Archive pour le Tag 'majorité'

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Sondage- une majorité pour moins de fiscalité et de fonctionnaires

Sondage- une majorité pour moins  de fiscalité et de fonctionnaires

 

Le vrai changement, c’est maintenant mais pas celui de Hollande. Celui que souhaitent les français pour redonner de la compétitivité, relancer croissance et emploi. Hollande lui coure en faiat après l’opinion car les français n’ont pas besoin d’être convaincu par lui de la nécessité de baisser la fiscalité, de simplifier les procédures, de réduire le nombre de fonctionnaires. Ainsi, Selon le dernier baromètre BVA-BFM-Axys publié ce jeudi 9 janvier  les Français souhaitent à 74% la simplification des procédures de création d’entreprises qui ont un impact positif sur l’emploi. De même, 66% sont pour une diminution de la pression fiscale des entreprises. Et 56% réclament de réduire la dépense publique en limitant le nombre de fonctionnaires (23% seulement sont contre).  Ils sont également favorables à 51% (contre 24%) à « l’assouplissement des règles sur le marché du travail pour que les entreprises puissent embaucher et licencier plus facilement ». En revanche, 49% seulement se déclarent pour interdire le licenciement dans les entreprises qui font des bénéfices, une mesure longtemps prônée par les socialistes.

Sondage Ecotaxe: majorité de Français pour l’abandon total

Sondage Ecotaxe: majorité de Français pour l’abandon

Une majorité de Français est pour un abandon de l’écotaxe poids lourds, selon un sondage paru jeudi sur le site internet des Echos, avec une opposition plus marquée parmi les classes populaires et les sympathisants de droite.  57% des personnes interrogées sont favorables à un abandon pur et simple de la mesure, qui devait entrer en vigueur début 2014 et qui a été reportée sine die par le gouvernement, selon ce sondage réalisé les 5 et 6 novembre par l’institut CSA. Un tiers d’entre elles sont favorables à une mise « en oeuvre de ce projet à l’issue de la concertation engagée ».  »On observe un rejet massif de l’écotaxe parmi les classes populaires, avec 73% des employés et 66% des ouvriers qui se prononcent en faveur de son abandon définitif », souligne le CSA qui a réalisé ce sondage pour le quotidien Les Echos et l’institut Montaigne auprès d’un échantillon de 1006 personnes représentatif de la population.  »A l’inverse, les cadres et professions libérales sont favorables à sa mise en oeuvre après concertation (54%) », poursuit le CSA. Le rejet de l’écotaxe est particulièrement marquée dans la tranche d’âge 35-49 ans (66%). Les sympathisants de droite y sont majoritairement opposés (56%) et encore plus ceux du Front national (80%), selon ce sondage. Les sympathisants de gauche sont plus partagés, « 46% étant pour l’abandon et 46% pour la mise en place du projet ». « La surprise vient des sympathisants écologistes », relève le CSA, avec presque la moitié d’entre eux (49%) qui sont favorables à l’abandon de cette taxe. La position des personnes interrogées diffère aussi selon l’endroit où elles vivent. « Les communes rurales sont clairement les plus opposées à l’écotaxe », avec 68% de leurs habitants qui se prononcent contre, « l’impact perçu de cette mesure sur l’activité agricole jouant probablement là un rôle important ».  »Dans un contexte d’impopularité croissante, la division au sein même de l’électorat de gauche sur une mesure jusque là relativement consensuelle pose aujourd’hui un problème pour l’exécutif », conclut le CSA. 

 

Ecologie: Batho veut un débat sur le budget « au sein de la majorité »

Ecologie: Batho veut un débat sur le budget « au sein de la majorité »

 

Batho ne désarme pas et s’exprime encore. Elle sans doute raison sur le fond , elle qui n’appartient pas à l’énarchie, n’a qu’un petit bac et de représente pas grand-chose encore en politique. Ce qui explique l’acte de courage et d’autorité de Hollande et Ayrault ! « Ce qui est important, c’est que le débat puisse avoir lieu, c’est ce que j’ai regretté: il n’a pas eu lieu au sein du gouvernement et donc j’espère qu’il aura lieu au sein de la majorité parlementaire, notamment sur le budget du ministère de l’Ecologie », a-t-elle plaidé sur France Info.  Avant cela, a-t-elle précisé, « il y aura un débat à l’intérieur du groupe socialiste », qu’elle réintégrera à la rentrée, après avoir retrouvé fin juillet son siège de députée des Deux-Sèvres.  Jugeant « assez évident » qu’une différence de traitement existe entre elle et son ancien collègue du Redressement productif, Arnaud Montebourg, elle dit douter « que la France puisse affronter les problèmes qui sont devant elle aujourd’hui avec une conception (…) disciplinaire du débat au sein du gouvernement et du débat au sein de la gauche ».  Pour Mme Batho, « il faut investir sur des politiques qui vont nous permettre de redresser le pays, de créer des emplois, principalement la transition énergétique », selon elle « un grand enjeu de politique industrielle » mais aussi de pouvoir d’achat.  Interrogée sur le recadrage de la Cour des comptes concernant le soutien de l’Etat aux énergies renouvelables, elle y voit la critique d’une « politique qui a été celle du passé, de développement (…) sans objectif d’ensemble, sans volonté forte de transition énergétique ».   »On a souffert d’avoir en France un certain confort avec le nucléaire et donc on a pris trop de retard concernant le développement des énergies renouvelables », a-t-elle estimé, appelant le gouvernement à « faire des réformes très importantes ».  Assurant n’avoir « pas dit » que François Hollande manquait de vision écologiste, elle a cependant souhaité « que les actes correspondent aux discours maintenant » et que l’exécutif ne joue pas « +petit bras+ en ce qui concerne la transition énergétique ».  Selon elle, « il faut y aller à fond, de façon très volontariste, très puissante, en mettant le paquet et donc en investissant ».

 

Sondage patrimoine politique : la majorité des Français pour la publication

Sondage patrimoine politique : la majorité  des Français pour la publication

Alors que le patrimoine des trente-huit ministres a été publié en avril, la moitié des Français souhaiterait qu’il en soit de même de celui des députés et sénateurs et 31 % d’entre eux demandent qu’il soit consultable en préfecture.  C’est ce que révèle un sondage Ifop* à paraître dans Sud Ouest Dimanche. Le projet de loi sur la transparence de la vie politique et la lutte contre la fraude fiscale sera débattu dès ce lundi à l’Assemblée nationale. Le souhait de publication du patrimoine des parlementaires est majoritaire parmi les sympathisants du Front de gauche (63 %), du FN (56 %) mais aussi parmi ceux du Parti Socialiste (52 %), quand elle est minoritaire à l’UMP (40 %). 31% des sondés sont par ailleurs favorables à la consultation en préfecture de ce patrimoine par tout électeur, à condition qu’il s’engage à ne pas le divulguer. Seules 19 % des personnes interrogées sont favorables au respect de la confidentialité absolue et ne demandent ni publication, ni consultation. Dans sa version initiale, le projet de loi, annoncé par François Hollande au lendemain des aveux et de la mise en examen de l’ex-ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, pour blanchiment de fraude fiscale, prévoyait la publicité de ces déclarations, comme pour les ministres. Mais cette annonce avait suscité un tollé de protestations de la part des députés et sénateurs, notamment par Claude Bartolone (PS), président de l’Assemblée. Ces voix s’insurgeaient contre le «voyeurisme». En avril, un sondage Ifop pour le «Journal du dimanche» avait montré qe 63 % des personnes interrogées estimaient que le projet de loi sur le patrimoine des élus était «une mesure nécessaire pour garantir la transparence dans une démocratie moderne», contre 36 % pour qui elle constituait «une dérive malsaine ressemblant à du voyeurisme».

Fraude fiscale : un banquier suisse accuse des ministres français de l’actuelle et de la précédente majorité

Fraude fiscale : un banquier suisse accuse des ministres français de l’actuelle et de la précédente majorité

L’ex-associé gérant de la banque suisse Reyl Private Office de 2006 à 2010, un établissement qui a abrité le compte suisse de Jérôme Cahuzac, aurait fait des révélations surprenantes lors de son audition mercredi devant la commission d’enquête au Sénat sur le rôle des banques dans l’évasion des actifs financiers.  Selon le site internet du magazine Challenges, Pierre Condamin-Gerbier affirme être intervenu pour Reyl sur les dossiers d’une quinzaine de personnalités politiques ou proches de partis politiques ayant des comptes non déclarés en Suisse.  Le magazine Challenges rapporte les propos de Pierre Condamin-Berbier lors de son audition: «Je n’ai pas fourni de noms de fraudeurs aux enquêteurs pour des raisons de sécurité. Mais mes documents et mes notes sont consignés auprès d’une partie tierce et ils seront dévoilés quand mon environnement sera plus sûr. Il y a eu des menaces écrites et orales sur mon intégrité physique ainsi que celle de ma famille.» Pierre Condamin-Gerbier évoque une quinzaine de personnalités politiques impliquées dans une fraude fiscale en Suisse «dont des ministres de la précédente et de l’actuelle majorité». Ces déclarations feraient l’effet d’une véritable bombe si l’homme d’affaires dit la vérité et si les noms de ces personnalités sont dévoilés au grand public. Pierre Condamin-Gerbier doit être entendu de nouveau jeudi matin, à huit clos, par le député Yann Galut, rapporteur du projet de loi de lutte contre la fraude fiscale. Son témoignage intéresse d’autant plus les parlementaires que Condamin-Gerbier, installé à Lausanne, au bord du lac Léman, a été responsable de l’UMP en Suisse, notamment pendant la campagne électorale de 2007.

 

La majorité s’éffrite à l’assemblée nationale

La majorité s’éffrite à l’assemblée nationale

 

 

La majorité socialiste à l’Assemblée nationale diminue. Dimanche 9 juin,  le PS a perdu deux sièges, dans les législatives partielles des 1ères et 8ème circonscriptions des Français de l’étranger. La majorité socialiste à l’Assemblée n’est donc plus « que » de 292 sièges, alors que la majorité absolue est de 289 sièges.  Il y a avait d’abord la 1ère circonscription des Français de l’étranger, remportée par Frédéric Lefebvre (UMP). Selon des résultats non officiels, l’ancien secrétaire d’Etat a obtenu environ 54% des voix contre 46% pour le socialiste Franck Scemama, soit un écart d’environ 1.500 voix à l’échelle de la circonscription, qui regroupe les Etats-Unis et le Canada.   L’élection a été marquée par une très forte abstention de 86%, selon les chiffres fournis après l’ouverture des urnes électroniques, dimanche soir. Le ministère des Affaires étrangères devait annoncer plus tard les résultats officiels.  Dans le même temps, Meyer Habib (UDI), vice-président du Crif, a remporté la législative partielle organisée dans la 8e circonscription des Français de l’étranger face à Valérie Hoffenberg (UMP), selon des résultats quasi-définitifs communiqués de source gouvernementale.   Le candidat UDI obtiendrait environ 53,5% des suffrages contre quelque 46,5% pour sa rivale, dans cette circonscription qui regroupe 8 pays, dont Chypre, la Grèce, l’Italie, Israël, la Turquie.  Valérie Hoffenberg était soutenue notamment par le président de l’UMP Jean-François Copé, tandis que le candidat investi par l’UDI de Jean-Louis Borloo  Meyer Habib, 52 ans, est un proche du Premier ministre israélien « Bibi » Netanyahu.    Dimanche prochain a lieu le premier tour de la législative partielle de Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne). Cette circonscription, autrefois détenue par Jérôme Cahuzac, pourrait bien elle aussi basculer dans l’opposition.

 

Plan social PSA: majorité des syndicats pour

Plan social PSA: majorité des syndicats pour

A grand renfort de pétards, fumigènes et pneus enflammés, environ 200 manifestants, essentiellement des salariés de l’usine PSA Peugeot Citroën d’Aulnay-sous-Bois en grève depuis le 16 février et sous tension, ont donné le ton en début d’après-midi devant le siège parisien du constructeur automobile: ils restent farouchement opposés au plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) prévu pour le site de Seine-Saint-Denis et revendiquent toujours « un CDI pour tous et une préretraite dès 55 ans ».  Les élus du CCE étaient consultés sur le projet d’accord concernant les mesures d’accompagnement pour les salariés d’Aulnay et pour les 1.400 suppressions de postes à Rennes. En décembre, les syndicats avaient donné un avis défavorable (CGT et CFDT s’étaient abstenues).  Lundi, les élus du CCE des syndicats FO, CFE-CGC, CFTC et SIA-GSEA ont voté en faveur du plan, soit 15 des 20 élus. Les deux élus CGT (1er syndicat avec 23%) ont voté contre. Pour la CFDT, deux ont voté contre, un s’est abstenu.  Par ailleurs, les syndicats du groupe FO, CFE-CGC, CFTC, SIA-GSEA et y compris la CFDT ont indiqué qu’ils signeraient le projet d’accord. Des dissensions au sein de la CFDT sont apparues : au niveau du groupe, la CFDT va donner son aval au plan, alors que la CFDT d’Aulnay conteste depuis des mois –aux côtés de la CGT et SUD — les mesures prévues.  L’accord est « très largement majoritaire » avec la signature prévue de cinq organisations syndicales représentatives (sur six) qui représentent 76% des salariés, a dit à la presse Denis Martin, directeur industriel.  Ce qui n’empêchera pas les salariés d’Aulnay de « se battre jusqu’au bout », a lancé aux manifestants Jean-Pierre Mercier (CGT). « Ce n’est pas aux délégués centraux de décider pour les salariés d’Aulnay et de donner à la direction l’autorisation de nous licencier », a renchéri José Dequeiroz, délégué du personnel CFDT d’Aulnay.  Après d’ultimes consultations, la validation du plan social devrait intervenir dans la deuxième quinzaine d’avril.   »Plusieurs solutions d’emploi pour chaque salarié »  Lors des négociations, les syndicats ont obtenu des améliorations sur l’accompagnement des salariés touchés par la restructuration (11.214 suppressions de postes envisagées entre mai 2012 et mi-2014). Le projet d’accord prévoit des mesures de mobilité externe vers une entreprise venue s’installer sur les sites d’Aulnay ou de Rennes, l’accompagnement des mobilités internes ou des transitions professionnelle vers des entreprises partenaires du groupe, un dispositif senior.  La question de l’emploi demeure la principale pierre d’achoppement pour des salariés d’Aulnay.   »A chaque salarié nous proposons plusieurs solutions d’emploi », a assuré Denis Martin.  Selon lui, à ce jour, « il y a 3.750 solutions de reclassement identifiées pour les salariés d’Aulnay (2.550 salariés en CDI au 1er février): 1.650 solutions de reclassement en interne, 800 dans la réindustrialisation du site, 800 en CDI via le cabinet Sodie, 300 dans le cadre de transfert vers des entreprises comme la SNCF ou la RATP. Enfin 200 postes sont prévus pour des personnels fragiles face à l’emploi.  A Rennes, 1.800 solutions de reclassement sont comptabilisées, selon M. Martin, dont 400 en mobilité interne, 800 dans le cadre de la réindustrialisation et 600 CDI à l’extérieur via le cabinet Sodie.  Les chiffres ne rassurent en rien les grévistes d’Aulnay (moins de 200 selon la direction) qui disent « n’avoir pas encore vu la couleur de ces solutions de reclassement ».  Selon Philippe Julien, secrétaire CGT d’Aulnay, « les 3.750 postes de reclassement évoqués par la direction, c’est du flan! S’ils ont vraiment des possibilités de postes, que la direction les mettent dans l’accord et que le gouvernement contresigne ».  D’ores et déjà, plusieurs actions en justice ont été lancées (par SUD et la fédération métallurgie CGT) pour demander l’annulation des plans sociaux.

 

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