Archive pour le Tag 'L’union'

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Réouverture des frontières de l’union économique : décision reportée.. à cause des Etats-Unis ?

Réouverture des frontières de l’union économique : décision reportée.. à cause des Etats-Unis ?  

Les évolutions de la crise sanitaire globalement en progression au plan mondial n’ont pas permis aux Etats européens de se mettre d’accord sur une ouverture totale européenne. De toute manière, les Etats-Unis, le Brésil et la Russie ne devraient pas figurer sur cette liste en raison de la persistance, voire de l’expansion, de l’épidémie liée au nouveau coronavirus sur leur territoire.

 

Les ambassadeurs des Vingt-Sept se sont réunis pour tenter d’établir les critères permettant de garantir à partir de mercredi un accès libre et sans quarantaine à l’UE.

Une liste de 10 à 20 pays leur a été soumise mais beaucoup d’ambassadeurs ont dit avoir besoin de consulter leur gouvernement au préalable, ont rapporté des diplomates.

Cette liste ne comprenait pas les Etats-Unis, le Brésil et la Russie, selon un diplomate.

Développement durable: l’union européenne n’est pas un bon élève

Développement durable: l’union européenne n’est pas un bon élève

 

Sauf exception les pays composant de l’union européenne ne constitue pas des modèles d’amélioration du développement durable. Côté climat, les États membres de l’Union ont diminué leurs émissions de gaz à effet de serre de seulement 2,2 points entre 2013 et 2018. Résultat, depuis 1990, le recul des émissions n’a toujours pas atteint 20 %. Les émissions de CO2 émises par les automobiles neuves font à peine mieux avec un recul de 5,4 % en cinq ans. France se situe parmi les meilleurs élèves de l’UE tandis que l’Allemagne, qui s’appuie sur ses centrales à charbon pour compenser le repli du nucléaire, figure en mauvaise place.

Les efforts de l’Union sont pourtant loin d’être négligeables. Pour la seule année 2017, les dépenses liées au climat atteignent 19,7 milliards d’euros, détaille Eurostat, une performance du en partie à la place du nucléaire en France très peu producteur de Co2 par exemple

Protéger l’union économique des entreprises étrangères subventionnées

Protéger l’union économique des entreprises étrangères subventionnées

La commission européenne s’aperçoit peut-être un peu tard que la zone économique en cause constitue un vaste marché où on peut faire ses courses à bon compte en rachetant des entreprises y compris avec des subventions d’État. Bien sûr la Chine est visée mais pas seulement car il y a de nombreuses manières de soutenir un secteur économique. C’est d’ailleurs l’éternelle question entre Boeing et Airbus. Conflit aussi en matière fiscale entre les grands du numérique et les entreprises européennes devenues sous-traitantes des géants numériques.

La commission fixe comme limite une participation maximale de 35 % pour les entreprises étrangères. Un chiffre déjà bien excessif car il est pas nécessaire de contrôler 35 % des capitaux d’une entreprise pour en prendre la direction surtout dans le cadre d’alliances;  la difficulté viendra surtout de la méthodologie pour vérifier la nature, l’objet et l’ampleur des biens dont a pu bénéficier une entreprise pour s’implanter sur le marché de l’union européenne. Nombre  d’entreprises chinoises ont des statuts très hybrides. Certaines sont entièrement privées ou  associées  avec des partenaires étrangers d’autres sont dites d’État ou encore appartiennent théoriquement au personnel. Comment dès lors  distinguer ce qui relève de soutien technologique, économique, logistique, commerciale, voire politique  et financier ? En outre il n’y a pas seulement des conditions financières à prendre en compte mais aussi des conditions sociales et environnementales.

Ce que semble ignorer pour l’instant l’union économique qui en quelque sorte saucissonne les débats “L’UE figure parmi les économies les plus ouvertes du monde, ce qui attire des niveaux d’investissement élevés de la part de nos partenaires commerciaux. Toutefois, notre ouverture est de plus en plus remise en question par des pratiques commerciales étrangères, y compris les subventions, qui faussent les conditions de concurrence équitables pour les entreprises de l’UE”, déplore Phil Hogan, commissaire chargé du commerce, cité dans un communiqué.

“Il existe un nombre croissant de cas dans lesquels les subventions étrangères semblent avoir facilité l’acquisition d’entreprises de l’UE ou faussé les décisions d’investissement, les opérations de marché ou les politiques tarifaires de leurs bénéficiaires, ou la soumission d’offres dans une procédure de passation de marchés publics, au détriment des entreprises non subventionnées”, poursuit le communiqué.

Les entreprises étrangères à l’UE souhaitant acquérir une participation de plus de 35% dans des entreprises appartenant au bloc communautaire et dont le chiffre d’affaires dépasse 100 millions d’euros devront au préalable informer la Commission européenne si elles ont bénéficié d’une aide d’Etat de plus de 10 millions d’euros, selon ce projet consulté par Reuters.

La Commission pourrait infliger une amende ou décider de bloquer l’opération en cas de manquement à cette nouvelle disposition. L’acquéreur pourrait aussi être contraint de céder des actifs pour compenser l’avantage indu.

Une entreprise opérant déjà dans le bloc communautaire et ayant bénéficié de subventions étrangères de plus de 200.000 euros sur trois ans devra également en informer la Commission européenne.

Cette entreprise pourrait alors devoir céder des actifs, réduire sa part de marché ou ses capacités afin d’éviter une distorsion du marché, indique le projet de la Commission.

Services financiers à l’union européenne : Londres veut les avantages les inconvénients

 

Services financiers à l’union européenne : Londres veut les avantages les inconvénients

D’une certaine manière Londres voudrait une sorte d’adhésion à la carte à l’union européenne en particulier pour les services financiers britanniques. Londres voudrait des garanties qui lui assurent une certaine permanence des relations financières pour ne pas être soumis aux règles ordinaires fondées sur le principe dit équivalence  qui s’applique aux Etats-Unis, au Japon ou encore à Singapour, est accordé de manière unilatérale par la Commission européenne à un pays tiers si elle estime que la réglementation de ce pays “produit les mêmes effets que sa propre réglementation (européenne)”.

Mais la Grande-Bretagne veut un traitement particulier pour s’assurer que la City dispose d’un accès plus prévisible au marché européen, son principal client représentant 26 milliards de livres par an (environ 28,75 milliards d’euros).

“Le Royaume-Uni tente d’obtenir une cogestion des décisions d’équivalence financière”, a déclaré mardi un diplomate européen. “Ils veulent un processus de consultation intégré de sorte que révoquer de manière unilatérale un permis (octroyé par l’UE) ne serait pas aussi aisé qu’actuellement avec les pays tiers.”

La Commission européenne, qui négocie au nom des Vingt-Sept, a rejeté cette idée, a-t-il ajouté.

Dans le système de l’équivalence, Bruxelles peut la révoquer avec un préavis de 30 jours; Londres veut une période bien plus longue.

Merkel d’accord pour aider davantage l’union européenne

Merkel d’accord pour aider davantage l’union européenne

Merkel se montre beaucoup plus ouverte que certaines tendances rétrogrades en Allemagne. Elle est évidemment consciente que l’état économique des autres pays de l’Europe va aussi conditionner la croissance allemande. En , elle va bientôt prendre la présidence de l’Europe et être contrainte sans doute de donner un contenu un peu plus dynamique au plan de relance

La chancelière a convenu avec Ralph Brinkhaus, président du groupe parlementaire conservateur CDU-CSU, que Berlin devait contribuer beaucoup plus largement à la relance européenne, a-t-on précisé de mêmes sources.

Le Bundestag devrait être impliqué dans cette décision.

Tout en reconnaissant la nécessité de l’aide allemande, Ralph Brinkhaus avait jugé nécessaire un peu plus tôt de savoir à quoi seraient employés les fonds alloués aux pays en difficulté.

La Commission européenne doit présenter la semaine prochaine des propositions budgétaires révisées.

Angela Merkel a par ailleurs invité les élus conservateurs à ne pas compter sur une réouverture des frontières à très brève échéance, point qui sera mercredi à l’ordre du jour du conseil des ministres.

Le gouvernement souhaite le retour à la normale dans l’espace Schengen, mais la France n’ouvrira certainement pas ses frontières avant la mi-juin, a-t-elle ajouté, toujours selon les mêmes participants.

Devant la paralysie de l’union européenne, la BCE prête à acheter des actifs pourris

Devant la paralysie de l’union européenne, la BCE prête à acheter des actifs pourris

 

 

L’union européenne est un nouveau presque paralysée à propos du plan de relance de 1000 milliards € ….mais sur six ans, soit 150 millions d’euros par an. Un montant bien insuffisant par rapport aux enjeux et dont les modalités restent encore à définir car les divergences sont très fortes entre les Etats.

À nouveau la BCE pourrait être amenée à intervenir après avoir déjà dégagé une ligne de 750 milliards de prêts . Elle pourrait cette fois accepter d’acheter des actifs pourris aux Etas et aux banques  particulièrement en grande difficulté comme l’Italie ou l’Espagne. Le problème c’est que la BCE est en train de dépasser les limites de ses compétences mais aussi de faire croître le volume de son bilan mettant à terme en cause la valeur de l’euro.

Les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE ont certes conclu jeudi un accord de principe sur la création d’un fonds d’urgence de quelque 1.000 milliards d’euros pour soutenir la reprise après la crise du coronavirus mais ils ont repoussé les décisions sur ses modalités et son financement, qui pourraient prendre des mois.

Et la nouvelle enveloppe ne représente que 1% du produit intérieur brut (PIB) des 19 pays de la zone euro, alors que beaucoup d’observateurs s’attendent à une contraction de 5% à 15% du PIB.

La BCE, à la différence des autres grandes banques centrales, doit de plus s’accommoder de l’absence de coordination des politiques budgétaires dans l’UE, ce qui se traduit entre autres par des écarts de rendements (spreads) entre les dettes souveraines des pays membres.

“Faute d’un accord plus ambitieux, la BCE sera probablement la seule solution disponible en ce qui concerne les spreads périphériques”, dit ainsi Frederik Ducrozet, stratège de Pictet Wealth Management, en référence notamment aux rendements des emprunts d’Etat italiens, en nette hausse ces derniers jours.

Pour donner du temps aux Etats, la BCE devra donc très probablement annoncer de nouvelles mesures de soutien, ce qui l’obligera à se rapprocher un peu plus des limites de ses statuts et à fournir des arguments à ses détracteurs.

Surtout, en prenant une nouvelle fois l’initiative, l’institution dirigée par Christine Lagarde enclenchera probablement un mécanisme désormais familier dans lequel les dirigeants politiques, constatant que la BCE est toujours là pour les soutenir, tendent au laisser-aller et accroissent encore la nécessité de nouvelles mesures de politique monétaire.

Ce mécanisme, s’il a montré qu’il fonctionnait, a un gros défaut: il alimente les doutes sur la solidarité entre pays membres de l’UE et sur la détermination de ceux de la zone euro à assurer la pérennité de la monnaie unique.

Aujourd’hui, à peine plus d’un mois après avoir lancé un plan d’achats d’actifs de 750 milliards d’euros, la BCE doit donc envisager de faire encore plus, et peut-être dès sa prochaine réunion, jeudi prochain, selon certains analystes.

Car la situation de l’Italie devient urgente: alors que sa dette publique menace de dépasser 175% du PIB en fin d’année à cause du surcroît de dépenses et de la chute de recettes liés à l’épidémie, la note souveraine de Rome pourrait être bientôt dégradée en catégorie spéculative (“junk”), ce qui rendrait ses emprunts inéligibles aux programmes de rachats de la BCE.

Une telle situation priverait le Trésor italien du principal acheteur de ses obligations sur le marché secondaire et fragiliserait considérablement les banques de la péninsule, dont les titres d’Etat représentent une part importante des avoirs.

Contrairement au Conseil européen, la BCE a déjà fait la preuve ces dernières semaines de sa capacité à adopter vite des mesures fortes, car elle peut décider à la majorité simple des membres de son Conseil des gouverneurs alors que l’UE a besoin de l’unanimité.

Elle a ainsi pu passer outre certaines réticences de l’Allemagne et des Pays-Bas, deux des pays dits “frugaux” qui posent leurs conditions à un partage du fardeau avec les pays périphériques.

Mais la BCE a déjà pris beaucoup de risques en terme de respect de ses propres statuts: elle a commencé à acheter des titres souverains qui ne bénéficient pas d’une note en catégorie d’investissement, elle accepte des titres “junk” en garantie et elle s’autorise à enfreindre la règle selon laquelle elle ne doit pas acheter plus du tiers de la dette publique d’un pays.

La prochaine étape, pour le Conseil des gouverneurs, consistera probablement à augmenter encore les achats de titres sur les marchés, ou à accroître la part des “junk bonds” dans ceux-ci.

Elle pourrait aussi envisager d’acheter des créances douteuses, des obligations émises par les banques voire des actions de banques, et réexaminer le recours au dispositif des “Opérations monétaires sur titres” (OMT), jamais utilisé mais qui lui permettrait d’acheter sans limite des obligations d’Etat italiennes.

“Il est acquis que les OMT seront activées, c’est juste une question de temps”, estime Salman Ahmed, responsable de la stratégie d’investissement de Lombard Odier Investment Managers. “Avec les OMT, la mutualisation des dettes pourra se faire via le bilan de la banque centrale.”

Nouvelle procédure pour l’élargissement de l’union européenne ?

Nouvelle procédure pour l’élargissement de l’union européenne

 

Une nouvelle procédure surtout pour contourner les réticences de la France vis-à-vis de l’élargissement en direction des Balkans. Une procédure qui donnerait davantage de poids aux chefs d’État des pays de l’union européenne actuelle. Cette nouvelle procédure tire les conséquences du refus de la France de  l’ouverture de négociations d’adhésion avec l’Albanie et la Macédoine du Nord, gelant ainsi un processus censé s’ouvrir ensuite à la Serbie, au Kosovo, au Monténégro et à la Bosnie. Le président français a réclamé que l’UE se réforme avant de poursuivre un élargissement jugé “trop bureaucratique”.

Les propositions de la Commission ne répondent cependant pas à toutes les demandes françaises, notamment celle qui consisterait à dégager des fonds pour les nouveaux adhérents à partir des montants consacrés dans le budget de l’UE aux pays les plus pauvres. Des responsables européens craignent qu’une telle initiative n’incite ces Etats membres à s’opposer à tout élargissement.

Cette réforme de la procédure d’adhésion doit être approuvée à l’unanimité des Vingt-Sept et il n’est pas certain que la France l’acceptera en l’état.

Trump veut imposer un accord commercial à l’Union européenne

Trump veut imposer un accord commercial à l’Union européenne

 

Pour des questions économiques autant que pour des motifs électoraux, le président américain de nouveau agite la menace de sanctions contre l’Europe en particulier contre les voitures allemandes si un accord commercial n’est pas négocié entre les États-Unis et l’union économique. Il fixe même un délai , c’est-à-dire avant les élections américaines de novembre. Un délai plutôt rapproché si l’on tient compte du fait que les négociations de ce type demandent souvent des années. Compte tenu des difficultés de calendrier, le président américain pourrait bien reprendre la stratégie mise en œuvre dans ce domaine contre la Chine. Il s’agirait d’alterner les périodes de Google et les promesses de rapprochement. Et faute de véritables accords de maintenir l’augmentation de taxes sur les importations mais de manière moins importante que prévues initialement avec des engagements plus ou moins flous de rééquilibrage des exportations à destination des États-Unis. L’objectif est d’afficher une fermeté mais de trouver quand même un accord même bancal en tout cas provisoire dans la perspective des élections américaines.  Le président américain s’est cependant dit convaincu de pouvoir parvenir à un accord commercial UE-USA avant l’élection présidentielle américaine de novembre prochain, tout en ne cachant pas la difficulté des tractations qui sont selon lui plus difficiles qu’avec la Chine sur bien des aspects.

Les Etats-Unis ont signé le 15 janvier un accord commercial de “phase 1” avec la Chine qui, même s’il a apporté du soulagement sur les marchés financiers, laisse en chantier de nombreuses questions, structurelles notamment. Européens et Américains s’efforcent de conclure un accord visant à supprimer leurs barrières aux importations, mais les discussions bloquent sur la question des produits agricoles que Washington veut inclure dans les discussions.

“J’ai rencontré la nouvelle cheffe de la Commission européenne, qui est formidable. Et j’ai eu une super discussion. Mais j’ai dit: ‘écoutez, si nous n’obtenons pas quelque chose, je vais être obligé de prendre des mesures et ces mesures seront des taxes très élevées sur leurs voitures et d’autres choses qui entrent dans notre pays’,” a dit Trump dans une interview à CNBC. Les Européens, a poursuivi le président américain, ont intérêt à conclure un accord. “Ils n’ont pas d’autre choix”, a tonné le président des Etats-Unis.

L’union européenne : un nain naïf face aux Etats Unis et à la Chine

 L’union européenne :  un nain naïf  face aux Etats Unis et à la Chine

 

Ce qui caractérise l’union européenne face de grandes puissances que sont les États-Unis et la Chine c’est sa vulnérabilité et sa naïveté. Il n’y a en vérité aucune réciprocité équilibrée entre la zone européenne et les deux autres régions  évoquées. La Chine par exemple peut prendre des intérêts économiques dans à peu près n’importe quelle activité y compris des participations majoritaires en Europe alors que les Européens doivent se soumettre à des formalités administratives complexes qui leur imposent un partenaire chinois qui demeure majoritaire. Ne parlons pas des autres entorses juridiques, financières, sociales ou environnementales.  Du côté des États-Unis,  on accepte le droit insensé d’extra territorialité qui permet aux États-Unis d’imposer son système juridique dans le monde entier. En clair, cela  permet de sanctionner n’importe quelle entreprise non américaine qui aurait contrevenu aux règles US -(même en dehors du territoire américain) ou plus simplement qui se montrerait un peu trop performant par rapport aux entreprises d’outre atlantique ( le cas d’Airbus actuellement). Ajoutons à cela, la très grande naïveté de la commission européenne qui freine la constitution de grandes sociétés susceptibles de concurrencer chinois et américains notamment dans les champs économiques stratégiques. Une naïveté doublée d’une grande incompétence. Le nouveau commissaire européen Thierry  breton a indiqué montrerait radical. Il aura du mal à persuader ses collègues. La question est pourtant simple, il s’agit de ne  commercer qu’avec des zones économiques qui acceptent les mêmes règles ; inversement de refuser le commerce international avec ceux qui  faussent nos règles de concurrence. Faute de clarification dans les différents domaines évoqués,  l’union européenne a manqué les virages stratégiques de la technologie G5, elle risque de manquer celui de l’intelligence artificielle et de la modernisation de son industrie militaire. Voire à cet égard le jeu très trouble que joue l’Allemagne vis-à-vis future avion de combat SCAF. Des atermoiements allemands qui pourraient bien conduire l’ union européenne a acheter  un jour des chasseurs américains. Ajoutons à cela les autres contradictions de certains Etats, sortes de mouche du coche de l’union européenne surtout là pour empocher les subventions mais à  freiner toute intégration économique, politique et militaire

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