Archive pour le Tag 'Lucie'

Lucie Castets : c’est mort !

Lucie Castets : c’est mort !

En dépit de ses agitations estivales, la candidate du nouveau front populaire pour le poste de premier ministre n’a pas réussi à s’imposer. Au sein même de la coalition de gauche, on  considère d’ailleurs que cette candidature est morte.

 

En cause sur le fond évidemment des interprétations contradictoires du programme bâti à la hâte avec essentiellement des revendications sociales. Par parenthèse qui devraient être de la responsabilité première des acteurs sociaux et non des politiques. Sur la forme, la candidate première ministre du nouveau front populaire n’a pas réussi à séduire , c’est le moins que l’on puisse dire. Elle a au contraire affiché sa radicalité et son inexpérience sans parler de son  côté psychorigide. Exemple de cette maladresse quand elle affirme que les 1600 € pour le SMIC ne sont pas une première immédiate mais un objectif plus lointain ou encore quand elle parle d’élargissement du gouvernement que refusent les insoumis. Sans parler de son injonction à Macron pour qu’elle soit désignée comme chef du gouvernement.
Dernière maladresse, son coming out dont tout le monde se moque évidemment.

Politique-Lucie Castets: Inexpérience, radicalité…. et psychorigidité

Politique-Lucie Castets:  Inexpérience, radicalité…. et psychorigidité

 

Sur le site Atlantico, Jean-Luc Demarty  considère que la nomination de conduirait directement le pays vers une faillite type grecque. Pour lui, la candidate du NFP n’a pas du tout le niveau ni l’expérience sans parler de son comportement psychorigide. Après un  passage peu glorieux à la direction du trésor, elle a été mutée dans un poste de second rang à la Ville de Paris où elle a laissé filer l’endettement qui atteindra bientôt 10 milliards. Ce qu’on appelle sans doute la preuve d’un « bon ancrage à gauche ». 

 

par Jean-Luc Demarty , ancien Directeur Général du Commerce Extérieur de la Commission Européenne (2011-2019), ancien Directeur Général Adjoint et Directeur Général de l’Agriculture de la Commission Européenne (2000-2010) et ancien Conseiller au cabinet de Jacques Delors (1981-1984; 1988-1995) dans Atlantico.

« …Auparavant Lucie Castets avait été administrateur civil de base à la Direction du Trésor à partir de 2014 après sa sortie de l’ENA, puis au sein de TRACFIN, service du ministère de l’économie et des finances responsable de la lutte contre le blanchiment, où elle a occupé un poste non opérationnel, avec une poignée d’agents sous sa responsabilité, de représentation au sein du Groupe d’Action Financière (GAFI), organisme international intergouvernemental chargé de la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme, localisé à l’OCDE. Elle s’est distinguée par la mauvaise ambiance qu’elle faisait régner au sein de TRACFIN en colportant des remarques venimeuses à propos de ses collègues femmes en particulier, curieux comportement pour une féministe revendiquée. C’est probablement la raison pour laquelle sa candidature au poste de directeur adjoint a été écartée, ce qui l’a conduite à quitter le ministère de l’économie et des finances pour la Ville de Paris. C’est en soi un comportement étrange. En effet les administrateurs civils de la Direction du Trésor font généralement une très belle carrière au sein du ministère de l’économie et des finances, administration beaucoup plus prestigieuse que la Ville de Paris. C’est le signe d’un caractère qui ne supporte pas que sa haute idée de ses capacités soit mise en doute. »

 

La promesse d’un SMIC à 1600 € devient seulement « un horizon » pour Lucie Castets

La promesse d’un SMIC à 1600 € devient seulement « un horizon » pour Lucie Castets

 

La promesse d’un SMIC à 1600 € dans l’hypothèse d’un gouvernement de gauche se transforme de promesse en seulement « horizon » d’après  Lucie Castets, la candidate choisie par le nouveau front de gauche qui se débat dans son anonymat. C’est ce qui résulte d’un entretien de l’intéressée avec le journal le Parisien. Et de justifier ce recul en indiquant qu’il faudrait en discuter avec les partenaires sociaux. Une différence avec le programme du nouveau front populaire qui voulait décider cette mesure immédiatement.

Lucie Castets: Inexpérience, radicalité…. et psychorigidité

 Lucie Castets:  Inexpérience, radicalité…. et psychorigidité

 

Sur le site Atlantico, Jean-Luc Demarty  considère que la nomination de conduirait directement le pays vers une faillite type grecque. Pour lui, la candidate du NFP n’a pas du tout le niveau ni l’expérience sans parler de son comportement psychorigide. Après un  passage peu glorieux à la direction du trésor, elle a été mutée dans un poste de second rang à la Ville de Paris où elle a laissé filer l’endettement qui atteindra bientôt 10 milliards. Ce qu’on appelle sans doute la preuve d’un « bon ancrage à gauche ». 

 

par Jean-Luc Demarty , ancien Directeur Général du Commerce Extérieur de la Commission Européenne (2011-2019), ancien Directeur Général Adjoint et Directeur Général de l’Agriculture de la Commission Européenne (2000-2010) et ancien Conseiller au cabinet de Jacques Delors (1981-1984; 1988-1995) dans Atlantico.

« …Auparavant Lucie Castets avait été administrateur civil de base à la Direction du Trésor à partir de 2014 après sa sortie de l’ENA, puis au sein de TRACFIN, service du ministère de l’économie et des finances responsable de la lutte contre le blanchiment, où elle a occupé un poste non opérationnel, avec une poignée d’agents sous sa responsabilité, de représentation au sein du Groupe d’Action Financière (GAFI), organisme international intergouvernemental chargé de la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme, localisé à l’OCDE. Elle s’est distinguée par la mauvaise ambiance qu’elle faisait régner au sein de TRACFIN en colportant des remarques venimeuses à propos de ses collègues femmes en particulier, curieux comportement pour une féministe revendiquée. C’est probablement la raison pour laquelle sa candidature au poste de directeur adjoint a été écartée, ce qui l’a conduite à quitter le ministère de l’économie et des finances pour la Ville de Paris. C’est en soi un comportement étrange. En effet les administrateurs civils de la Direction du Trésor font généralement une très belle carrière au sein du ministère de l’économie et des finances, administration beaucoup plus prestigieuse que la Ville de Paris. C’est le signe d’un caractère qui ne supporte pas que sa haute idée de ses capacités soit mise en doute. »

 

Duralex: Lucie Castets payée par la mairie de Paris en visite de Première ministre…potentielle

Duralex:  Lucie Castets payée par la mairie de Paris en visite de Première ministre…potentielle

 

En voilà une au moins qui ne manque pas de culot d’abord en inversant les rôles et en demandant d’être nommé Première ministre par le président de la république, ensuite en effectuant un petit tour de France aux frais de la princesse alors qu’elle est  payée par la mairie de Paris.( Une visite d’autant plus curieuse qu’une solution a été trouvée pour l’usine de Duralex à Orléans avec le projet de coopérative). La visite de Lucie Castets a comme un parfum de récupération un peu tardive.
« Mais que vient faire la directrice des finances de la ville de Paris, madame Castets chez Duralex? Personne n’est dupe. Elle, qui s’est quasiment auto-proclamée Première ministre, vient faire un ‘coup de com’, une petite récupération politicienne. C’est cela la nouvelle gauche? », a-t-il tancé sur Twitter (ex-Twitter).

« Lamentable », a-t-il ajouté avant de prier: « Arrêtez vos petites manœuvres et laissez les salariés de Duralex travailler dans la sérénité, loin de la médiocrité politique, pour réussir ce beau projet de Scop pour lequel je me suis tant battu ».

Le 26 juillet dernier, lorsque le site industriel avait reçu le feu vert du tribunal de commerce pour sa reprise en coopérative, Serge Grouard avait loué avec soulagement « un projet industriel que nous avons dès le début trouvé très robuste, permettant de maintenir la totalité des emplois actuels ».

Un apport important d’argent publique est notamment prévu pour maintenir l’activité de l’usine. Ainsi la collectivité locale compte racheter le site de la verrerie pour une somme estimée entre 5 et 8 millions d’euros, tandis que la région a promis de doubler l’apport au capital des salariés, d’apporter une avance remboursable d’un million d’euros et de participer avec la Banque publique d’investissement (BPI) « à garantir les prêts bancaire ».

Politique NFP: Lucie Castets annonce des impôts en plus !

Politique NFP: Lucie Castets annonce des impôts en plus !

Pas de doute la candidate au poste de première ministre choisie par la gauche à bien la gauche chevillée au corps puisque sa première sortie officielle elle annonce déjà des augmentations d’impôts !  Rien d’étonnant à cela car jusque-là on a surtout prévu des dépenses supplémentaires de l’ordre d’une quinzaine de milliards par an quand il faudrait en économiser l’équivalent pour ne pas conduire le pays à la faillite. Bruxelles a d’ailleurs déjà lancé une procédure de sanction contre la France pour dépassement notoire des critères de gestion financière.

Interview dans la Tribune:

La France est sous le coup d’une procédure de la Commission européenne pour déficit excessif, un plan de redressement est attendu le 20 septembre. Que feriez-vous ?

Cette procédure sanctionne la gestion irresponsable du gouvernement sortant. On a coutume de dire que la gauche rase gratis et que la droite est rigoureuse. Mais je constate que la majorité précédente a réduit les recettes annuelles de 40 à 50 milliards d’euros depuis 2017 et que des dépenses importantes ont été engagées sans condition de résultat. La Commission européenne demande qu’on rétablisse les comptes, elle ne dit pas comment. Nous irons chercher des recettes fiscales et sociales à hauteur de 150 milliards d’euros à l’horizon 2027, afin de financer notre programme et de réduire le déficit, sachant que le NFP n’a pas pour objectif premier de respecter le pacte de stabilité et de croissance [PSC] !

Vous augmenteriez les impôts…

Nous voulons une grande réforme fiscale. La progressivité de l’impôt sur le revenu sera renforcée, il passera à 14 tranches, c’est davantage de justice. Pour une grande partie des ménages, cela correspondra à une baisse d’impôts. Il faut aussi que les expatriés fiscaux payent leurs impôts au fisc français, comme le font les Américains expatriés vis-à-vis du fisc des États-Unis. J’y vois une question de souveraineté. S’agissant des milliardaires, le débat est mondial : le G20 en discute ce week-end. La France doit être un moteur. Par ailleurs, nous élargirons la taxation du patrimoine et recréerons un ISF. Il n’est pas juste que les revenus du capital soient moins taxés que ceux du travail. S’agissant des entreprises, il faut commencer par arrêter les dispositifs les plus coûteux, par exemple les baisses de cotisations, qui sont surdimensionnées. Même le CAE, un organisme rattaché à Matignon, le dit.

Vous êtes engagée en faveur des services publics. Quelle serait votre priorité ?

Je veux faire comprendre une idée majeure : ce que nous n’investissons pas aujourd’hui dans l’éducation ou la santé va nous coûter beaucoup plus cher demain. Cette année, 3 200 postes sont non pourvus dans l’enseignement primaire et secondaire, comme l’an dernier. Des enfants seront donc sans enseignant. C’est dramatique. Cela met en danger les qualifications futures, donc la qualité des emplois et de toute l’économie. Il faut d’urgence rendre les métiers de l’éducation plus attractifs en les revalorisant. En 1980, un enseignant gagnait en moyenne 2,3 fois le smic. Aujourd’hui, c’est 1,2 fois le smic. Même logique en matière de santé. Il est temps d’en finir avec les déserts médicaux. Moins de soins et de prévention aujourd’hui, c’est davantage de pathologies demain, et cela sera plus onéreux pour le pays.

Si vous étiez nommée à Matignon. Qui dresserait la liste des ministres ? Jean-Luc Mélenchon avec Olivier Faure, Marine Tondelier et Fabien Roussel ?

C’est le Premier ministre qui compose le gouvernement. Cette composition tiendra compte de toutes les sensibilités du NFP. Le paysage gouvernemental doit être à l’image de nos ambitions. Il faut réfléchir à la taille des ministères et à leurs missions en fonction du programme.

Vous n’avez pas condamné les propos du député LFI Thomas Portes sur les athlètes israéliens. Ce n’est pas antisémite ? Ils ne sont pas les bienvenus en France ?

Ses propos sont maladroits mais je ne veux pas passer mon temps à commenter les choses. Je suis alignée avec les positions du NFP, dont j’embrasse tout l’équilibre. Je qualifie sans ambiguïté les attaques du 7 octobre de terrorisme, je veux la libération des otages, un cessez-le-feu et la fin des massacres à Gaza. Aux Jeux olympiques, il faut s’assurer de la sécurité des athlètes israéliens, il n’est pas question de les mettre en danger.

Comment définissez-vous votre personnalité politique ?

Je suis une femme de gauche, avec de fortes convictions féministes et écologistes. Mais je n’appartiens à aucun courant. Je suis au barycentre du Nouveau Front populaire.

 

Lucie Castets annonce des impôts en plus !

Lucie Castets annonce des impôts en plus !

Pas de doute la candidate au poste de première ministre choisie par la gauche à bien la gauche chevillée au corps puisque sa première sortie officielle elle annonce déjà des augmentations d’impôts !  Rien d’étonnant à cela car jusque-là on a surtout prévu des dépenses supplémentaires de l’ordre d’une quinzaine de milliards par an quand il faudrait en économiser l’équivalent pour ne pas conduire le pays à la faillite. Bruxelles a d’ailleurs déjà lancé une procédure de sanction contre la France pour dépassement notoire des critères de gestion financière.

Interview dans la Tribune:

La France est sous le coup d’une procédure de la Commission européenne pour déficit excessif, un plan de redressement est attendu le 20 septembre. Que feriez-vous ?

Cette procédure sanctionne la gestion irresponsable du gouvernement sortant. On a coutume de dire que la gauche rase gratis et que la droite est rigoureuse. Mais je constate que la majorité précédente a réduit les recettes annuelles de 40 à 50 milliards d’euros depuis 2017 et que des dépenses importantes ont été engagées sans condition de résultat. La Commission européenne demande qu’on rétablisse les comptes, elle ne dit pas comment. Nous irons chercher des recettes fiscales et sociales à hauteur de 150 milliards d’euros à l’horizon 2027, afin de financer notre programme et de réduire le déficit, sachant que le NFP n’a pas pour objectif premier de respecter le pacte de stabilité et de croissance [PSC] !

Vous augmenteriez les impôts…

Nous voulons une grande réforme fiscale. La progressivité de l’impôt sur le revenu sera renforcée, il passera à 14 tranches, c’est davantage de justice. Pour une grande partie des ménages, cela correspondra à une baisse d’impôts. Il faut aussi que les expatriés fiscaux payent leurs impôts au fisc français, comme le font les Américains expatriés vis-à-vis du fisc des États-Unis. J’y vois une question de souveraineté. S’agissant des milliardaires, le débat est mondial : le G20 en discute ce week-end. La France doit être un moteur. Par ailleurs, nous élargirons la taxation du patrimoine et recréerons un ISF. Il n’est pas juste que les revenus du capital soient moins taxés que ceux du travail. S’agissant des entreprises, il faut commencer par arrêter les dispositifs les plus coûteux, par exemple les baisses de cotisations, qui sont surdimensionnées. Même le CAE, un organisme rattaché à Matignon, le dit.

Vous êtes engagée en faveur des services publics. Quelle serait votre priorité ?

Je veux faire comprendre une idée majeure : ce que nous n’investissons pas aujourd’hui dans l’éducation ou la santé va nous coûter beaucoup plus cher demain. Cette année, 3 200 postes sont non pourvus dans l’enseignement primaire et secondaire, comme l’an dernier. Des enfants seront donc sans enseignant. C’est dramatique. Cela met en danger les qualifications futures, donc la qualité des emplois et de toute l’économie. Il faut d’urgence rendre les métiers de l’éducation plus attractifs en les revalorisant. En 1980, un enseignant gagnait en moyenne 2,3 fois le smic. Aujourd’hui, c’est 1,2 fois le smic. Même logique en matière de santé. Il est temps d’en finir avec les déserts médicaux. Moins de soins et de prévention aujourd’hui, c’est davantage de pathologies demain, et cela sera plus onéreux pour le pays.

Si vous étiez nommée à Matignon. Qui dresserait la liste des ministres ? Jean-Luc Mélenchon avec Olivier Faure, Marine Tondelier et Fabien Roussel ?

C’est le Premier ministre qui compose le gouvernement. Cette composition tiendra compte de toutes les sensibilités du NFP. Le paysage gouvernemental doit être à l’image de nos ambitions. Il faut réfléchir à la taille des ministères et à leurs missions en fonction du programme.

Vous n’avez pas condamné les propos du député LFI Thomas Portes sur les athlètes israéliens. Ce n’est pas antisémite ? Ils ne sont pas les bienvenus en France ?

Ses propos sont maladroits mais je ne veux pas passer mon temps à commenter les choses. Je suis alignée avec les positions du NFP, dont j’embrasse tout l’équilibre. Je qualifie sans ambiguïté les attaques du 7 octobre de terrorisme, je veux la libération des otages, un cessez-le-feu et la fin des massacres à Gaza. Aux Jeux olympiques, il faut s’assurer de la sécurité des athlètes israéliens, il n’est pas question de les mettre en danger.

Comment définissez-vous votre personnalité politique ?

Je suis une femme de gauche, avec de fortes convictions féministes et écologistes. Mais je n’appartiens à aucun courant. Je suis au barycentre du Nouveau Front populaire.

 

Le « sérieux » de Lucie Castets : Près de 10 milliards de dettes à la mairie de Paris

Le « sérieux » de  Lucie Castets : Près de 10 milliards de dettes à la mairie de Paris

Le NFP Pour justifier d’avoir choisi une marionnette pour le poste de première ministre vante surtout le sérieux de l’intéressée. En réalité, celle qui a été conseillère d’Hidalgo et a surtout réussi l’exploit de faire monter le déficit de la mairie de Paris à près de 10 milliards. Une situation qui d’ailleurs pourrait conduire à la mise en tutelle.
Pourtant l’intéressé ne manque pas d’aplomb, ni visiblement d’ambition. Il s’agit en effet pour le poste de première ministre de trouver une majorité, de la diriger, de gouverner le pays et de le sortir de la crise économique et politique. Autant de critères complètement étrangers à cet inconnue marionnette choisie pour être manipulée à volonté par les courants contradictoires de la gauche.



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