Archive pour le Tag 'Manif'

Manif retraites de samedi : encore une énorme participation

Manif retraites de samedi : encore une énorme participation

Une énorme participation est à prévoir pour cette manifestation de samedi et tout laisse à penser que le gouvernement tentera de la minimiser en trichant sur les chiffres. Ainsi selon des informations de BFMTV, dans une note du 9 février, les policiers du renseignement territorial prévoient seulement entre 600 000 et 800 000 personnes mobilisées au niveau national, pour 240 actions annoncées. Dans le détail, ils attendent entre 90 000 à 120 000 manifestants à Paris, ou encore 22 500 à Bordeaux et Nantes, 19 500 à Caen et 17 500 à Montpellier. Et les renseignements généraux d’indiquer que la participation pourrait être inférieure précédente. Une information évidemment reprise par les médias sous tutelle du gouvernement ou des groupes financiers. En réalité la participation devrait être au moins le double des chiffres annoncés par des policiers qui ont encore des progrès à faire en matière de calcul….politique.

Et pour discréditer par avance le succès de la participation, les services de police font savoir aux médias qu’ils s’attendent à des débordements et à des violences. De quoi dissuader d’éventuels participants à la mobilisation de ce samedi.

Il est clair cependant que les Français n’ont guère été influencés par les discours contradictoires des membres du gouvernement sur l’intérêt de la réforme. Ils sont toujours autour de 70 % à contester le projet du gouvernement.

Le mécontentement concernant le projet des retraites est également alimenté par la véritable crise du pouvoir d’achat. Un pouvoir d’achat qui pourrait baisser d’au moins 15 % sur deux ans d’ici juin. En effet aux 7 % d’augmentation constatée pour l’inflation en 2022, il faudra ajouter les 7 % également prévus pour 2023.
La crise sera encore plus aiguë pour l’achat de denrées alimentaires qui, elles à partir de mars, pourraient subir une augmentation de 25 % sur un an.

Enfin la révolte dans la rue se renforce aussi du mépris invraisemblable du pouvoir ; un pouvoir complètement hors sol sans légitimité démocratique, ignorant des réalités socio-économiques et qui sert évidemment les intérêts des plus riches.

Le pire , que Macon qui a toujours craché sur les syndicats leur demande désormais de faire preuve d’un sens des responsabilités que lui-même ignore. En déplacement à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a appelé une nouvelle fois à « l’esprit de responsabilité » des syndicats. « Je souhaite d’abord que le travail puisse se poursuivre au Parlement », a déclaré le chef de l’État. « C’est ainsi que la démocratie doit fonctionner. » . Bref , la confirmation que la France vit bien dans une monarchie républicaine.

Manif d’agriculteurs mercredi à Paris

Manif d’agriculteurs mercredi à Paris

Les agriculteurs sont appelés à défiler en tracteur mercredi 8 février au matin dans Paris, pour dénoncer « la disparition » de productions agricoles françaises à cause de la diminution du nombre de pesticides à leur disposition. Les agriculteurs mobilisés comptent converger en tracteurs et autocars depuis la Porte de Versailles, dans le sud de Paris, jusqu’à l’esplanade des Invalides, à proximité de l’Assemblée nationale et du ministère de l’Agriculture.

Le premier appel à manifester a été émis par la section du Grand Bassin parisien de la FNSEA, qui couvre 12 départements céréaliers du nord de la France, et par la branche spécialisée de la Fédération dans la production de betteraves sucrières (CGB). Vendredi soir, la Fédération nationale relaie et amplifie le mouvement, en appelant « tout son réseau et l’ensemble de ses filières à se mobiliser à partir du 8 février à Paris et jusqu’au 20 février dans toute la France ».

Manif retraites 31 janvier : une mobilisation exceptionnelle

Manif retraites 31 janvier : une mobilisation exceptionnelle

Il est clair que le gouvernement a largement perdu la bataille de l’opinion. D’une certaine manière au contraire, plus il s’exprime et plus les opposants deviennent nombreux soutenant d’ailleurs aussi la mobilisation y compris ses conséquences comme le démontre la plupart des sondages. Du coup, on peut s’attendre à une mobilisation encore supérieure à celle du 21 janvier. La participation à la protestation pourrait même être exceptionnelle non seulement à Paris mais tout autant en province y compris dans les petites villes.

Dans les deux hypothèses, le gouvernement a perdu la bataille. Si par hypothèse le gouvernement devait maintenir son texte à peu près en état, il créerait alors dans l’opinion un mouvement d’hostilité sans précédent qui annulerait toute velléité de réforme jusqu’à la fin du mandat du président de la république. Inversement, s’il retire sa réforme- ce qui n’est pas totalement exclu compte tenu des reculs déjà opérés par Macron- alors il y aurait sans doute une crise politique avec un changement de gouvernement et plus certainement le recours à des élections législatives.

Comme d’habitude, on peut prévoir des mouvements sociaux dans de nombreux secteurs économiques. Restera à vérifier l’implication dans le secteur privé st aussi dans la jeunesse. Le risque étant que le mouvement dérive vers des mouvements plus radicaux et incontrôlés si le gouvernement continue de s’entêter.

Des mobilisations prévisibles:

-La branche énergie : la CGT (FNME-CGT) appelle ses agents à se mettre en grève et à manifester le 31 janvier. «On construit un 31 janvier encore plus fort que le 19», a d’ores et déjà annoncé le secrétaire fédéral de la FNME-CGT, Fabrice Coudour. Avant cette journée, les salariés de l’énergie se sont mobilisés jeudi dans les centrales électriques, les raffineries, les ports et les docks, pour une sorte de tour de chauffe. Des baisses de production électrique ont notamment été enregistrées, ainsi que de nombreuses actions dites «Robin des Bois», permettant à certains de bénéficier d’énergie gratuite.

- Dans les transports du côté de la SNCF, le trafic sera «fortement perturbé» sur les TGV et très peu de trains circuleront sur les réseaux Transilien et TER. Le trafic sera «très perturbé» sur les réseaux RER et métro, pour la RATP. Sur le réseau TGV, seulement 1 train sur 3 circulera en moyenne. Sur l’axe Nord, 2 trains sur 5 circuleront. Sur les axes Est et Sud Est, 1 train sur 2 fonctionnera. Sur l’Axe Atlantique, 1 train sur 4. Du côté du réseau Ouigo, 2 trains sur 5 se déplaceront. Il n’y aura également que 2 TER sur 10. «Le détail des plans de transports régionaux est communiqué par SNCF Voyageurs dans chacune des régions», précise le communiqué de la SNCF. Sur les Intercités de jour, il n’y aura pas de circulation à l’exception d’un aller-retour Paris-Clermont, Paris-Limoges-Toulouse et Bordeaux-Marseille. I

- La circulation sera aussi très perturbée sur les lignes RER gérées par la SNCF, qui prévoit seulement un train sur 10 en moyenne. Il n’y aura ainsi aucun RER C aux heures creuses sur la ligne, et les RER D ne circuleront qu’aux heures de pointe «entre Goussainville et Châtelet et entre Paris gare de Lyon/Melun/ Corbeil Essonnes via Évry-Courcouronnes». Même constat pour le RER E, qui ne circulera qu’aux heures de pointe, entre Paris-Est et Meaux.

- Pour les bus Le trafic des bus sera «légèrement perturbé» avec une circulation en moyenne de 8 sur 10. En outre, «le service sera normal sur le Noctilien». Pour les tramways, le trafic sera normal sur les lignes T6, T4, T11, T3 et T8, et «quasi-normal» sur la ligne T3b.

- A la RATP l’intersyndicale da aussi appelé ce mercredi «tous les agents de l’entreprise à exprimer leur refus de cette contre-réforme des retraites en participant à la grève et à la manifestation du mardi 31 janvier». .

-Dans branche carburant : les salariés de TotalEnergies, qui avaient posé un préavis pour deux jours, ont finalement suspendu leur mouvement jeudi soir, afin de préparer le terrain pour la journée du 31. Après le 31 janvier, la CGT énergie a déjà prévu de nouvelles journées de grèves les 6, 7 et 8 février.

-Dans la santé, la fédération CGT Santé et Action Sociale a déposé un préavis de grève pour le 31 janvier, qui concerne notamment «les établissements sanitaires et sociaux, médico-sociaux de la fonction publique hospitalière». Un autre préavis spécifique a par ailleurs déjà été déposé pour le 2 février. Aucun autre syndicat du secteur sanitaire n’a pour l’heure fait de même.

- Dans la Poste , l’intersyndicale des postiers (CFDT, CFE-CGC, CGT, CFTC, UNSA, SUD) a de nouveau appelé à la grève le 31 janvier. La distribution des courriers et des colis, ainsi que l’accueil dans les bureaux de Poste, pourraient s’en retrouver perturbés.

- Les stations de ski devraient elles aussi être affectées par le mouvement de grève du 31 janvier. Les deux principaux syndicats de salariés de remontées mécaniques, Force ouvrière (FO) et la CGT, ont déposé un préavis de grève pour le 31 janvier.

- Dans le secteur aérien, l’USACcgt, un syndicat important de l’aviation civile, «a décidé de s’inscrire pleinement dans la journée unitaire de mobilisation du 31 janvier prochain», écrit-il dans un communiqué. En conséquence, il appelle l’ensemble des personnels de l’aviation civile «à se mettre massivement en grève et à participer aux manifestations».

- Dans l’Éducation nationale, les syndicats appellent également à poursuivre le 31 janvier le mouvement engagé le 19 janvier dernier. Les fédérations syndicales de l’éducation, de l’enseignement supérieur et la recherche «appellent les personnels à amplifier la grève le 31 janvier pour obtenir le retrait» de la réforme, lit-on dans un communiqué commun de l’intersyndicale. «La date du 31 janvier doit être encore plus forte que le 19 janvier», ajoute-t-elle.

Manif 19 Février: une énorme mobilisation

Manif 19 février: une énorme mobilisation

 

Il faut j’attendre à une énorme mobilisation pour cela que première journée de protestation contre la réforme des retraites. Plusieurs facteurs explicatifs. Peut-être la plus importante la question du pouvoir d’achat. Rarement en effet pouvoir d’achat aura subi une aussi grosse perte par rapport à l’inflation. Pour résumer les salaires auront étéBref une journée de protestation à caractère social mais aussi économique et politique. augmenté d’environ 3 % en moyenne pour une inflation de l’ordre de 6 %. Et pour 2023 on attend la même hausse des prix est la même pe

La mobilisation sera centrée sur une réforme des retraites à la fois injuste et inefficace d’autant qu’elle accentue les inégalités entre actifs et ne l’actif et surtout entre privé et public sans parler des autres inégalités concernant les salariés les moins favorisés avec des carrières longues et où des conditions de travail très pénible.
Mais le climat et plus généralement anxiogènes pour d’autres raisons avec la crise de l’énergie, crise à l’école, la crise de l’hôpital la montée de la sécurité et les risques géo stratégiques. Il y a aussi une dimension personnelle dans ce conflit avec le rejet de Macon soutenu par à peine 30 % de la population et qui va encore enregistrer une chute après cette journée.

 

rte de pouvoir d’achat au moins. Ce phénomène a déjà largement impacté la nature et le volume de la consommation des ménages. Ces derniers condamnés à faire face aux dépenses contraintes rognent sur les deux autres dépenses ajustables notamment les loisirs et l’alimentation.

 

Le revenu moyen par ménage tourne autour de 22 000 € parents. La perte officielle aura été de leur de 700 € par ménage sur l’année 2022. Mais compte tenu de l’obsolescence de l’indice des prix à la consommation la terre est en réalité près de 1000 €. Une perte identique est à attendre en 2023 d’autant que les taux d’inflation se cumulent.

 

 

« Ce sera une très très forte mobilisation. Il faut que ce soit du niveau de 1995, même de 2010 », a déclaré dimanche sur France 3 le numéro un de la CGT, Philippe Martinez.

Dans le Journal du dimanche, le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, a exhorté « un million » de Français « à déferler dans la rue » jeudi.

Même ministre du Travail Olivier Dussopt « pense qu’il y aura du monde dans la rue parce qu’il y a une mobilisation portée par de nombreuses organisations »« Les organisations syndicales ont une légitimité lorsqu’elles appellent à la grève ou à la manifestation », a poursuivi le ministre interrogé sur France Inter/France Télévisions et Le Monde. « C’est un droit. Je souhaite que ça ne se traduise pas par un blocage du pays car plein de gens souhaitent continuer à travailler », a-t-il précisé.

Le projet du gouvernement vise à reporter progressivement à 64 ans l’âge de départ à la retraite, au lieu de 62 ans actuellement, tout en accélérant l’allongement de la durée de cotisation. Les principaux syndicats, unanimement opposés à cette réforme, ont annoncé une première journée de grèves et manifestations le 19 janvier. L’ensemble de la gauche a appelé à rejoindre la mobilisation.

Selon un sondage Ifop pour le JDD, 68% des Français sont hostiles au projet, et 51% soutiennent le mouvement social. Une pétition en ligne lancée par les syndicats sur le site change.org contre une réforme « injuste et brutale » avait dépassé dimanche en fin de matinée les 330.000 signataires.

 

De son côté, Aurore Bergé, présidente des députés Renaissance, a affirmé dimanche dans le Grand Jury LCI-RTL-Le Figaro que cette réforme « sera adoptée et entrera en vigueur », avertissant par ailleurs que « le droit de grève n’est pas un droit de blocage »« On a un service minimum qui existe dans les transports et qui doit être exercé à la RATP et à la SNCF, et on a un service minimum d’accueil à l’école et je demande aux collectivités d’être particulièrement mobilisées », a-t-elle rappelé.

« L’idée n’est pas de montrer les muscles », a affirmé Aurore Bergé, tout en reconnaissant que « la réforme des retraites va demander des efforts à des millions de Français ».

Manif contre la construction d’une cathédrale

Manif contre la construction d’une cathédrale !

Quelque 270 personnes se sont rassemblées ce samedi 14 janvier à Privas, en Ardèche, pour protester contre la construction controversée d’une basilique à Saint-Pierre-de-Colombier, selon les chiffres de la préfecture du département. Les manifestants, arborant des drapeaux d’organisations écolos et  syndicales ( dont la CGT!) d’une fanfare se sont réunis en début d’après-midi dans une atmosphère calme devant le bâtiment de la préfecture, avec plusieurs prises de paroles de responsables.

L’objectif de la manifestation, selon les organisateurs, est de dénoncer la reprise dans «l’opacité» du chantier «démesuré» de l’église de Notre Dame des Neiges, lancé en 2018 puis suspendu en octobre 2020 suite à un arrêté préfectoral dans l’attente d’une étude environnementale. Cet arrêté a été à son tour abrogé en novembre 2022, ouvrant la voie à la reprise des travaux.

Le projet, né à l’initiative d’une communauté catholique créée dans le village après la Seconde Guerre mondiale, la Famille missionnaire de Notre-Dame, prévoit la construction dans ce village de 400 habitants d’une basilique pouvant accueillir 3500 personnes, ainsi que différents aménagements et annexes permettant l’accueil de pèlerins.

Il se heurte depuis 2020 à l’opposition du Parc naturel régional (PNR) des Monts d’Ardèche, dans lequel il est situé. Le Parc naturel a réaffirmé le 5 janvier, à l’issue d’une rencontre avec le préfet de l’Ardèche Thierry Devimeux, qu’il demeurait «défavorable à ce projet au regard du non-respect de (sa) charte». Il réclame en outre que lui soit transmise l’étude environnementale s du projet . La congrégation fait de son côté valoir dans un communiqué publié mercredi qu’il s’agit d’un «projet privé» sur lequel le PNR n’a «pas légalement, ni réglementairement à donner son avis». Elle estime en outre que «les inquiétudes liées aux problématiques écologiques sont désormais levées» après la conduite de l’étude environnementale.

Chine: Manif contre le président et le parti communiste

Covid Chine: Manif contre le président et le parti communiste

De nouvelles manifestations contre le président et le parti communiste chinois à propos de la gestion de la pandémie Covid qui paralyse la population et limite encore davantage les libertés. Les manifestants ont fait preuve d’une rare hostilité envers le président chinois et le PCC ce dimanche à l’aube.

Certes les manifestations ne sont pas générales dans un pays complètement cadenassé sur le plan démocratique mais le fait qu’elles émergent dans plusieurs villes témoignent d’un ras-le-bol plus général contre la politique sanitaire du pays voire contre le régime. Une vidéo largement diffusée sur internet et que l’AFP a géolocalisée a montré des personnes crier «Xi Jinping, démission !» et s’en prendre aussi au Parti communiste chinois, une très rare démonstration d’hostilité envers le président et le régime dans la capitale économique du pays, soumise au début de l’année à un épuisant confinement de deux mois.

La première protestation s’est déroulée dimanche à l’aube dans la rue Wulumuqi – le nom en mandarin de la ville d’Urumqi dans le Xinjiang (ouest) où dix personnes ont péri dans un incendie jeudi. De nombreux posts circulant sur les réseaux sociaux en Chine accusent les mesures anti-Covid d’avoir aggravé ce drame, de nombreuses voitures garées pour cause de confinement dans l’étroite ruelle menant à l’immeuble en flammes ayant entravé l’arrivée des secours.

Sur internet, des vidéos montraient une foule devant la cantine de l’université, réunie autour d’un orateur qui criait: «Ce n’est pas une vie normale, nous en avons assez. Nos vies n’étaient pas comme ça avant!» Une autre vidéo apparemment prise au même endroit montrait des étudiants criant: «démocratie et État de droit, liberté d’expression», mais elle a été rapidement retirée d’internet.
Une veillée à la mémoire des victimes de l’incendie d’Urumqi a aussi eu lieu à l’Université de Pékin, voisine de l’Université Tsinghua. Selon un étudiant y ayant participé, les protestataires ont commencé à se rassembler samedi soir vers minuit sur le campus, et la foule a atteint entre 100 et 200 personnes. «J’ai entendu des gens crier:  »non aux tests Covid, oui à la liberté »», a-t-il raconté, en montrant à l’AFP des photos et vidéos corroborant ses dires.
Des vidéos sur les réseaux sociaux ont par ailleurs montré une importante veillée à l’Institut des communications de Nankin (est), ainsi que de petits rassemblements à Xian, Wuhan (centre) et Canton (sud), mais l’authenticité de ces images n’a pas pu être vérifiée par l’AFP. Les hashtags relatifs aux protestations étaient censurés sur la plateforme Weibo, et les vidéos sensibles étaient effacées des sites de partage Duoyin et Kuaishou.

Des protestations sporadiques et parfois violentes ont déjà eu lieu à travers le pays ces derniers jours, notamment dans la plus grande usine d’iPhone du monde située à Zhengzhou (centre), ainsi qu’à Urumqi après l’incendie. Malgré plusieurs vaccins à disposition, et à rebours du reste du monde, la Chine continue d’imposer des confinements massifs dès l’apparition du moindre cas, à placer en quarantaine dans des centres les personnes testées positives, et à exiger des tests PCR quasi-quotidiens pour l’accès aux lieux publics.

La lassitude est grande après presque trois ans de restrictions drastiques imposées par le régime chinois. À cela s’ajoutent désormais des difficultés sur le plan économique avec une croissance qui s’écroule et qui pèse évidemment sur le budget des ménages et la consommation intérieure. Par ailleurs la demande internationale, elle, ralentit aussi

Manif vie chère de Mélenchon : Le fiasco

Manif vie chère de Mélenchon : Le fiasco ?


La recherche de la convergence des luttes annoncée par Mélenchon a abouti dimanche à un immense fiasco avec le refus des confédérations syndicales de s’y associer et une participation ridicule. Surtout quand l’objectif suprême visait à créer une atmosphère révolutionnaire. La marche contre la vie chère décidée par Mélenchon et ses alliés politiques risque de se retourner contre ses organisateurs. D’abord il y a une grande confusion entre responsabilité politique et syndicale. Les questions de pouvoir d’achat des salariés doivent d’abord être traitées dans les branches et entreprises et non dans la rue à l’initiative de partis politiques.

Cette marche a rassemblé tout ce que compte l’ultra gauche. (EELV, LFI, certains PS, les gauchistes révolutionnaires ) mais sans le parti communiste qui a raison refuse la confusion.

Toutes les confédérations syndicales ont d’ailleurs refusé de s’associer à cette marche.

Certes l’opinion publique soutient la revendication d’une revalorisation des revenus faces à une inflation galopante mais il n’est pas du tout certain qu’elle soutienne autant la démarche de l’ultra gauche qui a surtout un objectif politique, à savoir la contestation du pouvoir. Mélenchon a même souhaité donner un caractère révolutionnaire qui paraît assez dérisoire pour une manifestation qui n’a rassemblé que 30 000 personnes. Évidemment les organisateurs en comptent 5 fois plus.

En tout cas la mobilisation a été ridicule au regard d’une participation potentielle des ménages et des citoyens concernés.Sans parler des contradictions entre le slogan contre la vie chère et le slogan écologiste !

Le souvenir de cette manifestation sera d’ailleurs vite oublié après celle organisée par la CGT mardi ; une manifestation qui elle-même ne connaîtra pas un grand succès car organisée dans la précipitation et sans unité syndicale.

Manif vie chère ou marche politique ?

Manif vie chère : Le fiasco de Mélenchon ?


La recherche de la convergence des luttes annoncée par Mélenchon a abouti dimanche à un immense fiasco avec le refus des confédérations syndicales de s’y associer et une participation ridicule. Surtout quand l’objectif suprême visait à créer une atmosphère révolutionnaire.La marche contre la vie chère décidée par Mélenchon et ses alliés politiques risque de se retourner contre ses organisateurs. D’abord il y a une grande confusion entre responsabilité politique et syndicale. Les questions de pouvoir d’achat des salariés doivent d’abord être traitées dans les branches et entreprises et non dans la rue à l’initiative de partis politiques.

Cette marche a rassemblé tout ce que compte l’ultra gauche. (EELV, LFI, certains PS, les gauchistes révolutionnaires ) mais sans le parti communiste qui a raison refuse la confusion.

Toutes les confédérations syndicales ont d’ailleurs refusé de s’associer à cette marche.

Certes l’opinion publique soutient la revendication d’une revalorisation des revenus faces à une inflation galopante mais il n’est pas du tout certain qu’elle soutienne autant la démarche de l’ultra gauche qui a surtout un objectif politique, à savoir la contestation du pouvoir. Mélenchon a même souhaité donner un caractère révolutionnaire qui paraît assez dérisoire pour une manifestation qui n’a rassemblé que 30 000 personnes. Évidemment les organisateurs en comptent 5 fois plus.

En tout cas la mobilisation a été ridicule au regard d’une participation potentielle des ménages et des citoyens concernés.Sans parler des contradictions entre le slogan contre la vie chère et le slogan écologiste !

Le souvenir de cette manifestation sera d’ailleurs vite oublié après celle organisée par la CGT mardi ; une manifestation qui elle-même ne connaîtra pas un grand succès car organisée dans la précipitation et sans unité syndicale.

Prague :Grosse manif de Russes contre Poutine

Prague :Grosse manif de Russes contre Poutine

« Nous sommes contre Poutine », a déclaré Alexander Sibrimov, un étudiant de 19 ans venu manifester à Prague avec son père. « Nous ne sommes pas d’accord avec sa politique. C’est une façon de montrer au monde que les choses qui se passent en Ukraine ne sont pas bonnes. »

Moscou dit avoir déclenché une « opération militaire spéciale » visant à démilitariser et « dénazifier » son voisin et nie avoir pris pour cible des civils. L’Ukraine et ses alliés occidentaux dénoncent une invasion non provoquée.

La République tchèque abrite 45.000 Russes, ce qui représente la quatrième communauté étrangère de l’ancien pays communiste.

Près de 200.000 Ukrainiens vivaient en République tchèque – ce qui en fait la plus grande communauté étrangère – avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie le 24 février.

Le gouvernement tchèque estime que 300.000 Ukrainiens se sont réfugiés sur son sol.

 »

Manif des retraités pour le pouvoir d’achat

Manif des retraités pour le pouvoir d’achat
La conjoncture géostratégique écrase évidemment les problématiques intérieures y compris la principale question du pouvoir d’achat en France. Pour résumer concernant les retraités, les organisations ne peuvent se satisfaire d’une augmentation de 1 % environ au 1er janvier alors que la perspective d’inflation sera supérieure à 5 % en 2022. Mais une problématique qui concerne aussi les salariés.Une  large union de syndicats de retraités a appellé à une mobilisation nationale pour le pouvoir d’achat et les droits des retraités ce jeudi 24 mars. Des rassemblements ont lieu ou sont attendus dans une vingtaine de villes françaises, dont Paris, Marseille, Lyon et Bordeaux. Le groupement intersyndical appelant à la mobilisation comprend neuf membres : la CGT, l’Union confédérale des retraités FO, la CFTC, la CFE-CGC, FSU, Solidaires, Retraités de la fonction publique, LSR et Ensemble & Solidaires.

L’intersyndicale réclame l’indexation des retraites sur les salaires.

Les représentants des syndicats alertent sur l’inflation des prix qui provoque une hausse du coût de la vie pour les retraités et réclament l’augmentation de leur pouvoir d’achat.

«Nous ne voulons pas de prime, mais une véritable augmentation des pensions de retraite», a déclaré plus tôt cette semaine Marc Bastide, secrétaire général de l’UCR-CGT. La revalorisation des retraites au 1er janvier 2022 n’a pas satisfait les représentants syndicaux. «Les pensions ont augmenté en début d’année de 1,1%, alors que l’inflation est à 4%», constate Marylène Cahouet, responsable de la section retraités de la FSU.

Retraites: Manif jeudi

Retraites: Manif jeudi

Il est clair qu’avec l’envolée de l’inflation dont on prévoit une hausse d’au moins 5 % en 2022, les retraités seront aussi victimes de la dérive des prix. Revaloriser les pensions, renforcer et «humaniser» les services publics, notamment dans les zones rurales: une intersyndicale de personnes retraitées, dont la CGT, FO ou le SNES-FSU, a appelé lundi à une journée de mobilisation nationale jeudi.

 

Les retraités vont battre le pavé dans une vingtaine de grandes villes dont Paris, Marseille ou Lyon. Le cortège parisien partira à 14H00 de la place de la Bastille pour se diriger vers la République. L’inflation et l’heure du bilan du quinquennat d’Emmanuel Macron ont motivé l’intersyndicale à descendre dans la rue, trois mois après la dernière journée d’action nationale des retraités.

«Nous ne voulons pas de prime, mais une véritable augmentation des pensions de retraite», a déclaré lors d’une conférence de presse Marc Bastide, secrétaire général de l’UCR-CGT. Face à la hausse du coût de la vie, l’intersyndicale a réclamé la «réindexation des pensions sur l’évolution des salaires» et un «rattrapage» du gel des pensions.

UKRAINE: les Russes tirent sur une manif

 

UKRAINE: les Russes tirent sur une manif

Après des tirs sur des bâtiments publics notamment des hôpitaux, les Russes tirent  sur des manifestants pour les disperser.Une manifestation d’habitants de Kherson, ville du sud de l’Ukraine occupée par les forces russes, a été dispersée lundi par des tirs d’armes automatiques et de gaz lacrymogène, qui ont fait au moins un blessé, selon des vidéos de deux médias locaux.

Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba a dénoncé sur Twitter « les criminels de guerre russes (qui) ont ouvert le feu sur des gens sans armes qui manifestaient pacifiquement contre les envahisseurs ».e de la Crimée annexée par Moscou en 2014, est la première grande ville (plus de 200.000 habitants) dont se sont emparées les forces russes après leur invasion de l’Ukraine le 24 février. Elle a été depuis le théâtre de manifestations régulières de ses habitants contre l’occupant.

Un vaste rassemblement dimanche 13 mars avait fait l’objet de ce qui semblait être des tirs de sommation.

Manif anti pass : Seulement 32.100 MANIFESTANTS

Manif anti pass  : Seulement 32.100 MANIFESTANTS

 

 

La nouvelle manif anti pass qualifiée de « convoi de la liberté » n’a réuni qu’environ 32.100 personnes en France samedi, dont près de 7600 à Paris, selon des données communiquées par le ministère de l’Intérieur. C’est sans doute moins le nombre qu’on retiendra de cette manifestation que sa grande confusion. Une confusion sur les motifs qui reprennent des revendications très disparates voire contradictoires. Une confusion des politiques qui les soutiennent et vont de l’extrême droite à l’extrême gauche. Une confusion enfin des modes d’action qui rappellent  la fin des gilets jaunes avec des participants très pacifistes mais aussi des provocateurs et des anarchistes.

Deux problèmes semblent cependant émerger de cette confusion d’une part une sensibilité de plus en plus grande vis-à-vis non pas du pass vaccinal mais du pouvoir d’achat et plus profondément une crise démocratique très profonde avec une perte de crédibilité du politique, des technocrates, des médias et même des vrais experts.

Manif des syndicats gauchistes : une mobilisation insignifiante

Manif des syndicats gauchistes : une mobilisation insignifiante

 

La participation à la grève et aux manifestations du jeudi 27 janvier a été tellement insignifiante que très peu de médias en rendent compte.

« Plus de 150 000 » personnes se seraient mobilisées lors de 170 manifestations et rassemblements, selon la CGT. En faite nettement moins que la moitié.

À Paris , la participation était très faible, quelques milliers de personnes. A Marseille,  2 500, selon la préfecture de police .

A Lyon, environ 1 500 personnes, selon la police, ont aussi défilé dans un froid glacial à la mi-journée, avec des messages comme : « c’est notre travail qui crée les richesses », tandis qu’ils étaient 1 500, selon la police, à Rennes, 2 500, selon les syndicats.

A Lille, plusieurs centaines de personnes se sont également réunies, sous la bruine, tandis qu’à Calais, les manifestants étaient 150 à 200.

A Strasbourg, plusieurs centaines de personnes (600 selon la préfecture, 700 selon les organisateurs) manifestaient aussi dans l’après-midi, et environ 500 à Besançon, derrière une banderole « Notre pouvoir d’achat part en fumée. Ras le bol ! ». Les manifestants étaient quelque 600 à Dijon, tandis qu’en Corse la mobilisation était faible, avec environ 150 personnes à Bastia, selon les autorités.

Les syndicats déplorent qu’il n’y ait eu aucun « coup de pouce » au smic au cours du quinquennat, au-delà des augmentations automatiques, ni de relèvement du point d’indice pour les fonctionnaires. Ils demandent une augmentation du smic et du point d’indice et, plus généralement, de tous les salaires, allocations et pensions de retraite, dans un contexte de forte inflation (+ 2,8 % sur un an en décembre) et de dividendes record.

Le numéro un de la CFDT, Laurent Berger, est lui aussi favorable à la revalorisation des salaires. « Heureusement qu’il y a eu la puissance publique pour financer l’économie pendant cette période. Le patronat, il faut qu’il comprenne que, maintenant, il faut rendre un peu », a-t-il affirmé jeudi sur Europe 1. Mais le premier syndicat français ne joindra pas ses forces à l’intersyndicale jeudi, car « le fourre-tout ne marche pas ». En outre, la CFDT n’apprécie guère le radicalisme des syndicats gauchistes.

Manif Education nationale : très forte baisse de la mobilisation

Manif  Education nationale : très forte baisse de la mobilisation

Comme nous l’indiquions dans un article précédent, trop de grève tue la grève. Ainsi les syndicats très marqués à gauche se sont enivrés du parfum du succès de la première manifestation pour aussitôt décréter une nouvelle grève hier jeudi. En vérité un véritable fiasco. En effet les personnels tout autant que les parents n’ont pas suivi ce mouvement un peu irresponsable car trop précipité.
L’histoire se répète trop souvent dans les syndicats marqués par le gauchisme. On privilégie la lutte pour la lutte et non la lutte pour la satisfaction des revendications ; bref le mal structurel des syndicats Français trop marqués à gauche qui participent au discrédit du syndicalisme

Ils étaient 750 personnes à participer à la manifestation dans la capitale, selon la préfecture de police de Paris. Une semaine avant, ils étaient près de 78 000 personnes à manifester en France, dont 8 200 à Paris, selon le ministère de l’Intérieur. Le ministère n’a comptabilisé que 1,15% d’enseignants grévistes dans le premier degré (maternelle et élémentaire) et 2,18% dans le second degré (collège et lycée), contre plus de 38% dans le premier degré et près de 24% dans le secondaire la semaine précédente.

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