Archive pour le Tag 'majorité'

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Covid: Omicron responsables de la majorité des décès

Covid:  Omicron responsables de la majorité des décès

Désormais Omicron domine largement chez les nouveaux contaminés et de façon mécanique, le variant est responsable de la plupart des décès à l’hôpital.

Certains font observer que le nombre d’hospitalisations graves ont tendance à stagner. Des baisses assez peu significatives pour considérer qu’on est sorti de la crise. En effet il faudra encore plusieurs semaines sinon plusieurs mois afin d’amortir le choc de contamination à 300 400 000 par jour actuellement. Les chiffres de la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques (DREES) révèlent ce vendredi qu’Omicron pèse donc  lourdement sur le système de soin.

De plus, selon la Drees, les personnes non-vaccinées âgées de 20 ans ou plus sont particulièrement touchées par Omicron. Leur proportion est plus importante parmi le nombre de tests positifs et parmi les admissions à l’hôpital développé une forme grave de la maladie explose par rapport au reste de la population.

« Ensemble citoyens !: Maison commune » majorité et ou une maison de « pass » politique ?

« Ensemble citoyens !: Maison commune » majorité et ou une maison de « pass » politique  ?

Le grand projet de maison commune soutenu par Bayrou accouche d’une souris. Le centriste voulait en effet créer un grand parti commun ; en fait, il faudra se contenter d’une sorte de club de quelques chapeaux à plumes délivrant la bénédiction macronienne  pour les législatives. « Ensemble citoyens ! », nom ridicule s’il en est, ne pourra même pas recueillir l’adhésion de soutiens de Macron . En réalité, il réunira Castex , Ferrand, Bayrou  et Édouard Philippe .

Une composition pas tellement disruptive mais des politiques chevronnés qui n’ont pas grand-chose à apporter à la France hormis des investitures aux arrivistes. Parmi ces derniers , beaucoup des 260 députés d’en marche qui   seront éjectés des listes de candidats. Il faut dire que très peu ont réussi à se faire une place et a émerger de ce magma très composite recruté sur Internet et dans les instituts politiques.

La maison commune « ensemble citoyens » risque de demeurer une résidence très transitoire juste le temps de récupérer la précieuse onction des autorités majoritaires pour les législatives ; bref une sorte de maison de « pass politique « où vont se côtoyer anciens républicains mécontents, ancien socialiste reconverti, chômeurs politiques en quête d’un job et autre personnalités médiatique soudain converti à l’intérêt collectif. Une hétérogénéité qui ne gênera pas Macron puisque voulue par le monarque républicain qui ne veut surtout pas s’encombrer d’un parti.

Sondage énergie : une majorité pour un mix nucléaire-renouvelables

Enquête  énergie : une majorité pour un mix nucléaire-renouvelables

Selon un sondage d »Elabe,  52 % des personnes interrogées jugent ainsi que la France devrait tout à la fois développer les énergies renouvelables et construire de nouvelles centrales nucléaires pour remplacer les anciennes et rénover les existantes.

Les partisans exclusifs du nucléaire, qui voudraient stopper le développement du solaire ou de l’éolien, représentent 10 % de la population. A l’inverse, l’idée d’une sortie progressive du nucléaire, avec priorité donnée aux renouvelables - soit ce que proposent peu ou prou Yannick Jadot ou Jean-Luc Mélenchon - rassemble 37 % de la population.

Selon  le président d’Elabe, Bernard Sananès. , l(opinion publique  pour une solution de compromis.

lequel la France opterait, il devrait permettre de répondre à une forte hausse des besoins en électricité dans les décennies à venir.

Dans une vaste étude qui doit servir de base aux autorités pour trancher sur l’avenir du nucléaire et des renouvelables, RTE assure qu’atteindre la neutralité carbone est « impossible » sans développer les énergies renouvelables de manière significative, mais il souligne aussi que le lancement de nouveaux réacteurs EPR constitue une voie moins chère pour y parvenir.

Les  Français sont actuellement, d’après l’enquête d’Elabe, 73 % à juger que le nucléaire garantit l’indépendance énergétique de la France.

Sondage énergie : une majorité pour un mix nucléaire-renouvelables

Sondage énergie : une majorité pour un mix nucléaire-renouvelables

Selon un sondage d »Elabe,  52 % des personnes interrogées jugent ainsi que la France devrait tout à la fois développer les énergies renouvelables et construire de nouvelles centrales nucléaires pour remplacer les anciennes et rénover les existantes.

Les partisans exclusifs du nucléaire, qui voudraient stopper le développement du solaire ou de l’éolien, représentent 10 % de la population. A l’inverse, l’idée d’une sortie progressive du nucléaire, avec priorité donnée aux renouvelables - soit ce que proposent peu ou prou Yannick Jadot ou Jean-Luc Mélenchon - rassemble 37 % de la population.

Selon  le président d’Elabe, Bernard Sananès. , l(opinion publique  pour une solution de compromis.

lequel la France opterait, il devrait permettre de répondre à une forte hausse des besoins en électricité dans les décennies à venir.

Dans une vaste étude qui doit servir de base aux autorités pour trancher sur l’avenir du nucléaire et des renouvelables, RTE assure qu’atteindre la neutralité carbone est « impossible » sans développer les énergies renouvelables de manière significative, mais il souligne aussi que le lancement de nouveaux réacteurs EPR constitue une voie moins chère pour y parvenir.

Les  Français sont actuellement, d’après l’enquête d’Elabe, 73 % à juger que le nucléaire garantit l’indépendance énergétique de la France.

Éoliennes : une majorité favorable mais chez les autres !

Éoliennes : une majorité favorable mais chez les autres !

D’après un sondage de  l’Ifop et Le Journal du Dimanche  54% Sont favorables aux éoliennes, contre 46% qui ne se déclarent pas favorables à une telle démarche.

 Il est d’ailleurs remarquable de constater que l’opinion des habitants de l’agglomération parisienne et des communes urbaines est majoritairement acquise au déploiement d’éoliennes (57 à 60%), contrairement à celle des personnes vivant dans les communes rurales (43%).

Mais selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting, réalisé pour Le Figaro,  ce sont 17 points d’opinion positive qui ont été perdus par l’éolien tandis que parallèlement le nucléaire a gagné 17 points. Pour la première fois, une majorité de Français (51 %) a une vision positive du nucléaire.

Non seulement l’éolien ne plaît pas à tout le monde, mais son image s’est nettement dégradée en quelques années, contrairement à celle du nucléaire qui ne cesse de s’améliorer. En décembre 2019, seuls 39% des Français approuvaient cette énergie aujourd’hui fortement contestée. Ils sont désormais 51%.

Le nucléaire est notamment perçu par la population comme étant plus efficace sur le plan énergétique. Ce serait également une source d’énergie sur laquelle la France est le plus en avance sur ses voisins. Enfin, l’impact du nucléaire sur la beauté des paysages est perçu comme moindre que celui des éoliennes.

 

Bref une légère majorité en faveur des éoliennes mais une même majorité pour qu’elles soient chez les autres notamment chez les « bouseux ».

Éoliennes : une majorité favorable mais pas chez les autres !

Éoliennes : une majorité favorable mais chez les autres !

D’après un sondage de  l’Ifop et Le Journal du Dimanche  54% Sont favorables aux éoliennes, contre 46% qui ne se déclarent pas favorables à une telle démarche.

 Il est d’ailleurs remarquable de constater que l’opinion des habitants de l’agglomération parisienne et des communes urbaines est majoritairement acquise au déploiement d’éoliennes (57 à 60%), contrairement à celle des personnes vivant dans les communes rurales (43%).

Mais selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting, réalisé pour Le Figaro,  ce sont 17 points d’opinion positive qui ont été perdus par l’éolien tandis que parallèlement le nucléaire a gagné 17 points. Pour la première fois, une majorité de Français (51 %) a une vision positive du nucléaire.

Non seulement l’éolien ne plaît pas à tout le monde, mais son image s’est nettement dégradée en quelques années, contrairement à celle du nucléaire qui ne cesse de s’améliorer. En décembre 2019, seuls 39% des Français approuvaient cette énergie aujourd’hui fortement contestée. Ils sont désormais 51%.

Le nucléaire est notamment perçu par la population comme étant plus efficace sur le plan énergétique. Ce serait également une source d’énergie sur laquelle la France est le plus en avance sur ses voisins. Enfin, l’impact du nucléaire sur la beauté des paysages est perçu comme moindre que celui des éoliennes.

 

Bref une légère majorité en faveur des éoliennes mais une même majorité pour qu’elles soient chez les autres notamment chez les « bouseux ».

Un nouveau parti fédérateur pour la majorité ?

Un nouveau parti fédérateur pour la majorité ?

 

« Il est à craindre que ce nouveau parti unique du Président ne retrouve pas l’adhésion dégagiste qui avait en 2017 propulsé LREM au panthéon des victoires électorales d’anthologie » par Gilles Savary (dans l’OPINION)

 

 

Au moment où s’enchaînent les déclarations de candidature à l’élection présidentielle de l’an prochain, il est légitime que les camps en présence se mettent en ordre de campagne. Si Emmanuel Macron, accaparé par ses responsabilités, attend son heure pour sortir du bois, sa majorité sortante cherche la martingale lui permettant de créer une dynamique de campagne gagnante. L’équation n’est pas simple après des élections intermédiaires marquées par une nette attrition de sa base électorale et un retour palpable des identités politiques.

Certes, les institutions de la Ve République structurent la vie politique française autour de l’élection présidentielle, dans un rapport singulier entre le Président élu et le pays. Et à ce titre, Emmanuel Macron est mieux placé que ses prédécesseurs pour en relever le défi, mais rien ne dit cette fois que sa majorité sortante sera reconduite aux législatives par la seule vertu de l’inversion du calendrier. Son positionnement centriste n’est pas le plus confortable dans un jeu électoral français qui privilégie naturellement une bipolarisation, et son parti, La République en marche, qui lui a assuré bravement une majorité parlementaire loyale, n’a pas réussi son implantation politique.

Stéphane Séjourné, le conseiller politique de l’Elysée, y voit la nécessité de rebattre les cartes en remettant sur l’ouvrage le vieux rêve de François Bayrou d’un « parti démocrate ». Cette proposition n’aurait pas grand-chose à voir avec le grand « parti démocrate » américain qui s’affiche clairement à gauche sur un échiquier politique bipartisan, mais elle permettrait opportunément de ripoliner LREM et d’introduire une confusion sémantique et politique avec le MoDem, dont l’implantation est incomparablement plus forte que celle des députés sortants LREM. Il est cependant permis de douter de sa force d’attraction sur les électorats de droite et de gauche, dont Emmanuel Macron a impérativement besoin pour élargir sa base électorale.

On saura très vite si les autres composantes de la majorité, notamment la future formation de droite réformiste d’Edouard Philippe, s’embarqueront dans ce nouveau véhicule, et dans quelle configuration.

 Dans tous les cas, il est à craindre que ce nouveau parti unique du Président ne retrouve pas l’adhésion dégagiste qui avait en 2017 propulsé LREM au panthéon des victoires électorales d’anthologie.

Le dépassement « gauche-droite » étant la marque de fabrique d’Emmanuel Macron, il y a deux façons de l’envisager : soit, par acte de foi, en considérant qu’il doit s’accomplir au sein d’un parti unique du Président, mais avec le risque que les électeurs ne retrouvent pas l’ADN du dépassement dans une formation centriste et n’aient plus envie de délivrer un blanc-seing à un clone de LREM. Soit, le Président étant réélu, en allant chercher ailleurs des renforts extérieurs, de gauche et de droite, disposés à ne pas rester cinq ans en jachère gouvernementale, sur la base d’un programme de coalition à l’allemande. L’un n’exclut pas la nécessité de l’autre.

Plus que jamais, l’élection présidentielle sera la mère des batailles, joker de la dissolution en main pour l’heureux élu, s’il s’avérait difficile de trouver une majorité à l’Assemblée nationale.

Gilles Savary est ancien député PS de la Gironde et délégué général de Territoires de progrès.

Politique : Le «non au cannabis» torpille la diversité de la majorité

  • Politique : Le «non au cannabis» torpille la diversité de la majorité

 

  • dans le Figaro le journaliste Matthieu Deprieck estime que d’une certaine façon Macon a brutalement coupé l’air sous le pied des contestataires de la majorité qui sans doute aurait souhaité un débat plus ouvert laissant la place en particulier à la libéralisation du cannabis. Notons que la France est le pays au monde le plus consommateur de cette drogue qui fait surtout des ravages dans la jeunesse.

Article du Figaro

  • Le « oui, mais », le « en même temps », les « deux jambes », les phrases à rallonge. De tout cela, il n’était pour une fois pas question dans la bouche d’Emmanuel Macron. Dans un entretien au Figaro lundi, le chef de l’Etat a enfilé les habits du ministre de l’Intérieur pour résumer tout le mal qu’il pense du cannabis : « Dire que le haschisch est innocent est plus qu’un mensonge. Sur le plan cognitif, les effets sont désastreux. Combien de jeunes, parce qu’ils commencent à fumer au collège, sortent totalement du système scolaire et gâchent leurs chances ? Et je ne parle même pas des effets de glissement vers des drogues plus dures (…) On se roule un joint dans son salon et à la fin on alimente la plus importante des sources d’insécurité. »
  • Le président, jadis libéral, a éteint toute nuance sur un sujet, qui, justement, en réclame. Les vingt-huit députés membres de la mission d’information portant sur les usages du cannabis en savent quelque chose. Ils ont couvert toutes les sensibilités politiques et les six commissions permanentes de l’Assemblée pour, au terme d’un an d’auditions, conclure qu’on ne répond pas au cannabis « oui » ou « non ».
  • « C’est un sujet compliqué », confirme Agnès Firmin Le Bodo, députée Agir de Seine-Maritime. Elue de droite, ancienne adjointe à la sécurité au Havre, professionnelle de santé, elle était « plutôt opposée à ce que l’on autorise certains usages ». Après plus d’un an de travaux, elle a « lentement évolué vers l’idée que nous pouvons trouver un juste milieu ».
  • « Effets délétères ». « Si nous voulions arrêter tous les consommateurs, il faudrait procéder à 330 millions d’interpellations par an. Nous n’avons ni les moyens humains, ni les moyens financiers de mener une telle politique », ajoute Caroline Janvier, député LREM du Loiret, rapporteur du volet « cannabis récréatif ». De fait, la seule répression n’a pas empêché la France de devenir le premier consommateur de joints en Europe.
  • Ce sera une des leçons des deux rapports remis ces prochains jours : début mai pour le volet récréatif, à la mi-mai pour le rapport général, incluant le thérapeutique et le bien-être. Les députés de la majorité attendaient ce moment pour relancer le débat autour de la réglementation. Dans un souci d’apaisement, ils avaient écarté l’idée de déposer une proposition de loi et misaient plutôt sur des éléments à transmettre à leur futur candidat présidentiel. « Le débat doit avoir lieu en 2022. On ne peut pas l’ouvrir à la hussarde maintenant », explique Caroline Janvier.
  • « Rien ne dit que la vérité d’avril 2021 sera celle de janvier 2022 »
  • La position de fermeté prise par Emmanuel Macron vient leur couper l’herbe sous le pied. Comment espérer ouvrir un débat quand le futur candidat semble déjà sûr de lui ? Les députés de la majorité se raccrochent à ce qu’ils peuvent. « Sa position n’est pas si ferme que cela. Le Président dit qu’il faut un débat, eh bien, débattons », s’exclame Ludovic Mendes, député LREM de Moselle. « Cette consultation pourrait être intéressante si elle met vraiment à plat tous les enjeux de la consommation de cannabis », abonde le député LREM et porte-parole du parti, Roland Lescure. « La réflexion ne fait que commencer. Le Président propose un débat. Le rapport parlementaire peut l’alimenter. Il nous appartient de convaincre les Français que la légalisation est la meilleure solution », affirme Caroline Janvier.
  • Affaire de mots. Dans Le Figaro, le chef de l’Etat envisage effectivement un « grand débat national » mais son intitulé laisse peu d’espoir aux réformateurs : il devrait porter sur « la consommation de drogue et ses effets délétères ».
  • « Nous ferons notre travail en montrant que le débat est plus complexe que cela », ne se démonte pas Ludovic Mendes quand Roland Lescure espère que le chef de l’Etat lira les rapports de la mission d’information dont il fait partie. La porte n’est pas fermée, veulent-ils croire, même le député LREM des quartiers nord de Marseille, Saïd Ahamada, qui pourtant salue la fermeté d’Emmanuel Macron. « Les consommateurs de cannabis sont coresponsables de la situation dans les quartiers difficiles. Ils ont du sang sur les mains », dit-il, tout en jugeant que la question de la légalisation se posera, mais plus tard, quand la situation autour des points de deal sera revenue à un niveau plus contrôlable.
  • De toute façon, « rien ne dit que la vérité d’avril 2021 sera celle de janvier 2022 », se rassure un député de la majorité, favorable à ce que son futur candidat « bouge » sur la question lors de la prochaine présidentielle. Déjà en 2017, le cannabis avait valu à Emmanuel Macron des critiques en inconstance. Dans son livre Révolution, il semblait prendre position pour un assouplissement de la loi. Quand, quelques semaines plus tard, dans Le Figaro (déjà), il affirmait ne pas croire « à la dépénalisation des petites doses ». Il disait en réalité la même chose : il faut dresser des contraventions aux consommateurs plutôt que de les menacer de peines de prison inappliquées. Ce n’était qu’une affaire de mots : tendres dans Révolution, durs dans Le Figaro.

Remboursement des prêts PGE : une majorité d’entreprises ont demandé un délai supplémentaire

Remboursement des prêts PGE : une majorité d’entreprises ont demandé un délai supplémentaire

comme c’était prévisible une grande partie des entreprises sera dans l’incapacité de rembourser les prêts garantis par l’État dans le délai initial. Pour preuve une majorité ont demandé et obtenu un étalement supplémentaire Plus de la moitié des quelque 670.000 entreprises ayant reçu un prêt garanti par l’État ont opté pour une année supplémentaire avant de commencer à rembourser leur crédit, a fait savoir mardi la Fédération bancaire française.

Ces prêts, lancés en urgence en mars 2020 et distribués à prix coûtant par les banques, ont bénéficié – à la date du 19 mars – à 669.883 entreprises, pour un montant de plus de 135,9 milliards d’euros, a indiqué la fédération dans un communiqué, précisant que l’essentiel avait été contracté entre avril et juillet 2020.

À ce stade, «les entreprises font le choix de la précaution: environ la moitié ont aujourd’hui sur leurs comptes bancaires l’intégralité de leur PGE ; pour autant, la plupart choisissent de rembourser le plus tard possible, et 55% optent pour l’année supplémentaire de décalage du remboursement en capital», est-il ajouté.

Dans le détail, selon les informations reçues au 26 mars et encore susceptibles d’évoluer, environ 12% prévoient de rembourser dès 2021: 5% devraient l’amortir entre 2022 et 2023, 9% entre 2024 et 2025 et 74% choisissent la durée la plus longue possible pour une fin du prêt en 2026.

Les prêts garantis par l’État avaient été lancés en mars 2020 pour soutenir la trésorerie des entreprises face à la crise sanitaire. Dans la plupart des cas, ils sont très majoritairement couverts par l’État, à 90%, et pour 10% à la charge des banques. Il était initialement prévu que les entreprises qui bénéficient de ce prêt garanti n’aient aucun remboursement à effectuer la première année, pour ensuite pouvoir le rembourser dans un délai de 5 ans maximum.

Mais face au prolongement de la crise sanitaire, les banques se sont engagées début janvier à accepter de manière systématique de reporter d’un an supplémentaire le début de remboursement de ces prêts pour les entreprises en faisant la demande. Durant cette année supplémentaire, seuls les intérêts et le coût de la garantie d’État sont alors payés.

Politique–Le vide idéologique de la majorité face à l’islamisme (Francis Chouat)

 

Politique–Le vide idéologique de la majorité  face à l’islamisme (Francis Chouat)

La  république en marche officiellement s’efforce de déminer le terrain entre ceux  qui s’opposent dans la majorité  à propos de l’Islamo-gauchisme; cela pour préserver le en même temps d’Emmanuel Macron, Le député de l’Essonne (LREM), Francis Chouat,  considère que le peuple français a besoin d’espérance. Une quête de sens qui passera par la confrontation politique, selon lui. Une condamnation sans doute aussi par avance de la stratégie d’attrape tout envisagée par le président de république pour sa campagne présidentielle de 2022.

Proche de l’ex-premier ministre Manuel Valls, Francis Chouat , député de l’Essonne apparenté à La République en marche (LREM) dénonce la mollesse et la duplicité de la majorité face aux phénomènes de l’Islam au gauchisme (interview le Figaro). Il est membre de Territoires de progrès, parti de l’aile gauche de la majorité.

Dans une tribune au Monde, des ministres et députés LREM prennent leurs distances avec la polémique sur l’«islamo-gauchisme», fustigeant un «totem conceptuel». Pourquoi avez-vous jugé ce texte «insupportable» ?

 

Francis CHOUAT. - Parce qu’il est une insulte faite aux députés qui, comme moi, ont fait preuve d’un grand esprit de responsabilité en votant la loi contre le «séparatisme» islamiste. À lire ces responsables macronistes – qui ne disent pas un mot du projet de loi -, lutter contre l’«islamo-gauchisme», avatar de l’islamisme politique, reviendrait à défendre un «totem» étranger à toute réalité, voire s’adonner à un «fétichisme des termes». Leur tribune, aux allures de bouillie intellectuelle, renvoie dos à dos ceux qui combattent l’islamisme politique et ceux qui le supportent.

La majorité sans corpus idéologique face à l’islamisme (Francis Chouat)

 

La  république en marche officiellement s’efforce de déminer le terrain entre ceux  qui s’opposent dans la majorité  à propos de l’Islamo-gauchisme; cela pour préserver le en même temps d’Emmanuel Macron, Le député de l’Essonne (LREM), Francis Chouat,  considère que le peuple français a besoin d’espérance. Une quête de sens qui passera par la confrontation politique, selon lui. Une condamnation sans doute aussi par avance de la stratégie d’attrape tout envisagée par le président de république pour sa campagne présidentielle de 2022.

Proche de l’ex-premier ministre Manuel Valls, Francis Chouat , député de l’Essonne apparenté à La République en marche (LREM) dénonce la mollesse et la duplicité de la majorité face aux phénomènes de l’Islam au gauchisme (interview le Figaro). Il est membre de Territoires de progrès, parti de l’aile gauche de la majorité.

Dans une tribune au Monde, des ministres et députés LREM prennent leurs distances avec la polémique sur l’«islamo-gauchisme», fustigeant un «totem conceptuel». Pourquoi avez-vous jugé ce texte «insupportable» ?

 

Francis CHOUAT. - Parce qu’il est une insulte faite aux députés qui, comme moi, ont fait preuve d’un grand esprit de responsabilité en votant la loi contre le «séparatisme» islamiste. À lire ces responsables macronistes – qui ne disent pas un mot du projet de loi -, lutter contre l’«islamo-gauchisme», avatar de l’islamisme politique, reviendrait à défendre un «totem» étranger à toute réalité, voire s’adonner à un «fétichisme des termes». Leur tribune, aux allures de bouillie intellectuelle, renvoie dos à dos ceux qui combattent l’islamisme politique et ceux qui le supportent.

Italie : vers une majorité politique introuvable

 

Italie : vers une majorité politique introuvable

 

Il est clair que le départ de Renzi va ouvrir une nouvelle crise politique en Italie où le gouvernement d’entente était déjà très fragile. L’affaire a éclaté à l’occasion du lancement d’un énorme plan de soutien qui va encore accroître la dette record de l’Italie en Europe.

 

Renzi a laissé la porte ouverte au retour dans le bercail tant qu’un nouveau pacte politique pourrait être élaboré, mais ses partenaires ponctuels ont déclaré qu’ils ne voulaient plus rien avoir à faire avec lui.

«Nous ne pouvons pas retourner à la table des négociations avec lui», a déclaré Vito Crimi, chef du Mouvement 5 étoiles codirigé.

Les ructions politiques ont poussé jeudi l’écart entre les rendements des emprunts publics italiens et allemands à son plus grand niveau depuis plus d’un mois, tandis que les coûts d’emprunt ont légèrement augmenté par rapport aux récents creux records lors d’une vente aux enchères.

«Ouvrir une crise gouvernementale était un acte d’irresponsabilité sans précédent», a déclaré le ministre de l’Économie, Roberto Gualtieri, à la chaîne publique RAI, exprimant la colère généralisée de son parti PD face aux manœuvres de Renzi.

 

Au lieu de cela, Conte a signalé qu’il voulait porter son combat pour la survie au parlement, avec ses principaux partenaires de la coalition soutenant les plans pour essayer de trouver des législateurs soi-disant «responsables» parmi les rangs de l’opposition pour soutenir l’administration.

Si Conte ne peut pas trouver un moyen de rester au pouvoir, le président Sergio Mattarella pourrait chercher à mettre sur pied un gouvernement d’unité nationale à large assise pour sortir de l’impasse, qui a été accueillie avec consternation par de nombreux Italiens ordinaires.

«Nous sommes inquiets parce que la politique ne fonctionne jamais en Italie. Je ne sais pas pourquoi… il faut juste un peu de bon sens, surtout à un moment comme celui-ci », a déclaré Benito Gaetano, un habitant de la ville sud de Lamezia Terme.

 

Un pôle de gauche dans la majorité en marche, un oxymore

Un pôle de gauche dans la majorité en marche, un oxymore

Un papier de Gilles Savary , ancien député PS rend assez bien compte du pathétique destin des soldats socialistes perdus dans la macronie. L’ancien socialiste invite à rejoindre le tout nouveau courant de gauche de la macro ni. Un pôle de gauche serait à la macronie ce que la  gastronomie est à McDo . C’est aussi contradictoire que si on annonçait un pôle libéral dans un régime de dictature communiste.  Une hérésie autant qu’un oxymore ! Un papier qui rend compte du total désarroi idéologique de ce qui reste des socialistes surtout préoccupés d’alliance davantage que de visions.(Tribune dans l’opinion)

 

Soixante-quinze personnalités de gauche en ont appelé, dans le JDD, à la constitution d’un pôle de gauche au sein de la majorité présidentielle : « Territoires de progrès ». L’initiative en a été proposée à Jean-Yves Le Drian par ce qu’il reste du groupe informel des députés « Réformateurs », autoconstituée au sein du groupe socialiste de l’Assemblée nationale pour soutenir François Hollande face au travail de sape des frondeurs, qui a conduit un quinquennat doté d’atouts politiques sans précédents à l’Assemblée, dans les collectivités locales et même au Sénat, au naufrage politique que l’on sait.

Nous considérons que cette implosion du Parti socialiste est la conséquence finale du grand écart idéologique qu’il a longtemps entretenu entre des postures d’opposition gauchisantes et un réalisme gouvernemental qui a pu susciter des sentiments compréhensibles et sincères de « trahison » jusque dans ses rangs.

Nous pensons que cette voie n’est plus praticable à l’heure des réseaux sociaux, où ce qu’il reste du PS n’a plus le choix qu’entre des alliances avec des formations radicalisées, voire notoirement illibérales et le soutien à la majorité au pouvoir qui repose sur un socle de gauche laissé en jachère.

Notre mouvement ne vise pas à diviser LREM, en refusant d’y adhérer et d’en accueillir des adhérents, mais à structurer dans la majorité, en toute indépendance, un pôle social-démocrate aujourd’hui en jachère

Seconde voie. Nous choisissons une autre seconde voie, dans la clarté et l’indépendance de LREM, en refusant d’y dissoudre notre ancrage à gauche, pour trois raisons essentielles :

 

– nous nous reconnaissons dans la continuité et l’achèvement de réformes lancées par François Hollande comme le prélèvement à la source, la subrogation de la CAF dans le versement des pensions alimentaires, l’aboutissement des projets socialistes de réforme du marché du travail et de la PMA, la consolidation du CICE, et plus encore dans la première relance économique par la demande et par le pouvoir d’achat entreprise depuis 1983, consécutive à la crise des Gilets jaunes,

– nous avons une conscience aiguë que les démocraties traversent une grave crise de confiance, dont on veut éviter à la France les affres et les incertitudes et qui devrait inciter tous les démocrates de ce pays à serrer les rangs plutôt que d’en négliger les dangers,

– nous ne voulons pas laisser au centre-droit le rôle d’appui exclusif et paradoxal du président de la République dans la mise en œuvre du virage à gauche de l’acte 2 de son quinquennat.

Nous avons la conviction qu’Emmanuel Macron constituera encore le principal recours contre les illibéraux de gauche et de droite en 2022, mais qu’il devra asseoir ses futurs gouvernements sur une coalition dont nous devons préparer l’élargissement de la base politique.

Notre mouvement ne vise pas à diviser LREM, en refusant d’y adhérer et d’en accueillir des adhérents, mais à structurer dans la majorité, en toute indépendance, un pôle social-démocrate aujourd’hui en jachère.

Nous en avons la légitimité et la sincérité, pour avoir porté les couleurs du PS aux dernières élections législatives au prix d’y avoir perdu nos mandats face à des candidats LREM, avec la conviction que l’avenir du pays et de la République ne se construit pas sur des rancœurs et des rancunes.

Gilles Savary, ancien député PS, chroniqueur à l’Opinion.

«Une majorité de Français pour une régulation rigoureuse de l’immigration » ( Jérôme Fourquet, IFOP)

 «Une majorité de Français pour une régulation rigoureuse de l’immigration » ( Jérôme Fourquet, IFOP)

 

Il est clair que les récents attentats ont sans doute constitué la goutte qui a fait déborder le vase de la tolérance de nombre de Français vis-à-vis de l’immigration incontrôlée. Pas seulement de l’immigration à venir mais aussi de celle présente sur le territoire

«Quand on parle d’immigration aux Français, beaucoup d’entre eux raisonnent non pas seulement sur les “flux” mais sur le “stock”», décrit Jérôme Fourquet , Patron de l’institut IFOP.

D’après une enquête de l’IFOP, seuls 32% des Français considèrent que les pouvoirs publics luttent efficacement contre l’immigration clandestine. Une large majorité d’entre eux sont favorables à des mesures vigoureuses pour limiter les flux ; 78% pensent qu’il faut une immigration choisie et non pas subie ; 55% sont favorables à la suppression du regroupement familial. Enfin une majorité souhaite un changement de statut juridique pour obtenir la nationalité française ainsi la plupart souhaiterait qu’on se situe le droit du sang au droit du sol. 58% souhaitent l’instauration du droit du sang.

« Ségur de la Santé » accord d’une majorité

« Ségur de la Santé » accord d’une majorité

 

Un accord finalement rondement mené en quelques semaines sur la revalorisation essentiellement de la rémunération des personnels de santé a été finalisé et accepté par une majorité de syndicats. Bien entendu,  cet accord est loin de tout régler notamment la réorganisation du système sanitaire et en plus en plus concerne  essentiellement  les hôpitaux et leur personnel. Mais cette discussion montre qu’il est parfois possible d’aboutir rapidement à des compromis entre pouvoirs publics et les partenaires sociaux. “Oui, on s’engage là-dessus parce que cet accord, c’est un gain salarial”, avait annoncé dans la matinée sur France Info Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT. “Il y a des moments où il faut conclure, c’est le moment de conclure”, avait-il ajouté, évoquant un compromis très positif pour les personnels de l’hôpital public.

Force ouvrière a également indiqué, après consultation de sa base, avoir reçu un “mandat clair” pour valider ce protocole d’accord.

“Néanmoins, ajoute la centrale dans un communiqué, ce protocole de revalorisation n’est qu’une étape et ne serait être le solde de tout compte.”

FO estime ainsi que sur les conditions de travail, le financement des hôpitaux et l’investissement, l’issue de cette consultation n’est pas encore à la hauteur de ses attentes.

L’accord validé vendredi soir prévoit que la revalorisation de 180 euros des salaires mensuels du personnel non médecin de se fera en deux temps: en septembre prochain puis en mars prochain.

Le nouveau Premier ministre, Jean Castex, avait annoncé mardi soir qu’il ajouterait un peu plus d’un milliard d’euros à l’enveloppe destinée au personnel hospitalier paramédicaux, c’est-à-dire le personnel administratif, les infirmiers et les aides-soignants, la faisant passer ainsi de 6,4 à 7,5 milliards d’euros.

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