Archive pour le Tag 'Maire'

ÉMEUTES: Attaques contre les mairie par les trafiquants de drogue

ÉMEUTES: Attaques contre les mairie par les trafiquants de drogue

Ce sont un peu naïvement étonné des les attaques contre les biens publics mais surtout contre les mairies. En effet pourquoi viser les mairies en général il n’y a pas grand-chose à piller. Simplement parce que cela représente l’institution républicaine la plus proche mais surtout parce que de plus en plus de mairies ont engagé une lutte acharnée pour se débarrasser du trafic de drogue. C’était un particulier le cas à L’Haÿ-les-Roses dont le maire a été personnellement l’objet d’actions criminelles.

Ce maire a été particulièrement courageux et clair sur les responsabilités des attaques contre les mairies. Il a nettement affirmé qu’il convenait désormais de ne plus voiler les yeux quant aux responsabilités criminelles des trafiquants de drogue.

Ces derniers en effet ont eux des objectifs politiques et sociétaux visant à interdire définitivement la présence de toute force de police sur leur territoire qui freine leur juteux business.

Invité au 20 heures de TF1, le maire de L’Haÿ-les-Roses Vincent Jeanbrun est donc revenu sur l’attaque à la voiture-bélier qui a visé domicile dans la nuit de samedi à dimanche. Depuis le début des soirées d’émeutes en réaction à la mort de Nahel, plusieurs élus ont été visés. Une attaque qui pose plus généralement la question de la protection des élus et représentants d’institutions ou d’organisations publiques.( Élus bien sûr mais aussi médecins, pompiers, enseignants etc.).

« Ils voulaient brûler la maison, nous tuer. Le véhicule était clairement dirigé pour venir percuter la façade de la maison et la véranda », raconte l’édile.

« Après avoir mis le feu à la voiture, ils ont pris des conteneurs de poubelles et en ont fait une espèce de chemin pour que les flammes puissent atteindre la véranda », poursuit Vincent Jeanbrun. « Il n’y a aucun doute sur le fait qu’ils voulaient brûler la maison. »

« Ils ont compris qu’il y avait quelqu’un à l’intérieur. Loin d’arrêter, ils ont déclenché une salve de tirs de mortiers complètement folle », dénonce-t-il.

En prenant la fuite avec ses deux jeunes enfants, son épouse s’est fracturé le tibia. « Elle a payé de sa personne pour sauver nos enfants. Elle a fait un acte de bravoure extraordinaire », a dit le maire de L’Haÿ-les-Roses.

Le maire EELV de Grenoble veut la suppression des jours fériés religieux

Le maire EELV de Grenoble veut la suppression des jours fériés religieux

Les écolos si on réussit à se faire élire maire dans les grandes villes ce caractérise par des prises de position de plus en plus anachronique et fantaisiste. Ainsi le maire de Grenoble propose-t-il de supprimer les jours fériés religieux. Il propose à la place des fêtes de nature plus civile comme par exemple extension du mariage aux personnes homosexuelles. Si les écolos s’écroulent aux prochaines élections, on saura pourquoi ! Le maire de Grenoble serait sans doute mieux de se préoccuper de la sécurité de sa ville qui est une des moins sûres de France.

Sur le réseau social Twitter, l’édile grenoblois a d’abord proposé de supprimer les jours fériés religieux afin de «rendre le calendrier plus pluraliste». Invité par la suite sur BFMTV ce lundi, l’élu EELV a détaillé sa proposition, en plaidant pour la possibilité de choisir ses jours fériés «en fonction des convictions spirituelles».

Éric Piolle s’est prononcé sur ce sujet épineux à la suite des nombreuses absences scolaires constatées le jour de l’Aïd, fête musulmane qui marque la rupture du jeûne du mois de ramadan. «Je rappelle que les élèves et les agents ont le droit d’être absents pour des fêtes religieuses», a notamment tenu à commenter le maire grenoblois.

L’élu écologiste a aussi proposé d’établir de nouveaux jours fériés qui soient «des signes attachés à notre Histoire», évoquant la Commune de Paris, des fêtes liées aux droits de la femme ou des personnes LGBT comme le jour de l’extension du mariage aux personnes homosexuelles, ou encore l’abolition de l’esclavage qui est actuellement férié uniquement dans les départements outre-mer.

Aujourd’hui, les jours fériés sont au nombre de 11 en France, à l’exception de l’Alsace, de la Moselle et des DOM-TOM, en raison de particularismes locaux. Six sont de nature religieuse, les cinq autres commémorent des grandes dates de l’histoire.

Le Maire Ministre de l’économie où pâle Victor Hugo

Le Maire: Ministre de l’économie où pâle Victor Hugo


La plupart des citoyens s’interrogent réellement sur ce que fait le ministre de l’économie de son temps.

En effet, la France connaît une situation économique particulièrement difficile notamment concernant le désastre des finances. Le pays vient d’ailleurs d’être sanctionné par une agence de notation ce qui va entraîner une conséquence supplémentaire sur les taux d’intérêts payés par la France et plus généralement sur l’inflation . Pire, le pays connaît une inflation assez dramatique notamment pour les produits essentiels de l’alimentaire.

La seule réponse dans ce domaine du gouvernement est d’assurer qu’il y aurait un panier à bas prix dans les supermarchés et que les prix vont peut-être baisser sinon cet été à l’automne ou aux calendes grecques. Pendant ce temps-là le ministre de l’économie qui se voit en Victor Hugo sans doute écrit encore un e livre. Un livre prétentieux qui parle surtout de l’auteur et gonflé de citations pour faire littéraire.

Mais un livre qui est comme l’homme politique plat comme une limande. Sans élévation de la pensée, sans charisme et bien à l’image de tous ces énarques capables seulement de répéter les boniments qu’ils ont appris dans la célèbre école qui mène au pouvoir politique, économique et financier. On a beau écouter Bruno Lemaire ou lire ses livres, sa caractéristique est d’endormir aussi bien le citoyen que le lecteur. Bref la platitude, l’ennui dans un emballage de prétentions dérisoires.

EELV-Sondage Lyon: le maire contesté par 67 % dans l ‘Opinion

EELV-Sondage Lyon: le maire contesté par 67 % dans l ‘Opinion

Un peu partout où les écolos sont parvenus à arracher la mairie, le phénomène est le même : incompétence, incohérence et provocation avec des positionnements plus proches de l’extrême gauche que de la défense de l’environnement. Force est de constater que les élus écolos sont davantage intéressés par un positionnement gauchiste qu’écologique. La déception est immense et le reflux politique aux prochaines municipales devrait être au moins à la dimension de la conquête des dernières élections. Le maire de Lyon qui a multiplié les prises de position complètement anachroniques est en quelque sorte comme la plupart des écolos ( Sandrine Rousseau illustrant l’anachronisme jusqu’à la caricature) en train de couper la branche sur laquelle il est assis. En effet 67% des Lyonnais se disent insatisfaits de l’action menée par le maire de Lyon et par sa majorité.

Ce qui découle d’un sondage Ipsos* publié ce mercredi par Lyon Mag . 67% des personnes interrogées se disent insatisfaites de «l’action conduite par le maire de Lyon». Seuls 19% de sondés disent être satisfaits et 14% ne se prononcent pas.

S’il apparaît assez logique que les Lyonnais se reconnaissant à droite soient très majoritairement insatisfaits par l’action des écologistes (95% d’insatisfaction chez LR, 81% au RN, 75% chez LREM),
Questionnés sur l’évolution depuis trois ans de la qualité de vie dans leur ville, les Lyonnais estiment majoritairement qu’elle s’est détériorée (67%). La majorité des électeurs de gauche (44%) sont également de cet avis. À droite, 91% des sympathisants LR estiment que la qualité de vie s’est dégradée, 81% des sympathisants RN et 74% de ceux de LREM. Toutefois, 73% des sondés estiment que la qualité de vie à Lyon est bonne et seuls 27% la disent mauvaise.

Globalement, les Lyonnais saluent l’action municipale sur la vie culturelle (65% de satisfaction) et la végétalisation de la ville (61%). Toutefois, sur tous les autres indicateurs testés, leur action est jugée négativement : 75% de mécontents sur la sécurité, 80% sur le stationnement, 78% sur la circulation, 54% sur le développement économique, 59% sur le logement, 66% sur la propreté. Même sur l’action en faveur de l’environnement, 53% des Lyonnais affichent leur désapprobation, quand 42% se disent satisfaits. En tout, 76% des Lyonnais veulent voir l’action municipale changer, dont 37% des électeurs EELV, 67% des électeurs PS et 55% des électeurs LFI, preuve que la majorité écologiste n’a pas encore réussi à convaincre même au sein de sa propre famille politique.

* Sondage réalisé du 9 au 12 janvier sur un échantillon de 1082 habitants de Lyon, constituant un échantillon représentatif de la population lyonnaise âgée de 18 ans et plus.

Sondage Lyon: le maire contesté par 67 % dans l ‘Opinion

Sondage Lyon: le maire Contesté par 67 % dans l ‘Opinion

Le maire de Lyon qui a multiplié les prises de position complètement anachroniques est en quelque sorte comme la plupart des écolos ( Sandrine Rousseau illustrant l’anachronisme jusqu’à la caricature) en train de couper la branche sur laquelle il est assis. En effet 67% des Lyonnais se disent insatisfaits de l’action menée par le maire de Lyon et par sa majorité.

Ce qui découle d’un sondage Ipsos* publié ce mercredi par Lyon Mag . 67% des personnes interrogées se disent insatisfaites de «l’action conduite par le maire de Lyon». Seuls 19% de sondés disent être satisfaits et 14% ne se prononcent pas.

S’il apparaît assez logique que les Lyonnais se reconnaissant à droite soient très majoritairement insatisfaits par l’action des écologistes (95% d’insatisfaction chez LR, 81% au RN, 75% chez LREM),
Questionnés sur l’évolution depuis trois ans de la qualité de vie dans leur ville, les Lyonnais estiment majoritairement qu’elle s’est détériorée (67%). La majorité des électeurs de gauche (44%) sont également de cet avis. À droite, 91% des sympathisants LR estiment que la qualité de vie s’est dégradée, 81% des sympathisants RN et 74% de ceux de LREM. Toutefois, 73% des sondés estiment que la qualité de vie à Lyon est bonne et seuls 27% la disent mauvaise.

Globalement, les Lyonnais saluent l’action municipale sur la vie culturelle (65% de satisfaction) et la végétalisation de la ville (61%). Toutefois, sur tous les autres indicateurs testés, leur action est jugée négativement : 75% de mécontents sur la sécurité, 80% sur le stationnement, 78% sur la circulation, 54% sur le développement économique, 59% sur le logement, 66% sur la propreté. Même sur l’action en faveur de l’environnement, 53% des Lyonnais affichent leur désapprobation, quand 42% se disent satisfaits. En tout, 76% des Lyonnais veulent voir l’action municipale changer, dont 37% des électeurs EELV, 67% des électeurs PS et 55% des électeurs LFI, preuve que la majorité écologiste n’a pas encore réussi à convaincre même au sein de sa propre famille politique.

* Sondage réalisé du 9 au 12 janvier sur un échantillon de 1082 habitants de Lyon, constituant un échantillon représentatif de la population lyonnaise âgée de 18 ans et plus.

Le maire de Marseille condamné pour avoir accordé des heures supplémentaires effectuées aux fonctionnaires

Le maire de Marseille condamné pour avoir accordé des heures supplémentaires non effectuées aux fonctionnaires

Jean-Claude Gaudin,Maire de Marseille entre 95 et 2020 a été condamné à six mois de prison avec sursis, mardi 22 mars, pour « détournement de fonds publics par négligence », après avoir tardé à mettre un terme à un système généralisé d’heures supplémentaires indûment accordées aux agents municipaux, sans travail effectif.

Alors que Jean-Claude Gaudin était à la tête de la cité phocéenne, quelque 800 agents ont été payés pour des heures supplémentaires qu’ils n’ont pas effectuées, et la justice soupçonnait l’ancien élu d’avoir été négligent dans le respect de la loi. Ce dernier a d’abord nié les faits, avant de choisir de plaider coupable.

Cette reconnaissance de culpabilité lui permet, malgré une condamnation, d’éviter la peine d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende qu’il encourait. Elle permet également à Jean-Claude Gaudin d’éviter une audience de deux semaines durant lesquelles sa gestion aurait été étalée publiquement.

Rachida Dati assassine aussi la maire de Paris

Rachida Dati assassine la maire de Paris

Rachida Dati n’a cessé depuis le début de la campagne présidentielle d’assassiner la candidate de son parti Valérie Pécresse. Désormais elle s’attaque même à la maire  de Paris Anne Hidalgo. En fait elle revendique cette place de maire de Paris tout autant que celle de responsable du parti républicain. La mondaine parvenue par les chemins de la courtisanerie oligarchique n’a guère de complexes pour assurer sa propre promotion y compris en dépit de ses gamelles judiciaires relatives par exemple au financement indu reçu de Renault !

 

Quel dossier vous semble prioritaire pour la capitale?

Tous, car cette mandature, c’est le chaos dans tous les secteurs. La justice est même saisie sur des dossiers municipaux douteux. Circuler à Paris à vélo, à pied ou en voiture, est devenu un enfer. Les Parisiens sont dépossédés de leur qualité de vie. Près de 10% de la voirie est inaccessible de manière permanente en raison des chantiers menés sans contrôle ou par des occupations illégales.

 

Quel bilan faites-vous de l’action d’Anne Hidalgo sur la sécurité, la propreté et la gestion de l’espace?

Comme la grande majorité des Parisiens, négatif! Paris c’est la bétonisation à outrance, c’est le département le plus criminogène de la France métropolitaine, c’est la saleté et les embouteillages. 

Le maire écolo de Grenoble, Eric Piole, autorise les employés municipaux à venir « travailler « avec leur chien !

Le maire écolo de Grenoble, Eric Piole,  autorise les employés municipaux à venir « travailler « avec leur chien !

 

De toute évidence, les dernières élections municipales ont permis un certain nombre d’hurluberlus écolos de renforcer leur pouvoir dans certaines villes en prenant des mesures pour le moins saugrenues .

Ainsi à Grenoble le dogmatique gauchiste écolo Éric Piole , malheureux à la primaire d’Europe écologie les Verts, vient-il d’autoriser les municipaux à venir « travailler »avec leur chien.

Le pire c’est qu’il entend étendre l’expérience à l’ensemble de la collectivité. Pourquoi pas aussi à l’ensemble de la France ?

Au-delà de la dinguerie des écolos qui ne manquent pas une occasion de se discréditer, cela pose en France la question de l’évolution sociétale et notamment le rapport au travail.

Pour certains municipaux, le rapport est de toute évidence ambiguë depuis longtemps. Comme on sait que les variétés d’animaux de compagnie ne cessent de se développer, on pourra peut-être bientôt autoriser à Grenoble de venir travailler avec son cheval ( pour rationaliser la mobilité bien sûr), sa chèvre ou son âne.

Les réactions des autorités municipales de ce point de vue sont au-delà du surréalisme

« Ça rend bien service », se réjouit Hakim Sabri, adjoint aux Finances, contacté par BFMTV.coGrenoble :  »Ma chienne Elwine est vieille maintenant, elle a 16 ans et mes enfants ne sont plus à la maison. Alors ça permet d’éviter qu’elle ne passe toutes ses journées seule chez moi. Ça me sécurise de la savoir avec moi ».

 

Grenoble : le maire écolo, Eric Piole, autorise les employés municipaux à venir « travailler « avec leur chien !

Grenoble : le maire écolo, Eric Piole,  autorise les employés municipaux à venir « travailler « avec leur chien !

 

De toute évidence, les dernières élections municipales ont permis un certain nombre d’hurluberlus écolos de renforcer leur pouvoir dans certaines villes en prenant des mesures pour le moins saugrenues .

Ainsi à Grenoble le dogmatique gauchiste écolo Éric Piole , malheureux à la primaire d’Europe écologie les Verts, vient-il d’autoriser les municipaux à venir « travailler »avec leur chien.

Le pire c’est qu’il entend étendre l’expérience à l’ensemble de la collectivité. Pourquoi pas aussi à l’ensemble de la France ?

Au-delà de la dinguerie des écolos qui ne manquent pas une occasion de se discréditer, cela pose en France la question de l’évolution sociétale et notamment le rapport au travail.

Pour certains municipaux, le rapport est de toute évidence ambiguë depuis longtemps. Comme on sait que les variétés d’animaux de compagnie ne cessent de se développer, on pourra peut-être bientôt autoriser à Grenoble de venir travailler avec son cheval ( pour rationaliser la mobilité bien sûr), sa chèvre ou son âne.

Les réactions des autorités municipales de ce point de vue sont au-delà du surréalisme

« Ça rend bien service », se réjouit Hakim Sabri, adjoint aux Finances, contacté par BFMTV.coGrenoble :  »Ma chienne Elwine est vieille maintenant, elle a 16 ans et mes enfants ne sont plus à la maison. Alors ça permet d’éviter qu’elle ne passe toutes ses journées seule chez moi. Ça me sécurise de la savoir avec moi ».

 

Société- Grenoble : le maire écolo autorise les employés municipaux à venir « travailler « avec leur chien !

Société- Grenoble : le maire écolo autorise les employés municipaux à venir « travailler « avec leur chien !

 

De toute évidence, les dernières élections municipales ont permis un certain nombre d’hurluberlus écolos de renforcer leur pouvoir dans certaines villes en prenant des mesures pour le moins saugrenues .

Ainsi à Grenoble le dogmatique gauchiste écolo Éric Piole , malheureux à la primaire d’Europe écologie les Verts, vient-il d’autoriser les municipaux à venir « travailler »avec leur chien.

Le pire c’est qu’il entend étendre l’expérience à l’ensemble de la collectivité. Pourquoi pas aussi à l’ensemble de la France ?

Au-delà de la dinguerie des écolos qui ne manquent pas une occasion de se discréditer, cela pose en France la question de l’évolution sociétale et notamment le rapport au travail.

Pour certains municipaux, le rapport est de toute évidence ambiguë depuis longtemps. Comme on sait que les variétés d’animaux de compagnie ne cessent de se développer, on pourra peut-être bientôt autoriser à Grenoble de venir travailler avec son cheval ( pour rationaliser la mobilité bien sûr), sa chèvre ou son âne.

Les réactions des autorités municipales de ce point de vue sont au-delà du surréalisme

« Ça rend bien service », se réjouit Hakim Sabri, adjoint aux Finances, contacté par BFMTV.coGrenoble :  »Ma chienne Elwine est vieille maintenant, elle a 16 ans et mes enfants ne sont plus à la maison. Alors ça permet d’éviter qu’elle ne passe toutes ses journées seule chez moi. Ça me sécurise de la savoir avec moi ».

 

Municipales à Trappes : alliance républicaine contre le maire

Municipales à Trappes : alliance républicaine contre le maire

L’ancien maire de la ville de Trappes, le socialiste Guy Malandain, a décidé de s’associer avec Othman Nasrou (Libres !), un proche de Valérie Pécresse, pour battre le maire sortant, Ali Rabeh (Génération.s). Ce dernier avait réussi à être élu lors de l’élection municipale de 2020, mais celle-ci avait été définitivement annulée en août par le Conseil d’État, l’édile ayant fait la promotion de sa candidature entre les deux tours.

Lors du second tour de l’élection municipale de juin 2020, la liste conduite par Ali Rabeh était arrivée en tête avec 40,4% des voix, devant celle d’Othman Nasrou (37,19%) et celle de Guy Malandain (22,41%). La partielle qui les départagera de nouveau aura lieu en octobre.

Non aux entreprises sans bilan carbone (maire de Bordeaux )

Non aux entreprises sans bilan carbone (maire de  Bordeaux )

« Le bilan carbone sera désormais un critère décisif pour les entreprises qui souhaitent s’installer à Bordeaux », déclare le maire de Bordeaux..( intreview La Tribune (extrait)

 

Nous voulons attirer des entreprises bas carbone, celles qui ont un impact positif sur le territoire y compris sur le plan environnemental. Et pour attirer ces entreprises vertueuses nous devons bien sûr montrer l’exemple en matière de transition écologique, de végétalisation, d’accessibilité. Je veux notamment développer les activités portuaires qui sont en pleine transition en abandonnant les activités pétrolières pour des métiers comme le retrofit, la remotorisation au gaz naturel liquéfié, ou encore la production d’hydrogène vert. L’économie sociale et solidaire (ESS) est aussi un secteur que nous promouvons activement activement par une convention avec trois autres collectivités, une feuille de route votée le 8 juin dernier et trois appels à projets en cours sur la coopération, les formes innovantes d’emploi, et l’économie circulaire et la low tech. Nous avons soutenu Citiz et nous soutenons le projet ïkos et le développement de la monnaie locale, la MIEL. Vous savez, je préfère l’ESSisation de l’économie que l’Uberisation de l’économie ! Je défends l’idée de Gaël Giraud de « l’économie du bien commun » qui s’inspire des principes de l’ESS, de l’économie circulaire et de gestion sobre des ressources.

On comprend donc que, par exemple, une entreprise du secteur pétrolier ou du type d’Amazon n’est pas la bienvenue à Bordeaux…

Oui, tout à fait ! Je ne veux pas qu’on attire des entreprises polluantes ou qui ne s’interrogent pas sur leur bilan carbone. Ce n’est pas à nous d’encourager ce type d’activités même si on ne pourra bien évidemment pas les interdire. Nous ne pourrons pas réussir la transition écologique du territoire sans les entreprises. J’ajouterai que le monde économique a compris qu’il n’y a pas de salut en dehors d’un changement de modèle radical. J’étais au Medef cet été et eux-mêmes parlent de « la nécessaire conversion de nos modes de production ». La RSE et les coûts climatiques sont aujourd’hui de vrais sujets pour et dans les entreprises !

Donc, je le dis : le bilan carbone sera désormais un critère décisif pour les entreprises qui souhaitent s’installer à Bordeaux et nous allons également l’intégrer dans nos marchés publics. L’emploi reste évidemment un critère important et il est compatible avec le bilan carbone parce qu’il faut se poser les bonnes questions : pourquoi attirer à Bordeaux des entreprises qui n’ont pas compris que le sens de l’histoire c’est la décarbonation de l’économie et qui sont donc condamnées ?

Depuis votre élection vous n’avez pas souhaité incarner en tant que maire un rôle économique. Avez-vous changé d’avis ?

Oui, j’ai évolué là-dessus, je le reconnais ! Quand un chef d’entreprise bordelais vient me voir, c’est mon rôle de l’écouter, de lui répondre et de l’accompagner, y compris dans ses démarches de décarbonation. Ce n’est pas de ma compétence mais, oui, c’est bien ma responsabilité et je n’ai pas l’intention de m’y dérober, sans me renier ! Et, en, tant qu’ancien avocat à mon compte, je comprends mieux le langage et les enjeux de l’entreprise que bien d’autres responsables politiques.

Qu’est-ce qui a changé dans le quotidien des habitants et des salariés bordelais ?

Je trouve amusant que ceux qui nous disent qu’on n’en fait pas assez pour le climat sont précisément ceux qui n’ont rien fait pendant des années ! Mais, soyons honnêtes, je suis le premier à être convaincu qu’on n’en fait pas suffisamment. Nous travaillons pour adapter le territoire à la transition climatique et nous allons insister dans les prochains mois sur les mobilités pour rééquilibrer le partage de l’espace public qui est aujourd’hui trop favorable à la voiture. Nous parlons d’une ville apaisée en passant la ville à 30 km/h, pas seulement l’hyper-centre, en rendant la rue aux enfants près des écoles bordelaises et en continuant à développer le vélo. L’autre sujet c’est l’urbanisme avec notre politique de zéro artificialisation des sols et le label du bâtiment frugal bordelais.

Quel est l’état de vos relations avec les professionnels de l’immobilier qui dénoncent le volume trop faible de nouveaux logements ?

On est beaucoup dans la négociation parce que tant qu’on n’a pas révisé le plan local d’urbanisme on ne peut pas imposer ce label. Mais on constate qu’il y a de l’adhésion avec des promoteurs qui ont accepté de remettre en jeu leurs permis de construire. Par ailleurs, nous n’avons pas décrété de gel et nous continuons à construire à Bordeaux ! Mes prédécesseurs considéraient que construire partout et n’importe comment allait faire baisser les prix et les loyers… On voit bien que c’est une posture idéologique qui n’a pas fonctionné ! Aujourd’hui, on cherche à construire mieux.

Au risque de surenchérir encore le coût des logements neufs…

Ce qui coûte le plus cher dans une opération à Bordeaux aujourd’hui c’est le coût du foncier, notamment parce que Bordeaux est rentrée trop tardivement dans l’établissement public foncier régional à cause du refus d’Alain Juppé. On travaille aussi beaucoup avec l’office foncier solidaire sur les baux réels solidaires (BRS) qui permettent de dissocier le logement et le foncier et donc de réduire le coût du logement de 20 % à 30 %. Et c’est en plus un dispositif anti-spéculation à la revente. Enfin, on va rattraper le retard hérité de la précédente majorité sur le logement social.

Il y a malgré un tout à risque à Bordeaux, ou à La Rochelle, de surenchérir encore des prix déjà inabordables pour les classes populaires et moyennes

Mais cette réalité est déjà là ! On ne peut plus acheter à Bordeaux à cause de ces prix astronomiques. On hérite de ce fléau et, contrairement à nos prédécesseurs, on essaye des choses, y compris des mesures un peu coercitives. C’est la logique de l’expérimentation de l’encadrement des loyers que nous mettrons en place en 2022. Le mot important c’est expérimentation. On nous dit que ça ne fonctionnera pas… Et bien si c’est le cas on ne s’entêtera pas, mais si on arrive à faire baisser le prix des loyers à Bordeaux, alors tant mieux ! Cette logique d’expérimentation doit être notre nouvelle manière de faire de la politique.

Soutenez-vous l’un des cinq canditats aux primaires des écologistes pour la présidentielle de 2022 ?

Je voterai et je sais pour qui je vais voter mais je ne souhaite pas prendre position publiquement. Je le ferai peut-être avant le second tour. J’insiste simplement sur le fait qu’il ne faut pas élire un chef de parti mais un candidat capable de rassembler le plus largement possible, bien au-delà de l’électorat écolo. Il ne faut donc pas chercher nécessairement l’écologie la plus partisane mais celui ou celle qui pourra fédérer suffisamment pour réaliser un très bon score et même réunir une majorité des Français

2022: Un sursaut de la France est nécessaire ( maire de Cannes)

2022: Un sursaut de la France est nécessaire ( maire de Cannes)

Dans une interview à l’Opinion (extrait), le maire de Cannes déclare qu’il pourrait être candidat à la primaire envisagée cet automne. Avec son mouvement Nouvelle énergie, il travaille à un projet de gouvernement

 

Sur quoi se jouera la présidentielle de 2022 ?

Sur la présence ou non sur la ligne de départ d’une personnalité qui sera en mesure d’avoir une vision claire, un caractère fort et une détermination totale à mener une action résolue. La période actuelle présente un avantage. Comme il n’y a pas encore de cristallisation personnelle, cela permet de mettre dans le débat public les thèmes qui doivent mobiliser les Français pour les dix années à venir. Aujourd’hui il y a, selon moi, deux impératifs. Le premier est de faire émerger un diagnostic partagé. Oui, il y a un déclassement français. Notre déficit public est un très grave problème et on ne pourra pas continuer longtemps à dépenser deux fois plus que ce que l’on gagne comme actuellement. Notre déficit commercial et notre déclin industriel (la part de l’industrie manufacturière est passée de 18% du PIB à 10%, derrière l’Espagne), les ratés de notre modèle culturel et éducatif, les réalités de l’insécurité… sont des handicaps majeurs. Le second impératif est de sortir du fatalisme. « Cela a toujours été comme cela », » on n’y changera rien »… : c’est un discours qui existe à droite. Face à lui, nous devons montrer qu’une nouvelle espérance est possible. On peut être l’eldorado de l’Europe. La seule chose qui doit nous préoccuper est l’héritage que nous laisserons aux générations futures.

Quels sont les thèmes que vous voulez mettre au cœur du débat ?

La lutte contre la bureaucratie, d’abord. La réforme de l’Etat doit être la priorité des réformes. L’Etat est devenu inefficace et inorganisé. Il dilue les responsabilités et détruit de la richesse. Les tâches administratives représentent 7,7% du temps de travail. Revenir au niveau de notre allemand (3,7%) permettrait un gain de productivité de 22 milliards d’euros par an. Il faut remettre de l’efficacité dans le système et un principe de responsabilité à tous les échelons, tout comme il faut soulager le contribuable. Pour cela, il faudra partir du dynamisme entrepreneurial et local et mettre la subsidiarité au cœur de l’action publique.

Quels sont les autres sujets que vous voulez porter ?

Le déclassement éducatif m’inquiète beaucoup. Il faut faire en sorte que la France soit une grande puissance de l’instruction. Pour répondre au dérèglement climatique, il faut élaborer une stratégie scientifique, économique et politique, le contraire de la décroissance. La sécurité et la cohérence civilisationnelle doivent également être une priorité, donc la politique pénale et l’immigration. Enfin il faut réfléchir au fonctionnement de nos institutions. Quel que soit le Président, l’exécutif se retrouve très rapidement après son accession au pouvoir dans une spirale de l’échec. Emmanuel Macron en a été une nouvelle illustration. Il a même accéléré le phénomène avec sa gestion chaotique de la Covid. Un candidat à l’Elysée se présente toujours comme un super-héros qui va résoudre tous les problèmes des Français. Or, cela n’existe pas. Il faut sortir de cette infantilisation et remettre du bon sens…. Avec Nouvelle énergie, nous allons publier très bientôt les premières contributions des groupes de travail sur les institutions, la réforme de l’Etat, l’école. Sur tous les sujets, nous menons un travail de fond et élaborons des propositions destinées à constituer un projet de gouvernement.

Comment vous situez-vous par rapport à la primaire de la droite qui pourrait avoir lieu cet automne ?

Tout le monde est aujourd’hui conscient que l’on ne peut pas se permettre que la primaire ait lieu lors du premier tour de la présidentielle. A partir du moment où il n’y a pas de leadership évident, il faut bien qu’existe un processus de sélection afin de déterminer le mieux placé pour mener le travail qui n’a pas été fait depuis quarante ans.

Vous-même, pourriez-vous être candidat ?

Oui, comme d’autres. Mais ma préoccupation est ailleurs. Ce que je veux, c’est mettre dans le débat des thèmes et des propositions et que quelqu’un s’en empare. A ce stade, la priorité doit être le contenu plutôt qu’une démarche personnelle.

«Je veux sortir du débat sur les moyens de la fonction publique. Nous travaillons beaucoup sur la question de la motivation des fonctionnaires»

Et quelqu’un s’est-il d’ores et déjà emparé de ce que vous avez mis sur la table?

C’est encore trop tôt mais on peut noter des offres de qualité. Je trouve ce que produit Bruno Retailleau très cohérent et pertinent. La démarche de Michel Barnier est intéressante. Il est bien entouré ; son moratoire sur l’immigration, dont j’avais déjà parlé, est crédible. Valérie Pécresse a fait dès son entrée en campagne de la lutte contre la bureaucratie une priorité et j’en suis très heureux. La ligne de Laurent Wauquiez correspond le mieux à la sensibilité d’une grande partie de la droite. Xavier Bertrand est déterminé et professionnel…

Vous situez-vous dans la lignée de François Fillon en 2017 ?

Il y a beaucoup d’éléments communs ; c’est assez logique, j’étais dans ses équipes. Ce que je propose a été actualisé au regard de la situation actuelle et de mon vécu. Je mets aussi peut-être plus en avant la nécessité d’un redressement éducatif et scientifique. Nous devons libérer l’enseignement et mettre en place un modèle qui permette d’apporter de la raison critique à nos enfants et de leur apprendre à décoder le monde et pas simplement à coder l’informatique. Je veux également sortir du débat sur les moyens de la fonction publique. Nous travaillons beaucoup sur la question de la motivation des fonctionnaires. La France en compte plus de 5 millions, 33% des effectifs de la fonction publique se consacrent à des tâches administratives plutôt qu’à du service public en tant que tel. Si on passait à 25% comme en Allemagne, cela représenterait 450 000 agents libérés, donc permettrait à la fois de les valoriser, de renforcer le service aux usagers et d’alléger la charge sur les contribuables.

Emmanuel Macron est-il le favori de la prochaine présidentielle ?

Je ne suis pas un pronostiqueur mais un acteur engagé. En période de crise, un Président sortant a toujours potentiellement des atouts. On voit bien qu’Emmanuel Macron va jusqu’au bout surfer sur la crise de la Covid afin de tenter de maîtriser l’agenda politique. Il voudrait imposer son schéma : soit on serait avec lui, soit on serait un Gilet jaune extrémiste. Mais la vérité est plus subtile et le jeu plus ouvert. Nous sommes, comme en 1958, à un vrai virage. Les Français ont de plus en plus le sentiment qu’un sursaut est nécessaire. Soulever un espoir et les réconcilier avec la politique est possible à condition de ne pas faire du marketing et de la segmentation électorale. A nous de proposer une voie différente et forte.

2022 : Eric Piolle, candidat écolo, maire d’une ville polluée et dangereuse

2022 : Eric Piolle, candidat écolo, maire d’une ville polluée et dangereuse

 

Tant sur le plan écologique que sécuritaire, la ville de Grenoble ne constitue pas un modèle. La ville est en effet très pollué et le taux d’insécurité parmi les plus importants de France. Ce qui n’empêche pas le maire, Éric Piolle d’être candidat pour la gestion du pays à la fonction suprême. Pire, la ville de Grenoble externalise ses atteintes à l’environnement en allant construire des éoliennes n’importe où en France.( Via sa société de production d’énergie). Ne parlons pas des orientations gauchistes de l’intéressé. Il y a longtemps en effet qu’Europe écologie les Verts a pris la place de l’ancien parti communiste français avec la même idéologie, la même dialectique et les mêmes résultats économiques et sociaux.

 « Éric Piolle va à la rencontre de celles et ceux qui sont inquiets de la situation, de celles et ceux qui font bouger les choses et de celles et de ceux qui ne partent pas en vacances. Ces rencontres de terrain font mûrir ses réflexions et lui permettent de décliner son programme selon les déplacements », explique son entourage à La Tribune.

« Il veut faire valoir une alternative au développement des territoires, car il s’agit d’un modèle dépassé et du passé. On continue à artificialiser des bonnes terres alors qu’il faudrait reconnecter les cultures et l’alimentation, et produire à proximité de quoi nourrir la population plutôt que d’importer d’autres régions voire d’autres pays », précise son équipe qui entretient des liens relativement ésotériques avec la problématique agricole mais réels avec la démagogie. 

 Le maire de Grenoble s’est même exprimé sur l’architecture politique de l’Île-de-France, affirmant la nécessité d’une réforme du cadre institutionnel de la métropole du Grand Paris. Ce qui confirme le caractère centraliste de l’idéologie de l’intéressé.

Aérien : La nouvelle folie de la maire EELV de Poitiers

Aérien : La nouvelle folie de la maire EELV de Poitiers

La nouvelle maire écolo bobo de Poitiers non seulement veut supprimer l’activité d’initiation aéronautique mais en plus supprimer le rêve même de certains enfants. Bref, pas seulement une attaque contre une technologie mais aussi le rêve prométhéen de transformer la  vie humaine. Notons en effet que l’aéroport de Poitiers était surtout un centre d’initiation et de aéronautique . Un mode de transport peut critiquer en raison de son mode de motorisation mais qui va demeurer avec l’évolution des sources d’énergie utilisée, le solaire mais sans doute surtout d’hydrogène.

 

,Léonore Moncond’huy appuie sa décision sur des critères budgétaires, avant de très vite embrayer sur un registre idéologique. «Nous considérons que l’argent public ne doit plus financer les sports basés sur la consommation de ressources épuisables», explique-t-elle. «L’argent public doit envoyer un signal de responsabilité. Mettre dans la même phrase ‘rêve d’enfants’ et ‘le fait de sauver des clubs aériens’, ça a quelque chose d’indécent», poursuit l’édile. «Votre intervention est un peu fondée sur le pathos, qui vise à me faire entendre que c’est nuire aux enfants que de remettre en cause ces subventions. Je considère au contraire que c’est protéger leur avenir», enfonce-t-elle, toujours à destination d’Isabelle Chédanneau.

 

Cet échange entre les deux femmes a eu lieu après que, le 16 mars, les dirigeants de l’Aéro-club du Poitou ont reçu un e-mail de l’élu aux sports de Poitiers, Maxime Pedeboscq : « Suite à votre demande de subvention, je tiens à vous alerter que la Ville de Poitiers ne compte pas soutenir le sport motorisé.» Un message laconique qui a mis le président du club Jean-Marie Arnault en colère : «Pour une équipe qui avait dans son programme toujours plus de dialogue, on s’attendait à mieux en termes de concertation. On n’a vu personne», s’est-il plaint à La Nouvelle République .

Ce n’est pas la première fois que les écologistes aux manettes d’une municipalité déclenchent des réactions outrées. En septembre 2020, le maire de Bordeaux EELV Pierre Hurmic s’était opposé à la venue «d’arbres morts» pour décorer les places bordelaises lors des fêtes de fin d’année. Il avait annoncé que les traditionnels sapins seraient remplacés par des spectacles vivants.

De même, à Strasbourg, la maire écologiste Jeanne Barseghian s’est plusieurs fois attiré les foudres du monde politique. Dernièrement, le 22 mars, la municipalité a pris deux décisions controversées en seulement 24 heures. Tout d’abord, il y a eu le vote d’un «principe d’une subvention» de 2,5 millions d’euros pour la construction une mosquée soutenue par une fédération liée à la Turquie. Puis la mairie a refusé de reconnaître la définition de l’antisémitisme donnée par l’Alliance Internationale pour la mémoire de l’Holocauste.

À Lyon, le maire Grégory Doucet alimente également les débats depuis son élection en juin. Dernièrement, en février, l’écologiste a voulu retirer temporairement la viande des cantines scolaires pour accélérer les cadences d’accueil des élèves, en raison de la pandémie. Une décision qui a fait réagir tous les bords de l’échiquier politique. Auparavant, à l’été 2020, il a créé un tollé en jugeant «machiste» et «polluant» le Tour de France. En septembre 2020, Grégory Doucet a refusé de participer à la messe organisée par le diocèse, à l’occasion du traditionnel Vœu des échevins. Enfin, un mois après son élection, c’est son refus de laisser la patrouille de France survoler Lyon pour le 14 juillet qui a défrayé la chronique.

123



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol