Sa célèbre et vibrante lettre à Mélinée juste avant de mourir lue par Patrick Bruel.
«Bonheur à ceux qui vont nous survivre et goûter la douceur de la liberté et de la paix de demain [...] Au moment de mourir, je proclame que je n’ai aucune haine contre le peuple allemand et contre qui que ce soit, chacun aura ce qu’il méritera comme châtiment et comme récompense.»
Et l’hommage émouvant du président de la république:
«La France de 2024 se devait d’honorer ceux qui furent 24 fois la France. Dans l’esprit des jeunes Français venus ici pour songer à cette autre jeunesse passée avant elle, étrangère, juive, communiste, résistante, jeunesse de France, gardienne d’une part de la noblesse du monde.»
«Cette odyssée, celle de Manouchian et de tous ses compagnons d’armes, est aussi la nôtre. Odyssée de liberté et de sa part ineffaçable dans le cœur de notre nation, évoque Emmanuel Macron. Un résistant décide de mourir pour notre nation qui, pourtant, avait refusé de l’adopter pleinement.»