Archive pour le Tag 'maçon'

Super profits: Macron découvre la lune

Super profits: Macron découvre la lune


Incroyable, Macron acculé reconnaît que beaucoup de multinationales ont fait des super profits qui méritent d’être taxés et de contribuer ainsi à financer les retraites. Une découverte tardive. Pourtant en 2023 il s’agit d’une somme tournant autour de 80 milliards dont 25 milliards pour le rachat d’actions. Une paille ou plutôt un record !

Grâce à la politique monétaires accommodantes qui a déversé des milliards gratuits sans condition, nombre d’entreprises ont profité de la situation pour augmenter sans raison leur prix. C’est la véritable origine de l’inflation avec la question de l’énergie.

En réponse à la « colère » des opposants à la réforme des retraites. Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé mercredi 22 mars avoir demandé à son gouvernement de travailler « à une contribution exceptionnelle des entreprises » ayant enregistré des bénéfices records .

Les grandes entreprises ayant réalisé des bénéfices tels qu’elles peuvent racheter leurs actions et ainsi rémunérer les actionnaires doivent « distribue[r] davantage à leurs salariés », a assuré Emmanuel Macron, lors de son interview à France 2 et TF1, pointant le « cynisme » de certaines d’entre elles. Quelle forme prendra cette contribution ? « Il faut trouver la bonne technique » !!!, a-t-il répondu.

Les députés Renaissance et l’exécutif « réfléchissent » aussi depuis plusieurs mois à un « dividende salarié », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. « Quand il y a une augmentation du dividende chez les actionnaires, il doit y avoir la même chose pour les salariés », avait résumé le président de la République, fin octobre, lors de sa participation à l’émission « L’Evènement » sur France 2.

Rachat d’actions : Macron découvre les superprofits des multinationales !

Economie: Macron découvre les superprofits des multinationales


Incroyable, Macron acculé reconnaît que beaucoup de multinationales ont fait des super profits qui méritent d’être taxés et de contribuer ainsi à financer les retraites. Une découverte tardive. Pourtant en 2023 il s’agit d’une somme tournant autour de 80 milliards dont 25 milliards pour le rachat d’actions. Une paille ou plutôt un record !

Grâce à la politique monétaires accommodantes qui a déversé des milliards gratuits sans condition, nombre d’entreprises ont profité de la situation pour augmenter sans raison leur prix. C’est la véritable origine de l’inflation avec la question de l’énergie.

En réponse à la « colère » des opposants à la réforme des retraites. Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé mercredi 22 mars avoir demandé à son gouvernement de travailler « à une contribution exceptionnelle des entreprises » ayant enregistré des bénéfices records .

Les grandes entreprises ayant réalisé des bénéfices tels qu’elles peuvent racheter leurs actions et ainsi rémunérer les actionnaires doivent « distribue[r] davantage à leurs salariés », a assuré Emmanuel Macron, lors de son interview à France 2 et TF1, pointant le « cynisme » de certaines d’entre elles. Quelle forme prendra cette contribution ? « Il faut trouver la bonne technique » !!!, a-t-il répondu.

Les députés Renaissance et l’exécutif « réfléchissent » aussi depuis plusieurs mois à un « dividende salarié », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. « Quand il y a une augmentation du dividende chez les actionnaires, il doit y avoir la même chose pour les salariés », avait résumé le président de la République, fin octobre, lors de sa participation à l’émission « L’Evènement » sur France 2.

Incroyable : Macron découvre les superprofits des multinationales

Incroyable : Macon découvre les superprofits des multinationales


Incroyable, Macron acculé reconnaît que beaucoup de multinationales ont fait des super profits qui méritent d’être taxés et de contribuer ainsi à financer les retraites. Une découverte tardive. Pourtant en 2023 il s’agit d’une somme tournant autour de 80 milliards dont 25 milliards pour le rachat d’actions. Une paille ou plutôt un record !

Grâce à la politique monétaires accommodantes qui a déversé des milliards gratuits sans condition, nombre d’entreprises ont profité de la situation pour augmenter sans raison leur prix. C’est la véritable origine de l’inflation avec la question de l’énergie.

En réponse à la « colère » des opposants à la réforme des retraites. Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé mercredi 22 mars avoir demandé à son gouvernement de travailler « à une contribution exceptionnelle des entreprises » ayant enregistré des bénéfices records .

Les grandes entreprises ayant réalisé des bénéfices tels qu’elles peuvent racheter leurs actions et ainsi rémunérer les actionnaires doivent « distribue[r] davantage à leurs salariés », a assuré Emmanuel Macron, lors de son interview à France 2 et TF1, pointant le « cynisme » de certaines d’entre elles. Quelle forme prendra cette contribution ? « Il faut trouver la bonne technique » !!!, a-t-il répondu.

Les députés Renaissance et l’exécutif « réfléchissent » aussi depuis plusieurs mois à un « dividende salarié », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. « Quand il y a une augmentation du dividende chez les actionnaires, il doit y avoir la même chose pour les salariés », avait résumé le président de la République, fin octobre, lors de sa participation à l’émission « L’Evènement » sur France 2.

Par orgueil , Macron préfère la crise

Politique– Par orgueil , Macron préfère la crise

On connaît maintenant suffisamment le logiciel mental de Macron qui repose surtout sur un ego démesuré. Comme sous la monarchie, il va refuser d’affronter la situation rapidement en faisant comprendre comme d’habitude qu’il est le maître des horloges. Le seul problème c’est qu’en ce moment la situation se dégrade à vue d’œil à tel point qu’on ne sait pas quelle direction la révolte sociale peut prendre.Et aujourd’hui mercredi 22 mars, on va devoir écouter le énième bla-bla d’un président qui s’est mis lui-même dans le pétrin par mépris de la démocratie. La même incapacité d’écoute, la même condescendance et l’illusoire prétention à inscrire le nom d’un arriviste dans l’histoire


La grande presse se focalise encore sur la situation du gouvernement et de l’Assemblée nationale. Il se pourrait bien que ces deux questions soient déjà obsolètes. Le gouvernement même s’il est maintenu et de toute façon discréditait et sa première ministre sans envergure avec. Quant au Parlement il a démontré ses limites démocratiques. En utilisant l’article 47 l’assemblée nationale s’est elle-même condamnée à la marginalité, même chose au Sénat qui a utilisé l’article 38 pour empêcher toute discussion des amendements. Et pour finir le coup de massue de Macron qui utilise l’article 47–3 de la constitution pour neutraliser complètement le Parlement.

L’avenir ne se situe plus ni au gouvernement ni même à l’assemblée car la crise politique va sans doute déboucher sur une crise sociale encore plus grande, sur une crise politique et même sur une crise institutionnelle. La démocratie ne fonctionne plus dans le pays et depuis longtemps. Le système de monarchie républicaine tout dépend du président est usé jusqu’à la corde. De la même manière se pose la question de la démocratie représentative où les élus le plus souvent décident sans concertation avec les citoyens des orientations qu’il souhaite et-ou que souhaitent certains lobbys.

En matière démocratique, tout est à remettre à plat en France car notre système repose sur le principe monarchique avec à la tête un président qui s’imagine en monarque absolu et toute une pyramide de petits marquis , et autres barons, sorte de club de l’entre soi.

Violence : les idiots utiles à Macron

Violence : les idiots utiles à Macron

L’histoire se répète inlassablement en France comme ailleurs. Les régimes autoritaires et encore davantage les dictatures utilisent évidemment les violences minoritaires pour discréditer la légitimité des révoltes populaires.

Ainsi les pseudos révolutionnaires de papier de gauche et mouvements facho de droite profitent de la mobilisation historique de la rue contre le pouvoir technocratique et financier pour créer des incidents (et peut-être malheureusement un jour des accidents( que commence à utiliser le pouvoir.

Il suffit même dans certains médias de droite de focaliser sur le feu de trois poubelles pour décrire la situation de quasi insurrection dans le pays. Il y a évidemment des incidents plus graves quand les forces de l’ordre sont bêtement attaquées, quand les commerces subissent des dommages ou quand on casse des voitures.

C’est le retour des idiots utiles à Macron qui risquent de discréditer la justesse de la protestation jusque-là exceptionnellement massive et remarquablement organisée par les syndicats.

Le problème c’est que ces idiots utiles extrémistes contestent autant les syndicats que le pouvoir politique et même toute institution puisque le projet politique de ces extrémistes est d’installer la dictature.

La gauche politique, la gauche syndicale aurait beaucoup à perdre à soutenir, pire à impulser des mouvements de protestation violents s’attaquant aux biens et aux personnes. Il y a chez certains un manque évident de hauteur politique. Un phénomène qui touche malheureusement tout autant le pouvoir politique infantile actuel qu’une opposition qui se caractérise aussi souvent par la médiocrité de ses représentants.

Par orgueil démesuré, Macron va s’enfoncer dans la crise

Politique– Par orgueil démesuré, Macon va s’enfoncer dans la crise

On connaît maintenant suffisamment le logiciel mental de Macron qui repose surtout sur un ego démesuré. Comme sous la monarchie, il va refuser d’affronter la situation rapidement en faisant comprendre comme d’habitude qu’il est le maître des horloges. Le seul problème c’est qu’en ce moment la situation se dégrade à vue d’œil à tel point qu’on ne sait pas quelle direction la révolte sociale peut prendre.


La grande presse se focalise encore sur la situation du gouvernement et de l’Assemblée nationale. Il se pourrait bien que ces deux questions soient déjà obsolètes. Le gouvernement même s’il est maintenu et de toute façon discréditait et sa première ministre sans envergure avec. Quant au Parlement il a démontré ses limites démocratiques. En utilisant l’article 47 l’assemblée nationale s’est elle-même condamnée à la marginalité, même chose au Sénat qui a utilisé l’article 38 pour empêcher toute discussion des amendements. Et pour finir le coup de massue de Macron qui utilise l’article 47–3 de la constitution pour neutraliser complètement le Parlement.

L’avenir ne se situe plus ni au gouvernement ni même à l’assemblée car la crise politique va sans doute déboucher sur une crise sociale encore plus grande, sur une crise politique et même sur une crise institutionnelle. La démocratie ne fonctionne plus dans le pays et depuis longtemps. Le système de monarchie républicaine tout dépend du président est usé jusqu’à la corde. De la même manière se pose la question de la démocratie représentative où les élus le plus souvent décident sans concertation avec les citoyens des orientations qu’il souhaite et-ou que souhaitent certains lobbys.

En matière démocratique, tout est à remettre à plat en France car notre système repose sur le principe monarchique avec à la tête un président qui s’imagine en monarque absolu et toute une pyramide de petits marquis , et autres barons, sorte de club de l’entre soi.

Affaire Alstom-Les liens de Macron avec la finance

Affaire Alstom-Les liens de Macron avec la finance

L’entêtement de Macon se comprend d’autant mieux si l’on tient compte de ses liens avec la haute finance qui lui a permis contre toute logique politique de se présenter à l’élection présidentielle. Il y a le fameux dossier du financement de sa campagne toujours enterrée par la justice et l’affaire significative de son implication dans la vente de la branche énergie d’Alstom aux Américains de General Electric.

Rappel des faits dans Wikipédia.

Le 23 avril 2014, alors que Patrick Kron et Jeffrey Immelt, PDG de General Electric, discutent confidentiellement aux États-Unis les derniers détails de la vente de la branche énergie du groupe, l’agence Bloomberg publie une dépêche révélant les négociations entre les deux PDG.

Le rachat partiel d’Alstom par General Electric, est proposé pour un montant de 13 milliards de dollars.

Le 27 avril, une offre alternative est faite par Siemens, par laquelle ce dernier exprime son souhait d’acquérir les activités énergétiques d’Alstom, contre une partie des activités ferroviaires de Siemens.

Patrick Kron doit accepter l’offre de rachat de la branche énergie d’Alstom par le groupe américain General Electric (GE) face aux pressions du gouvernement américain (cf. infra) et à l’emprisonnement abusif d’employés stratégiques d’Alstom comme Frédéric Pierucci . La branche restante d’Alstom, c’est-à-dire les activités de transport qui ne représentent alors qu’un tiers du chiffre d’affaires du groupe, serait chargée du paiement de l’amende liée à un procès de corruption intenté aux États-Unis sur une base d’extraterritorialité des lois anticorruption .

Le 30 avril, le conseil d’administration d’Alstom accepte l’offre de 12,35 milliards d’euros de General Electric, pour ses activités énergétiques. Les actionnaires approuvent cette offre à 99,2 %. General Electric confirme son offre de 16,9 milliards de dollars.

Le 5 mai 2014, General Electric annonce son souhait d’acquérir 25 % de la filiale énergétique indienne d’Alstom pour environ 389 millions de dollars, si son offre globale réussit.

Le même jour, le gouvernement français s’oppose à l’offre de General Electric, s’inquiétant des activités turbine de la filière nucléaire française civile et militaire, des emplois et du futur de ses activités ferroviaires, invitant General Electric à regrouper ses activités ferroviaires avec celles d’Alstom.

L’état tente de renforcer son poids dans la négociation. Le 16 mai, Il promulgue le décret no 2014-479 qui étend à de nouveaux secteurs de l’énergie, de l’eau, des transports, des télécommunications et de la santé publique les pouvoirs du décret no 2005-1739, qui portent sur la possibilité donnée au gouvernement de mettre un veto sur des investissements étrangers qui portent atteintes aux intérêts stratégiques.

Le 16 juin, Siemens et Mitsubishi Heavy Industries émettent une nouvelle offre commune alternative à celle de General Electric. Siemens souhaite acquérir les activités d’Alstom dans les turbines à gaz pour 3,9 milliards de dollars et Mitsubishi Heavy Industries formerait des co-entreprises avec Alstom sur ses activités du nucléaire, de la distribution électrique et de l’hydroélectricité, pour 3,1 milliards de dollars5.

Le 19 juin 2014, General Electric annonce une variation de son offre initiale, sur la même valeur, mais avec davantage d’échanges d’actifs par la création d’une co-entreprise sur les activités électriques renouvelables, sur les réseaux de distributions d’énergies, sur les activités de turbines à vapeur et sur les activités nucléaires. General Electric s’engage également à vendre son activité dans la signalisation ferroviaire à Alstom5

Le 20 juin 2014, Siemens et Mitsubishi Heavy Industries modifient leur offre regroupant les co-entreprises proposées en une seule entre Alstom et Mitsubishi et augmentent la partie de l’offre en liquide de Siemens de 400 millions d’euros à 4,3 milliards d’euros.

Le même jour, le gouvernement français annonce soutenir dorénavant l’alliance entre Alstom et General Electricet vouloir prendre 20 % des actions d’Alstom (rachetés à Bouygues). Mais les tractations entre Bouygues et l’État semblent difficiles, les parties prenantes du dossier ne s’entendant pas sur le prix.

Le 4 novembre 2014, le ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron (successeur d’Arnaud Montebourg), autorise l’investissement de General Electric dans Alstom.

BS : le plus pathétique et le plus sulfureux dans l’histoire c’est que par suite d’un manque de rentabilité GE a revendu à EDF( qui n’en voulait pas) la branche Énergie sur l’ordre de Macron.

IVG dans la constitution : une manœuvre de diversion de Macon


IVG dans la constitution : une manœuvre de diversion de Macon


Acculé par un climat social détestable, Macron veut détourner l’attention et opère une manœuvre de diversion en proposant inscription de l’IVG dans la constitution. L’ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel juge inutile, voire dangereuse, cette proposition de loi.

Le 19 octobre, le Sénat examinera la proposition de loi constitutionnelle «visant à protéger et à garantir le droit fondamental à l’interruption volontaire de grossesse et à la contraception» présentée par la sénatrice écologiste Mélanie Vogel et plusieurs de ses collègues. Elle ajoute au titre VIII de la Constitution (pourtant consacré au pouvoir judiciaire) un article ainsi rédigé: «Nul ne peut porter atteinte au droit à l’interruption volontaire de grossesse et à la contraception. La loi garantit à toute personne qui en fait la demande l’accès libre et effectif à ces droits.»

Une purement politicienne car juridiquement IVG est déjà inscrit clairement dans la loi. En outre la France à la détestable habitude de modifier en permanence la constitution alors que dans certains pays cette constitution n’a pas bougéedepuis le début.

À l’évidence d’une manœuvre de diversion pour détourner l’attention vis-à-vis d’un climat social et politique très détérioré qui montre que le président de la république est particulièrement minoritaire sur la politique économique et sociale.

À ce compte on pourrait aussi modifier la constitution chaque fois qu’une loi qui porte sur un sujet fondamental est voté; ce qui par parenthèse n’est pas forcément de nature à changer plus fondamentalement les situations.

Sondage popularité Macron : en baisse à 35 %

Sondage popularité Macron : en baisse à 35 %

une chute de 3 points en un mois (35 %), selon le baromètre mensuel Ifop pour le JDD.

Le président paye surtout le mécontentement relatif à l’inflation et aux difficultés de pouvoir d’achat des Français( un sondage précédent avait démontré que 80 % étaient mécontents de la gestion du gouvernement sur ce sujet). Le soutien au chef de l’État est minoritaire dans toutes les catégories – sauf ses électeurs et les sympathisants de La République en marche – et en chute dans la plupart d’entre elles, à l’exception des cadres supérieurs. C’est particulièrement vrai dans les segments les plus en difficulté sur la question du pouvoir d’achat : ouvriers et employés (- 5 points), salariés du privé (- 3 points), jeunes de 18 à 24 ans et de 25 à 34 ans (- 4 points), artisans et commerçants (- 21 points). Fait majeur : il s’effondre chez les sympathisants LR (- 20 points) et chez les électeurs de Valérie Pécresse (- 9 points).

Le Président semble n’être plus préservé par sa gestion des grandes crises. Au contraire, il est frappé de plein fouet par l’inflation et les difficultés quotidiennes des Français : s’il n’y a pas de coagulation des colères attisées par LFI et la CGT, la grogne sociale l’atteint cependant. Sa première ministre, Élisabeth Borne , ne le protège pas davantage, qui perd 5 points (38 % de satisfaits). Une sérieuse alerte, six mois après sa réélection.

Macon–Le Pen : image médiatique assez proche

Macon–Le Pen : image médiatique assez proche

 

 

Selon un sondage Kantar Public – Epoka pour Le Figaro, qui s’intéresse aux traits de personnalités des deux finalistes à l’élection présidentielle, l’une et l’autre apparaissent ainsi déterminés pour 8 Français sur 10, intelligents pour 7 sur 10, et autoritaires pour les deux tiers. Par ailleurs, pour près de 6 Français sur 10, les deux candidats apparaissent courageux.

«Il n’y a pas d’outsider, ce sont deux personnalités qui se ressemblent du point de vue de leur image», décrypte Laure Salvaing, directrice générale de Kantar Public France. «Les deux sont considérés comme des hommes et femmes politiques traditionnels, avec tout ce qu’ils peuvent concentrer comme rejet», analyse-t-elle.

La directrice de l’étude observe que, depuis 2017, «l’image de Marine Le Pen a remonté la pente en matière de compétence et de crédibilité». Dans ce domaine, la candidate du Rassemblement national fait quasiment jeu égal avec le président sortant selon les électeurs. Près d’un Français sur deux estime que le qualificatif s’applique bien pour l’un et l’autre même si Emmanuel Macron (53%) devance la candidate RN (50%).

Les deux prétendants à l’Élysée conservent tout de même des différences caractéristiques aux yeux des Français. Emmanuel Macron se voit reprocher d’être manipulateur par 59% d’entre eux (contre 49% pour Marine Le Pen). Un grief qui lui est plus rapidement associé qu’à la représentante du RN. Le chef de l’État est aussi jugé plus méprisant (53%) que la candidate nationaliste (41%). Sur la capacité d’écoute, Marine Le Pen l’emporte avec 48% des Français qui lui attribuent cette qualité, contre 38% à Emmanuel Macron.

Toutefois, la députée du Pas-de-Calais apparaît plus inquiétante que son adversaire (46%). «Ce reproche lui est assez mécaniquement associé, ce qui montre que la normalisation de son image n’est pas totale», analyse l’étude. Marine Le Pen est également jugée plus souvent agressive (48%) que le président sortant (42%).

Selon le sondage, les électeurs de Jean-Luc Mélenchon au premier tour, qui «détiennent en partie les clefs du second tour», se montrent beaucoup plus sceptiques s’agissant de l’honnêteté et la capacité d’écoute des deux finalistes, et sont plus nombreux que la moyenne à leur accoler des défauts. Les deux reproches qui leur sont associés le plus rapidement par les mélenchonistes sont «manipulateur» pour Emmanuel Macron et «agressive» pour Marine Le Pen.

Pour le «match retour» de l’élection présidentielle, «ce que craignent les Français sont la manipulation et le mépris de la part d’Emmanuel Macron. Du côté de Marine Le Pen, c’est l’agressivité», insiste Laure Salvaing. Des aspects de leur personnalité que les candidats chercheront à gommer lors du débat d’entre deux tours.

Réforme des pensions : Macron et Le Pen battent en retraite

Réforme des pensions : Macron et Le Pen battent  en retraite

 

Sur cette question centrale qui pourrait contribuer à désigner le vainqueur du deuxième tour des présidentielles, les candidats révisent à la baisse les critères de révision de leur réforme. En clair,  on adoucit nettement les positions avec Macron qui recule maintenant à 64 ans l’âge minimal mais avec des aménagements pour tenir compte des situations personnelles. Et Le Pen de son côté lâche aussi sur la perspective de 62 ans avec une possibilité à 60 ans pour certains.Bref Macron et Le Pen battent en retraite ! Et ce n’est sans doute pas fini.

Marine Le Pen, elle, dénonce « la manoeuvre » de Macron . Et de fustiger le changement de pied de son compétiteur sur le sujet : « entre 64 et 65 ans, c’est tout aussi terrible, c’est tout aussi injuste« , a-t-elle commenté ce matin. « En réalité, la retraite à 65 ans, il ira au bout car c’est son obsession ».

Après avoir proposé une réforme à 60 ans pour tous, la candidate du Rassemblement national a, elle, aussi revu sa copie, en février dernier. Pour être plus réaliste face aux contraintes budgétaires, elle a finalement opté pour un système progressif, en fonction de l’âge d’entrée sur le marché du travail. Autrement dit, ne bénéficieront d’un départ à 60 ans que les Français qui ont commencé à travailler tôt, avant 20 ans. Les autres partiront plus tard.

Aujourd’hui, le système général des retraites est loin d’être à l’équilibre. Après un déficit de 13 milliards d’euros en 2020 à cause de la pandémie, les comptes se sont un peu améliorés avec la reprise – meilleure que prévue -, mais le déficit reste au moins à 2,5 milliards d’euros.

Tout dépendra aussi des prochaines estimations du Conseil d’orientation des retraites, le COR, publiées jeudi. Selon le Figaro, qui a eu accès aux documents de travail en amont, le déficit des retraites devrait continuer à se creuser pour les années à venir. Dans le pire des cas, jusqu’à 0,8% du PIB d’ici 50 ans. Ce qui signifie devoir trouver entre 30 et 40 milliards d’euros.

 

Sondage élection présidentielle : 51 % pour Macon, 49 % pour Pécresse au second tour

Sondage élection présidentielle :  51 % pour Macon,  49 % pour Pécresse au second tour

 

Selon une étude Elabe pour BFMTV et L’Express publié ce mardi, le président de la République enregistre une hausse de +3 points, et obtient 26% d’intentions de vote au premier tour de la présidentielle de 2022. Derrière lui, la percée de Valérie Pécresse, qui avait bénéficié d’un très fort «effet Congrès» début décembre, semble quant à elle marquer le pas.

Donnée à 20% au lendemain de sa désignation comme candidate de la droite, la francilienne plafonne désormais à 17% (-3), dépassant seulement d’un point la prétendante du Rassemblement national, Marine Le Pen (16%), et reléguant le nationaliste Éric Zemmour à 13%.

Même scénario pour le second tour, puisque le chef de l’État est là encore donné gagnant dans tous les cas de figure. Y compris dans l’hypothèse d’un duel face à Valérie Pécresse, où il l’emporterait d’une courte tête, avec 51% des voix contre 49%. Lors de la précédente vague de l’étude, cette dernière apparaissait pourtant en capacité de l’emporter, avec 52% contre 48% au président sortant.

Des sondages toutefois à prendre avec des pincettes dans la mesure où il y a à peine 40 % des Français qui sont décidés à aller voter. En outre la grande presse comme d’habitude va pousser ses candidats témoin d’ailleurs le sondage évoqué par BFM qui indique que ma combattrait nettement Pécresse au second tour alors que le résultat serait de 51 contre 49 ! Des commentaires qui ne sont pas neutres.

Après une semaine mouvementée à gauche, où l’appel d’Anne Hidalgo et d’Arnaud Montebourg à une primaire entre les principaux candidats est resté lettre morte, c’est le chef de file des Insoumis qui semble tirer le plus parti de cette confusion. Il gagne trois points, et se hisse à 11% d’intentions de vote, loin devant l’écologiste Yannick Jadot (5%) et la socialiste Anne Hidalgo (3%).

Alors qu’une très large majorité des sympathisants de gauche souhaite une candidature unique à gauche (85%), quelque 33% d’entre eux estiment que Jean-Luc Mélenchon serait la personnalité la plus à même de l’incarner, contre 21% pour l’ancienne garde des Sceaux Christiane Taubira, et seulement 11% pour Yannick Jadot.

 

Sondage « spécial » du JDD : Macron, 41% de satisfaits !

Sondage « spécial » du JDD : Macon, 41% de satisfaits !

Le dernier sondage du JDD illustre le soutien de ce média à Emmanuel Macron en affichant une hausse trois. points et en concluant que Emmanuel Macron en position de force à huit mois de la présidentielle. Bref la bataille des sondages a commencé et tous les grands médias aux mains des financiers qui ont permis l’élection de Macron vont multiplier ce genre d’information.

 

Selon leJDD avec 41% de satisfaits, la popularité de macro augmente de 3 points en un mois, signe que l’annonce, le 12 juillet, de la mise en œuvre du passe sanitaire et les mobilisations de l’été n’ont pas nui au chef de l’État. Au contraire. Il retrouve ainsi son plus haut niveau de l’année écoulée. À huit mois de l’élection présidentielle, ce résultat le place en position de force, 8 points au-dessus de son prédécesseur Nicolas Sarkozy à la même période de son mandat et 25 points au-dessus de François Hollande.

Vœux de Macron : un président content de lui-même ( opposition)

Vœux de Macron : un président content de lui-même ( opposition)

Les Français « ont besoin de savoir où Emmanuel Macron veut les emmener, et je n’ai pas entendu d’annonces concrètes », déplore jeudi soir sur franceinfo Annie Genevard, vice-présidente Les Républicains de l’Assemblée nationale, après les voeux télévisés du chef de l’État.

 

« Dans la forme je suis d’accord avec lui sur l’hommage qui a été rendu aux Français, aux Français les plus courageux. Il a voulu exprimer sa confiance en les Français, je suis d’accord avec lui, mais à condition de savoir les entraîner, de leur donner une perspective », juge la députée.

 

La porte-parole du Parti socialiste Gabrielle Siry-Houari fustige « un vide assez complet sur le fond » à propos des voeux d’Emmanuel Macron aux Français ce jeudi soir.

« Il a parlé des jeunes en détresse », a expliqué Gabrielle Siry-Houari. « Le chef de l’Etat a dit ‘nous serons là’ sans annoncer quoi que ce soit de concret. J’appelle solennellement le président à ouvrir d’urgence le RSA aux moins de 26 ans parce qu’on ne peut pas laisser la génération Covid devenir une génération sacrifiée et les mots n’y suffiront pas », lance le responsable socialiste.

 

« En 2021, quoiqu’il arrive, nous saurons faire face aux crises, qui ne s’éteindront pas avec le 1er janvier », a notamment déclaré Emmanuel Macron lors de ses voeux aux Français jeudi 31 décembre depuis l’Elysée.  »Les mots sont choisis pour être fédérateurs, les actes sont ceux d’une politique aveugle », dénonce Julien Bayou, secrétaire national d’Europe Ecologie-les Verts, sur franceinfo. « On a besoin d’un cap et c’est ce qui fait défaut à ce quinquennat », critique Julien Bayou.

 

L’élu écologiste a déploré le manque de gestes concrets envers la jeunesse, un des thèmes abordés par le président. « Quand il s’agit de rémunérer décemment [...] on n’agit pas », juge le conseiller régional d’Ile-de-France, évoquant la décision gouvernementale de n’augmenter le Smic que d’une quinzaine d’euros.

 

« Emmanuel Macron est loin des réalités des français », fustige jeudi soir sur franceinfo Sébastien Chenu, porte-parole du Rassemblement National après les voeux du chef de l’État. « Le président nous a dit combien il était content de lui-même, c’est un président totalement déconnecté des réalités. Je ne sais pas si Emmanuel Macron se rend compte de l’état du pays », poursuit l’élu d’extrême-droite.

Covid : Macon victime de son activisme et de ses contradictions

Covid : Macon victime de son activisme et de ses contradictions

 

 

 

Il est clair que personne n’est vraiment à l’abri d’une contamination par le Coronavirus. Cependant,  les mesures de précaution permettent de limiter les risques. Or Macron comme d’habitude est victime de son activisme en voulant à la fois assumer son rôle de chef de l’État, de chef du gouvernement et de chef de la majorité.

 

Il n’y a pas une journée sans que le chef de l’État ne fasse une sortie publique et contacte évidemment des personnes éventuellement positives au virus. On le voit même à la télévision sans masque, touchant ses interlocuteurs et leur serrant même la main.

 

 Bref Macon comme dans beaucoup d’autres domaines est en contradiction entre son action et son comportement. Théoriquement,  il se veut particulièrement rigoureux pour les Français en imposant des mesures parfois à la limite des atteintes à la liberté ; par contre, lui ne se prive pas de multiplier les occasions de contacts dans le cadre de rencontres dont beaucoup ne ce justifient pas eu égard à la fonction de président de la république. C’est activisme est maladif politiquement et traduit une certaine nervosité du président; au plan sanitaire,  cet  activisme est dangereux.

 

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