Archive pour le Tag 'mairie'

Duralex: Lucie Castets payée par la mairie de Paris en visite de Première ministre…potentielle

Duralex:  Lucie Castets payée par la mairie de Paris en visite de Première ministre…potentielle

 

En voilà une au moins qui ne manque pas de culot d’abord en inversant les rôles et en demandant d’être nommé Première ministre par le président de la république, ensuite en effectuant un petit tour de France aux frais de la princesse alors qu’elle est  payée par la mairie de Paris.( Une visite d’autant plus curieuse qu’une solution a été trouvée pour l’usine de Duralex à Orléans avec le projet de coopérative). La visite de Lucie Castets a comme un parfum de récupération un peu tardive.
« Mais que vient faire la directrice des finances de la ville de Paris, madame Castets chez Duralex? Personne n’est dupe. Elle, qui s’est quasiment auto-proclamée Première ministre, vient faire un ‘coup de com’, une petite récupération politicienne. C’est cela la nouvelle gauche? », a-t-il tancé sur Twitter (ex-Twitter).

« Lamentable », a-t-il ajouté avant de prier: « Arrêtez vos petites manœuvres et laissez les salariés de Duralex travailler dans la sérénité, loin de la médiocrité politique, pour réussir ce beau projet de Scop pour lequel je me suis tant battu ».

Le 26 juillet dernier, lorsque le site industriel avait reçu le feu vert du tribunal de commerce pour sa reprise en coopérative, Serge Grouard avait loué avec soulagement « un projet industriel que nous avons dès le début trouvé très robuste, permettant de maintenir la totalité des emplois actuels ».

Un apport important d’argent publique est notamment prévu pour maintenir l’activité de l’usine. Ainsi la collectivité locale compte racheter le site de la verrerie pour une somme estimée entre 5 et 8 millions d’euros, tandis que la région a promis de doubler l’apport au capital des salariés, d’apporter une avance remboursable d’un million d’euros et de participer avec la Banque publique d’investissement (BPI) « à garantir les prêts bancaire ».

Le « sérieux » de Lucie Castets : Près de 10 milliards de dettes à la mairie de Paris

Le « sérieux » de  Lucie Castets : Près de 10 milliards de dettes à la mairie de Paris

Le NFP Pour justifier d’avoir choisi une marionnette pour le poste de première ministre vante surtout le sérieux de l’intéressée. En réalité, celle qui a été conseillère d’Hidalgo et a surtout réussi l’exploit de faire monter le déficit de la mairie de Paris à près de 10 milliards. Une situation qui d’ailleurs pourrait conduire à la mise en tutelle.
Pourtant l’intéressé ne manque pas d’aplomb, ni visiblement d’ambition. Il s’agit en effet pour le poste de première ministre de trouver une majorité, de la diriger, de gouverner le pays et de le sortir de la crise économique et politique. Autant de critères complètement étrangers à cet inconnue marionnette choisie pour être manipulée à volonté par les courants contradictoires de la gauche.

Une candidature des « Républicains » contre Dati à la mairie de Paris ?

Une candidature des « Républicains » contre Dati à la mairie de Paris ?

Le président des républicain Éric Ciotti n’exclut pas désormais une candidature officielle du parti pour les élections municipales de Paris contre Richada Dati.

Invité de France 5 mercredi soir, le député des Alpes-Maritimes n’a pas «exclu» de désigner une figure estampillée LR face à la maire du 7e arrondissement de Paris. «Tout est possible, on n’est pas dans le temps des municipales, mais en tout cas, Les Républicains seront présents à Paris», a assuré Éric Ciotti.

Si le patron de la droite laisse la porte entrouverte, il s’est montré moins catégorique et tranché que le chef de file des députés LR Olivier Marleix. Devant l’Association des journalistes parlementaires (APJ) ce mercredi, l’élu d’Eure-et-Loir a tout simplement affirmé que «les Républicains auront leur candidat, qui ne sera pas Rachida Dati». Et ce, peu de temps après la démission de cette dernière de la présidence du groupe d’opposition «Changer Paris», comme l’avait révélé Le Figaro dès mardi.

ÉMEUTES: Attaques contre les mairie par les trafiquants de drogue

ÉMEUTES: Attaques contre les mairie par les trafiquants de drogue

Ce sont un peu naïvement étonné des les attaques contre les biens publics mais surtout contre les mairies. En effet pourquoi viser les mairies en général il n’y a pas grand-chose à piller. Simplement parce que cela représente l’institution républicaine la plus proche mais surtout parce que de plus en plus de mairies ont engagé une lutte acharnée pour se débarrasser du trafic de drogue. C’était un particulier le cas à L’Haÿ-les-Roses dont le maire a été personnellement l’objet d’actions criminelles.

Ce maire a été particulièrement courageux et clair sur les responsabilités des attaques contre les mairies. Il a nettement affirmé qu’il convenait désormais de ne plus voiler les yeux quant aux responsabilités criminelles des trafiquants de drogue.

Ces derniers en effet ont eux des objectifs politiques et sociétaux visant à interdire définitivement la présence de toute force de police sur leur territoire qui freine leur juteux business.

Invité au 20 heures de TF1, le maire de L’Haÿ-les-Roses Vincent Jeanbrun est donc revenu sur l’attaque à la voiture-bélier qui a visé domicile dans la nuit de samedi à dimanche. Depuis le début des soirées d’émeutes en réaction à la mort de Nahel, plusieurs élus ont été visés. Une attaque qui pose plus généralement la question de la protection des élus et représentants d’institutions ou d’organisations publiques.( Élus bien sûr mais aussi médecins, pompiers, enseignants etc.).

« Ils voulaient brûler la maison, nous tuer. Le véhicule était clairement dirigé pour venir percuter la façade de la maison et la véranda », raconte l’édile.

« Après avoir mis le feu à la voiture, ils ont pris des conteneurs de poubelles et en ont fait une espèce de chemin pour que les flammes puissent atteindre la véranda », poursuit Vincent Jeanbrun. « Il n’y a aucun doute sur le fait qu’ils voulaient brûler la maison. »

« Ils ont compris qu’il y avait quelqu’un à l’intérieur. Loin d’arrêter, ils ont déclenché une salve de tirs de mortiers complètement folle », dénonce-t-il.

En prenant la fuite avec ses deux jeunes enfants, son épouse s’est fracturé le tibia. « Elle a payé de sa personne pour sauver nos enfants. Elle a fait un acte de bravoure extraordinaire », a dit le maire de L’Haÿ-les-Roses.

Municipales Strasbourg : encore une écolo à la tête de la mairie

  • Municipales Strasbourg : encore une écolo à la tête de la mairie
  • Phénomène relativement nouveau en France: encore une femme et une écolo qui prend la tête d’une grande ville. Jeanne Barseghian est devenue samedi officiellement la première maire écologiste de Strasbourg, déclarant «l’état d’urgence climatique» pour la ville alsacienne dont elle veut faire «la capitale européenne de la transition écologique, sociale et démocratique».
  •  «Je porterai de manière indissociable la réponse aux trois grands défis qui sont devant nous: le défi écologique, le défi social et le défi démocratique», a déclaré la nouvelle maire, après avoir obtenu 53 votes favorables. Onze conseillers se sont abstenus. «Notre environnement nous envoie des signaux de plus en plus forts et de plus en plus fréquents et il n’est plus question de détourner le regard. C’est le moment de regarder le monde tel qu’il est et de poser des actes forts, ambitieux et collectifs», a affirmé la juriste de 39 ans.
  • Jeanne Barseghian a présenté, dès ce premier conseil municipal, une déclaration d’«état d’urgence climatique» pour Strasbourg, comme l’ont déjà fait certaines villes comme Paris ou Barcelone. «Cette déclaration marque mon ambition en matière de transition écologique du territoire», a-t-elle expliqué. Émue aux larmes en fin de discours en s’adressant à sa famille présente dans l’hémicycle du conseil municipal, la nouvelle maire de Strasbourg a reçu l’ovation debout de l’ensemble des conseillers municipaux, y compris d’opposition.

Mairie de Paris: Griveaux sort son propre sondage !

Mairie de Paris: Griveaux sort son propre sondage !

 

Selon un sondage maison commandé par Benjamin niveau près d’OpinionWay publié vendredi. ,  la maire socialiste de Paris, Anne Hidalgo, le député La République en marche (LaRem) Benjamin Griveaux et la candidate Les Républicains (LR) Rachida Dati sont dans un mouchoir de poche en matière d’intentions de vote pour les élections municipales, selon un sondage OpinionWay publié vendredi. Un sondage

Ce sondage  a l’avantage de faire apparaître le recul Hidalgo, et la marginalisation à 12 %. de Villani. Notons que d’autres sondages mettaient Griveaux et Villani à égalité. . Bref du bricolage méthodologique qui  interroge sur la vie démocratique. Il serait sans doute urgent d’interdire aux candidats de publier des sondages qu’ils financent.  En tout cas, le sondage de Griveaux rompt avec les résultats de celui du JDD

Selon cette  enquête Ifop-Fiducial pour le Journal du dimanche et Sud Radio, , 24% des voix iraient à une liste de la majorité municipale « Paris en commun » menée par Anne Hidalgo et soutenue par le PS, le Parti Communiste, Les Radicaux de Gauche, Centre et Indépendants. Avec 17%, la seconde place reviendrait à une liste LREM conduite par Benjamin Griveaux, deux points devant celle menée par Cédric Villani (15%). En quatrième place avec 14% des voix, le sondage place une liste LR conduite par Rachida Dati, juste devant une liste Europe-Ecologie-les-Verts (EELV) menée par David Belliard (13%).

Viennent ensuite à égalité avec 5% une liste LFI conduite par Danielle Simonnet et une liste Agir menée par Pierre-Yves Bournazel. Une liste soutenue par le RN pilotée par Serge Federbusch est créditée de 4%. Et la liste menée par l’ex-conseiller communication de François Hollande Gaspard Gantzer recueillerait 1% des voix, devant une liste d’extrême-gauche (0,5%).

Interrogés sur ce qui va jouer un rôle déterminant dans leur choix, les sondés citent en premier lieu la propreté (69%), devant la lutte contre la pollution (65%) et la sécurité des biens et des personnes (63%). Viennent ensuite la maîtrise des impôts (59%), le développement économique et l’emploi (55%) et l’environnement, la lutte contre le dérèglement climatique (55%), devant l’amélioration de la circulation (51%) et l’urbanisme, l’aménagement de la ville (48%).

Mairie de Paris– : le choix entre un oligarque et un scientifique créatif

Mairie de Paris– : le choix entre un oligarque et un scientifique créatif

 

Très proche de Macron, Griveaux  pensait bien que la charge de maire de Paris lui revenait de droit du fait  précisément de sa proximité avec le chef de l’État. Du reste, le sulfureux comité de désignation des candidats REM l’avait désigné par avance. Le problème, c’est que Villani a à juste raison contesté cette procédure de désignation bureaucratique. Sur le fond,  il s’agit de savoir si les sélecteurs parisiens sont prêts à se satisfaire d’un oligarque prétentieux et sans beaucoup d’originalité  ou s’ils sont prêts à confier les clés de la ville un scientifique créatif comme Villani. Il semble bien que Villani n’ait  guère apprécié le piège dans lequel il est tombé dans l’appareil de la république en marche. Certes il a été élu député grâce à cette étiquette mais il n’avait pas besoin de ce mandat compte tenu de sa réputation scientifique internationale. Villani s’est aperçu que la république en marche était une sorte d’armée sans idée avec la discipline en plus. Pas vraiment l’idée qu’il se faisait de la politique, lui qui préfère la démocratie participative, la créativité et le dynamisme.  . Le mathématicien star a indiqué mercredi qu’il fera connaître ses intentions le 4 septembre. Comme le révélait déjà le JDD, les préparatifs pour sa candidature dans la capitale vont en fait bon train. S’il confirme celle-ci, Cédric Villani entrerait en dissidence contre La République en marche (LREM) et Benjamin Griveaux, officiellement choisi par le parti présidentiel en juillet. Le mathématicien ne gênerait pas seulement les siens, mais aussi la gauche. Notamment Anne Hidalgo, la maire sortante.

Avec Cédric Villani candidat, c’est Benjamin Griveaux, l’ancien porte-parole du gouvernement, qui est directement mis en danger. Certes, le mathématicien sera alors « exclu [de LREM] dans la minute », selon les termes de Stanislas Guerini, le patron du parti. Mais cela n’arrêtera pas le député qui a qualifié, la semaine dernière dans Paris Match, de « vicier » la procédure d’investiture interne.

Jeudi matin, lors d’un point presse, Benjamin Griveaux semblait d’ailleurs un peu décontenancé. « Nos équipes ont travaillé tout l’été, échangé sur les propositions que je souhaitais faire à Cédric », des échanges consignés « dans la lettre de trois pages » adressée le 23 août et qui restait pour l’heure sans réponse.

En fait il semble bien que Benjamin Rigaud constate lui-même son manque de popularité scellée parisiens. Un cadre de la majorité, cité par l’AFP, n’a « pas le sentiment que Benjamin Griveaux fait son trou, mais que Villani fait le sien ». Et de rappeler que l’enjeu est de taille : « Une partie de la victoire des municipales se jouera à Paris […] Je ne vois pas le président de la République laisser Paris » à l’opposition.

Au vu des scores d’En marche à Paris lors de la présidentielle et des législatives de 2017, Benjamin Griveaux pouvait faire figure de favori pour défaire la maire socialiste Anne Hidalgo.

Le 4 juillet, lors de son grand meeting organisé dans le cadre de la campagne interne à LREM, Cédric Villani lançait à la tribune : « Je peux être le premier maire écologiste de Paris. » Et de porter une proposition forte sur le sujet : « Je le dis à la maire sortante : l’avenir de l’écologie à Paris ne s’écrira pas à coup de com’ et d’arbres plantés entre le béton et le bitume. J’assumerai de réinstaurer des quotas d’espaces verts dans chaque opération d’aménagement. »

Les propos ne visaient pas seulement Anne Hidalgo, mais s’adressaient aussi aux électeurs écologistes. Depuis 20 ans, les Verts ne cessent de progresser à Paris, aux élections nationales comme locales. Aux municipales de 2008, Denis Baupin faisait 6,78% et, en 2014, Christophe Najdovski parvenait à la troisième place avec 8,86%.

Pour 2020, Europe Ecologie-Les Verts, crédité de 13 à 15% dans les sondages, a désigné David Belliard comme tête de liste. Ce dernier souffre toutefois d’un certain déficit de notoriété. A l’inverse du médaillé Fields.

La présidente du groupe LR à la mairie de Paris à la soupe !

La présidente du groupe LR à la mairie de Paris à la soupe !

Nouvelle désertion au sein des républicains avec le départ de la président LR à la mairie de Paris. Non seulement une démission mais un ralliement à Macron. Sans doute comme d’autres pour sauver sa place en espérant un positionnement favorable sur la future liste en Marche lors des municipales de Paris. Une attitude  assez lamentable mais qui est conforme aux convictions sulfureuses des produits d’institut politiques qui ont transformé la politique en métier. De ce point de vue, en marche est complètement noyauté par ce type de profil. Pour justifier sa position l’intéressé trouve des accents gaullistes au discours de Macron, notamment sa capacité à rassembler. Une capacité relative quand on sait que Macron n’a réuni aux européennes que moins de 25 % des électeurs et que 70 % de l’opinion condamnent sa politique. En tout cas ce nouveau débauchage confirme que le nouveau parti républicain de droite n’est pas à construire, il existe déjà avec en marche ;

Candidat mairie de Paris : Griveaux, charismatique comme un huissier !

Candidat mairie de Paris : Griveaux, charismatique comme un huissier !

C’est avec une certaine précipitation que Griveaux a quitté le gouvernement pour préparer sa candidature à la mairie de Paris, ce qui par parenthèse vient perturber un peu le calendrier des échéances avec d’une part la sortie du grand débat aussi l’importante échéance des élections européennes. Il faut dire que Griveaux a pour l’instant un sérieux handicap dans sa conquête de la mairie de Paris. En effet son image est assez détestable car dans sa mission de porte parole du gouvernement il s’est montré le plus souvent très condescendant voire méprisant en tout cas très partial. Son profil d’énarque le prédestinait sans doute davantage à être préfet de police que maire de Paris. Même quand il sourit, c’est visiblement de manière un peu forcée. On a un peu du mal à croire à ses propos car Griveaux manque sérieusement de charisme voire de conviction. C’est un peu l’archétype de l’oligarque énarchique compatible avec n’importe quel parti (il est passé du PS à Macron). Si Griveaux a quitté le gouvernement c’est surtout pour combattre ces concurrents d4En marche  qui eux aussi briguent l’investiture municipale. Il est assez surprenant que V ait fait  son cheval de bataille de la démocratie participative lui qui en général prend plutôt la posture d’un oligarque distant et condescendant. Bref, une sorte de ne copier coller de Macron mais sans la verve et le talent. Ne reste alors que la prétention et l’arrogance.

Migrants- Allemagne : une candidate à la mairie de Cologne poignardée

 

Migrants- Allemagne : une candidate à la mairie de Cologne poignardée

Après les propos racistes, la haine…le crime. La candidate indépendante mais soutenue par le parti d’Angela Merkel pour la mairie de Cologne (Allemagne), très impliquée dans l’aide aux réfugiés, a été poignardée samedi sur un marché, dans un climat de tension croissante autour de la politique de la chancelière allemande sur la crise migratoire. Henriette Reker se trouvait sur un stand d’informations de l’Union chrétienne-démocrate (CDU) quand elle a été attaquée par un homme de 44 ans qui l’a grièvement blessée au cou à la veille des élections. L’agresseur, interpellé juste après les faits, « a dit qu’il avait commis cet acte avec une motivation raciste », a annoncé la police. Henriette Reker est notamment chargée de l’accueil des réfugiés à la ville de Cologne. Henriette Reker, grièvement blessée au cou par un homme de 44 ans chômeur de longue durée « pas actif politiquement », « était responsable de la prise en charge des réfugiés » à la mairie de Cologne, a expliqué Wolfgang Albers, directeur de la police de Rhénanie. « Dans ce contexte, l’accent est mis sur un acte politique », a-t-il ajouté. Le site du quotidien Bild a publié une photo de l’arme blanche, un couteau de chasse de 40 cm, utilisée par l’agresseur qui disposait également d’une deuxième lame. D’après Bild, quatre autres personnes ont été blessées mais sont hors de danger. L’état d’Henriette Reker, hospitalisée, est stable mais préoccupant, indique le compte Twitter de la candidate. Le coupable s’est rendu à la police et est interrogé à l’heure actuelle.

Nathalie Kosciusko-Morizet candidate à la mairie de Paris

Nathalie Kosciusko-Morizet candidate à la mairie de Paris

 

La droite a peut être trouvé une crédible pour la mairie de Paris après le probable abandon de Fillon. Il y aura d’autres candidature comme celle de l’incontournable Rachida Dati mais bien épieu crédible du faiat de ses revirements permanents et de sa personnalité fantasque (elle cherche toujours le père de son enfant !).  Le député de Paris Bernard Debré (UMP) a vendu la mèche vendredi. « Si (l’ancien Premier ministre) François Fillon était candidat, je serais derrière lui, mais il semble qu’il ne le soit pas. Je pense qu’il a pris sa décision, il l’a dit, il va le dire officiellement (…) C’est Nathalie Kosciusko-Morizet qui va y aller », a-t-il déclaré au Talk Orange-Le Figaro.  L’entourage de la député-maire de Longjumeau (Essonne) confirme. « L’ensemble des consultations qu’a menées Nathalie Kosciusko-Morizet, y compris avec François Fillon (qu’elle a rencontré jeudi, ndlr), sont un encouragement à présenter sa candidature à la primaire », confie un proche. François Fillon, élu député à Paris en 2012, et dont la rumeur de la candidature a couru plusieurs mois, aurait finalement décidé de se réserver pour la présidentielle de 2017, selon un de ses proches. Il devrait faire connaître sa décision « dans les jours ou les semaines qui viennent », selon le député-maire du XVe Philipe Goujon.  L’effacement de M. Fillon devrait permettre à l’ancienne ministre de l’Ecologie de se lancer. Mais à une condition, souligne son entourage: que l’UMP organise pour désigner son candidat des primaires ouvertes à tous les électeurs de droite et du centre-droit.  Cette primaire ouverte, qui pourrait avoir lieu dès fin avril, devrait donner à la candidate « une légitimité forte », seule à même de lui permettre de s’imposer dans le marigot de la droite parisienne, espère cette source. Pour l’heure, l’hypothèse de la candidature de NKM semble faire consensus. « Elle réunit deux tiers des copéistes et la quasi-totalité des fillonistes », assure un conseiller de Paris proche de François Fillon. Ayant elle-même échoué à se présenter à la présidence de l’UMP, l’ancienne ministre n’avait par la suite pas pris parti entre les deux belligérants, François Fillon et Jean-François Copé.  Le filloniste Bernard Debré ne tarit pas d’éloges: « Elle a montré sa pugnacité, sa volonté, sa force, son intelligence. Elle est la seule à pouvoir réunir les différentes tendances de notre mouvement en étant largement au-dessus de celles et ceux qui se croient déjà en haut de l’affiche », écrit-il sur son blog.  Le député-maire copéiste du XVIe Claude Goasguen voit aussi la candidature de NKM d’un très bon oeil. « C’est la meilleure candidate. C’est une femme compétente, très moderne. Ce sera un très beau combat (contre la candidate socialiste Anne Hidalgo, ndlr) », affirme-t-il.  Celle qui fut porte-parole de la campagne de Nicolas Sarkozy trouvera néanmoins sur sa route quelques adversaires déterminés: l’ancienne ministre Rachida Dati, le conseiller de Paris Pierre-Yves Bournazel, mais aussi, peut-être, le président du groupe UMP au Conseil de Paris Jean-François Legaret, et la conseillère de Paris Marie-Claire Carrère-Gée.  A l’unisson de la gauche, ils prévoient déjà de dénoncer le « parachutage » de NKM et sa volonté d’utiliser Paris comme un « tremplin » pour l’élection présidentielle de 2017.

 

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Sondage mairie Paris : NKM loin devant Dati , à égalité avec Fillon

Sondage mairie Paris  : NKM loin devant Dati , à égalité avec Fillon

La première adjointe du maire de Paris, candidate déclarée, gagnerait dans tous les cas de figure face au candidat UMP. Mieux, elle sortirait en tête du premier tour (avec 38 à 39% des suffrages) quel que soit le nom du challenger de droite. Qui est le mieux placé pour porter les couleurs de l’UMP l’an prochain à Paris? Poussé par ses amis parisiens depuis cinq ans, François Fillon recueillerait 28%. Un résultat en demi-teinte puisque dans une enquête similaire réalisée au début du mois de septembre dernier, il obtenait 33% des voix. Certains verront dans cette relative contre-performance un effet collatéral de la crise de l’UMP avant Noël. La surprise provient surtout de la percée de Nathalie Kosciusko-Morizet. Testée pour la première fois depuis que son nom circule chez les élus parisiens, l’ancienne ministre de l’Ecologie fait jeu égal avec François Fillon. Si Fillon semble peu tenté par une aventure municipale dans la capitale, NKM laisse ses amis pousser sa candidature tout en affirmant que sa priorité demeure la ville de Longjumeau, dans l’Essonne, qu’elle administre depuis 2008.En attendant les choix de François Fillon et Nathalie Kosciusko-Morizet, la candidature la plus crédible reste celle de Rachida Dati. La maire du VIIe arrondissement se prépare activement pour la primaire. Pour l’instant, elle peine à convaincre les Parisiens puisqu’elle obtiendrait  21% au premier tour si elle était tête de liste UMP. Testée aussi dans la primaire auprès d’un échantillon de sympathisants de droite (certes petit donc moins significatif), la députée européenne apparaît très en retard (8%) par rapport à Fillon (64%) et NKM (21%).

 




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