Archive pour le Tag 'majorité'

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Sondage Européennes : Seulement 17 % pour la majorité au pouvoir

Sondage Européennes : Seulement 17 % pour la majorité au pouvoir

 

Un  sondage Elabe pour BFMTV et la Tribune du Dimanche publié samedi montre un gouffre grandissant entre les intentions du Rassemblement national et celles de la majorité.

La liste portée par Jordan Bardella est créditée de 29,5% d’intention de vote, loin devant les 17% de Renaissance.

Le premier parti a gagné 2 points depuis la dernière mesure le 9 février, contre +0,5% pour la liste menée par Valérie Hayer.

Les autres listes de gauche ne sont pas distancées, avec chacun autour de 8 %:  8,5% pour le PS et 7,5% pour La France insoumise – qui perd 1,5 point sur un mois. Au total, le bloc de gauche cumule 25,5% d’intentions de vote.

À droite, les Républicains se maintiennent à 7% (-1 point), devant la liste d’extrême droite de Marion Maréchal, créditée de 4,5% d’intention de vote, en recul de 0,5 point sur un mois.
L’intérêt des Français pour les Européennes a enregistré une petite progression, pour arriver à 50%, selon notre sondage Elabe. Un scrutin dont l’intérêt pourrait être porté par la guerre opposant l’Ukraine et la Russie. 65% des sondés sont inquiets à l’idée que le conflit puisse se propager jusqu’à l’Hexagone.

La majorité pourrait toutefois être déstabilisée par la politique menée par le président Emmanuel Macron. Alors qu’il refuse d’exclure l’envoi de troupes occidentales sur le sol ukrainien, cette idée fait l’objet d’un fort rejet dans l’opinion. Au total, 79% des sondés y sont opposés.

 

Élections Européennes :Seulement 17 % pour la majorité au pouvoir

Élections Européennes :Seulement 17 % pour la majorité au pouvoir

 

Un  sondage Elabe pour BFMTV et la Tribune du Dimanche publié c samedi montre un gouffre grandissant entre les intentions du Rassemblement national et celles de la majorité.

La liste portée par Jordan Bardella est créditée de 29,5% d’intention de vote, loin devant les 17% de Renaissance.

Le premier parti a gagné 2 points depuis la dernière mesure le 9 février, contre +0,5% pour la liste menée par Valérie Hayer.

Les autres listes de gauche ne sont pas distancées, avec 8,5% pour le PS et 7,5% pour La France insoumise – qui perd 1,5 point sur un mois. Au total, le bloc de gauche cumule 25,5% d’intentions de vote.

À droite, les Républicains se maintiennent à 7% (-1 point), devant la liste d’extrême droite de Marion Maréchal, créditée de 4,5% d’intention de vote, en recul de 0,5 point sur un mois.
L’intérêt des Français pour les Européennes a enregistré une petite progression, pour arriver à 50%, selon notre sondage Elabe. Un scrutin dont l’intérêt pourrait être porté par la guerre opposant l’Ukraine et la Russie. 65% des sondés sont inquiets à l’idée que le conflit puisse se propager jusqu’à l’Hexagone.

La majorité pourrait toutefois être déstabilisée par la politique menée par le président Emmanuel Macron. Alors qu’il refuse d’exclure l’envoi de troupes occidentales sur le sol ukrainien, cette idée fait l’objet d’un fort rejet dans l’opinion. Au total, 79% des sondés y sont opposés.

 

Sondage Présidentielle 2027 : la majorité s’écroule

Sondage Présidentielle 2027 : la majorité s’écroule


À trois ans de l’échéance présidentielle, Marine Le Pen caracole en tête des intentions de vote et se place désormais en position de prétendante à la victoire selon un sondage Ifop-Fiducial* pour Valeurs Actuelles. Quel que soit le candidat estampillé macroniste en lice, la candidate du RN arriverait en tête au premier tour : en forte progression, elle obtiendrait 36% des voix, loin devant Édouard Philippe ou Gabriel Attal avec chacun 22% des suffrages.

Marine Le Pen obtiendrait 50% des voix face au maire du Havre et 51% en cas du duel avec l’actuel premier ministre. Face à Gabriel Attal, Marine Le Pen remporterait le match dans toutes les classes d’âge, sauf chez les plus de 65 ans, qui ne voteraient qu’à 38% en sa faveur.
Mélenchon en tête à gauche, mais distancé face à Le Pen
Vivement critiqué pour ses positions sur la guerre entre le Hamas et Israël, Jean-Luc Mélenchon écrase pourtant ses concurrents à gauche en conservant son socle de 14% d’intentions de vote. Fabien Roussel obtiendrait 4% des voix quand Olivier Faure (PS) et Marine Tondelier (EELV) ne dépasseraient pas les 2%, soit 0,5% de plus que Nathalie Arthaud (LO) et Philippe Poutou (NPA). Au total, les candidats de gauche engrangent 25% des intentions de vote, à peine de quoi se qualifier au second tour. En cas du duel Le Pen/Mélenchon, la patronne des députés RN l’emporterait largement avec 64% des voix.

À droite, entre le candidat estampillé macroniste et Marine Le Pen, l’espace est restreint. Éric Zemmour est une nouvelle fois donné quatrième homme du scrutin avec 6% des suffrages (soit un point de moins que son score de 2022). Laurent Wauquiez, discret depuis un an, ne totaliserait que 5,5% des voix (4,5% en cas de candidature d’Édouard Philippe).

*L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1 081 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1 216 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Élections européennes : la grande débâcle de Macron et de sa majorité

Élections européennes : la grande débâcle de Macron et de sa majorité

L’échéance des élections européennes du 9 juin pourrait se traduire par une véritable débâcle pour Macon et sa majorité. Une étude délabre pour la tribune montre en effet que cette majorité dégringole encore pour ne plus recueillir qu’un peu plus de 16 % au lieu de 18 il y a seulement un mois. Le Front National lui enregistre 27,5 % encore en hausse.

Un tel résultat assez vraisemblable pourrait créer les conditions pour une très grave crise économique, sociale et politique dès la rentrée 2024. Ce scrutin va encore confirmer le caractère ultra minoritaire d’un pouvoir qui aura échoué dans tous les domaines ( école, pouvoir d’achat, santé, sécurité, immigration, endettement). Un pouvoir qui laissera le pays dans un état catastrophique. Dès leur il y aura une légitimité politique a réclamé le départ de Macon et sa clique d’arrivistes incompétents et son courage.

Au Rassemblement national, malgré la perte de 1 point par rapport à janvier, la fidélité du socle joue à plein : dans ce sondage, 85 % des électeurs de Marine Le Pen disent vouloir voter pour la liste Bardella. Le RN récupérerait, au passage, près de la moitié (48 %) des Français qui ont soutenu Éric Zemmour à la dernière élection présidentielle.

À gauche, les rapports de force n’évoluent qu’à la marge. La liste La France insoumise conduite par Manon Aubry monte à 9 %, celle des écologistes à 9,5 %, quand la candidature de Raphaël Glucksmann, soutenue par les socialistes, se tasse légèrement pour s’établir à 9 %. Si on additionne les quatre principales listes de gauche, on arrive à 30 %, ce qui est à peu près le niveau des européennes de 2019. »

Majorité : un changement de gouvernement ou la dissolution de l’assemblée début 2024

Majorité : un changement de gouvernement ou la dissolution de l’assemblée début 2024

Après la très grande confusion qui a caractérisé le vote de la loi immigration, force est de constater la crise qui va sans doute s’installer de manière durable au sein même de la majorité. En effet un quart des députés de la majorité n’ont pas voulu soutenir le projet qui s’est dégagé de la commission mixte paritaire du Parlement soutenu par le gouvernement. Pire certains responsables et même des ministres ont menacé de démissionner.

A minima, le président sera donc bien obligé de procéder à un changement ministériel voire même un changement de gouvernement tellement la première ministre voire même le ministre de l’intérieur ont été usés par les péripéties de cette loi.

On pourrait aussi imaginer que face à une crise d’une telle ampleur que la dissolution de l’Assemblée nationale remette les compteurs à zéro pour repréciser l’appartenance des uns et des autres à la majorité comme à l’opposition.

Compte tenu du caractère particulier du président qui n’a cessé d’afficher des contradictions en même temps que son immobilisme, on peut imaginer que le pouvoir décidera de réformer a minima le gouvernement.

Pourtant avec cette réforme de l’immigration sonne la fin officielle de ce qu’on appelait le macronisme sorte de parenthèse politique confuse qui se traduit surtout par la gestion du pays par un homme seul, inexpérimenté, contradictoire et responsable d’amplification de grandes faiblesses dans le pays

Majorité : un changement de ministres, de gouvernement ou la dissolution

Majorité : un changement de ministres, de gouvernement ou la dissolution

Après la très grande confusion qui a caractérisé le vote de la loi immigration, force est de constater la crise qui va sans doute s’installer de manière durable au sein même de la majorité. En effet un quart des députés de la majorité n’ont pas voulu soutenir le projet qui s’est dégagé de la commission mixte paritaire du Parlement soutenu par le gouvernement. Pire certains responsables et même des ministres ont menacé de démissionner.

A minima, le président sera donc bien obligé de procéder à un changement ministériel voir même un changement de gouvernement tellement la première ministre voire même le ministre de l’intérieur ont été usés par les péripéties de cette loi.

On pourrait aussi imaginer que face à une crise d’une telle ampleur que la dissolution de l’Assemblée nationale remette les compteurs à zéro pour repréciser l’appartenance des uns et des autres à la majorité comme à l’opposition.

Compte tenu du caractère particulier du président qui n’a cessé d’afficher des contradictions en même temps que son immobilisme, on peut imaginer que le pouvoir décidera de réformer a minima le gouvernement.

Pourtant avec cette réforme de l’immigration sonne la fin officielle de ce qu’on appelait le macronisme sorte de parenthèse politique confuse qui se traduit surtout par la gestion du pays par un homme seul, inexpérimenté, contradictoire et responsable d’amplification de grandes faiblesses dans le pays.

Justice- La majorité des délinquances en France ne sont pas sanctionnées

Justice- La majorité des délinquances en France ne sont pas sanctionnées

L’ancien directeur général de la police nationale et vice-président (LR) chargé de la sécurité au Conseil régional d’Île-de-France), s’exprime dans un entretien à la « Tribune » sur la lutte contre la délinquance.

Reprenez-vous à votre compte le terme d’« ensauvagement » utilisé par Gérald Darmanin ?

FRÉDÉRIC PÉCHENARD – Non, je n’utilise pas cette expression. Je préfère dire qu’il y a en France une augmentation des violences et des tensions et que c’est un problème de société. C’est indéniable et c’est inquiétant.

La CRS 8 et ses quatre déclinaisons locales participent-elles à faire baisser le niveau de violences ?

Le besoin de forces mobiles qui se déplacent rapidement est réel. De ce que j’observe, la création de la CRS 8 est une idée intéressante et le développement de nouvelles compagnies dans les Régions va dans le même sens. Dès que vous mettez des gens en tenue quelque part, ça fait baisser le niveau de tension, mais de façon ponctuelle. C’est tout le sujet des forces mobiles ; on ne parle pas de pérennité, ce n’est pas leur rôle.

Comment traiter le problème de fond ?

Il ne faut pas réduire la lutte contre la délinquance à l’augmentation du nombre de policiers. Il faut également mettre fin à l’impunité. Cesare Beccaria écrivait : « L’importance dans la sanction, ce n’est pas sa sévérité, c’est sa certitude. » Aujourd’hui, la majorité des vols et des délits en France ne sont pas sanctionnés. Les amendes ne sont pas payées, il y a des réductions automatiques de peine, les délinquants ne vont pas en prison. C’est cet effritement de la sanction qui favorise le sentiment d’impunité.

Je n’utilise pas l’expression « ensauvagement ».

Je préfère dire qu’il y a une montée des violences

Selon vous, comment y remédier ?

C’est entre les mains du régalien. Il faut augmenter le nombre de comparutions immédiates pour qu’au sortir de la garde à vue les délinquants soient jugés, et pas des mois voire des années après. Pour cela, les moyens de la justice doivent être revus à la hausse.

Et pour les mineurs, quelles solutions suggérez-vous ?

Certains pays comme le Danemark ont mis en place de très courtes peines de prison, de l’ordre d’une semaine, même pour les mineurs. Cela permet d’avoir une sanction immédiate en évitant la déscolarisation et la désocialisation.

Délinquances : la majorité en France ne sont pas sanctionnées

Délinquances : la majorité en France ne sont pas sanctionnées

L’ancien directeur général de la police nationale et vice-président (LR) chargé de la sécurité au Conseil régional d’Île-de-France), s’exprime dans un entretien à la « Tribune » sur la lutte contre la délinquance.

Reprenez-vous à votre compte le terme d’« ensauvagement » utilisé par Gérald Darmanin ?

FRÉDÉRIC PÉCHENARD – Non, je n’utilise pas cette expression. Je préfère dire qu’il y a en France une augmentation des violences et des tensions et que c’est un problème de société. C’est indéniable et c’est inquiétant.

La CRS 8 et ses quatre déclinaisons locales participent-elles à faire baisser le niveau de violences ?

Le besoin de forces mobiles qui se déplacent rapidement est réel. De ce que j’observe, la création de la CRS 8 est une idée intéressante et le développement de nouvelles compagnies dans les Régions va dans le même sens. Dès que vous mettez des gens en tenue quelque part, ça fait baisser le niveau de tension, mais de façon ponctuelle. C’est tout le sujet des forces mobiles ; on ne parle pas de pérennité, ce n’est pas leur rôle.

Comment traiter le problème de fond ?

Il ne faut pas réduire la lutte contre la délinquance à l’augmentation du nombre de policiers. Il faut également mettre fin à l’impunité. Cesare Beccaria écrivait : « L’importance dans la sanction, ce n’est pas sa sévérité, c’est sa certitude. » Aujourd’hui, la majorité des vols et des délits en France ne sont pas sanctionnés. Les amendes ne sont pas payées, il y a des réductions automatiques de peine, les délinquants ne vont pas en prison. C’est cet effritement de la sanction qui favorise le sentiment d’impunité.

Je n’utilise pas l’expression « ensauvagement ».

Je préfère dire qu’il y a une montée des violences

Selon vous, comment y remédier ?

C’est entre les mains du régalien. Il faut augmenter le nombre de comparutions immédiates pour qu’au sortir de la garde à vue les délinquants soient jugés, et pas des mois voire des années après. Pour cela, les moyens de la justice doivent être revus à la hausse.

Et pour les mineurs, quelles solutions suggérez-vous ?

Certains pays comme le Danemark ont mis en place de très courtes peines de prison, de l’ordre d’une semaine, même pour les mineurs. Cela permet d’avoir une sanction immédiate en évitant la déscolarisation et la désocialisation.

Justice: la majorité des délits en France ne sont pas sanctionnés

Justice: la majorité des délits en France ne sont pas sanctionnés (Frédéric Péchenard)

L’ancien directeur général de la police nationale et vice-président (LR) chargé de la sécurité au Conseil régional d’Île-de-France), s’exprime dans un entretien à la « Tribune » sur la lutte contre la délinquance.

Reprenez-vous à votre compte le terme d’« ensauvagement » utilisé par Gérald Darmanin ?

FRÉDÉRIC PÉCHENARD – Non, je n’utilise pas cette expression. Je préfère dire qu’il y a en France une augmentation des violences et des tensions et que c’est un problème de société. C’est indéniable et c’est inquiétant.

La CRS 8 et ses quatre déclinaisons locales participent-elles à faire baisser le niveau de violences ?

Le besoin de forces mobiles qui se déplacent rapidement est réel. De ce que j’observe, la création de la CRS 8 est une idée intéressante et le développement de nouvelles compagnies dans les Régions va dans le même sens. Dès que vous mettez des gens en tenue quelque part, ça fait baisser le niveau de tension, mais de façon ponctuelle. C’est tout le sujet des forces mobiles ; on ne parle pas de pérennité, ce n’est pas leur rôle.

Comment traiter le problème de fond ?

Il ne faut pas réduire la lutte contre la délinquance à l’augmentation du nombre de policiers. Il faut également mettre fin à l’impunité. Cesare Beccaria écrivait : « L’importance dans la sanction, ce n’est pas sa sévérité, c’est sa certitude. » Aujourd’hui, la majorité des vols et des délits en France ne sont pas sanctionnés. Les amendes ne sont pas payées, il y a des réductions automatiques de peine, les délinquants ne vont pas en prison. C’est cet effritement de la sanction qui favorise le sentiment d’impunité.

Je n’utilise pas l’expression « ensauvagement ».

Je préfère dire qu’il y a une montée des violences

Selon vous, comment y remédier ?

C’est entre les mains du régalien. Il faut augmenter le nombre de comparutions immédiates pour qu’au sortir de la garde à vue les délinquants soient jugés, et pas des mois voire des années après. Pour cela, les moyens de la justice doivent être revus à la hausse.

Et pour les mineurs, quelles solutions suggérez-vous ?

Certains pays comme le Danemark ont mis en place de très courtes peines de prison, de l’ordre d’une semaine, même pour les mineurs. Cela permet d’avoir une sanction immédiate en évitant la déscolarisation et la désocialisation.

La majorité des vols et des délits en France ne sont pas sanctionnés

La majorité des vols et des délits en France ne sont pas sanctionnés (Frédéric Péchenard)

L’ancien directeur général de la police nationale et vice-président (LR) chargé de la sécurité au Conseil régional d’Île-de-France), s’exprime dans un entretien à la « Tribune » sur la lutte contre la délinquance.

Reprenez-vous à votre compte le terme d’« ensauvagement » utilisé par Gérald Darmanin ?

FRÉDÉRIC PÉCHENARD – Non, je n’utilise pas cette expression. Je préfère dire qu’il y a en France une augmentation des violences et des tensions et que c’est un problème de société. C’est indéniable et c’est inquiétant.

La CRS 8 et ses quatre déclinaisons locales participent-elles à faire baisser le niveau de violences ?

Le besoin de forces mobiles qui se déplacent rapidement est réel. De ce que j’observe, la création de la CRS 8 est une idée intéressante et le développement de nouvelles compagnies dans les Régions va dans le même sens. Dès que vous mettez des gens en tenue quelque part, ça fait baisser le niveau de tension, mais de façon ponctuelle. C’est tout le sujet des forces mobiles ; on ne parle pas de pérennité, ce n’est pas leur rôle.

Comment traiter le problème de fond ?

Il ne faut pas réduire la lutte contre la délinquance à l’augmentation du nombre de policiers. Il faut également mettre fin à l’impunité. Cesare Beccaria écrivait : « L’importance dans la sanction, ce n’est pas sa sévérité, c’est sa certitude. » Aujourd’hui, la majorité des vols et des délits en France ne sont pas sanctionnés. Les amendes ne sont pas payées, il y a des réductions automatiques de peine, les délinquants ne vont pas en prison. C’est cet effritement de la sanction qui favorise le sentiment d’impunité.

Je n’utilise pas l’expression « ensauvagement ».

Je préfère dire qu’il y a une montée des violences

Selon vous, comment y remédier ?

C’est entre les mains du régalien. Il faut augmenter le nombre de comparutions immédiates pour qu’au sortir de la garde à vue les délinquants soient jugés, et pas des mois voire des années après. Pour cela, les moyens de la justice doivent être revus à la hausse.

Et pour les mineurs, quelles solutions suggérez-vous ?

Certains pays comme le Danemark ont mis en place de très courtes peines de prison, de l’ordre d’une semaine, même pour les mineurs. Cela permet d’avoir une sanction immédiate en évitant la déscolarisation et la désocialisation.

Du miel en majorité importé !

Du miel en majorité importé !

À juste titre, la profession s’inquiète des volumes considérables de miel importé à tel point que le miel français devient minoritaire en France lors de la consommation. En cause surtout la bataille des prix avec du miel étranger moins cher mais qui n’offre pas les mêmes garanties de sécurité sanitaire que le miel français. Une centaine d’apiculteurs de la région Centre-Val-de-Loire ont donc manifesté ce jeudi à Paris pour réclamer des aides et une réglementation de l’importation du miel étranger à bas prix.

«c’est la première fois qu’on a autant de miel sur les fermes qu’on n’arrive pas à vendre», a remarqué Laurence Marandola, porte-parole de la Confédération paysanne, troisième syndicat agricole français, lors du même point presse. La production française de miel a été particulièrement bonne ces deux dernières années. Selon une estimation d’organisations professionnelles, elle s’élève à 33.900 tonnes en 2023, après 30.600 tonnes en 2022.

De leur côté, «les importations continuent à des prix scandaleux, à moins de deux euros le kilo, en particulier en provenance d’Europe de l’Est», a déploré Laurence Marandola. Mais dans les rayons, le prix du miel n’a pas baissé pour les consommateurs français, a-t-elle ajouté, en dénonçant des «surmarges» dans la filière, chez les négociants ou distributeurs.

Retraites complémentaires : majorité de syndicats pour la revalorisation de 4,9 %

Retraites complémentaires : majorité de syndicats pour la revalorisation de 4,9 %

Les syndicats très majoritaires chez les salariés comme du côté patronal ont apporté leur accord officiel au projet de revalorisation de 4,9 % des pensions du privé.

La CFDT, la CFTC, et FO, représentant une majorité des salariés du privé, ont annoncé lundi qu’ils signeraient ce nouvel accord.

Selon les termes de l’accord, les pensions des 13 millions de retraités allocataires de l’Agirc-Arrco seront revalorisées de 4,9% dès le 1er novembre, au niveau de l’inflation. Entre 2024 et 2026, la revalorisation des pensions pourrait être moindre : en fonction de la conjoncture économique, la hausse pourrait être sous-indexée de maximum 0,4 point en dessous de l’inflation. Mais le conseil d’administration pourra choisir de la ramener au niveau de l’inflation.

L’accord supprime aussi le « malus », décote temporaire de 10% qui s’appliquait depuis 2019 sur les pensions de nombreux retraités pourtant partis en ayant réuni toutes les conditions légales. Il sera supprimé dès le 1er décembre pour les nouveaux retraités, puis à partir d’avril pour l’ensemble des retraités concernés.

Outre ces revalorisations, l’accord scelle l’union du patronat et des syndicats sur un point majeur: leur refus d’organiser un « tuyau financier » vers l’Etat, qui leur réclamait entre 1 et 3 milliards d’euros annuels d’ici 2030 pour participer au financement du relèvement des petites pensions prévu par la réforme des retraites, et au « retour à l’équilibre » du système global.

Politique: Un président, un gouvernement et une majorité non représentatifs (Charles de Courson)

Un président, un gouvernement et une majorité non représentatifs (Charles de Courson)


Pour le chef de file du groupe centriste Liot, Charles de Courson il y a un déni de démocratie dans ce pays. L’intéressé considère en effet que le pouvoir en place n’a été élu que par 25 % des 47 % qui ont bien voulu voter. Soit à peine 12 % des électeurs . Du coup, il conteste le droit à cette minorité présidentielle de vouloir diriger seule le pays. Charles de Courson a réitéré sa ferme opposition à la réforme des retraites. Selon lui, le gouvernement va doit mettre fin « au déni de démocratie ».

L’homme politique a tenu à rappeler que les députés macronistes n’avaient qu’une majorité relative à l’Assemblée nationale. « Dans le pays, ils sont ultra-minoritaires », a encore martelé Charles de Courson.

« Comment voulez-vous diriger une démocratie avec une base aussi étroite? », a interrogé celui qui siège à l’Assemblée nationale depuis 1993.
Fermement opposé au report de l’âge légal de départ à la retraite, le député centriste s’est aussi dit optimiste pour qu’un débat ait lieu le 8 juin prochain à l’Assemblée: Charles de Courson et son groupe ont en effet déposé une proposition de loi pour abroger la réforme. Elle pourrait être examinée en hémicycle à cette date.

Alors que la Première ministre Élisabeth Borne juge « dangereux et irresponsable » cette proposition Liot, le chef de file a lui répondu que ce qui était « dangereux pour la démocratie » était l’utilisation de l’article 49.3 par le gouvernement pour faire passer la réforme.

Un président, un gouvernement et une majorité non représentatifs (Charles de Courson)

Un président, un gouvernement et une majorité non représentatifs (Charles de Courson)


Pour le chef de file du groupe centriste Liot, Charles de Courson il y a un déni de démocratie dans ce pays. L’intéressé considère en effet que le pouvoir en place n’a été élu que par 25 % des 47 % qui ont bien voulu voter. Soit à peine 12 % des électeurs . Du coup, il conteste le droit à cette minorité présidentielle de vouloir diriger seule le pays. Charles de Courson a réitéré sa ferme opposition à la réforme des retraites. Selon lui, le gouvernement va doit mettre fin « au déni de démocratie ».

L’homme politique a tenu à rappeler que les députés macronistes n’avaient qu’une majorité relative à l’Assemblée nationale. « Dans le pays, ils sont ultra-minoritaires », a encore martelé Charles de Courson.

« Comment voulez-vous diriger une démocratie avec une base aussi étroite? », a interrogé celui qui siège à l’Assemblée nationale depuis 1993.
Fermement opposé au report de l’âge légal de départ à la retraite, le député centriste s’est aussi dit optimiste pour qu’un débat ait lieu le 8 juin prochain à l’Assemblée: Charles de Courson et son groupe ont en effet déposé une proposition de loi pour abroger la réforme. Elle pourrait être examinée en hémicycle à cette date.

Alors que la Première ministre Élisabeth Borne juge « dangereux et irresponsable » cette proposition Liot, le chef de file a lui répondu que ce qui était « dangereux pour la démocratie » était l’utilisation de l’article 49.3 par le gouvernement pour faire passer la réforme.

Onu et Ukraine: Une majorité massive pour le retrait immédiat des troupes russes


Onu et Ukraine: Une majorité massive de pays pour le retrait immédiat des troupes russes

Défaite écrasante de la Russie après le vote la résolution de l’Assemblée générale qui a recueilli 141 votes en sa faveur, 7 en sa défaveur et 32 abstentions, dont celles de la Chine et de l’Inde. Une résolution qui exige le retrait immédiat des troupes russes d’Ukraine

Parallèlement la Chine rend public son plan de paix:

« Toutes les parties doivent soutenir la Russie et l’Ukraine pour travailler dans la même direction et reprendre le dialogue direct aussi vite que possible », estimé ainsi le ministère des affaires étrangères chinois.

« L’arme nucléaire ne doit pas être utilisée et il ne faut pas se livrer à une guerre nucléaire », stipule également le document intitulé « Position de la Chine sur le règlement politique de la crise ukrainienne ».

« Il faut s’opposer à la menace ou au recours à l’arme nucléaire », affirme-t-il, alors que le président russe Vladimir Poutine a brandi cette menace.

La Chine demande par ailleurs aux deux pays d’éviter toute attaque contre des civils. « Les parties [impliquées] dans le conflit doivent se conformer strictement au droit humanitaire international, éviter d’attaquer des civils ou des bâtiments civils », souligne le ministère.

Officiellement neutre, la Chine appelle à respecter la souveraineté des Etats, y compris de l’Ukraine, tout en exhortant la communauté internationale à prendre en compte les préoccupations de Moscou en matière de sécurité.

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