Archive pour le Tag 'manifestation'

Venezuela : manifestation pour l’investiture du président

Venezuela : manifestation pour  l’investiture du président
Un grand rassemblement à l’occasion de l’investiture du président élu après des manœuvres frauduleuses. L’opposition, qui a publié les procès-verbaux de l’élection présidentielle fournis par ses scrutateurs, assure que son candidat Edmundo Gonzalez Urrutia a obtenu plus de 67% des voix.

La répression des manifestations spontanées le lendemain de l’annonce de la victoire de M. Maduro et la vague de répression qui a suivi ont fait 28 morts et plus de 2000 blessés, avec 2400 arrestations. Au moins trois personnes arrêtées sont mortes en prison et environ 1.400 ont été libérées sur parole par petits groupes.

Le président socialiste Nicolas Maduro, dont la victoire avait été validée par la Cour suprême le 22 août, a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le Conseil national électoral (CNE) qui n’a cependant pas rendu publics les procès-verbaux des bureaux de vote, disant avoir été victime d’un piratage informatique !!!

 

Guinée : Manifestation contre la dictature

Guinée : Manifestation contre la dictature 

 

Comme dans beaucoup pays Afrique, les dictatures promettent un retour à la démocratie mais bafouent évidemment leurs engagements parfois en plus soutenues  par des pays extérieurs comme la Russie voire la Chine(  exemple les pays du Sahel et d’autres).

 

Les principaux partis d’opposition et organisations de la société civile en Guinée ont donc appelé à des manifestations à Conakry à partir du 6 janvier pour réclamer le départ de la junte au pouvoir, dans un communiqué mercredi. Les forces d’opposition ont par ailleurs réaffirmé leur volonté de ne plus reconnaitre la junte à partir du 31 décembre, date de la fin de la période dite de «transition».

Près de trois ans après l’arrivée au pouvoir des militaires dirigés par le général Mamadi Doumbouya, la perspective d’un retour à l’ordre constitutionnel en Guinée ne cesse de s’éloigner.

Le rapprochement de de la dictature avec Moscou s’est accéléré depuis le fils aîné du président, Teodoro Nguema Obiang Mangue, surnommé « Teodorin » et lui-même vice-président, a été condamné en France en 2021 pour des détournements de fonds publics colossaux dans le cadre des affaires dites des « bien mal acquis » !

Syrie: Manifestation des Alaouites

Syrie: Manifestation des Alaouites

 

 

Il est clair que le le retour à la sérénité en Syrie sera difficile compte tenu de la diversité des tendances ethniques et religieuses. Ainsi un incident  grave s’est produit sans doute à l’initiative des Alouites, anciens soutiens  d’Assad.

«Un manifestant a été tué et cinq autres blessés après que les forces de sécurité à Homs ont ouvert le feu pour disperser les manifestants» descendus dans la rue après la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo montrant «une attaque de combattants» contre un sanctuaire alaouite à Alep (nord), a indiqué à l’AFP le directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’homme, Rami Abdel Rahmane.

 

À Damas, le ministère de l’Intérieur a assuré que la vidéo était «ancienne» et datait de la prise d’Alep par les rebelles le 1er décembre. «Le but de faire circuler à nouveau de telles images est de semer la discorde parmi le peuple syrien (…)», a-t-il ajouté en accusant des «groupes inconnus» de l’attaque.

Les nouvelles autorités ont multiplié les gestes d’assurance envers toutes les minorités d’un pays traumatisé par la guerre.

À Jableh, les manifestants ont scandé «Alaouites, Sunnites, nous voulons la paix», a indiqué un manifestant, Ali Daoud, à l’AFP, appelant à «punir les assaillants».

Des images ont montré une foule défilant dans la rue, brandissant le drapeau des rebelles datant de l’ère de l’indépendance.
«Non à l’incendie des lieux saints et à la discrimination religieuse, non au sectarisme, oui à une Syrie libre», pouvait-on lire sur une pancarte.

À Lattaquié, les manifestants ont dénoncé «les violations contre la communauté alaouite», selon Ghidak Mayya, un manifestant de 30 ans. «Pour le moment nous écoutons les appels au calme (…) Mais la situation peut exploser.»

Après la fuite à Moscou de Bachar al-Assad dans le sillage de l’offensive rebelle, des membres de la minorité alaouite se sont réjouis de sa chute mais ont dit craindre la marginalisation, ou pire, des représailles.

Selon le politologue Fabrice Balanche, «les alaouites étaient très proches du régime de Bachar», dont ils constituaient la «garde prétorienne». Il estime à 1,7 million leur nombre aujourd’hui, soit environ 9% de la population.

Palestine et Israël: Manifestation des artistes qui se réveillent enfin

Palestine et Israël: Manifestation des artistes qui se réveillent enfin

Il faut sans doute se réjouir de la manifestation à l’initiative des 500 artistes qui ont signé une tribune dans Télérama. Ce dimanche 19 novembre à Paris, ils ont participé à une marche pour réclamer la paix au Moyen-Orient. Il faut dire que depuis le début du conflit déclenché par le Hamas en Israël, les artistes ont été particulièrement discrets et ils ont même été assez peu nombreux à soutenir l’immense manifestation du dimanche 12 novembre qui a rassemblé 180 000 personnes en France.

L’intérêt de cette dernière manifestation du 19 novembre, c’est qu’elle réclame simplement la paix sans soutenir un camp ou un autre. Justement l’objectif aussi de la grande manifestation du 12 novembre contre l’antisémitisme.

Certes, l’appartenance au monde desles artistes ne confère pas une autorité particulière pour éclairer la pertinence de l’analyse du conflit en cours. Dans le milieu artistique, on compte des intellectuels mais aussi simplement des produits du showbiz. De ce point de vue, comme en politique, la pensée intellectuelle s’est affaiblie dans le monde artistique.

La préfecture de police a recensé 3.600 personnes ce dimanche 19 novembre à Paris pour la « marche silencieuse » et « apolitique » pour la paix au Proche-Orient. Parmi eux, l’actrice Isabelle Adjani, Maxime Le Forestier, l’ancien ministre de la Culture Jack Lang. Le cortège s’est élancé de l’Institut du monde arabe (IMA).

Cette manifestation se tient une semaine après la marche contre l’antisémitisme, suivie par 100.000 personnes à Paris. Samedi 18 novembre, des mobilisations pro-palestiniennes pour demander un cessez-le-feu immédiat à Gaza ont rassemblé des milliers de manifestants à travers la France.

Manifestation antisémitisme en France : une mobilisation particulière

Manifestation antisémitisme en France : une mobilisation particulière

Dans de nombreuses capitales , dans de nombreux pays se sont déroulées comme en France des manifestations concernant le conflit entre Israël et le Hamas. Souvent des manifestations réclamant le soutien à la Palestine et pour demander l’arrêt des combats voire un cessez-le-feu définitif et en rappelant également la nécessité de deux Etats en Palestine.

La grande différence de ses manifestations avec la France, c’est surtout le thème. En effet, la manifestation française avait surtout pour objet de refuser le racisme et donc l’importation du conflit palestinien en France. Surtout donc un rappel aux valeurs républicaines, à l’unité de la nation et non une prise de position directe sur le conflit entre Israël et les palestiniens.

On pourra objectivement objecter qu’il y a forcément des liens entre ces différents thèmes mais il faut aussi reconnaître que la France présente la particularité jusque-là d’être un pays avec une seule nation, une seule culture est un ensemble de valeurs. Bref la France n’est pas comme aux États-Unis ou encore en Angleterre un pays où domine le multiculturalisme. Dans ces pays et dans d’autres on a acté la division de la nation qui comprend des socles politiques et culturaux différents.

On pourra faire observer que dans certains pays arabes ou musulmans l’unité sociétale existe mais au prix de la position d’une seule culture, d’une seule religion souvent d’une seule sensibilité politique.

La manifestation contre l’antisémitisme en France a connu un grand succès qui marquera une étape pour la préservation du bien le plus précieux de ce pays l’unité sur des valeurs communes. Le refus donc de la balkanisation de la société et de l’installation de courants politiques, philosophiques ou religieux militant pour la position d’un seul système de pensée.

Manifestation antisémitisme : une forte participation qui marque une étape

Manifestation antisémitisme : une forte participation qui marque une étape

Indiscutablement la manifestation contre l’antisémitisme a connu un grand succès avec une participation de 182 000 personnes en France dont 105 000 à Paris. Pourtant on pouvait s’interroger justement sur l’adhésion des Français à ce mouvement de protestation contre le racisme anti-juif. En effet les précédentes manifestations depuis le 7 octobre jour de la tuerie du Hamas en Israël, n’avaient pas vraiment mobilisé au-delà précisément de la sensibilité juive.

Cette manifestation cette fois traduit l’attachement particulier de la France aux valeurs républicaines si particulières au pays. On aura cependant observé une faible participation des plus jeunes. Sans doute est-ce lié à l’oubli et où au manque de connaissances de l’histoire des persécutions à l’égard des juifs. Il faudra tirer aussi enseignement de cette lacune qui concerne surtout les jeunes générations oublieuses du passé notamment dans l’enseignement mais pas seulement.

Plus de 182.000 personnes ont donc défilé en France, dont 105.000 à Paris, a-t-on appris auprès du ministère de l’Intérieur et de la préfecture de police.

À l’exception d’Emmanuel Macron, les principaux personnages de l’État étaient présents. La première ministre, la présidente de l’Assemblée nationale, le président du Sénat ou encore les deux anciens présidents Nicolas Sarkozy et François Hollande ont défilé ensemble en tête de cortège.

Le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon, qui s’est encore distingué par son absence et ses saillies extrémistes et ridicules. Il a préféré critiquer l’«échec» de la mobilisation qui n’a servi qu’«au blanchissement des extrêmes droites».

Le Rassemblement national a défilé sans incident. Marine Le Pen et Jordan Bardella ont marché eux aussi de l’esplanade des Invalides au Sénat.

Il est clair pourtant que les insoumis , comme toutes les sensibilités politiques en France, avait aussi sa place dans cette manifestation au lieu de se singulariser par une protestation la veille qui n’a attiré que quelques milliers de personnes.

Autoroute Castres–Toulouse : une manifestation qui risque d’être agitée

Autoroute Castres–Toulouse : une manifestation qui risque d’être agitée

5 à 10 000 manifestants sont attendus pour protester contre la perspective de l’autoroute à 69 qui doit relier Castres à Toulouse. Une manifestation qui risque d’être agitée compte tenu de certains qui appellent à la mobilisation et en dépit de l’important dispositif de police.

Entre 6.000 et 8.000 personnes y sont attendues samedi, a appris BFMTV de source policière. Parmi ces manifestants, 200 à 300 pourraient être des éléments radicaux. Les organisateurs attendent eux plus de 10.000 personnes.

De plus, 130 sapeurs-pompiers et 50 véhicules de secours vont être déployés en cas d’incidents. La préfecture a d’ailleurs pris des arrêtés interdisant le port et le transport « d’armes et d’objets pouvant constituer une arme », tout comme le transport d’articles pyrotechniques.

Après leur arrivée jeudi soir, les premiers manifestants ont été contrôlés par les forces de l’ordre. D’après une source policière, des carabines à air comprimé et de boules de pétanque ont été saisies et des interpellations ont également eu lieu.

Protestation contre la liaison fer Lyon-Turin: Une manifestation idiote de gauchistes

Les organisations qui ont soutenu la manifestation contre le projet ferroviaire Lyon Turin ne vont pas se grandir aux yeux des Français car il s’agit d’une réaction idiote, contre-productive qui affirme clairement son idéologie gauchiste.

Le plus contradictoire dans l’affaire c’est que ce sont d’abord des Italiens qui se sont opposés à ce projet avant de le réaliser de leur côté. Maintenant ,c’est la France qui bloque la partie qui lui incombe. Enfin pas toute la France mais le conglomérat habituel des gauchistes, c’est-à-dire des écologistes d’Europe écologie les Verts ( qui auparavant étaient pour !), des « insoumis » et autres groupuscules d’extrême-gauche. Le pire étant sans doute la présence du syndicat sud-rail. Et certains d’affirmer- en se réjouissant presque- que de toute manière il n’y presque plus de transport par pour le fer.

S’il y a bien un projet de transport cohérent c’est bien celui de la liaison Lyon Turin qui vise à alléger de manière considérable le trafic de camions entre la France et l’Italie. L’argument majeur des gauchistes et de considérer qu’il ne faut encourager aucun mode d’échange mais changer le mode de production. Un argument sympathique et souhaitable mais qui s’applique surtout aux transports internationaux à longue distance qui font faire des milliers de kilomètres polluants et inutiles. Là il s’agit de transport intracommunautaire et en plus de courte distance. Notons que les mêmes organisations sont aussi contre le développement du TGV mais aussi contre le développement des autoroutes et de l’avion. Bref, un positionnement complètement incohérent sur le plan économique et environnemental. Cette dernière contradiction risque de coûter cher au plan électoral car il met en évidence que ces organisations ont choisi le gauchisme , l’irresponsabilité voir la provocation comme doctrine.

Environnement-Liaison fer Lyon-Turin: Une manifestation idiote de gauchistes

Environnement-Liaison fer Lyon-Turin: Une manifestation idiote de gauchistes

Les organisations qui vont soutenir la manifestation contre le projet ferroviaire Lyon Turin ne vont pas se grandir aux yeux des Français car il s’agit d’une réaction idiote, contre-productive qui affirme clairement son idéologie gauchiste.

Le plus contradictoire dans l’affaire c’est que ce sont d’abord des Italiens qui se sont opposés à ce projet avant de le réaliser de leur côté. Maintenant c’est la France qui bloque la partie qui lui incombe. Enfin pas toute la France mais le conglomérat habituel des gauchistes, c’est-à-dire des écologistes d’Europe écologie les Verts ( qui auparavant étaient pour !), Des insoumis et autres groupuscules d’extrême-gauche. Le pire étant sans doute la présence du syndicat sud-rail. Et certains d’affirmer- en se réjou issant presque- que de toute manière il n’y presque plus de transport par pour le fer .

S’il y a bien un projet de transport cohérent c’est bien celui de la liaison Lyon Turin qui vise à alléger de manière considérable le trafic de camions entre la France et l’Italie. L’argument majeur des gauchistes et de considérer qu’il ne faut encourager aucun mode d’échange mais changer le mode de production. Un argument sympathique et souhaitable mais qui s’applique surtout aux transports internationaux à longue distance qui font faire des milliers de kilomètres polluants et inutiles. Là il s’agit de transport intracommunautaire et en plus de courte distance. Notons que les mêmes organisations sont aussi contre le développement du TGV mais aussi contre le développement des autoroutes et de l’avion. Bref, un positionnement complètement incohérent sur le plan économique et environnemental. Cette dernière contradiction risque de coûter cher au plan électoral car il met en évidence que ces organisations ont choisi le gauchisme , l’irresponsabilité voir la provocation comme doctrine.

Projet liaison fer Lyon-Turin: Une manifestation idiote de gauchistes

Projet liaison fer Lyon-Turin: Une manifestation idiote de gauchistes

Les organisations qui vont soutenir la manifestation contre le projet ferroviaire Lyon Turin ne vont pas se grandir aux yeux des Français car il s’agit d’une réaction idiote, contre-productive qui affirme clairement son idéologie gauchiste.

Le plus contradictoire dans l’affaire c’est que ce sont d’abord des Italiens qui se sont opposés à ce projet avant de le réaliser de leur côté. Maintenant c’est la France qui bloque la partie qui lui incombe. Enfin pas toute la France mais le conglomérat habituel des gauchistes, c’est-à-dire des écologistes d’Europe écologie les Verts ( qui auparavant était pour !), Des insoumis et autres groupuscules d’extrême-gauche.

S’il y a bien un projet de transport cohérent c’est bien celui de la liaison Lyon Turin qui vise à alléger de manière considérable le trafic de camions entre la France et l’Italie. L’argument majeur des gauchistes et de considérer qu’il ne faut encourager aucun mode d’échange mais changer le mode de production. Un argument sympathique et souhaitable mais qui s’applique surtout aux transports internationaux à longue distance qui font faire des milliers de kilomètres polluants et inutiles. Là il s’agit de transport intracommunautaire et en plus de courte distance. Notons que les mêmes organisations sont aussi contre le développement du TGV mais aussi contre le développement des autoroutes et de l’avion. Bref, un positionnement complètement incohérent sur le plan économique et environnemental. Cette dernière contradiction risque de coûter cher au plan électoral car il met en évidence que ces organisations ont choisi le gauchisme , l’irresponsabilité voir la provocation comme doctrine

Manifestation : l’instrumentalisation de la violence par la presse des financiers commence

Manifestation : l’instrumentalisation de la violence par la presse des financiers commence !

D’une certaine façon il fallait s’y attendre, depuis quelques jours la grande presse détenue essentiellement par les financiers et les chaînes info appartenant aux mêmes financiers commencent à détourner l’essence de la protestation contre la réforme. Ainsi par exemple Le Figaro mais d’autres titrent sur la violence dans toute la France avec évidemment des photos de poubelles en feu. Certes il y a eu quelques débordements et des violences mais globalement encore compte tenu de l’immensité de la foule, il faut surtout retenir la bonne tenue des manifestations.

Sitôt qu’une ou deux poubelles sont brûlées la presse de droite en fait des tonnes et les médias d’infos encore davantage. Il y a quelquefois quelques blessés aussi bien dans les forces de l’ordre que chez les manifestants, du mobilier urbain détruit et surtout des feux poubelles par les extrémistes de droite et de gauche. C’est regrettable et les auteurs sont condamnables.

Mais est clair maintenant que les médias progressivement militent pour qu’on tourne la page définitivement sur une réforme qu’ils ont toujours considérée comme indispensable. Comme le gouvernement ils s’abritent sur la légitimité institutionnelle mais minimise la légitimité politique des protestataires qui a près de 70 % de la population condamnent toujours une réforme injuste, autoritaire et inefficace.

Social- Manifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Social- Manifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Encore énorme participation pour manifestation de samedi et tout laissait à penser que le gouvernement tenterait de la minimiser en trichant sur les chiffres. Pour preuve la police ne décompte que 963.000 personnes dans les manifestations pour 2,5 millions comptés par les syndicats.

Avant même les manifestations, La police avait minimisé l’ampleur de la manifestation de la protestation Ainsi selon des informations de BFMTV, dans une note du 9 février, les policiers du renseignement territorial prévoyaient seulement entre 600 000 et 800 000 personnes mobilisées au niveau national, pour 240 actions annoncées.. Et les renseignements généraux d’indiquer que la participation pourrait être inférieure précédente. Une information évidemment reprise par les médias sous tutelle du gouvernement ou des groupes financiers. En réalité la participation dait être au moins le double des chiffres annoncés par des policiers qui ont encore des progrès à faire en matière de calcul….politique.

Et pour discréditer par avance le succès de la participation, les services de police font savoir aux médias qu’ils s’attendaient à des débordements et à des violences. De quoi dissuader d’éventuels participants à la mobilisation de ce samedi. Des débordements qui n’ont pas eu lieu

Il est clair cependant que les Français n’ont guère été influencés par les discours contradictoires des membres du gouvernement sur l’intérêt de la réforme. Ils sont toujours autour de 70 % à contester le projet du gouvernement.

Le mécontentement concernant le projet des retraites est également alimenté par la véritable crise du pouvoir d’achat. Un pouvoir d’achat qui pourrait baisser d’au moins 15 % sur deux ans d’ici juin. En effet aux 7 % d’augmentation constatée pour l’inflation en 2022, il faudra ajouter les 7 % également prévus pour 2023.
La crise sera encore plus aiguë pour l’achat de denrées alimentaires qui, elles à partir de mars, pourraient subir une augmentation de 25 % sur un an.

Enfin la révolte dans la rue se renforce aussi du mépris invraisemblable du pouvoir ; un pouvoir complètement hors sol sans légitimité démocratique, ignorant des réalités socio-économiques et qui sert évidemment les intérêts des plus riches.

Le pire , que Macon qui a toujours craché sur les syndicats leur demande désormais de faire preuve d’un sens des responsabilités que lui-même ignore. En déplacement à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a appelé une nouvelle fois à « l’esprit de responsabilité » des syndicats. « Je souhaite d’abord que le travail puisse se poursuivre au Parlement », a déclaré le chef de l’État. « C’est ainsi que la démocratie doit fonctionner. » . Bref , la confirmation que la France vit bien dans une monarchie républicaine.

anifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Manifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation

Encore énorme participation pour manifestation de samedi et tout laissait à penser que le gouvernement tenterait de la minimiser en trichant sur les chiffres. Pour preuve la police ne décompte que 963.000 personnes dans les manifestations pour 2,5 millions comptés par les syndicats.

Avant même les manifestations, La police avait minimisé l’ampleur de la manifestation de la protestation Ainsi selon des informations de BFMTV, dans une note du 9 février, les policiers du renseignement territorial prévoyaient seulement entre 600 000 et 800 000 personnes mobilisées au niveau national, pour 240 actions annoncées.. Et les renseignements généraux d’indiquer que la participation pourrait être inférieure précédente. Une information évidemment reprise par les médias sous tutelle du gouvernement ou des groupes financiers. En réalité la participation dait être au moins le double des chiffres annoncés par des policiers qui ont encore des progrès à faire en matière de calcul….politique.

Et pour discréditer par avance le succès de la participation, les services de police font savoir aux médias qu’ils s’attendaient à des débordements et à des violences. De quoi dissuader d’éventuels participants à la mobilisation de ce samedi. Des débordements qui n’ont pas eu lieu

Il est clair cependant que les Français n’ont guère été influencés par les discours contradictoires des membres du gouvernement sur l’intérêt de la réforme. Ils sont toujours autour de 70 % à contester le projet du gouvernement.

Le mécontentement concernant le projet des retraites est également alimenté par la véritable crise du pouvoir d’achat. Un pouvoir d’achat qui pourrait baisser d’au moins 15 % sur deux ans d’ici juin. En effet aux 7 % d’augmentation constatée pour l’inflation en 2022, il faudra ajouter les 7 % également prévus pour 2023.
La crise sera encore plus aiguë pour l’achat de denrées alimentaires qui, elles à partir de mars, pourraient subir une augmentation de 25 % sur un an.

Enfin la révolte dans la rue se renforce aussi du mépris invraisemblable du pouvoir ; un pouvoir complètement hors sol sans légitimité démocratique, ignorant des réalités socio-économiques et qui sert évidemment les intérêts des plus riches.

Le pire , que Macon qui a toujours craché sur les syndicats leur demande désormais de faire preuve d’un sens des responsabilités que lui-même ignore. En déplacement à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a appelé une nouvelle fois à « l’esprit de responsabilité » des syndicats. « Je souhaite d’abord que le travail puisse se poursuivre au Parlement », a déclaré le chef de l’État. « C’est ainsi que la démocratie doit fonctionner. » . Bref , la confirmation que la France vit bien dans une monarchie républicaine.

Hausses des violences en 2022, la manifestation de l’impuissance de Darmanin

Hausses des violences en 2022, la manifestation de l’impuissance de Darmanin

Comme nombre de ses prédécesseurs, à commencer par Sarkozy mais aussi bien d’autres, le ministre de l’intérieur se caractérise surtout par des déclarations tapageuses mais par une action molle qui en quelque sorte favorise encore davantage la délinquance. La quasi-totalité des crimes et délits ont en effet augmenté en 2022, selon un rapport publié par le service statistique du ministère de l’Intérieur. Pour l’essayiste et juriste Amine Elbahi, ces chiffres montrent que des pans entiers du territoire sont hors de contrôle.

Amine Elbahi est juriste en droit public, chargé d’enseignement en droit à l’université de Lille, et auteur du livre Je ne me tairai pas ! (Robert Laffont 2022). Il a été candidat LR dans le Nord lors des dernières législatives.

Le ministère de l’Intérieur a publié les chiffres sur la montée de l’insécurité et de la délinquance en 2022. Selon un bilan du service statistique du ministère de l’Intérieur publié le mardi 31 janvier 2023, en France, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022. Une lecture juste et responsable de ces chiffres doit nous amener à rester lucide, en pensant d’ores et déjà à toutes les victimes qui, par peur de représailles, par sentiment d’abandon, renoncent à poursuivre leurs bourreaux. En principe, le bilan annuel du ministère de l’Intérieur est établi à partir de deux types de données : les plaintes et les signalements enregistrés par les policiers et gendarmes, ainsi que les enquêtes de victimation, qui permettent d’enrichir les faits comptabilisés par les forces de l’ordre, étant donné que toutes les victimes ne déposent pas toujours plainte.

En 2022, pourtant, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’en est donné à cœur joie pour se satisfaire de la baisse des faits de délinquance observés en 2021, en omettant de préciser que la crise sanitaire était passée par là et que le travail des policiers et des gendarmes avait considérablement changé. Les chiffres parlent d’eux-mêmes et la réalité refait surface : le rapport démontre l’explosion du nombre de victimes de coups et blessures volontaires (+15%), des violences intrafamiliales (+17 %) et sexuelles (+11 %). Les hausses s’observent dans la continuité de celles observées avant la crise sanitaire pour les homicides, les coups et blessures volontaires, les vols de véhicules et les escroqueries enregistrés par la police et la gendarmerie.
Une lecture plus profonde des chiffres démontre que des pans entiers du territoire sont passés hors du contrôle de l’État.

Personne ne peut oublier la volonté délibérée du gouvernement de masquer les chiffres et les faits. Le ministère de l’Intérieur ne produit plus de chiffres globaux depuis 2016. En supprimant l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, le gouvernement a scindé les résultats en deux. Ce ne sont que des échantillons focalisés sur certains crimes et délits, triés sur le volet, qui sont communiqués aux Français. Chacun pourra interpréter ces chiffres et leur faire dire ce que l’on a envie de dire.
Il faut aussi regarder ce que ces chiffres ne disent pas. Plusieurs questions relevant du ministère de l’Intérieur sont d’ores et déjà exclues. Le lien entre l’explosion de la violence et la montée de l’immigration incontrôlée y est soigneusement écarté dans la mesure où la situation administrative des auteurs de ces crimes et délits n’est pas communiquée, pas plus que la part d’auteur d’une infraction pénale faisant l’objet d’une OQTF.
Aujourd’hui, c’est l’indifférenciation de ceux qui nous dirigent qui ne manquent pas de surprendre. Une lecture plus profonde des chiffres démontre que des pans entiers du territoire sont passés hors du contrôle de l’État : les départements du Nord, de Seine-Saint-Denis, de Paris, des Bouches-du-Rhône sans oublier les Outre-mer.

Certains de ces territoires que l’on surnomme «perdus de la République» échappent à l’autorité de l’État. Or, ils sont acteurs plus que d’autres territoires de la hausse de ces chiffres. De ce constat découle la stratégie que l’État doit mettre en place pour remettre la France en ordre. Une stratégie segmentée et territorialisée, fondée sur la confiance avec les maires et les préfets. Sans oublier les actes de délinquance constatés par les 20.000 agents de police municipale qui assurent dans nombre de villes, la quasi-totalité de la police de la voie publique, en faisant payer aux Français deux fois le même service. Nous pouvons y parvenir si nous acceptons collectivement que les policiers et les gendarmes deviennent ce trait d’union entre les villes et l’État, en leur témoignant la considération de la Nation.
Nos voisins européens nous regardent et se demandent comment une grande démocratie comme la nôtre a-t-elle pu sombrer, en si peu de temps, dans le chaos.

Aux forces de l’ordre, nous leur devons respect et reconnaissance. Respect, en faisant en sorte que le fruit de leurs efforts aboutisse à la condamnation pénale des auteurs de crimes et de délits. Reconnaissance, en revalorisant les carrières des services accomplis en zones difficiles. Il y a cependant un maillon abîmé dans la chaîne pénale qui nécessite d’être réparée. Le nombre de condamnations pénales auxquelles ont débouché les infractions constatées par les forces de l’ordre doit être communiqué aux Français. Parmi ces infractions, combien d’affaires ont été réellement poursuivies par l’autorité judiciaire et combien d’auteurs de ces crimes et délits sont restés impunis ? Combien de Français ont renoncé à déposer plainte, découragés par la réponse de l’État face aux crimes et aux délits, découragés face à un service public du dépôt des plaintes surchargé ?

Preuve en est sur les chiffres, l’échec d’Emmanuel Macron à bâtir une société fondée sur la confiance avec les Français, c’est d’abord l’échec du gouvernement qui dispose de l’administration, bras armé de l’État, et qui n’a pas atteint son obligation de résultat. Nos voisins européens nous regardent et se demandent comment une grande démocratie comme la nôtre a-t-elle pu sombrer, en si peu de temps, dans le chaos. De la sécurité de tout un peuple dépend le rayonnement de la France dans le monde, notre art de vivre, notre culture et, plus généralement, la pérennité de notre civilisation.
Il faudra bien, un jour, soumettre la question politique au choix souverain des Français. Acceptons-nous de faire de la sécurité des Français une priorité nationale pour le pays ? Parce que les idées des électeurs de droite sont les mêmes. Parce que nous surmontons, avec les Français, les mêmes crises. Que nos politiques entendent les cris des citoyens et brisent les barrières du politiquement correct en se stigmatisant l’un et l’autre.

Sécurité- Explosion des violences en 2022: la manifestation de l’impuissance de Darmanin

Sécurité- Explosion des violences en 2022: la manifestation de l’impuissance de Darmanin

Comme nombre de ses prédécesseurs, à commencer par Sarkozy mais aussi bien d’autres, le ministre de l’intérieur se caractérise surtout par des déclarations tapageuses mais par une action molle qui en quelque sorte favorise encore davantage la délinquance. La quasi-totalité des crimes et délits ont en effet augmenté en 2022, selon un rapport publié par le service statistique du ministère de l’Intérieur. Pour l’essayiste et juriste Amine Elbahi, ces chiffres montrent que des pans entiers du territoire sont hors de contrôle.

Amine Elbahi est juriste en droit public, chargé d’enseignement en droit à l’université de Lille, et auteur du livre Je ne me tairai pas ! (Robert Laffont 2022). Il a été candidat LR dans le Nord lors des dernières législatives.

Le ministère de l’Intérieur a publié les chiffres sur la montée de l’insécurité et de la délinquance en 2022. Selon un bilan du service statistique du ministère de l’Intérieur publié le mardi 31 janvier 2023, en France, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022. Une lecture juste et responsable de ces chiffres doit nous amener à rester lucide, en pensant d’ores et déjà à toutes les victimes qui, par peur de représailles, par sentiment d’abandon, renoncent à poursuivre leurs bourreaux. En principe, le bilan annuel du ministère de l’Intérieur est établi à partir de deux types de données : les plaintes et les signalements enregistrés par les policiers et gendarmes, ainsi que les enquêtes de victimation, qui permettent d’enrichir les faits comptabilisés par les forces de l’ordre, étant donné que toutes les victimes ne déposent pas toujours plainte.

En 2022, pourtant, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin s’en est donné à cœur joie pour se satisfaire de la baisse des faits de délinquance observés en 2021, en omettant de préciser que la crise sanitaire était passée par là et que le travail des policiers et des gendarmes avait considérablement changé. Les chiffres parlent d’eux-mêmes et la réalité refait surface : le rapport démontre l’explosion du nombre de victimes de coups et blessures volontaires (+15%), des violences intrafamiliales (+17 %) et sexuelles (+11 %). Les hausses s’observent dans la continuité de celles observées avant la crise sanitaire pour les homicides, les coups et blessures volontaires, les vols de véhicules et les escroqueries enregistrés par la police et la gendarmerie.
Une lecture plus profonde des chiffres démontre que des pans entiers du territoire sont passés hors du contrôle de l’État.

Personne ne peut oublier la volonté délibérée du gouvernement de masquer les chiffres et les faits. Le ministère de l’Intérieur ne produit plus de chiffres globaux depuis 2016. En supprimant l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, le gouvernement a scindé les résultats en deux. Ce ne sont que des échantillons focalisés sur certains crimes et délits, triés sur le volet, qui sont communiqués aux Français. Chacun pourra interpréter ces chiffres et leur faire dire ce que l’on a envie de dire.
Il faut aussi regarder ce que ces chiffres ne disent pas. Plusieurs questions relevant du ministère de l’Intérieur sont d’ores et déjà exclues. Le lien entre l’explosion de la violence et la montée de l’immigration incontrôlée y est soigneusement écarté dans la mesure où la situation administrative des auteurs de ces crimes et délits n’est pas communiquée, pas plus que la part d’auteur d’une infraction pénale faisant l’objet d’une OQTF.
Aujourd’hui, c’est l’indifférenciation de ceux qui nous dirigent qui ne manquent pas de surprendre. Une lecture plus profonde des chiffres démontre que des pans entiers du territoire sont passés hors du contrôle de l’État : les départements du Nord, de Seine-Saint-Denis, de Paris, des Bouches-du-Rhône sans oublier les Outre-mer.

Certains de ces territoires que l’on surnomme «perdus de la République» échappent à l’autorité de l’État. Or, ils sont acteurs plus que d’autres territoires de la hausse de ces chiffres. De ce constat découle la stratégie que l’État doit mettre en place pour remettre la France en ordre. Une stratégie segmentée et territorialisée, fondée sur la confiance avec les maires et les préfets. Sans oublier les actes de délinquance constatés par les 20.000 agents de police municipale qui assurent dans nombre de villes, la quasi-totalité de la police de la voie publique, en faisant payer aux Français deux fois le même service. Nous pouvons y parvenir si nous acceptons collectivement que les policiers et les gendarmes deviennent ce trait d’union entre les villes et l’État, en leur témoignant la considération de la Nation.
Nos voisins européens nous regardent et se demandent comment une grande démocratie comme la nôtre a-t-elle pu sombrer, en si peu de temps, dans le chaos.

Aux forces de l’ordre, nous leur devons respect et reconnaissance. Respect, en faisant en sorte que le fruit de leurs efforts aboutisse à la condamnation pénale des auteurs de crimes et de délits. Reconnaissance, en revalorisant les carrières des services accomplis en zones difficiles. Il y a cependant un maillon abîmé dans la chaîne pénale qui nécessite d’être réparée. Le nombre de condamnations pénales auxquelles ont débouché les infractions constatées par les forces de l’ordre doit être communiqué aux Français. Parmi ces infractions, combien d’affaires ont été réellement poursuivies par l’autorité judiciaire et combien d’auteurs de ces crimes et délits sont restés impunis ? Combien de Français ont renoncé à déposer plainte, découragés par la réponse de l’État face aux crimes et aux délits, découragés face à un service public du dépôt des plaintes surchargé ?

Preuve en est sur les chiffres, l’échec d’Emmanuel Macron à bâtir une société fondée sur la confiance avec les Français, c’est d’abord l’échec du gouvernement qui dispose de l’administration, bras armé de l’État, et qui n’a pas atteint son obligation de résultat. Nos voisins européens nous regardent et se demandent comment une grande démocratie comme la nôtre a-t-elle pu sombrer, en si peu de temps, dans le chaos. De la sécurité de tout un peuple dépend le rayonnement de la France dans le monde, notre art de vivre, notre culture et, plus généralement, la pérennité de notre civilisation.
Il faudra bien, un jour, soumettre la question politique au choix souverain des Français. Acceptons-nous de faire de la sécurité des Français une priorité nationale pour le pays ? Parce que les idées des électeurs de droite sont les mêmes. Parce que nous surmontons, avec les Français, les mêmes crises. Que nos politiques entendent les cris des citoyens et brisent les barrières du politiquement correct en se stigmatisant l’un et l’autre.

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