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Social-Un Haut conseil des rémunérations : encore un machin inutile !

Social-Un « Haut conseil des rémunérations » : encore un machin inutile !

Presque à chaque problème qui survient et faute de lucidité, de courage et de cohérence, le gouvernement repousse la poussière sous le tapis en créant un nouveau machin type « conseil national ». Cette fois sur les rémunérations.

Chacun sait bien que ce ne sont pas dans ce type d’organisme que se prennent les décisions. Il s’agit en fait de d’un ersatz de démocratie qui au passage permet de s’asseoir sur les institutions et organisations existantes. En effet bien entendu cela permet au pouvoir de sélectionner les participants avec une majorité favorable au gouvernement.

Et il ne manque pas d’experts patentés pour cautionner cette manipulation. Au mieux ce nouveau haut conseil fera des recommandations. Le gouvernement a seulement un pouvoir de décision concernant le SMIC. Pas sur les autres rémunérations qui doivent se discuter dans les branches et bien sûr dans les entreprises en fonction des réalités économiques et sociales.

On notera que sous Macron on aura créé un nombre incalculable d’institutions nouvelles qui n’ont d’autre but que d’écraser les institutions existantes et même le Parlement. Exemple le Conseil national de la Refondation qui n’a aucune existence réelle, aucune légitimité. Un truc complètement bidon dont d’ailleurs les médias parlent à peine.

Élisabeth Borne confirme donc la mise en place prochaine d’un «Haut conseil des rémunérations»
À l’issue de la conférence sociale en présence des partenaires sociaux, la première ministre a confirmé lundi 16 octobre la mise en place prochaine d’un «Haut conseil des rémunérations».

Un nouveau- Un  » haut conseil des collectivités locales » : encore un machin !

Un nouveau- Un  » haut conseil des collectivités locales » : encore un machin !

Face à la grogne des collectivités locales qui se voient contraintes d’effectuer de nouvelles missions sont forcément les moyens correspondants, le gouvernement s’en tire à nouveau en créant un nouveau machin intitulé « haut conseil des collectivités locales ». Lee but serait selon Bruno Le Maire lance un Haut Conseil pour apaiser les relations entre l’État et les élus locaux.

Il y avait déjà le Comité des finances locales, l’Observatoire des finances locales et encore le Haut Conseil des finances publiques… Le gouvernement y ajoute le Haut Conseil des finances publiques locales, lancé mardi matin. Cette nouvelle instance a pour vocation de pacifier les relations souvent tendues entre les collectivités territoriales et le gouvernement.

Cette nouvelle instance comprendrait les représentants des principales associations d’élus (maires, départements et régions) et les ministres chargés de la question sensible des finances locales.

Avec Macron aura noté la multiplication des instances dont la plupart font double emploi avec celles qui existent. ( Exemple le Sénat pour les collectivités locales).

C’est l’occasion pour le président de la république de s’affranchir des structures représentatives et compétentes.

Quant à la prétendue égalité qui serait atteinte entre l’État et les collectivités, c’est évidemment une foutaise car en définitive c’est le gouvernement qui a le dernier mot avec le Parlement sur le budget.

Politique et Conférence sociale : le nouveau machin de Macron

Politique et Conférence sociale : le nouveau machin de Macron

Comme c’était prévisible, il n’est pas sorti grand-chose de la pseudo initiative politique de Macon réunissant les chefs de partis représentés au Parlement. Chacun a déroulé ses priorités et ses calendriers. On a parlé de tout et de rien et le pouvoir a surtout évité soigneusement la question prégnante du pouvoir d’achat. Pour faire semblant de répondre à cette problématique, Macron envisage de lancer un nouveau machin une « conférence sociale » qui porterait sur le relèvement des salaires minimums dans les branches.

Un problème bien connu des gens organisation syndicale et qui n’a nullement besoin d’une grande conférence mais seulement d’une concertation immédiate dans chaque branche. En outre, le sujet numéro un est surtout d’encourager la revalorisation du pouvoir d’achat pour tous. En effet, l’inflation a été l’occasion d’une vaste entreprise anti redistributive au profit du résultat des entreprises et au détriment du pouvoir d’achat. Le fonds monétaire international convient lui-même que la hausse des prix correspond à des facteurs objectifs pour 40 % mais que 45 % proviennent de l’augmentation des profits.

Notons enfin que la question du pouvoir d’achat relève de la responsabilité d’abord des partenaires sociaux et non de l’État ( sauf pour le SMIC et les fonctionnaires). L’étatisation de cette problématique ne peut que favoriser la confusion et les réticences notamment patronales.

Une « conférence sociale » sur « les carrières et les branches situées sous le salaire minimum » devrait donc être organisée, a indiqué ce jeudi l’entourage du président de la République à BFMTV.
Emmanuel Macron a « validé » lors de sa réunion avec les chefs de partis le principe de l’organisation d’une « conférence sociale » portant « sur les carrières et les branches situées sous le salaire minimum », a appris ce jeudi BFMTV auprès de l’entourage du chef de l’État, confirmant une information de l’AFP.

Enfumage–Conférence sociale : le nouveau machin de Macron

Enfumage–Conférence sociale : le nouveau machin de Macron

Encore un an fumage avec l’idée d’une conférence sociale proposée par Macon. Comme c’était prévisible, il n’est pas sorti grand-chose de la pseudo initiative politique de Macon réunissant les chefs de partis représentés au Parlement. Chacun a déroulé ses priorités et ses calendriers. On a parlé de tout et de rien et le pouvoir a surtout évité soigneusement la question prégnante du pouvoir d’achat. Pour faire semblant de répondre à cette problématique, Macron envisage de lancer un nouveau machin une « conférence sociale » qui porterait sur le relèvement des salaires minimums dans les branches.

Un problème bien connu des gens organisation syndicale et qui n’a nullement besoin d’une grande conférence mais seulement d’une concertation dans chaque branche. En outre, le sujet numéro un est surtout d’encourager la revalorisation du pouvoir d’achat pour tous. En effet, l’inflation a été l’occasion d’une vaste entreprise anti redistributive au profit du résultat des entreprises et au détriment du pouvoir d’achat. Le fonds monétaire international convient lui-même que la hausse des prix correspond à des facteurs objectifs pour 40 % mais que 45 % proviennent de l’augmentation des profits.
Notons enfin que la question du pouvoir d’achat relève de la responsabilité d’abord des partenaires sociaux et non de l’État ( sauf pour le SMIC et les fonctionnaires). L’étatisation de cette problématique ne peut que favoriser la confusion et les réticences notamment patronales.

Une « conférence sociale » sur « les carrières et les branches situées sous le salaire minimum » devrait donc être organisée, a indiqué ce jeudi l’entourage du président de la République à BFMTV.
Emmanuel Macron a « validé » lors de sa réunion avec les chefs de partis le principe de l’organisation d’une « conférence sociale » portant « sur les carrières et les branches situées sous le salaire minimum », a appris ce jeudi BFMTV auprès de l’entourage du chef de l’État, confirmant une information de l’AFP.

Notons aussi au passage que le pouvoir a oublié les retraités qui prennent plein pot l’inflation sans aucune évolution positive de la pouvoir d’achat.

Conférence sociale : le nouveau « machin » de Macron

Conférence sociale : le nouveau machin de Macron

Comme c’était prévisible, il n’est pas sorti grand-chose de la pseudo initiative politique de Macon réunissant les chefs de partis représentés au Parlement. Chacun a déroulé ses priorités et ses calendriers. On a parlé de tout et de rien et le pouvoir a surtout évité soigneusement la question prégnante du pouvoir d’achat. Pour faire semblant de répondre à cette problématique, Macron envisage de lancer un nouveau machin une « conférence sociale » qui porterait sur le relèvement des salaires minimums dans les branches.

Un problème bien connu des gens organisation syndicale et qui n’a nullement besoin d’une grande conférence mais seulement d’une concertation dans chaque branche. En outre, le sujet numéro un est surtout d’encourager la revalorisation du pouvoir d’achat pour tous. En effet, l’inflation a été l’occasion d’une vaste entreprise anti redistributive au profit du résultat des entreprises et au détriment du pouvoir d’achat. Le fonds monétaire international convient lui-même que la hausse des prix correspond à des facteurs objectifs pour 40 % mais que 45 % proviennent de l’augmentation des profits.
Notons enfin que la question du pouvoir d’achat relève de la responsabilité d’abord des partenaires sociaux et non de l’État ( sauf pour le SMIC et les fonctionnaires). L’étatisation de cette problématique ne peut que favoriser la confusion et les réticences notamment patronales.

Une « conférence sociale » sur « les carrières et les branches situées sous le salaire minimum » devrait donc être organisée, a indiqué ce jeudi l’entourage du président de la République à BFMTV.
Emmanuel Macron a « validé » lors de sa réunion avec les chefs de partis le principe de l’organisation d’une « conférence sociale » portant « sur les carrières et les branches situées sous le salaire minimum », a appris ce jeudi BFMTV auprès de l’entourage du chef de l’État, confirmant une information de l’AFP.

CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron lance encore un machin !

CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron lance  encore un machin !

Dès septembre, le fameux machin intitulé Conseil national de la Refondation sera lancé par Macron.Face au  relatif vide politique actuel  ,  Macron a sorti  soudain de sa poche une nouvelle version d’un truc inutile : le conseil national de la Refondation. Et quand on examine l’objectif, il s’agit évidemment une nouvelle fois de faire doublon avec les institutions existantes notamment le conseil économique et social environnemental mais aussi le Parlement. Car c’est évidemment au parlement en premier de prendre en charge les objectifs politiques nationaux et de les traduire réglementairement. Pour cette raison, le président du Sénat par exemple  vient de décider de ne pas participer à ce fameux conseil.

 

Cerise sur le gâteau, ce machin sera posé de personnalités tirées au sort. Ce qui nous amènera directement à la fois à des manipulations observées lors  la convention citoyenne du faît de l’inexpérience des intéressés. Aussi à des propositions relevant du niveau de discussion de bistrot.

Avec la proposition de Macron, on pourrait facilement se dispenser des sélections législatives prévues en avril et tirer  au sort les députés r transformés alors  en membres du conseil national de la politique.

Emmanuel Macron a  en effet annoncé , vouloir créer un « Conseil national de la refondation » réunissant les « forces politiques, économiques, sociales, associatives » ainsi que des citoyens tirés au sort, pour « atteindre » cinq objectifs qui toucheront notamment au pouvoir d’achat et à l’écologie.

« J’ai porté cinq objectifs pendant la campagne : l’indépendance (industrielle, militaire, alimentaire…), le plein-emploi, la neutralité carbone, les services publics pour l’égalité des chances et la renaissance démocratique avec la réforme institutionnelle. Pour les atteindre je veux réunir un Conseil national de la refondation, avec les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires et de citoyens tirés au sort », a-t-il affirmé.

Notons en fait qu’il il s’agit aussi d’une remise en cause du gouvernement puisque les priorités déjà évoquées devront préalablement passer par ce fameux conseil de Refondation. .

Le président précise qu’il y aura « une première séquence de plusieurs jours, puis des rendez-vous réguliers » et que la première portera sur le pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des Français.

Et Macron de resservir la soupe du grand débat national qu’il indique que des discussions auront lieu sur le terrain sur les objectifs indiqués

Macro prévoit en effet que « soient définis nos objectifs et les moyens » au sein de ce Conseil avant des « discussions » à partir de septembre, « sur le terrain, dans les 1200 bassins de vie, auxquelles seront associées toutes les parties prenantes ».

« Les Français sont fatigués des réformes qui viennent d’en haut », a insisté Emmanuel Macron.

 

Ils risquent  sans doute aussi d’être fatigués par ce mécano d’institutions inutiles qui s’ajoutent déjà à d’autres..

 

Politique-« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un machin !

Politique-« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un machin !

Face au  relatif vide politique actuel  qui risque de menacer la majorité absolue à l’Assemblée nationale, Macron sort soudain de sa poche une nouvelle version d’un truc inutile : le conseil national de la Refondation. Et quand on examine l’objectif, il s’agit évidemment une nouvelle fois de faire doublon avec les institutions existantes notamment le conseil économique et social environnemental mais aussi le Parlement. Car c’est évidemment au parlement en premier de prendre en charge les objectifs politiques nationaux et de les traduire réglementairement.

 

Cerise sur le gâteau, ce machin sera posé de personnalités tirées au sort. Ce qui nous amènera directement à la fois à des manipulations observées lors  la convention citoyenne du faît de l’inexpérience des intéressés. Aussi à des propositions relevant du niveau de discussion de bistrot.

Avec la proposition de Macron, on pourrait facilement se dispenser des sélections législatives prévues en avril et tirer  au sort les députés r transformés alors  en membres du conseil national de la politique.

Emmanuel Macron a  en effet annoncé dans une interview accordée à la presse régionale, dont Le Parisien-Aujourd’hui en France, vouloir créer un « Conseil national de la refondation » réunissant les « forces politiques, économiques, sociales, associatives » ainsi que des citoyens tirés au sort, pour « atteindre » cinq objectifs qui toucheront notamment au pouvoir d’achat et à l’écologie.

« J’ai porté cinq objectifs pendant la campagne : l’indépendance (industrielle, militaire, alimentaire…), le plein-emploi, la neutralité carbone, les services publics pour l’égalité des chances et la renaissance démocratique avec la réforme institutionnelle. Pour les atteindre je veux réunir un Conseil national de la refondation, avec les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires et de citoyens tirés au sort », a-t-il affirmé.

Notons en fait il s’agit aussi d’une remise en cause du gouvernement puisque les priorités déjà évoquées devront préalablement passer par ce fameux conseil de Refondation. Pas étonnant car jusqu’alors  Élisabeth Borne n’arrive pas à mordre sur l’opinion publique. Piree la notoriété de l’intéressée ne cesse de baisser avec seulement 27 % de soutien.

Le président précise qu’il y aura « une première séquence de plusieurs jours, puis des rendez-vous réguliers » et que la première portera sur le pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des Français.

Et Macron de resservir la soupe du grand débat national qu’il indique que des discussions auront lieu sur le terrain sur les objectifs indiqués

Macro prévoit en effet que « soient définis nos objectifs et les moyens » au sein de ce Conseil avant des « discussions » à partir de septembre, « sur le terrain, dans les 1200 bassins de vie, auxquelles seront associées toutes les parties prenantes ».

« Les Français sont fatigués des réformes qui viennent d’en haut », a insisté Emmanuel Macron.

 

Ils risquent  sans doute aussi d’être fatigué par ce mécano d’institutions inutiles qui s’ajoutent déjà à des cathédrales administratives et politiques.

Politique-« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un machin !

Politique-« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un machin !

Face au  relatif vide politique actuel  qui risque de menacer la majorité absolue à l’Assemblée nationale, Macron sort soudain de sa poche une nouvelle version d’un truc inutile : le conseil national de la Refondation. Et quand on examine l’objectif, il s’agit évidemment une nouvelle fois de faire doublon avec les institutions existantes notamment le conseil économique et social environnemental mais aussi le Parlement. Car c’est évidemment au parlement en premier de prendre en charge les objectifs politiques nationaux et de les traduire réglementairement.

 

Cerise sur le gâteau, ce machin sera posé de personnalités tirées au sort. Ce qui nous amènera directement à la fois à des manipulations observées lors  la convention citoyenne du faît de l’inexpérience des intéressés. Aussi à des propositions relevant du niveau de discussion de bistrot.

Avec la proposition de Macron, on pourrait facilement se dispenser des sélections législatives prévues en avril et tirer  au sort les députés r transformés alors  en membres du conseil national de la politique.

Emmanuel Macron a  en effet annoncé dans une interview accordée à la presse régionale, dont Le Parisien-Aujourd’hui en France, vouloir créer un « Conseil national de la refondation » réunissant les « forces politiques, économiques, sociales, associatives » ainsi que des citoyens tirés au sort, pour « atteindre » cinq objectifs qui toucheront notamment au pouvoir d’achat et à l’écologie.

« J’ai porté cinq objectifs pendant la campagne : l’indépendance (industrielle, militaire, alimentaire…), le plein-emploi, la neutralité carbone, les services publics pour l’égalité des chances et la renaissance démocratique avec la réforme institutionnelle. Pour les atteindre je veux réunir un Conseil national de la refondation, avec les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires et de citoyens tirés au sort », a-t-il affirmé.

Notons en fait il s’agit aussi d’une remise en cause du gouvernement puisque les priorités déjà évoquées devront préalablement passer par ce fameux conseil de Refondation. Pas étonnant car jusqu’alors  Élisabeth Borne n’arrive pas à mordre sur l’opinion publique. Piree la notoriété de l’intéressée ne cesse de baisser avec seulement 27 % de soutien.

Le président précise qu’il y aura « une première séquence de plusieurs jours, puis des rendez-vous réguliers » et que la première portera sur le pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des Français.

Et Macron de resservir la soupe du grand débat national qu’il indique que des discussions auront lieu sur le terrain sur les objectifs indiqués

Macro prévoit en effet que « soient définis nos objectifs et les moyens » au sein de ce Conseil avant des « discussions » à partir de septembre, « sur le terrain, dans les 1200 bassins de vie, auxquelles seront associées toutes les parties prenantes ».

« Les Français sont fatigués des réformes qui viennent d’en haut », a insisté Emmanuel Macron.

 

Ils risquent  sans doute aussi d’être fatigué par ce mécano d’institutions inutiles qui s’ajoutent déjà à des cathédrales administratives et politiques.

« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un machin !

« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un machin !

Face au  relatif vide politique actuel  qui risque de menacer la majorité absolue à l’Assemblée nationale, Macron sort soudain de sa poche une nouvelle version d’un truc inutile : le conseil national de la Refondation. Et quand on examine l’objectif, il s’agit évidemment une nouvelle fois de faire doublon avec les institutions existantes notamment le conseil économique et social environnemental mais aussi le Parlement. Car c’est évidemment au parlement en premier de prendre en charge les objectifs politiques nationaux et de les traduire réglementairement.

 

Cerise sur le gâteau, ce machin sera posé de personnalités tirées au sort. Ce qui nous amènera directement à la fois à des manipulations observées lors  la convention citoyenne du faît de l’inexpérience des intéressés. Aussi à des propositions relevant du niveau de discussion de bistrot.

Avec la proposition de Macron, on pourrait facilement se dispenser des sélections législatives prévues en avril et tirer  au sort les députés r transformés alors  en membres du conseil national de la politique.

Emmanuel Macron a  en effet annoncé dans une interview accordée à la presse régionale, dont Le Parisien-Aujourd’hui en France, vouloir créer un « Conseil national de la refondation » réunissant les « forces politiques, économiques, sociales, associatives » ainsi que des citoyens tirés au sort, pour « atteindre » cinq objectifs qui toucheront notamment au pouvoir d’achat et à l’écologie.

« J’ai porté cinq objectifs pendant la campagne : l’indépendance (industrielle, militaire, alimentaire…), le plein-emploi, la neutralité carbone, les services publics pour l’égalité des chances et la renaissance démocratique avec la réforme institutionnelle. Pour les atteindre je veux réunir un Conseil national de la refondation, avec les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires et de citoyens tirés au sort », a-t-il affirmé.

Notons en fait il s’agit aussi d’une remise en cause du gouvernement puisque les priorités déjà évoquées devront préalablement passer par ce fameux conseil de Refondation. Pas étonnant car jusqu’alors  Élisabeth Borne n’arrive pas à mordre sur l’opinion publique. Piree la notoriété de l’intéressée ne cesse de baisser avec seulement 27 % de soutien.

Le président précise qu’il y aura « une première séquence de plusieurs jours, puis des rendez-vous réguliers » et que la première portera sur le pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des Français.

Et Macron de resservir la soupe du grand débat national qu’il indique que des discussions auront lieu sur le terrain sur les objectifs indiqués

Macro prévoit en effet que « soient définis nos objectifs et les moyens » au sein de ce Conseil avant des « discussions » à partir de septembre, « sur le terrain, dans les 1200 bassins de vie, auxquelles seront associées toutes les parties prenantes ».

« Les Français sont fatigués des réformes qui viennent d’en haut », a insisté Emmanuel Macron.

 

Ils risquent  sans doute aussi d’être fatigué par ce mécano d’institutions inutiles qui s’ajoutent déjà à des cathédrales administratives et politiques.

 » Commission nationale de débat public » : un machin qui ne sert à rien !

 » Commission nationale de débat public » : un machin qui ne sert à rien !

S’il y a une commission qui ne sert vraiment rien c’est le cas de la commission nationale de débat public qui comme son nom l’indique contient un objet social complètement flou qui fait double emploi avec nombre d’autres institutions en particulier le conseil économique social environnemental. Une espèce de machin qui permet à une ancienne politique socialiste d’exister avec une dizaine de personnes pour traiter des thèmes qui ressemblent à un inventaire à la Prévert sans lien entre et surtout sans compétence particulière de ceux qui ont à prendre position. . Ce genre de commission nationale encombre le débat, le l’opacifie et d’une certaine manière le détourne. Ce ne sont pas les explications de la présidente Chantal Jouanneau, ancienne Ministre socialiste, qui peuvent convaincre que des débats bâclés et sans pertinence peuvent être utile à la démocratie.

 

LA TRIBUNE – La commission nationale du débat public que vous présidez vient de rendre son avis définitif sur un dossier au long cours, celui de la liaison routière entre Fos-sur-Mer et Salon-de-Provence, avec des décisions assez tranchées prises par l’Etat, notamment sur l’abandon d’un recours à une infrastructure autoroutière sur la totalité de l’itinéraire. Ce débat a duré 5 mois, réunissant beaucoup d’acteurs économiques.

CHANTAL JOUANNO - Cela a été un débat intéressant. Nous l’avons entamé avec des acteurs qui ne comprenaient pas l’utilité du débat. Nous l’avons fini avec un projet qui comprend un phasage, des engagements et un calendrier. Le débat a donc été utile pour clarifier le projet. Et les acteurs locaux en ressortent satisfaits, avec des solutions qui conviennent aux différentes parties prenantes. Il demeure néanmoins des points d’urgence et des points d’alerte. Le comité de suivi sera notamment chargé de faire en sorte que ce projet se développe en intégrant la multimodalité, en développant différents types de transports. D’autre part, trois phases sont prévues pour le contournement de Fos. Il est important que ce point ne dénature pas le projet global, en clair qu’il ne le « saucissonne » pas.

Deux garants ont été nommés afin notamment de « veiller à la « qualité de l’information et à la participation du public ». Cela « sécurise » la suite de la concertation ?

La nomination de garants est très récente. C’est une disposition nouvelle qui est possible depuis 2016. Les garants vont veiller à ce que tout se déroule de façon fluide, complète et à ce que le public soit tenu au courant des évolutions. Ils vont également faire des recommandations, créer des espaces d’expression. Ils rendront également, chaque année, un bilan de ce qui a été fait ou pas. Puis à la fin de la concertation, ils rédigeront un bilan complet qui sera versé au dossier d’enquête publique.

Quelle est désormais le rôle de la commission nationale ?

Notre rôle se poursuit jusqu’à l’enquête publique. Nous avons un rôle important d’alerte, de vigilance. Nous garantissons que la suite de la concertation se poursuive bien et qu’elle ne se réduise pas à un nombre limité de personnes. Nous sommes une véritable vigie.

Le débat public s’intéresse aussi à des sujets plus globaux, moins « territoriaux », qui peuvent diviser ?

Nous avons 125 dossiers en cours. Nous allons ouvrir le débat sur le parc éolien en Méditerranée ainsi que le parc éolien à Oléron. En Nouvelle-Aquitaine, nous allons ouvrir le débat sur le projet de parc photovoltaïque (baptisé Horizéo, prévu pour occuper 10km2 NDLR). Nous allons également travailler sur le Plan national de prévention des déchets. Dès que les projets prennent une dimension industrielle, cela fait réagir. Et nous avons un grand nombre de projets industriels, notamment sur les usines de batteries, sur celles de fabrication de médicaments ou de rénovation des incinérateurs. Le sujet du parc éolien en Méditerranée est à la fois intéressant et complexe, intéressant parce que la zone d’études est monumentale. Complexe, parce que la zone d’études est monumentale…

Un Haut conseil pour le climat (Macron) : encore un machin de plus ! (Gaston René Bessay)

Un Haut conseil pour le climat (Macron) : encore un machin de plus ! (Gaston René Bessay)

 

Pour toute réponse aux gilets jaunes Macron sort la vieille recette de la mise en place d’un machin, un « haut »conseil. Il faut savoir qu’il existe en France au moins une centaine   de conseils nationaux (personnellement j’ai été vice président  de l’un d’eux pendant 25 ans). Ces conseils ne sont évidemment pas démocratiques car la désignation des membres relève de la volonté et des fantaisies du prince qui gouverne ou du ministre qui chapeaute le champ d’activité. Certes des discussions ne sont pas toujours sans intérêt. Cela permet d’approfondir certains aspects voire de faire confronter des points de vue différents. Mais la problématique de  politique générale pénètre rarement dans ses institutions dites de sages (on entend par là surtout les vieilles barbes des plus hauts corps de l’État et/ou des fonctionnaires qui dépendent du gouvernement ; Tout au plus deux ou trois vrais experts). . Or la problématique des gilets jaunes met en cause des aspects fondamentalement politiques quant au choix économiques, énergétiques, technologiques et sociaux sans parler des dimensions démocratiques. Le nom choisi par Macron témoigne à l’évidence de la restriction du champ de réflexion de ce Haut conseil limité à la question du climat alors qu’il faut articuler ce problème avec la nécessité de mettre en place une politique de transition énergétique sociale juste et pertinente ; par ailleurs c’est toute la fiscalité qui est en cause sans parler de l’orientation génarale du gouvernement.  Le président Emmanuel Macron annoncera donc mardi la création d’un « Haut conseil pour le climat » composé d’experts, indique le JDD, citant l’Élysée.  Devant être annoncée lors de la présentation de programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), l’installation de cette structure placée sous l’autorité du Premier ministre est destinée « à susciter moins de crispations » sur la « politique énergétique et ses conséquences fiscales », précise l’hebdomadaire du dimanche.  La semaine précédente, Édouard Philippe avait écarté l’idée d’une réunion avec les corps intermédiaires pour construire un « pacte social de la conversion écologique », comme l’avait demandé le numéro un de la CFDT Laurent Berger. Il estimait que ce n’était pas ce que « demandent les gilets jaunes ». Pour répondre aux « gilets jaunes » comme aux propositions de certains syndicats d’ouvrir des négociations sociales, Emmanuel Macron va « donner le cap sur la transition écologique », devant les membres du Conseil national de la transition écologique ( un conseil de plus !), composé d’élus, de syndicats, d’ONG et d’associations, dans l’objectif la rendre « acceptable », avait expliqué l’Élysée à l’AFP vendredi. Le Haut conseil pour le climat sera « doté de moyens » et pourra « intervenir sur toutes les politiques publiques » en ayant en charge de s’assurer de « la soutenabilité sociale et économique » de ces politiques, a expliqué l’Élysée au JDD. Pour parler vulgairement, on ne remettre pas en cause le cap ou la méthode mais on recherche la vaseline pour aire passer le tout.

Retraites : le COR, un machin ni scientifique, ni politique

Retraites : le  COR, un machin ni scientifique, ni politique

La France ne manque pas de conseil ou comité qui ne servent pas à grand-chose. Le comité d’orientation des retraites (COR) en fait partie. Pour preuve, cet organisme fait évoluer ses prévisions à 20 ans presque tous les ans. En cause, le statut même de ce genre d’institutions. Il ya en effet confusion de genres. Le COR n’est pas un organisme d’analyse des retraites, pas vraiment une instance de concertation et encore moins une institution d’orientation. Il suffit d’ailleurs de voir sa composition pour se rendre compte  de l’impossibilité qu’il y a à étudier sérieusement la question (de manière scientifique). En réalité dans ce genre de comité, on se neutralise surtout quand le président est en  fait à la botte du gouvernement. On préfère un haut fonctionnaire à un expert indépendant.  Composé de parlementaires, de représentants des organisations professionnelles et syndicales, des retraités et des familles, de membres de l’administration et d’experts, le Conseil d’orientation des retraites (COR) est placé auprès du Premier ministre.

Présidé par Pierre-Louis Bras, inspecteur général des Affaires sociales (IGAS), il compte 40 membres.

Membres du COR

Président
Pierre-Louis Bras

Les parlementaires
Marie-France Beaufils, sénatrice d’Indre-et-Loire
Jacqueline Fraysse, députée des Hauts-de-Seine
Jean-Christophe Fromantin, député des Hauts-de-Seine
Michel Issindou, député de l’Isère
Denis Jacquat, député de la Moselle
Georges Labazée, sénateur des Pyrénées-Atlantiques
Catherine Procaccia, sénatrice du Val-de-Marne
Gérard Roche, sénateur de la Haute-Loire

Les partenaires sociaux
Virginie Aubin, secrétaire confédérale de la CFDT
Sylvie Bonnamy, membre de la Direction confédérale de la CGT
Pierre-Yves Chanu, conseiller confédéral de la CGT
Valérie Corman, conseillère pour la protection sociale du MEDEF
Yves Decalf, représentant de l’UNAPL
Thierry Douine, secrétaire général adjoint confédéral de la CFTC
Françoise Dupont, secrétaire fédérale de FGF-FO
Annick Fayard, représentante de l’UNSA
Serge Lavagna, secrétaire national du pôle protection sociale de la CFE-CGC
Roger Mongereau, président de l’Union Territoriale du Commerce de la CPME
Philippe Pihet, secrétaire confédéral de FO
Albert Quenet, président de la commission sociale de l’U2P
Frédéric Sève, secrétaire national de la CFDT
Erick Staelen, représentant de la FSU
Claude Tendil, président de la commission protection sociale du MEDEF
Robert Verger, représentant de la FNSEA

Les représentants des associations familiales et de retraités
Bertrand Fragonard, vice-président de la formation « âge » du Haut conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge
Maurice Odin, conseiller technique de l’Union nationale des associations familiales (UNAF)

Les représentants des administrations
Carine Chevrier, déléguée générale à l’Emploi et à la formation professionnelle
Jonathan Bosredon, directeur par intérim de la Sécurité sociale
Michel Houdebine, chef économiste à la direction générale du Trésor
Thierry Le Goff, directeur général de l’Administration et de la fonction publique
Amélie Verdier, directrice du Budget
Jean-Louis Lhéritier, directeur par intérim de la Recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
Michel Yahiel, commissaire général de France Stratégie

Les personnalités qualifiées
Sylvie François, directrice des ressources humaines et des relations sociales du Groupe La Poste
Anne-Marie Guillemard, professeur émérite des universités en sociologie
Jean-Jacques Marette, directeur général honoraire de l’AGIRC et de l’ARRCO
Étienne Marie, inspecteur général des Affaires sociales
Monika Queisser, chef de la division des politiques sociales de l’OCDE
Serge Volkoff, chercheur invité au Centre d’études de l’emploi (CEE)

Fillon et Juppé : non au comité « machin » de Sarkozy

Fillon et Juppé : non au comité « machin » de Sarkozy

 

 

Mauvais début pour Sarkozy qui à la hussarde a voulu cadenasser dès dimanche soir  Fillon et Juppé dans un comité des anciens Premiers ministres, sans même leur en avoir parlé au auparavant. En fait une opération tordue monté avec Devillepin (toujours auusi manœuvrier et  revenu en grâce auprès de Sarkozy)  qui a fait plouc ! ç a démarre mal pour Sarkozy qui claironne partout qu’il veut être le rassembleur mais à sa manière, c’est à dire sous sa bannière en faiat à  sa botte.  , les deux anciens Premiers ministres ne souhaitent pas faire partie du comité des sages que souhaite former Nicolas Sarkozy au sein du parti d’opposition pour favoriser une gouvernance « collective ». Une instance au sein de laquelle Dominique de Villepin a déjà accepté de siéger. Les deux anciens locataires de Matignon ne comptent pas laisser l’ancien président jouer sa petite musique. « Il nous présente un comité des vieux sages pour en faire le comité des vieux cons », confie à ce sujet un proche de François Fillon.   »Il n’y a qu’une instance légitime, renchérit un conseiller d’Alain Juppé. C’est le bureau politique. Et les ex-Premiers ministres en sont membres de droit ». Les deux rivaux de Nicolas Sarkozy ont flairé la manœuvre. « Il décroche Dominique de Villepin de son croc de boucher pour nous tendre un piège, ironise un filloniste. On n’est pas obligé de foncer dedans ».  Avant de l’annoncer sur le plateau du journal de 20 heures de TF1 dimanche, Nicolas Sarkozy a évoqué l’idée avec les deux intéressés au téléphone. Le nouveau chef de file de l’UMP a même testé d’inclure le président du Sénat Gérard Larcher et celui de l’association des Maires de France François Baroin dans ce comité. Mais la proposition n’a pas soulevé un très grand enthousiasme. Nicolas Sarkozy savait donc à quoi s’en tenir. Mais pour l’ancien Président, l’essentiel est ailleurs. En faisant cette annonce, son objectif est clair. Se poser en rassembleur, et rejeter, le cas échéant, la responsabilité de la division sur ses opposants internes.

Mise en situation en milieu professionnel : encore un nouveau machin

Mise en situation en milieu professionnel : encore un nouveau machin

 

 

Un texte alambiqué comme sait en produire la France avec le décret sur la mise en situation en milieu. Ce n’est plus du chômage mais ne n’est pas non plus u emploi ; l’intéressé ne pourra effectuer le travail l d’un poste permanente ou faire de remplacement. Bref, un truc come l’apprentissage où avec toute les procédures l’apprenti est condamné à observer et du coup les entreprise ne veulent plus de cet apprentissage virtuel.  Inclus dans la loi sur la formation professionnelle de mars dernier, le décret sur la mise en situation en milieu professionnelle se veut comme un nouvel outil d’insertion professionnel.  « Les périodes de mises en situation en milieu professionnel ont pour objet de permettre à un travailleur, privé ou non d’emploi, ou à un demandeur d’emploi, « soit de découvrir un métier ou un secteur d’activité, soit de confirmer un projet professionnel, soit d’initier une démarche de recrutement », lit-on dans l’article 20 de la loi relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale.  Le dispositif n’est pas nouveau, il existait déjà divers dispositifs de ce type éclatés dans le Code du travail : « périodes en milieu professionnel » pour les jeunes en contrat d’insertion dans la vie sociale, « évaluations en milieu de travail » pour les chômeurs, « périodes d’immersion » pour les salariés titulaires d’un contrat à durée déterminée d’insertion ou d’un contrat d’accompagnement dans l’emploi. Ces dispositifs se retrouvent unifiés sous le décret de « période de mise en situation en milieu professionnel ». Ce nouvel outil d’aide au retour à l’emploi s’adresse aux chômeurs ou salariés en insertion :  »Les périodes de mise en situation en milieu professionnel sont ouvertes à toute personne faisant l’objet d’un accompagnement social ou professionnel personnalisé, sous réserve d’être prescrites par l’un des organismes suivants : Pôle emploi, la mission locale pour l’emploi, un organisme de placement spécialisé dans la mise en situation professionnel », précise l’article 20.   La personne effectuant une période de mise en situation en milieu professionnelle doit se conformer aux règles de la structure où il ira, et ce même si il y a des horaires de nuit.  Mais durant cette période, le bénéficiaire d’une période de mise en situation professionnelle n’est pas salarié :  »Le bénéficiaire d’une période de mise en situation en milieu professionnel conserve le régime d’indemnisation et le statut dont il bénéficiait avant cette période. Il n’est pas rémunéré par la structure dans laquelle il effectue une période de mise en situation en milieu professionnel », mentionne l’article 20. Selon Les Échos, le projet de décret fixe à un mois renouvelable une fois, la durée maximale d’exercice de la période de mise en situation professionnelle, une durée sujette à questionnement.  À noter qu’ « aucune convention de mise en situation en milieu professionnel ne peut être conclue pour exécuter une tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent, pour faire face à un accroissement temporaire de l’activité de la structure d’accueil, pour occuper un emploi saisonnier ou pour remplacer un salarié en cas d’absence ou de suspension de son contrat de travail ». 

 

Simplification administrative : un nouveau machin mis en place

Simplification administrative : un nouveau machin mis en place

 

Pour simplifier, il faut d’abord compliquer, c’est sans doute ce que pense le secrétariat d’Etat à la simplification (un autre machin qui ne sert à rien). Le secrétaire d’Etat chargé de la simplification a annoncé jeudi la prochaine création d’un nouveau machin  indépendant composé de représentants d’entreprises et chargée d’une contre-expertise sur l’impact des nouveaux textes de loi et de décret. Une idée « remarquable » en ce sens qu’elle associe un regard plus pragmatique à celui du législateur, mais peut-être pas la meilleure méthode, selon le professeur de droit public Olivier En faiat il ne s’agit que des nouveaux textes, ce qui signifie d’abord qu’on a bien l’intention de continuer dans la folie législative ( plus de 10 000 lois, 120 000 décrets, plus les circulaires et autres arrêtés). Jeudi, sur BFM Business, Thierry Mandon, secrétaire d’Etat chargé de la Simplification, a promis la création d’une nouvelle autorité indépendante composée de représentants d’entreprises. La mesure ferait partie des quatorze envisagées par le nouveau projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises présenté mercredi en Conseil des ministres. Opérationnelle dès le 1er janvier 2015, voire dès le mois d’octobre prochain pour une marche à blanc sur le projet de loi sur la transition énergétique, elle rendrait des avis publics et contraignants pour le gouvernement sur les études d’impact relatives aux projets de loi comme de décret. En surveillant un aspect particulier: la simplification de la vie économique. Olivier Renaudie, professeur de droit public à l’Université de Lorraine, décrypte la portée d’une telle réforme. Pour moi, elle représente une surprise. Non seulement je n’avais jamais entendu parler d’une telle idée, mais elle est aussi très surprenante d’un point de vue institutionnel.

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