Archive pour le Tag 'Macron'

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Un gouvernement technique : dernière carte….. avant la démission de Macron ?

Un gouvernement technique : dernière carte avant la démission de Macron ?

 

Benjamin Morel, constitutionnaliste : « En cas de censure, le gouvernement technique serait la dernière carte d’Emmanuel Macron ». Si le gouvernement Barnier venait à être censuré, il serait immédiatement démissionnaire. La configuration parlementaire actuelle ne laisserait alors plus beaucoup d’options au chef de l’Etat, estime le maître de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas dans un entretien au « Monde ».
Après les propos de Marine Le Pen indiquant que le Rassemblement national pourrait voter la motion de censure du NFP, en cas de recours à l’article 49.3 pour faire adopter le budget, le scénario de la chute du gouvernement Barnier prend de l’épaisseur. Pour le politiste et constitutionnaliste Benjamin Morel, maître de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas, l’avantage, en cas de nomination d’un gouvernement « technique », est que « chacun prendra date avec l’idée que cette fois-ci la dissolution n’est pas une option, mais bien une chose acquise ».
Que se passerait-il au lendemain d’une censure du gouvernement de Michel Barnier ?
Si jamais la motion de censure est votée, le gouvernement sera immédiatement réputé démissionnaire, ce qui est différent de la situation du mois de juillet, quand le gouvernement pouvait en droit être considéré comme démissionnaire une fois seulement la démission du premier ministre acceptée par le président de la République. Là, Emmanuel Macron ne pourra pas retarder le moment où le gouvernement ne pourra qu’expédier les affaires courantes.

 

Popularité Macron : dans les profondeurs

Popularité Macron : dans les profondeurs

En dépit des multiples interventions de Macron en France comme à l’étranger, sa cote de confiance ne cesse de diminuer pour tourner aujourd’hui autour de 17 %. En cause évidemment les piètres résultats de sa politique et ses orientations pour le moins contradictoire tant en politique intérieure qu’à l’international. Dans ces conditions et compte tenu de la crise politique dans laquelle le pays s’enfonce, Macron aura bien du mal à finir son mandat.

le président de la République voit ses cotes de popularité ou d’avenir fléchir dans la plupart des sondages.

Que ce soit en termes d’approbation ou de cotes d’avenir, le président de la République a chuté dans la plupart des baromètres d’opinion. Dans celui réalisé fin octobre par l’institut Verian-Epoka pour Le Figaro Magazine , il ne recueillait la « confiance » que de 17 % (- 5) des personnes interrogées. Son plus bas niveau jamais enregistré. De son côté, l’Ifop jaugeait au même moment à 22 % (- 3) le taux de Français « satisfaits » du chef de l’État.

Censure du gouvernement : Macron souhaite maintenant la stabilité !

Censure du gouvernement : Macron souhaite maintenant la stabilité !

Macron qui est à l’origine de la crise politique qui affecte la France souhaite désormais la stabilité politique. De quoi sourire évidemment si l’affaire n’était pas aussi grave. Car c’est bien le président de la république qui en toute irresponsabilité a décidé de dissoudre l’assemblée créant une crise qui pourrait déboucher sur le chaos.

Macron tente vainement d’exister en multipliant les prises de parole et les déplacements à l’étranger. Le problème c’est que cette parole est complètement discréditée tant en France qu’à l’extérieur. Macron n’est même plus écouté par ses propres troupes.

«Je crois que le gouvernement, avec méthode, va continuer avec les forces du socle commun qui constituent aujourd’hui cette majorité relative et avec les oppositions d’avancer, a-t-il fait valoir. Notre pays a besoin de continuer à avancer.» «On a besoin de continuer à mener des réformes, on a besoin de continuer à être ambitieux sur le plan économique, écologique, de notre sécurité, sur le plan évidemment de notre éducation également et de notre santé», a insisté le président de la République. «Je suis confiant sur notre capacité à avoir de la stabilité pour ce faire.»

 

Foot France Israël sous protection avec Macron et Barnier

Foot France Israël sous protection avec Macron et Barnier

En dépit des menaces des islamistes, la France a sans doute eu raison de maintenir le match de foot contre Israël à Paris. Une manière de refuser la politisation dans les enceintes sportives et plus généralement de dénoncer l’antisémitisme. Le dispositif de sécurité sera particulièrement renforcé

Dommage seulement que Israël est conseillé à ses ressortissants de ne pas participer à l’événement comme spectateur.

À l’occasion de la rencontre la France veut aussi affirmer ses valeurs républicaines et démocratiques.

Le président et le premier ministre iront soutenir l’équipe de France jeudi face à Israël, alors que ce match de Ligue des nations s’annonce à haut risque en raison du climat sous tension après des violences survenues à Amsterdam cette semaine.

Pour l’heure, un faible nombre de billets a été vendu, «entre 15.000 et 20.000» sur les 80.000 places disponibles du Stade de France.

Macron en visite officielle au Maroc avec un humoriste douteux

Macron en visite officielle au Maroc avec un humoriste douteux

 

En visite officielle au Maroc, Macron a cru bon de s’entourer aussi d’un humoriste douteux  par ailleurs condamné par la justice. Une  nouvelle preuve de l’inconsistance politique totale de Macron .

En septembre 2023, Belattar cet humoriste douteux est condamné à quatre mois de prison avec sursis pour menaces de mort et crimes visant plusieurs personnalités du monde du spectacle entre 2018 et 2019.

Malgré cette condamnation, il est reçu par deux conseillers de l’Elysée en novembre 2023, quelques jours avant la grande marche contre l’antisémitisme.

« Sa présence ne vaut en aucun cas adhésion à ses idées », esquive-t-on à l’Élysée, rapporte Le Figaro. À la suite de la diffusion d’images où l’humoriste franco marocain apparaît complice avec le Ministre des Armées et des Anciens combattants Sébastien Lecornu, son entourage explique : « Le ministre ne le connaît pas. Au regard de sa tenue d’ailleurs, il l’a pris pour un technicien. Belattar attendait le cortège et est venu le féliciter pour son passage sur France 2 », relate CNews. En cause, la personnalité sulfureuse du Franco Marocain, condamné en 2023 à quatre mois de prison avec sursis pour menaces de mort.

Et cet humoriste serait un conseiller régulier de Macron en matière de politique étrangère !

Netanyahou très déçu par Macron

 Netanyahou très  déçu par Macron

 

 

Politique- »Renaissance »: le Parti de Macron en voie d’extinction

Politique- »Renaissance »: le Parti de Macron en voie d’extinction

 

Parti de rien, resté à rien, le parti de Macon est en voie d’extinction. Un parti qui aurait compté près de 500 000 sympathisants en 2017 est aujourd’hui réduit à 8500 militants à jour de cotisations. Autant dire une sorte de club.

Rien d’étonnant à cela Macron lui-même n’a jamais souhaité un véritable parti, il n’a jamais voulu le structurer et encore moins le démocratiser. Sa grande peur était de se voir contesté par l’émergence de concurrents nationaux.

De toute manière ,un parti sans passé, sans présent et maintenant sans avenir puisque le macronisme contradictoire et fumeux va mourir avec le départ de Macron.

Composé essentiellement d’opportunistes et d’arrivistes ce parti n’a jamais pu élaborer la moindre ligne idéologique un peu cohérente, il est surtout demeuré un parti de courtisans qui pratiquement n’a pas été capable de faire émerger de responsable de dimension nationale Attal peut-être excepté. Pour sauver sa peau d’une manière ou d’une autre , il sera condamné à s’unir un jour avec les sociaux démocrates du parti socialiste

 

L’aventurisme budgétaire de Macron

L’aventurisme budgétaire de Macron

 

« Faute d’être maîtrisée budgétairement, l’aventure macronienne a fini par devenir de l’aventurisme ». En mettant un terme à la politique de l’offre, le projet de loi de finances pour 2025 enterre le macronisme comme alternative aux politiques économiques menées par la droite et la gauche, observe dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».

Il n’est pas banal qu’un texte financier mette fin à une aventure politique. Sans fleur ni couronne, le projet de loi de finances pour 2025, divulgué jeudi 10 octobre au terme d’une invraisemblable séquence politique, a enterré le macronisme plus sûrement qu’un procès politique. Dans toute la sécheresse de ses chiffres – 178 milliards d’euros de déficit, 3 200 milliards d’euros de dette publique nécessitant un ajustement budgétaire de 60 milliards d’euros dont près de 30 milliards d’euros sous forme de hausses d’impôts essentiellement acquittées par les entreprises –, le texte a mis un terme à la politique de l’offre menée avec constance par le président de la République depuis 2017. C’est sur elle que reposait l’essentiel de son originalité. C’est par elle qu’il a échoué.

En choyant les entreprises et les investisseurs, en refusant de relever la fiscalité sur les plus riches, le triple espoir d’Emmanuel Macron était de rendre le pays plus attractif, d’en finir avec le chômage de masse et de faire de la France l’avant-garde de la construction européenne. La réalité est que le pays est aujourd’hui surveillé de près par les agences de notation, obligé de négocier avec Bruxelles un délai pour ramener son déficit dans la norme européenne. Celui qui le représente peine à affirmer son influence dans les affaires du monde.
A travers la énième crise de ses finances publiques, la France est ramenée à son rang : celui d’une puissance moyenne qui n’en finit pas de brader son capital à force de vivre au-dessus de ses moyens. Les expédients auxquels le gouvernement Barnier est obligé de recourir aujourd’hui – un peu plus d’impôts, un peu moins de progression de la dépense publique – rejoignent la longue litanie des précédents plans d’ajustement engagés tantôt par la droite, tantôt par la gauche, alors que la France a la particularité de cumuler un taux élevé de dépenses publiques et de prélèvements obligatoires.

 

Une dégradation à une vitesse vertigineuse
La politique de l’offre est ce qu’il restait au macronisme au terme des nombreuses mutations qu’il a connues. Elle a été engagée en 2017 à travers la baisse des impôts et la flexibilisation du marché du travail. Elle a été réaffirmée cinq ans plus tard à travers la réforme des retraites et celle de l’assurance-chômage. Elle a visé à attirer les capitaux étrangers et à doper l’investissement, ce en quoi elle a en partie réussi.

Elle a aussi tenté d’acclimater en France l’idée que le modèle social pourrait être financé par plus de croissance et non plus de prélèvements obligatoires pourvu que les Français se résolvent à travailler plus. Ce en quoi elle a démocratiquement échoué : la réforme des retraites comme celle de l’assurance-chômage, vécues comme injustes, ont eu pour effet de susciter un puissant mouvement de contestation et de miner la légitimité du président de la République.

 

Renaissance: le Parti de Macron en voie d’extinction

 Renaissance: le Parti de Macron en voie d’extinction

 

Parti de rien, resté à rien, le parti de Macon est en voie d’extinction. Un parti qui aurait compté près de 500 000 sympathisants en 2017 est aujourd’hui réduit à 8500 militants à jour de cotisations. Autant dire une sorte de club.

Rien d’étonnant à cela Macron lui-même n’a jamais souhaité un véritable parti, il n’a jamais voulu le structurer et encore moins le démocratiser. Sa grande peur était de se voir contesté par l’émergence de concurrents nationaux.

De toute manière ,un parti sans passé, sans présent et maintenant sans avenir puisque le macronisme contradictoire et fumeux va mourir avec le départ de Macron.

Composé essentiellement d’opportunistes et d’arrivistes ce parti n’a jamais pu élaborer la moindre ligne idéologique un peu cohérente, il est surtout demeuré un parti de courtisans qui pratiquement n’a pas été capable de faire émerger de responsable de dimension nationale Attall peut-être excepté. Pour sauver sa peau d’une manière ou d’une autre , il sera condamné à s’unir un jour avec les sociaux démocrates du parti socialiste

 

Politique- Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 %

Politique- Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 %

 Dans le baromètre mensuel réalisé par l’institut Ipsos pour  » la Tribune », , Barnier compte 46% d’avis défavorables parmi les Français sondés les 9 et 10 octobre. Cela fait 13 points de plus que son lot d’avis favorables, évalué à 33%. Macron , lui ,tombe à 20 %
 Le phénomène touche aussi bien François Ruffin que Marine Le Pen, Édouard Philippe ou Raphaël Glucksmann. La palme de la baisse revient à Gabriel Attal et Bernard Cazeneuve. Le premier est passé de 31 à 23% de satisfaits, le second de 19 à 11%.

 Quant à Emmanuel Macron, sa dégringolade ne fait que se poursuivre. Seuls 25% des Français interrogés le soutiennent. Un niveau proche de son plancher de 20%, atteint à l’époque des Gilets jaunes. Plus alarmant pour lui, c’est dans son propre camp que le soutien s’effrite : chez les sympathisants de Renaissance, du MoDem et d’Horizons, il perd 13 points. Pour eux, l’après-Macron a bel et bien commencé. « Globalement, les Français estiment que leurs représentants ont failli, sans pour autant préserver les divers opposants, développe Brice Teinturier. Ce qui se passe autour du budget sonne, dans l’opinion, comme un désaveu massif de la politique menée par Emmanuel Macron. C’est comme si on réalisait que dans son bilan, il y a un énorme trou, à savoir la dette, qu’on va devoir régler dans la douleur parce que ça n’a pas été traité avant. »

 

Le pessimisme général des citoyens a, en conséquence, fait un bond spectaculaire. D’abord, s’agissant des hausses d’impôts annoncées, 62% des Français sondés pressentent qu’elles ne toucheront pas uniquement les plus fortunés et les grandes entreprises, contrairement aux engagements pris par l’exécutif.

Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33

Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 

 Dans le baromètre mensuel réalisé par l’institut Ipsos pour  » la Tribune », , Barnier compte 46% d’avis défavorables parmi les Français sondés les 9 et 10 octobre. Cela fait 13 points de plus que son lot d’avis favorables, évalué à 33%. Macron , lui ,tombe à 20 %
 Le phénomène touche aussi bien François Ruffin que Marine Le Pen, Édouard Philippe ou Raphaël Glucksmann. La palme de la baisse revient à Gabriel Attal et Bernard Cazeneuve. Le premier est passé de 31 à 23% de satisfaits, le second de 19 à 11%.

 Quant à Emmanuel Macron, sa dégringolade ne fait que se poursuivre. Seuls 25% des Français interrogés le soutiennent. Un niveau proche de son plancher de 20%, atteint à l’époque des Gilets jaunes. Plus alarmant pour lui, c’est dans son propre camp que le soutien s’effrite : chez les sympathisants de Renaissance, du MoDem et d’Horizons, il perd 13 points. Pour eux, l’après-Macron a bel et bien commencé. « Globalement, les Français estiment que leurs représentants ont failli, sans pour autant préserver les divers opposants, développe Brice Teinturier. Ce qui se passe autour du budget sonne, dans l’opinion, comme un désaveu massif de la politique menée par Emmanuel Macron. C’est comme si on réalisait que dans son bilan, il y a un énorme trou, à savoir la dette, qu’on va devoir régler dans la douleur parce que ça n’a pas été traité avant. »

 

Le pessimisme général des citoyens a, en conséquence, fait un bond spectaculaire. D’abord, s’agissant des hausses d’impôts annoncées, 62% des Français sondés pressentent qu’elles ne toucheront pas uniquement les plus fortunés et les grandes entreprises, contrairement aux engagements pris par l’exécutif.

Parti renaissance: Attal pour remplacer le vide de la pensée de Macron

Parti renaissance: Attal pour remplacer le vide de la pensée de Macron

 

Le parti de Macron n’a réellement jamais existé d’ailleurs les dirigeants au départ ont été désigné par Macron lui-même. Ensuite comme en Union soviétique les apparatchiks ont désigné les autres apparatchiks y compris jusqu’au niveau local. Bref Macon n’a jamais voulu d’une instance susceptible de faire émerger des contestataires qui par exemple ont saboté la gestion de François Hollande.

Du coup, très rares ont émergé de nouveaux responsables de dimension réellement nationale. On les compte sur les doigts d’une main. Macron s’est toujours attachée à s’entourer d’experts complaisants et transparents. Il a toujours tout fait pour écarter tout ce qui pouvait lui faire ombrage; exemple Borloo ou encore dernièrement  Thierry Breton éjecté de son poste de commissaire européen; sans parler d’Attal viré de premier ministre après six mois alors qu’il commençait tout juste à faire émerger sa politique.

C’est donc une opération sauve-qui-peut pour ceux qui restent des macronistes  et Attal est candidat pour essayer de remplacer le vide de la pensée contradictoire de Macron  avec pour seul adversaire possible l’ancienne première ministre transparente Élisabeth Borne! Comme militant de gauche charismatique ont fait mieux ! Pourquoi pas aussi Bruno Lemaire le champion des comptes publics et de la justice sociale ! A moins que Darmanin …

 

Conflits Israël-Moyen-Orient–Macron, ce président dément !

Conflits Israël-Moyen-Orient–Macron, ce président dément !

On peut légitimement s’interroger pour savoir si Macron complètement discrédité en France pour avoir mené les politiques les plus contradictoires avec notamment pour conséquence l’une des plus grandes crises financières que le pays ait  connu ne va pas continuer  de manière aussi négative au plan international. Sa dernière déclaration concernant l’arrêt de fourniture d’armes à Israël pour se défendre relève en effet de l’irresponsabilité totale.

 

Première observation pourquoi avoir choisi précisément la veille du 7 octobre jour mondial de commémoration du massacre des juifs par le Hamas pour faire une telle proposition ? à moins D’être complètement hors sol vis à vis  des sensibilités de l’opinion.

Deuxièmement sur le fond,  cette proposition est inique d’abord parce que les circonstances actuelles ne conduisent pas c’est le moins seul moins qu’on puisse dire à un apaisement des affrontements guerriers mais plutôt à leur extension, deuxièmement parce que cette posture ne s’appuie pas non plus sur un débouché crédible et durable permettant de conduire et surtout de maintenir la paix. Bref Macron  ont fait du Macron  comme il en a fait avec Poutine, comme il en a fait en Afrique et même dans les territoires d’outre-mer comme en Nouvelle-Calédonie. Avec des zigzags invraisemblables qui ont contribué à discréditer la France en plus de son affaiblissement économique et financier.

7-Octobre : Macron hué devant Barnier

 

Après la proposition scandaleuse de Macron d’arrêter de fournir des armes à Israël, il fallait évidemment s’attendre à une réaction vive des juifs de France. Alors qu’Israël et le monde ont commémoré ce lundi l’attaque terroriste du 7-Octobre, Emmanuel Macron a appelé à arrêter de livrer à l’État hébreu des armes. Immédiatement, cette déclaration surprise a été saluée par les Insoumis. 

Après la proposition scandaleuse de macro d’arrêter de fournir des armes à Israël, il fallait évidemment s’attendre à une réaction vive des juifs de FranceLa simple évocation d’Emmanuel Macron a été vivement sifflée lors d’une cérémonie organisée lundi par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), en mémoire des victimes et en soutien de la centaine d’otages, dont deux Franco-Israéliens, retenus depuis un an par le Hamas.

«Vous pouvez compter sur le président de la République, sur le premier ministre (…) sur tous les membres du gouvernement pour protéger nos compatriotes de confession juive», a lancé notamment le Savoyard, sous les huées du public du Dôme de Paris. En référence aux propos polémiques du chef de l’État, certains spectateurs dans la salle ont même crié «des armes». Le nom du chef de l’État a été une nouvelle fois conspué lorsque Michel Barnier a assuré qu’Emmanuel Macron «mettait en tout œuvre» pour «faire libérer les otages».

Conflits Moyen-Orient–Macron, ce président fou !

Conflits Moyen-Orient–Macron, ce président fou !

On peut légitimement s’interroger pour savoir si Macron complètement discrédité en France pour avoir mené les politiques les plus contradictoires avec notamment pour conséquence l’une des plus grandes crises financières que le pays ait  connu ne va pas continuer  de manière aussi négative au plan international. Sa dernière déclaration concernant l’arrêt de fourniture d’armes à Israël pour se défendre relève en effet de l’irresponsabilité totale.

 

Première observation pourquoi avoir choisi précisément la veille du 7 octobre jour mondial de commémoration du massacre des juifs par le Hamas pour faire une telle proposition ? à moins D’être complètement hors sol vis à vis  des sensibilités de l’opinion.

Deuxièmement sur le fond cette proposition est inique d’abord parce que les circonstances actuelles ne conduisent pas c’est le moins seul moins qu’on puisse dire à un apaisement des affrontements guerriers mais plutôt à leur extension, deuxièmement parce que cette posture ne s’appuie pas non plus sur un débouché crédible et durable permettant de conduire et surtout de maintenir la paix. Bref Macron  ont fait du Macron  comme il en a fait avec Poutine, comme il en a fait en Afrique et même dans les territoires d’outre-mer comme en Nouvelle-Calédonie. Avec des zigzags invraisemblables qui ont contribué à discréditer la France en plus de son affaiblissement économique et financier

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