Archive pour le Tag 'Maire'

Sécurité-Critiques sur la sécurité à Grenoble : « je m’en fous » dit le maire

Société-Critiques sur la sécurité à Grenoble : « je m’en fous » dit le maire

 

C’est avec une certaine désinvolture que le maire écolo de Grenoble veut ignorer les critiques sur l’insécurité chronique dans sa ville. Une attitude évidemment irresponsable chez celui qui a toujours freiné l’installation de caméras et le développement des forces sécuritaires.

Après l’explosion mercredi soir d’une grenade dans un bar de Grenoble jetée par un homme armé d’un fusil d’assaut, les propos du maire écologiste publiés le matin même dans Libération, où il assume un complet détachement face aux critiques sur l’insécurité dans sa ville, font réagir.

Mercredi soir, un homme muni d’un fusil de type kalachnikov a pénétré dans le bar associatif Aksehir, avant de lancer à l’intérieur une grenade dégoupillée. Le premier bilan de l’explosion faisait état de 12 blessés, dont six en urgence absolue, semant la stupeur et la colère chez les riverains.
Dans Libé, le maire, lui, estime qu’il «faut résister au tourbillon médiatique» et minimise. «Des fusillades, il y en a partout», élude l’élu qui, depuis son élection en 2014 à la mairie de Grenoble, a toujours refusé d’armer la police municipale et s’oppose fermement au déploiement de caméras de vidéosurveillance. Selon lui, la vidéoprotection «ne sert à rien» en matière de lutte contre le narcotrafic.

Société-Critiques sur la sécurité à Grenoble : « je m’en fous » dis le maire

Société-Critiques sur la sécurité à Grenoble : « je m’en fous » dis le maire

 

C’est avec une certaine désinvolture que le maire écolo de Grenoble veut ignorer les critiques sur l’insécurité chronique dans sa ville. Une attitude évidemment irresponsable chez celui qui a toujours freiné l’installation de caméras et le développement des forces sécuritaires.

Après l’explosion mercredi soir d’une grenade dans un bar de Grenoble jetée par un homme armé d’un fusil d’assaut, les propos du maire écologiste publiés le matin même dans Libération, où il assume un complet détachement face aux critiques sur l’insécurité dans sa ville, font réagir.

Mercredi soir, un homme muni d’un fusil de type kalachnikov a pénétré dans le bar associatif Aksehir, avant de lancer à l’intérieur une grenade dégoupillée. Le premier bilan de l’explosion faisait état de 12 blessés, dont six en urgence absolue, semant la stupeur et la colère chez les riverains.
Dans Libé, le maire, lui, estime qu’il «faut résister au tourbillon médiatique» et minimise. «Des fusillades, il y en a partout», élude l’élu qui, depuis son élection en 2014 à la mairie de Grenoble, a toujours refusé d’armer la police municipale et s’oppose fermement au déploiement de caméras de vidéosurveillance. Selon lui, la vidéoprotection «ne sert à rien» en matière de lutte contre le narcotrafic.

 

Société et drogue : le maire écolo de Grenoble pour la dépénalisation

Société et drogue : le maire écolo de Grenoble pour la dépénalisation

 

Une nouvelle fois un maire écolo se singularise avec des propositions iconoclastes proposant de dépénaliser le cannabis. Il faut dire que Grenoble est l’une des villes qui connaît un niveau exceptionnel de criminalité dans beaucoup de domaines. Une ville qui s’est toujours efforcée aussi de freiner le développement des caméras de surveillance ou encore d’armée les policiers municipaux.

Bref un maire laxiste,  caractéristique des responsables d’Europe écologie les Verts qui s’investissent davantage dans les problèmes politiques que dans l’écologie. L’exemple le plus caricatural étend sans doute celui de Sandrine Rousseau toujours prête à sauter sur un micro pour raconter n’importe quelle idiotie. Des gens dangereux qui en définitive participent de la décomposition politique mais aussi républicaine et sociétale

En France, le cannabis reste la drogue la plus consommée avec 5 millions d’usagers dans l’année en 2023, selon la dernière étude de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT). Dans le même temps, la demande en cocaïne n’a jamais été aussi forte avec 1,1 million de personnes qui en ont consommé au moins une fois dans l’année. Sans parler des drogues de synthèse qui sont moins chères mais plus dévastatrices

Drogue : le maire écolo de Grenoble pour la dépénalisation

Drogue : le maire écolo de Grenoble pour la dépénalisation

 

Une nouvelle fois un maire écolo se singularise avec des propositions iconoclastes proposant de dépénaliser le cannabis. Il faut dire que Grenoble est l’une des villes qui connaît un niveau exceptionnel de criminalité dans beaucoup de domaines. Une ville qui s’est toujours efforcée aussi de freiner le développement des caméras de surveillance ou encore d’armée les policiers municipaux.

Bref un maire laxiste,  caractéristique des responsables d’Europe écologie les Verts qui s’investissent davantage dans les problèmes politiques que dans l’écologie. L’exemple le plus caricatural étend sans doute celui de Sandrine Rousseau toujours prête à sauter sur un micro pour raconter n’importe quelle idiotie. Des gens dangereux qui en définitive participent de la décomposition politique mais aussi républicaine et sociétale

En France, le cannabis reste la drogue la plus consommée avec 5 millions d’usagers dans l’année en 2023, selon la dernière étude de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT). Dans le même temps, la demande en cocaïne n’a jamais été aussi forte avec 1,1 million de personnes qui en ont consommé au moins une fois dans l’année. Sans parler des drogues de synthèse qui sont moins chères mais plus dévastatrices

 

Attal : Futur maire de Paris ? (Sondage)

Attal : Futur maire de Paris ? (Sondage)

 

 Selon une enquête Ipsos pour Le Parisien publiée dimanche, l’ancien premier ministre Gabriel Attal ferait un bon maire de Paris pour 42% des administrés. Une première place qu’il occupe de très peu devant son ancienne collègue du gouvernement Rachida Dati, estimée à 39%. Ce match local, qui semble se dessiner au sein du «socle commun» national – entre la droite et le camp présidentiel -, distance Anne Hidalgo (28%) d’une dizaine de points.

Le  député des Hauts-de-Seine et président du groupe Ensemble pour la République (EPR) à l’Assemblée nationale séduit à la fois les électeurs de son camp (72%) et ceux de droite (46%). Là où la ministre de la Culture peine à élargir son socle à gauche (22%), le successeur d’Élisabeth Borne à Matignon capte une plus grande partie de sympathisants (30%) en soutien de la majorité sortante à Paris.

Bruno Le Maire aussi dans le camp des ni-ni

Bruno Le Maire   aussi dans le camp des ni-ni

 
Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, une nouvelle fois démontre davantage ses compétences dans l’observation que dans l’action politique. Certes il faut reconnaître qu’il a souvent alerté sur la situation financière dramatique du pays. Par contre son action a été relativement inefficace puisque par exemple l’endettement n’a cessé de progresser pour atteindre désormais un record à 110 % du PIB. En matière politique, le ministre de l’économie fait preuve du même flou affirmant certes qu’il faut s’opposer au rassemblement national mais refusant de choisir clairement. En tout cas refusant le front républicain.

Finalement le ministre de l’économie sur ce point rejoint ce qui restedes républicains ou Édouard Philippe. Un positionnement centre-droit qui pourrait bien conduire à la disparition de ce courant .

Ce qui manque à Bruno Lemaire comme à l’ancien camp  des  républicains c’est le courage qui faisait précédemment la spécificité des héritiers du gaullisme.

Après la « défaite » des macronistes au premier tour des élections législatives anticipées, le ministre de l’Économie et des Finances appelle certes  au second tour à la mobilisation contre le RN, « un danger pour la République » Mais en réalité se prolonge pour le ni-ni vis-à-vis tant du RN que de la gauche.

 

Brexit: Le maire de Londres veut se rapprocher de l’union européenne

Brexit: Le maire de Londres veut se rapprocher de l’union européenne

Selon une étude commandée à Cambridge Econometrics par la mairie de Londres, le Brexit a déjà coûté 140 milliards de livres (162 milliards d’euros) à l’économie britannique, dont 30 milliards de livres (35 milliards d’euros) pour la capitale. Cambridge Econometrics estime également que le Brexit a causé une perte de deux millions d’emplois dans le pays dont 300.000 dans la capitale. Selon ces mêmes données, les pertes économiques pour le Royaume-Uni s’élèveront à 300 milliards de livres (350 milliards d’euros) d’ici à 2035 si rien n’est fait, dont 60 milliards de livres pour Londres.

Pour cette raison le maire travailliste de Londres souhaite que soit rediscutés les accords entre l’union européenne et les Britanniques considérant que les pertes principales vont concerner Londres

Selon un sondage réalisé en décembre par l’institut Opinium pour le journal dominical Observer, seuls 22% des Britanniques pensent que le Brexit a eu un effet positif sur le pays en général, une proportion qui tombe à 12% concernant spécifiquement l’économie.

Société-Crépol : la maire de Romans-sur-Isère encore menacée de mort

Société-Crépol : la maire de Romans-sur-Isère encore menacée de mort

Marie-Hélène Thoraval a annoncé ce mercredi 3 janvier sur BFMTV-RMC avoir porté plainte mardi pour la quatrième fois après avoir reçu de nouvelles menaces de morts, faisant suite à la mort de Thomas, 16 ans, à Crépol, dans la Drôme.

Cette série de menaces a commencé après l’utilisation par la maire de la qualification de « sauvages » pour évoquer une partie des personnes impliquées dans la mort de Thomas. Elle avait également demandé à ce que la circonstance aggravante de « racisme », en l’occurrence de « racisme anti-blanc », soit retenue par la justice. Une demande également formulée de la famille du jeune homme, selon la maire.

« Ça a l’air d’être un vilain gros mot de parler de racisme anti-blanc » a déploré Marie-Hélène Thoraval sur notre antenne.
À l’issue des tros première plaintes, deux personnes ont été interpellées et l’une d’entre elles a été condamnée à huit mois de prison. L’autre, actuellement en détention provisoire, doit être jugée au cours d’une audience qui doit s’ouvrir le 5 février.

La maire a souligné la conversion à l’islam de la première personne condamnée au cours d’une précédente détention. « Je pense que ça pouvait dire quelque chose du profil au regard des événements de Crépol et de l’agression de Thomas, qui a été assassiné notamment par des individus qui avaient des origines maghrébines », a-t-elle développé.

Neuf personnes (six majeurs et trois mineurs) ont été mis en examen dans le cadre de l’enquête sur la mort de Thomas mais le chef d’ »assassinat », qui indiquerait un acte prémédité, n’a pas été retenu par les enquêteurs, contrairement à ceux de « meurtre en bande organisée », « tentatives de meurtre » ou « violences volontaires commises en réunion ».

Sur BFMTV-RMC, Marie-Hélène Thoraval a dénoncé une nouvelle fois des « dynasties de de délinquants », notamment au sein du quartier de la Monnaie dans sa ville de Romans-sur-Isère, dont sont issues plusieurs personnes ayant fait partie du groupe parmi lequel se trouverait le meurtrier de Thomas. Elle a évoqué une « centaine » de personnes posant problème, notamment pour leur lien avec divers délits dont le trafic de drogue.

Crépol : la maire de Romans-sur-Isère encore menacée de mort

Crépol : la maire de Romans-sur-Isère encore menacée de mort

Marie-Hélène Thoraval a annoncé ce mercredi 3 janvier sur BFMTV-RMC avoir porté plainte mardi pour la quatrième fois après avoir reçu de nouvelles menaces de morts, faisant suite à la mort de Thomas, 16 ans, à Crépol, dans la Drôme.

Cette série de menaces a commencé après l’utilisation par la maire de la qualification de « sauvages » pour évoquer une partie des personnes impliquées dans la mort de Thomas. Elle avait également demandé à ce que la circonstance aggravante de « racisme », en l’occurrence de « racisme anti-blanc », soit retenue par la justice. Une demande également formulée de la famille du jeune homme, selon la maire.

« Ça a l’air d’être un vilain gros mot de parler de racisme anti-blanc » a déploré Marie-Hélène Thoraval sur notre antenne.
À l’issue des tros première plaintes, deux personnes ont été interpellées et l’une d’entre elles a été condamnée à huit mois de prison. L’autre, actuellement en détention provisoire, doit être jugée au cours d’une audience qui doit s’ouvrir le 5 février.

La maire a souligné la conversion à l’islam de la première personne condamnée au cours d’une précédente détention. « Je pense que ça pouvait dire quelque chose du profil au regard des événements de Crépol et de l’agression de Thomas, qui a été assassiné notamment par des individus qui avaient des origines maghrébines », a-t-elle développé.

Neuf personnes (six majeurs et trois mineurs) ont été mis en examen dans le cadre de l’enquête sur la mort de Thomas mais le chef d’ »assassinat », qui indiquerait un acte prémédité, n’a pas été retenu par les enquêteurs, contrairement à ceux de « meurtre en bande organisée », « tentatives de meurtre » ou « violences volontaires commises en réunion ».

Sur BFMTV-RMC, Marie-Hélène Thoraval a dénoncé une nouvelle fois des « dynasties de de délinquants », notamment au sein du quartier de la Monnaie dans sa ville de Romans-sur-Isère, dont sont issues plusieurs personnes ayant fait partie du groupe parmi lequel se trouverait le meurtrier de Thomas. Elle a évoqué une « centaine » de personnes posant problème, notamment pour leur lien avec divers délits dont le trafic de drogue.

Justice: Le statut de maire n’est pas une circonstance aggravante en cas d’agression

Justice: Le statut de maire n’est pas une circonstance aggravante en cas d’agression

Nouvelle dérive de la justice qui considère que le statut du maire de Vertou n’est pas à prendre en compte pour son agression par deux individus. Motif il n’était pas habillé de son écharpe tricolore. Évidemment puisqu’il a été tiré du lit brutalement se rendre sur les lieux du délit.

Le tribunal correctionnel de Nantes a condamné mardi deux individus à une peine de 80 jours-amendes à 10 euros chacun, pour s’en être pris à un homme, l’été dernier, en le blessant légèrement. La victime se verra aussi reverser un euro symbolique de la part de ses agresseurs, à titre de préjudice moral.

Pourtant, a victime ,Rodolphe Amailland, est le maire de Vertou, près de Nantes. Il a été rué de coups en essayant d’empêcher l’installation sur sa commune de 200 caravanes des gens du voyage. Et les magistrats ont décidé de ne pas reconnaître la circonstance aggravante de sa qualité d’élu.

«Je déplore très fortement cette négation de ce que je suis», a réagi mercredi l’élu Les Républicains dans un communiqué, en se désolant d’une «décision très inquiétante pour la démocratie». «C’est problématique, car cela veut dire que s’annoncer comme maire ne suffit pas», a précisé Rodolphe Amailland pour Le Figaro, en rappelant les circonstances de l’altercation.

Mort de Thomas à Crépol: un premier auteur des menaces à la maire de Romans condamné

Mort de Thomas à Crépol: un premier auteur des menaces à la maire de Romans condamné

La maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, annonce ce mercredi 6 novembre la condamnation « de l’auteur des appels pour l’intimider » à 8 mois de prison ferme. L’homme âgé d’une trentaine d’années et originaire du Pas-de-Calais, d’après le procureur de Valence, a déjà été condamné à « plus de 20 reprises ». On ignore les motifs de ces précédentes condamnations mais on s’en doute compte tenu du profil récurrent de ces délinquants. Il a été interpellé à Marseille en début de semaine. En plus des huit mois de prison ferme, l’individu a été condamné à verser 500 euros de dommages et intérêts à la maire de Romans-sur-Isère.

Marie-Hélène Thoraval se réjouit ce mercredi 6 décembre sur X (ex-Twitter) de l’interpellation « de l’auteur des appels pour l’intimider ». Jugé en comparution immédiate ce mercredi, il a été condamné à 8 mois de prison ferme. Une information confirmé par le parquet de Valence à l’AFP.

« Merci à la police pour sa célérité et son efficacité, à la justice pour sa fermeté », déclare l’édile.

Interpellé à Marseille en début de semaine, l’homme né en 1990 a été condamné en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Valence dans la Drôme pour « outrages par paroles ou menaces » à l’encontre de l’édile et a été incarcéré dans la foulée.

Sept jours plus tôt, la maire de Romans-sur-Isère, où était scolarisé en lycée le jeune Thomas, tué au couteau lors d’un bal de village mi-novembre, avait déposé plainte après avoir reçu des menaces par téléphone et sur les réseaux sociaux, dont une de mort « par décapitation », selon l’édile.

Elle souligne que « l’auteur des ces menaces de mort » n’a quant à lui pas encore été « appréhendé ». Une enquête disjointe se poursuit.

Marie-Hélène Thoraval explique « avoir reçu deux appels anonymes qui ont été opérés auprès du standard de la mairie avec un message plutôt qui relevait de l’intimidation, [lui] demandant si [elle] disposait d’une kalachnikov chez [elle] et si [elle] avait des gardes du corps ».

C’est pour ces faits, que l’homme condamné ce mercredi comparaissait devant le tribunal. Il a toutefois été relaxé des faits d’ »appels téléphoniques malveillants ». En garde à vue comme devant le tribunal il a contesté les faits, affirmant que quelqu’un d’autre avait utilisé son téléphone !

Après le meurtre de Thomas à Crépol, la maire de Romans-sur-Isère menacée

Après le meurtre de Thomas à Crépol, la maire de Romans-sur-Isère menacée . Elle n’avait pas hésité de manière fort courageuse à soligner la gravité de la situation, les causes structurelles et les conséquences possibles dénonçant en même temps d’une certaine manière le laxisme de toute une société, institutions et politiques compris.

Le pire après la mort de Thomas c’est que les barbares continuent d’inquiéter la population et même les élus. Ainsi Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, dont sont originaires les principaux suspects de l’attaque sur le bal d’hiver de Crépol, a indiqué avoir reçu des menaces de mort, confirmant une information dans une interview au Figaro .

«J’ai reçu hier matin deux appels anonymes auprès du standard de la mairie, avec des messages relevant de l’intimidation, me demandant si je disposais d’une kalachnikov chez moi et si j’avais des gardes du corps», a-t-elle d’abord décrit. «C’est monté d’un cran dans l’après-midi, où j’ai reçu un message privé sur Instagram, précisant qu’on me prévoyait une décapitation (…) et que cette décapitation fait qu’on jonglerait avec mon crâne, et que ce serait fait d’ici un mois.»

La maire DVD Avait eu ce courage de dénoncer le déni de réalité notamment en considérant comme indécent le fait de n’avoir pas communiqué les prénoms des criminels dès le début de l’enquête. Elle a fortement critiqué le déni de réalité des pouvoirs publics en particulier de la justice.

ÉMEUTES: Attaques contre les mairie par les trafiquants de drogue

ÉMEUTES: Attaques contre les mairie par les trafiquants de drogue

Ce sont un peu naïvement étonné des les attaques contre les biens publics mais surtout contre les mairies. En effet pourquoi viser les mairies en général il n’y a pas grand-chose à piller. Simplement parce que cela représente l’institution républicaine la plus proche mais surtout parce que de plus en plus de mairies ont engagé une lutte acharnée pour se débarrasser du trafic de drogue. C’était un particulier le cas à L’Haÿ-les-Roses dont le maire a été personnellement l’objet d’actions criminelles.

Ce maire a été particulièrement courageux et clair sur les responsabilités des attaques contre les mairies. Il a nettement affirmé qu’il convenait désormais de ne plus voiler les yeux quant aux responsabilités criminelles des trafiquants de drogue.

Ces derniers en effet ont eux des objectifs politiques et sociétaux visant à interdire définitivement la présence de toute force de police sur leur territoire qui freine leur juteux business.

Invité au 20 heures de TF1, le maire de L’Haÿ-les-Roses Vincent Jeanbrun est donc revenu sur l’attaque à la voiture-bélier qui a visé domicile dans la nuit de samedi à dimanche. Depuis le début des soirées d’émeutes en réaction à la mort de Nahel, plusieurs élus ont été visés. Une attaque qui pose plus généralement la question de la protection des élus et représentants d’institutions ou d’organisations publiques.( Élus bien sûr mais aussi médecins, pompiers, enseignants etc.).

« Ils voulaient brûler la maison, nous tuer. Le véhicule était clairement dirigé pour venir percuter la façade de la maison et la véranda », raconte l’édile.

« Après avoir mis le feu à la voiture, ils ont pris des conteneurs de poubelles et en ont fait une espèce de chemin pour que les flammes puissent atteindre la véranda », poursuit Vincent Jeanbrun. « Il n’y a aucun doute sur le fait qu’ils voulaient brûler la maison. »

« Ils ont compris qu’il y avait quelqu’un à l’intérieur. Loin d’arrêter, ils ont déclenché une salve de tirs de mortiers complètement folle », dénonce-t-il.

En prenant la fuite avec ses deux jeunes enfants, son épouse s’est fracturé le tibia. « Elle a payé de sa personne pour sauver nos enfants. Elle a fait un acte de bravoure extraordinaire », a dit le maire de L’Haÿ-les-Roses.

Le maire EELV de Grenoble veut la suppression des jours fériés religieux

Le maire EELV de Grenoble veut la suppression des jours fériés religieux

Les écolos si on réussit à se faire élire maire dans les grandes villes ce caractérise par des prises de position de plus en plus anachronique et fantaisiste. Ainsi le maire de Grenoble propose-t-il de supprimer les jours fériés religieux. Il propose à la place des fêtes de nature plus civile comme par exemple extension du mariage aux personnes homosexuelles. Si les écolos s’écroulent aux prochaines élections, on saura pourquoi ! Le maire de Grenoble serait sans doute mieux de se préoccuper de la sécurité de sa ville qui est une des moins sûres de France.

Sur le réseau social Twitter, l’édile grenoblois a d’abord proposé de supprimer les jours fériés religieux afin de «rendre le calendrier plus pluraliste». Invité par la suite sur BFMTV ce lundi, l’élu EELV a détaillé sa proposition, en plaidant pour la possibilité de choisir ses jours fériés «en fonction des convictions spirituelles».

Éric Piolle s’est prononcé sur ce sujet épineux à la suite des nombreuses absences scolaires constatées le jour de l’Aïd, fête musulmane qui marque la rupture du jeûne du mois de ramadan. «Je rappelle que les élèves et les agents ont le droit d’être absents pour des fêtes religieuses», a notamment tenu à commenter le maire grenoblois.

L’élu écologiste a aussi proposé d’établir de nouveaux jours fériés qui soient «des signes attachés à notre Histoire», évoquant la Commune de Paris, des fêtes liées aux droits de la femme ou des personnes LGBT comme le jour de l’extension du mariage aux personnes homosexuelles, ou encore l’abolition de l’esclavage qui est actuellement férié uniquement dans les départements outre-mer.

Aujourd’hui, les jours fériés sont au nombre de 11 en France, à l’exception de l’Alsace, de la Moselle et des DOM-TOM, en raison de particularismes locaux. Six sont de nature religieuse, les cinq autres commémorent des grandes dates de l’histoire.

Le Maire Ministre de l’économie où pâle Victor Hugo

Le Maire: Ministre de l’économie où pâle Victor Hugo


La plupart des citoyens s’interrogent réellement sur ce que fait le ministre de l’économie de son temps.

En effet, la France connaît une situation économique particulièrement difficile notamment concernant le désastre des finances. Le pays vient d’ailleurs d’être sanctionné par une agence de notation ce qui va entraîner une conséquence supplémentaire sur les taux d’intérêts payés par la France et plus généralement sur l’inflation . Pire, le pays connaît une inflation assez dramatique notamment pour les produits essentiels de l’alimentaire.

La seule réponse dans ce domaine du gouvernement est d’assurer qu’il y aurait un panier à bas prix dans les supermarchés et que les prix vont peut-être baisser sinon cet été à l’automne ou aux calendes grecques. Pendant ce temps-là le ministre de l’économie qui se voit en Victor Hugo sans doute écrit encore un e livre. Un livre prétentieux qui parle surtout de l’auteur et gonflé de citations pour faire littéraire.

Mais un livre qui est comme l’homme politique plat comme une limande. Sans élévation de la pensée, sans charisme et bien à l’image de tous ces énarques capables seulement de répéter les boniments qu’ils ont appris dans la célèbre école qui mène au pouvoir politique, économique et financier. On a beau écouter Bruno Lemaire ou lire ses livres, sa caractéristique est d’endormir aussi bien le citoyen que le lecteur. Bref la platitude, l’ennui dans un emballage de prétentions dérisoires.

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