Archive pour le Tag 'mai'

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Manif : un premier mai désuet

Manif : un premier mai désuet

 

Il y a de nombreuses raisons pour expliquer le flop prévisible des manifs du premier mai, d’abord sans doute la météo pluvieuse, ensuite les vacances scolaires enfin la proximité d’un pont. Plus fondamentalement,  c’est le rapport aux syndicats qui pèse sur des participations d’année en année de moins en moins nombreuses. Des syndicats par ailleurs  divisés ; d’une  manière générale les Français entretiennent des rapports de plus en plus indifférents vis-à-vis de syndicats englués dans des stratégie d’opposition systématique et qui globalement ne comprennent pas grand chose aux évolutions économiques ;. C’est sans doute dommage car la société a besoin de médiation dans de nombreux champs en particulier dans le domaine social. Or cette médiation ne fonctionne pas en France. La responsabilité en incombe d’abord à l’Etat qui veut tout réguler par la loi ( surtout quand la gauche est au pouvoir) , ce qui enlève beaucoup de contenu aux négociations. La responsabilité est aussi celle du patronat qui n’est pas spécialement ouvert  en France, parfois même assez réactionnaire. D’uen certaine manière à l’image de notre économie, en déclin. Même s’il y a encore de très belles réussites de certaines sociétés  et un tissu de PME assez dynamique. On est loin de la cogestion  l’allemande et les discussions avec les représentants syndicaux sont en faiat très formelles ; elles ne permettent pas en tout cas d’aborder les grandes évolutions structurelles et technologiques. Enfin la responsabilité incombe aux syndicats eux mêmes qui compte tenu de l’objet très réduit des discussions avec le patronat fait émerger des responsables surtout contestataires et peu compétents économiquement. Sauf l’UNSA, la CGC et la CFDT la plupart des syndicats sosnt sur des positions gauchisantes coupées des préoccupations des salariés. .Du coup la manifestation du Premier mai perd de son sens et ressemble de plus en plus à des rassemblements d’anciens combattants.

Déficit commercial : dégradation en mai

Déficit commercial : dégradation  en mai

Encore une mauvaise nouvelle économique, le déficit commercial de la France s’est creusé en mai, à 4,9 milliards d’euros, retombant ainsi à son niveau de mars après une légère réduction en avril (-4,1 milliards), a annoncé le ministère des Finances aujourd’hui. Le service des Douanes, qui établit cette statistique, a expliqué cette dégradation par « une poussée des importations (…) particulièrement marquée pour les produits pétroliers raffinés et pour les œuvres d’art ». En revanche, il a noté une évolution « très positive pour l’industrie aéronautique et spatiale, du fait de livraisons exceptionnelles de satellites ».

 

Croissance consommation : faux rebond en mai

Croissance consommation : faux rebond en  mai

En fait la consommation ne rebondit pas réellement et du coup la croissance va rester quasiment à plat. Les dépenses se sont certes accrues en mai, mais pas pour les loisirs et les achats plaisirs. Selon l’Insee, qui publie ses données sur le sujet ce vendredi 27 juin, les dépenses de consommation des ménages en mai ont augmenté de 1% en volume, après avoir reculé de 0,2% en avril. Mais l’institut précise que la hausse vient surtout des dépenses en énergie. Ainsi, les dépenses en biens fabriqués ont reculé de 0,1% en mai, celles d’alimentation de 1,1%, celles de biens durables de 0,4%, du fait notamment du repli des achats d’automobiles (-2,9% après +0,7% en avril).  Les dépenses en énergie, elles, ont bondi de 8%, a détaillé l’Institut national de la statistique et des études économiques dans un communiqué. En avril, elles avaient baissé de 3,3%. « Ce profil traduit un retour à la normale des dépenses de chauffage, alors qu’elles avaient reculé en début d’année en raison de températures particulièrement clémentes », écrit l’Insee. Autre poste de dépenses qui reprend de la vigueur: les achats en équipements du logement accélèrent (+3,1% après +0,7%). Les achats de textile, habillement et cuir augmentent aussi, mais très légèrement, de 0,6%, et alors qu’ils viennent de subir trois mois consécutifs de baisse.

 

Chômage : toutes les catégories touchées en mai

Chômage : toutes les catégories touchées en mai

 

 

Exit le discours lénifiant du gouvernement sur l’emploi des jeunes, des séniors ou des autres catégories ; Toutes catégories sont touchées en mai. Le nombre de demandeurs d’emploi augmente toutes catégories d’âge confondues, les plus âgés étant les plus touchés, que ce soit pour la catégorie A ou pour les catégories A, B et C. Ainsi, le nombre de demandeurs d’emplois de plus de 50 ans, en hausse ininterrompue depuis début 2008, a progressé de 0,8%pour la catégorie A et de 0,8% pour A, B et C. Sa hausse atteint 11,5% sur un an pour la catégorie A et 11,1% pour A, B et C. Dans le même temps, le chômage des jeunes a augmenté de 0,4% en catégorie A et de 0,6% en A, B et C, même si le recul sur un an persiste (-3,1% pour la catégorie A et -1,6% pour A, B et C). Le nombre de demandeurs d’emploi de longue durée, inscrits depuis un an ou plus à Pôle emploi, s’est accru de 0,8% en mai, sa progression sur les douze derniers mois atteignant 10,3%.

Chômage mai 5 millions de chômeurs en France

5 millions de chômeurs en France  

Pas de surprise les statistiques du chômage sont mauvaises ; pas étonnant la croissance est inexistante.  La hausse du chômage s’est donc  encore accélérée en mai et le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégories A, B et C a franchi le seuil symbolique de 5 millions en métropole, selon les chiffres diffusés jeudi par le ministère du Travail. Le nombre des demandeurs d’emplois inscrits en catégorie A (sans aucune activité), a progressé de 24.800, soit 0,7%, en métropole, ce qui porte leur total à un nouveau record de 3.388.900. En ajoutant les catégories B et C (les personnes ayant exercé une activité réduite), le nombre d’inscrits à Pôle emploi a augmenté de 34.300, soit 0,7%, pour s’élever à 5.020.200 en métropole et 5.320.000 en incluant les départements d’Outre-mer. Sur un an, la hausse est de 4,1% pour la catégorie A en métropole et de 4,8% pour les catégories A, B et C. « Les chiffres du chômage sont mauvais mais en même temps il n’y a pas de fatalisme », a déclaré le Premier ministre, Manuel Valls, lors d’un déplacement à Paris.

Emploi : Baisse des embauches en mai

Emploi : Baisse des embauches en mai

Mauvais signe pour la croissance et le chômage, les embauches ont diminué en mai. Le nombre de déclarations d’embauche de plus d’un mois dans les secteurs marchands, hors intérim, a diminué de 0,6% en mai après avoir augmenté de 3,1% en avril, selon les chiffres publiés vendredi par l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss). Sur les trois derniers mois, les embauches sont en progression de 0,4% mais elles restent en baisse de 1,0% sur un an. L’Acoss fait état d’autre part d’une stabilité, sur les trois mois à fin avril, des embauches dans les entreprises déclarant mensuellement leurs cotisations aux Urssaf (entreprises de plus de neuf salariés, qui représentent près 81% de l’emploi marchand). Sur un an, elles augmentent de 0,1%. Les effectifs de l’intérim ont reculé de 1,7% sur trois mois, après -0,1% le mois précédent, mais ont progressé de 3,0% sur un an. Dans l’industrie, l’emploi des entreprises mensualisées a poursuivi son repli (-0,1% sur trois mois et -1,1% sur un an), même si les déclarations d’embauche du secteur ont à nouveau progressé en mai (+2,7%), portant à +1,5% et +5,7% les évolutions respectives sur trois mois et sur un an.

 

Zone euro : tassement de la croissance en mai

Zone euro : tassement de la croissance en mai

Tassement de la croissance de l’activité manufacturière de la zone euro qui a ralenti en mai davantage que ce qui avait été initialement pressenti, montre l’enquête réalisée auprès des directeurs d’achat, alimentant les anticipations d’un nouvel assouplissement de la politique monétaire de la Banque centrale européenne. Le résultat définitif de l’enquête réalisée par Markit donne un indice à 52,2 pour le mois de mai après 53,4 en avril et alors que les analystes anticipaient 52,5. Il reste toutefois au dessus de la barre de 50 qui sépare la croissance de la contraction, pour le 11e mois consécutif. « Le recul de l’indice PMI manufacturier enregistré en mai viendra inéluctablement conforter les voix s’élevant en faveur d’une nouvelle intervention de la BCE et de l’adoption de mesures destinées à dynamiser la croissance de la région et à enrayer le risque déflationniste », écrit l’économiste en chef de Markit dans un communiqué. L’enquête montre toutefois une très légère augmentation de la composante des prix payés, qui ressort à 50,3 après 49,2 en avril et qui pourrait atténuer les craintes déflationnistes.

Information : la France en vacances de mai à septembre

Information : la France en vacances de mai à septembre

Il n’aura pas échappé aux surfeurs du net que l’info est en semi vacances depuis le début de mai, on peut le constater auusi en regardant la télé ou en prenant connaissance de la presse écrite. Il y a deux fois moins d’infos ; cela a commencé avec le week end du premier mai et cela va durer jusqu’en septembre. Après le mois  de semi congé de mai, information tourne surtout autour de tennis et de Roland Garos, ensuite vient le Tour de France cycliste et enfin les congés d’Août t. Pendant cette période, il faudra donc se satisfaire de quelques rares nouvelles économiques, sociales voire même politiques, place au sport et au divertissement. Certes le sport est important, respectable même (c’est bien  de s’intéresser aux résultats sportifs, c’est encore mieux de faire soi-même du sport)). Pour autant on ne peut admettre que les grands médias soient essentiellement consacrés à ces événements. On sait bien que pour occuper le peuple, pour qu’il se taise, il  fauta lui donner des jeux, comme dans la Rome antique mais il y a en France une tradition du divertissement qui exeplique sans doute une partie de la dévalorisation de la valeur travail et du déclin économique. A cela s’ajoute la mode sur internet qui constitue à mettre des vidéos à la place des articles. Comme si l’internaute devenait de plus en plus réfractaire à la lecture et préférait des images et du son ; En tout cas avec ces vidéos, on ne peut pas dire que les journalistes se fatiguent beaucoup !

Fêtes du mois de mai : un coût d’un milliard pour l’économie

Fêtes du mois de mai : un coût d’un milliard pour l’économie

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Pour le seul mois de mai de cette année, il est possible de bénéficier de 12 jours chômés pour seulement trois jours de posés. Un avantage pour les salariés, qui n’est pas sans conséquences sur l’économie française.  Les trois jeudis fériés chômés coûtent 500 millions d’euros à l’économie française, selon l’Insee. En ajoutant à cela le prix des trois ponts possibles, le chiffre peut atteindre le milliard d’euros perdu. Mais ces jours de vacances ont tout de même quelques côtés positifs. À commencer par le repos des salariés, difficilement chiffrable mais bénéfique pour la productivité et donc pour la croissance. Certains secteurs, comme le tourisme, l’hôtellerie, les loisirs, ou encore les transports se frottent les mains. Pour eux : les 1er, 8 et 29 mai sont synonymes de bénéfices.

 

Automobiles : baisse des ventes en Europe en mai

Automobiles : baisse des ventes en Europe en mai

. Les immatriculations de voitures neuves en Europe ont chuté de 5,9% en mai à 1,04 million de véhicules vendus, signant même la plus mauvaise performance pour un mois de mai depuis 1993, selon des chiffres publiés par l’ACEA. Après un an et demi de baisse ininterrompue, le marché automobile européen avait connu une timide reprise en avril (+1,7%), qui s’expliquait essentiellement par un mois d’avril 2012 particulièrement mauvais et le fait que Pâques soit tombé en mars. Mais l’éclaircie a été de courte durée. Sur le mois écoulé, le Royaume-Uni est le seul des grands marchés automobiles européens à avoir vu les ventes progresser (+11%), tandis que celles de l’Italie, de l’Espagne et de la France reculaient. Le premier marché européen, l’Allemagne, qui a longtemps bien résisté à la morosité, a perdu 9,9%. Les constructeurs français ont souffert, les immatriculations de PSA Peugeot Citroën chutant de 13,2% et celles du groupe Renault (marques Renault et Dacia) de 10%. Le groupe allemand Volkswagen a limité la casse (-2,8%).  Sur cinq mois, le recul des immatriculations dans les 27 pays de l’Union (hors Malte pour qui les données n’étaient pas disponibles) est encore plus net avec 6,8%.

 

Voitures neuves: recul de 10% en mai

Les commandes ont reculé de 10% en mai par rapport au même mois de 2011, écrit lundi la publication mensuelle spécialisée La Lettre VN Auto K7, en se fondant sur une enquête réalisée auprès de 34 groupes de distribution automobile. Après un début d’année en baisse, les commandes avaient réduit à 1% leur recul en mars avant d’augmenter de 6% en avril grâce à l’arrivée de nouveaux modèles. « Trois jours de travail en moins et des élections présidentielles, tout cela ne pouvait concourir à faire du mois de mai un chef d’oeuvre en volumes (…) », commente La Lettre VN, dont Reuters a obtenu une copie. « Tout ceci n’est pourtant rien en comparaison de ce qui se trame au sein de la distribution française et européenne », poursuit-elle. « Les rentabilités des réseaux ont fondu comme neige au soleil depuis le début de l’année. Le mal semble profond et la crise grave. » Le pronostic de la profession (un recul de 8% à 10% du marché automobile français en 2012) intègre un redressement, même modeste, de la demande en cours d’année grâce au renouvellement de plusieurs modèles emblématiques comme la Peugeot 208 et la Renault Clio, et à l’arrivée de nouveautés comme le Lodgy, le monospace low cost de Dacia. Mais cette amélioration se fait attendre, et sur les cinq premiers mois de l’année les immatriculations restent en baisse de 17,2%. Le mois de juin, dernier mois complet avant les départs en vacances d’été, sera comme chaque année déterminant. Selon un distributeur Peugeot cité par La lettre VN, les opérations portes ouvertes du deuxième week-end de mai ont été « très calmes », notamment au niveau de la 208. Au total, d’après la publication, les commandes de la marque au lion ont rechuté de 25% en mai. Côté Citroën, deuxième marque du groupe PSA dont les commandes sont estimées en baisse de 15% en mai, les journées portes ouvertes sont qualifiées de « correctes » par un distributeur. « Mais rien n’est sauvé si les clients continuent de déserter les show-rooms », précise-t-il.  

 

Croissance : l’industrie s’écroule en mai

Croissance : l’industrie s’écroule en mai

 

L’industrie manufacturière s’enfonce nettement dans le rouge en mai. L’activité s’est fortement contractée en mai selon les résultats définitifs de l’enquête Markit auprès des directeurs d’achats publiés vendredi. L’indice PMI s’est établi à 44,7 (contre 44,4 en première estimation « flash » et 46,9 en avril), atteignant son plus bas niveau depuis mai 2009. L’indice n’a pas dépassé le seuil de 50 qui distingue croissance et contraction depuis juillet 2011. L’indice de la production manufacturière a baissé à 43,6 après 47,5 en avril, un chiffre conforme à l’estimation flash. A 41,6, l’indice des nouvelles commandes recule (il était à 43,5 en avril) et se situe à son plus bas niveau depuis avril 2009. L’indice de l’emploi est à 45,8, au plus bas depuis septembre 2009. « La crise s’intensifie dans le secteur manufacturier français », déclare Jack Kennedy, économiste senior chez Markit. Il souligne des divergences entre les secteurs : les fabricants de biens intermédiaires et de biens d’équipement signalant un nouveau repli de la production tandis que l’activité progresse dans le secteur des biens de consommation. « Le faible niveau de confiance des entreprises semble donc fortement peser sur la performance actuelle du secteur, l’incertitude économique croissante incitant les fabricants à différer leurs dépenses et leurs projets d’investissements », ajoute-t-il.

 

Climat des affaires: dégradation en mai, selon l’Insee

Climat des affaires: dégradation en mai, selon l’Insee

L’indicateur du climat général des affaires en France a baissé de quatre points en mai, à 92, et la dégradation a touché tous les secteurs, a annoncé l’Insee jeudi dans son enquête mensuelle de conjoncture. L’indicateur synthétique du climat des affaires dans l’industrie manufacturière diminue de deux points, à 93, un niveau inférieur à celui attendu par les économistes. Ces deux indicateurs restent sous le seuil de 100 qui correspond à leur moyenne de longue période. Les 26 économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un chiffre de 95 dans l’industrie, leurs estimations s’échelonnant de 93 à 96. « Les indicateurs synthétiques du climat des affaires se sont dégradés dans tous les secteurs : -1 point dans le bâtiment, -2 points dans l’industrie et dans les services, -7 points dans le commerce de détail et -7 points en deux mois dans le commerce de gros », précise l’Insee dans son communiqué. L’institut souligne que la conjoncture économique dans son ensemble est « toujours incertaine », tout en précisant que « l’indicateur de retournement calculé au niveau France signale un climat conjoncturel favorable ».

 

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