Archive pour le Tag ': lourde'

Hongkong: chape de plomb encore plus lourde et arrestation de journalistes

  • Hongkong: chape de plomb encore plus lourde et arrestation de journalistes
  • Le retour des pires jours communistes aussi à Hong Kong avec à la fois des discours honteusement mensongers et la répression. Bref la dictature communiste qui écrase. Cinq dirigeants d’Apple Daily  ont été arrêtés au cours d’une descente dans les locaux d’Apple Daily, au cours de laquelle quelque 500 policiers ont été mobilisés, «pour collusion avec un pays étranger ou avec des éléments externes visant à mettre en danger la sécurité nationale», a indiqué la police de Hongkong dans un communiqué. Une source policière a confirmé à l’AFP que les cinq personnes occupaient toutes des fonctions de direction au sein de Next Digital, maison mère d’Apple Daily.
  • Ces arrestations constituent la dernière opération policière en date visant le tabloïd, qui a apporté un soutien sans faille au mouvement pro démocratie.
  • Il s’agit du second raid visant Apple Daily en moins d’un an. Le milliardaire Jimmy Lai, propriétaire du journal, a été accusé de collusion après le raid mené en août. Il est actuellement emprisonné en vertu de plusieurs condamnations pour avoir participé à certaines des manifestations pro démocratie ayant agité Hongkong il y a deux ans. La police a en outre annoncé jeudi avoir gelé 2 millions d’euros d’actifs du journal Apple Daily. Il s’agit de la première saisie d’actifs réalisée à Hongkong contre une entreprise de presse.

Covid France : 100.000 morts, la lourde responsabilité du pouvoir

Covid France : 100.000 morts, la lourde responsabilité du pouvoir

Il est clair que le moment venu le bilan politique voire juridique devra être effectué pour définir les responsabilités de l’administration bien sûr mais aussi du pouvoir politique qui s’est tellement contredit depuis le début de la crise. Une crise d’abord contestée quant à son existence, ensuite pour laquelle on n’a pas jugé utile d’utiliser des masques. Des masses qui ont tragiquement manqué dès que leur utilité a été reconnue. Même carence concernant les tests de dépistage et maintenant des vaccins. On ne saurait évidemment imputer toute la responsabilité aux pouvoirs politiques mais une part non négligeable de ce morts  aurait pu être évitée avec une politique plus claire, plus volontariste et plus cohérente.

La France s’apprête à dépasser le lourd bilan de 100.000 morts depuis le début de l’épidémie de Covid-19. En franchissant cette barre symbolique, probablement jeudi d’après le décompte quotidien de Santé publique France, le pays rejoint en Europe la Grande-Bretagne (127.000 morts) et l’Italie (115.000 morts), mais d’autres pays (Belgique, Portugal) ont une mortalité plus élevée par habitants. Malgré la violence de la première vague (près de 30.000 morts entre mi-mars et mi-mai 2020), la grande majorité des décès sont survenus depuis fin octobre (environ 65.000), conséquence d’une deuxième vague qui ne s’est jamais échouée, puis d’une nouvelle forte reprise épidémique durant l’hiver, portée par le variant anglais plus contagieux du coronavirus. Et si la vaccination massive dans les Ehpad a porté ses fruits, près de 300 morts s’ajoutent encore chaque jour à l’hôpital en avril.

Mépriser les syndicats : une lourde erreur de Macron

Mépriser les syndicats : une lourde erreur de Macron

 

On conviendra sans difficulté que les syndicats ne sont pas sans défaut. Ils sont peu représentatifs et finalement pèsent peu sur les orientations économiques et sociales. Pour autant,  leur rôle est utile voire indispensable en tant que moyens d’intermédiation entre les salariés, l’Etat et le patronat. De très nombreux accord signés dans les entreprises et avec le gouvernement en témoignent. Macron se comporte vis-à-vis des syndicats comme avec l’opposition politique, c’est la stratégie du bulldozer. Macron a écrasé l’opposition, il veut écraser les syndicats. Pour preuve ses provocations permanentes au lieu de rechercher l’apaisement. La mort programmée des syndicats classiques n’est pas une hypothèse à écarter  mais il faudra aussi en mesurer les conséquences car comme en politique les « résistants » se réfugieront dans la radicalité de mouvements extrêmes. Des mouvements à la fois très corpos  et beaucoup plus durs.  Pas sûr que l’économie et la société toute entière y gagnent. En outre, il est dangereux  de vouloir humilier un adversaire. Au contraire, comme en Allemagne, tout devrait militer pour la recherche de compromis via la négociation. Ce qui supposerait d’associer davantage les syndicats à la gestion afin qu’ils s’approprient davantage la problématique économique macro ou micro. Au total la stratégie de Macron constitue une sorte de machine à fabriquer du mécontentement et  de la radicalité. On est loin de la promesse de réunir les différentes composantes du pays. La jeunesse de Macron  et posture un peu hors sol sont largement responsable de cette situation conflictuelle qui va à terme miner le climat socio-économique.

Ecraser les syndicats : une lourde erreur de Macron

Ecraser les syndicats : une lourde erreur de Macron

 

On conviendra sans difficulté que les syndicats ne sont pas sans défaut. Ils sont peu représentatifs et finalement pèsent peu sur les orientations économiques et sociales. Pour autant,  leur rôle est utile voire indispensable en tant que moyens d’intermédiation entre les salariés, l’Etat et le patronat. De très nombreux accord signés dans les entreprises et avec le gouvernement en témoignent. Macron se comporte vis-à-vis des syndicats comme avec l’ opposition politique, c’est la stratégie du bulldozer. Macron a écrasé l’opposition, il veut écraser les syndicats. Pour preuve ses provocations permanentes au lieu de rechercher l’apaisement. La mort programmée des syndicats classiques n’est pas une hypothèse à écarter  mais il faudra aussi en mesurer les conséquences car comme en politique les « résistants » se réfugieront dans la radicalité de mouvements extrêmes. Des mouvements à la fois très corpos  et beaucoup plus durs.  Pas sûr que l’économie et la société toute entière y gagnent. En outre, il est dangereux  de vouloir humilier un adversaire. Au contraire, comme en Allemagne, tout devrait militer pour la recherche de compromis via la négociation. Ce qui supposerait d’associer davantage les syndicats à la gestion afin qu’ils s’approprient davantage la problématique économique macro ou micro. Au total la stratégie de Macron constitue une sorte de machine à fabriquer du mécontentement et  de la radicalité. On est loin de la promesse de réunir les différentes composantes du pays. La jeunesse de Macron  et posture un peu hors sol sont largement responsable de cette situation conflictuelle qui va à terme miner le climat socio-économique.

Droite : lourde défaite avant explosion

Droite : lourde défaite avant explosion

 

 

Un véritable gâchis pour la droite LR  battue, aux présidentielles puis aux législatives alors qu’elle avait pourtant toutes les raisons de l’emporter avec Jupé. La faute aux divisons internes et notamment aux manœuvres machiavélique de Sarkozy qui a tout fait pour détruite Juppé. Devrait suivre la décomposition, déjà en cours avec ceux qui rejoignent Macron  et deux groupes irréconciliables les progressistes et européens de Raffarin et NKM et autre Bertrand et les réacs de Vauqiez, Morano Ciotti.   Avec environ 22% des voix, selon des résultats non encore définitifs, la coalition LR-UDI peut désormais espérer sauver des décombres une petite centaine se sièges, soit environ deux fois moins que dans l’Assemblée nationale sortante. Un résultat « décevant pour notre famille politique », a concédé le secrétaire général de LR, Bernard Accoyer, sur France 2, tout en soulignant le poids de l’abstention. « Notre électorat ne s’est pas mobilisé, n’est pas allé voter. » Symbole du désarroi qui règne à droite : la deuxième circonscription de Paris, réputée imperdable pour LR, a placé le candidat de La République en marche, Gilles Le Gendre, largement en tête avec 41,55% des voix, selon des résultats provisoires, devant une multitude d’adversaires se réclamant du camp conservateur, Nathalie Kosciusko-Morizet en tête. La semaine de la droite sera également dominée par une question épineuse et potentiellement destructrice pour la droite, celle des consignes à donner dans les circonscriptions où le FN se maintient au second tour. Bernard Accoyer a fait savoir dimanche que la question serait tranchée au cas par cas, à l’occasion d’un bureau politique prévu lundi. Ce débat préfigure ceux qui attendent LR en prévision d’un congrès, prévu à l’automne. Décapités par leur primaire puis par la présidentielle, Les Républicains se chercheront alors un nouveau président parmi les prétendants pressentis – Laurent Wauquiez, Xavier Bertrand, Valérie Pécresse et peut-être d’autres encore. Au-delà du choc des personnalités, les dirigeants se préparent à un examen de conscience post-défaites. « Sur la ligne, nous discuterons et nous aurons un compromis nécessairement puisque nous élirons notre prochain président à l’automne », a déclaré Bernard Accoyer dimanche. Depuis la victoire d’Emmanuel Macron, le mois dernier, le clivage s’est dessiné entre les partisans d’une position souple face au nouveau président et les tenants d’une ligne dure finalement idéologiquement proche du FN, pour lesquels aucune concession n’est envisageable.




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