouvoir d’achat depuis 2017. En outre, ils ont lancé une pétition en ligne sur change.org dans laquelle ils répètent leur souhait d’obtenir 10 % d’augmentation immédiate de leurs pensions.

Plusieurs mobilisations sont organisées aujourd’hui un peu partout en France. Un rassemblement est notamment prévu au métro Varenne, à 14 heures, à l’appel des organisations syndicales de retraités. «À Paris, le rassemblement, au plus proche de Matignon, ira porter les cartes-pétitions à Elisabeth Borne», précise le communiqué.

Politique- manifestations pro-palestiniennes interdites

Politique- manifestations pro-palestiniennes interdites

Les pouvoirs publics veulent éviter l’exploitation en France du conflit entre juifs et palestiniens par les extrémistes pro-palestiniens. En raison des troubles à l’ordre public, plusieurs de ces rassemblements ont déjà été interdits dans plusieurs villes.

Deux manifestations propalestiniennes qui devaient se tenir jeudi à Paris ont été interdites par arrêté par le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, a annoncé la préfecture de police de Paris (PP) mardi 10 octobre au soir. Cette interdiction a été prise «compte tenu des risques de troubles à l’ordre public», a expliqué la préfecture de police.

Les deux manifestations devaient se tenir place de La République à 18h00. L’un des appels à manifester émane du «collectif national pour une paix juste et durable en Palestine» et le second de l’association «France Palestine solidarité». Les deux organisations, qui apportent leur soutien aux Palestiniens, demandent la fin du blocus à Gaza, décrété par le gouvernement israélien.

Plusieurs manifestations propalestiniennes ont été interdites déjà dans plusieurs villes du territoire, en raison «des risques de troubles à l’ordre public», comme à Lyon, lundi.

Le gouvernement craint que l’attaque du Hamas contre Israël samedi et la riposte de ce pays par des bombardements de la bande Gaza ne propage son lot de violence en France. L’Hexagone compte à la fois la plus importante communauté musulmane et la plus forte communauté juive d’Europe.

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