Archive pour le Tag 'l’ordre !'

Darmanin-Retailleau : un tandem au service d’un retour de l’ordre ?

Darmanin-Retailleau : un tandem au service d’un retour de l’ordre ?

De toute évidence le tandem de deux fortes personnalités comme Darmanin à la justice et Retailleau au à l’intérieur semble donner des gages pour une action plus évidente au service de l’autorité et de l’ordre. Évidemment la tâche est immense car cette autorité manque dans de nombreux champs régaliens et espaces sociétaux. Témoin notamment la dérive des homicides, des violences en général sans parler de la gangrène du trafic de drogue.

Les deux ministres visés devront réussir rapidement ou partir car en vérité ils  sont assez peu soutenus par un socle dit commun assez insipide. Les « républicains » ne sont pas non plus décidés avec Wauquiez à faire des cadeaux au gouvernement de Bayrou. D’une certaine manière, les républicains ont été contraints de ne pas s’opposer la nomination de Retailleau mais annoncent d’ores et déjà qu’ils réservent leur position vis-à-vis du gouvernement. Rien d’étonnant à cela d’une certaine manière car  Retailleau devient un sérieux concurrent pour Wauquiez dans la perspective des élections présidentielles

 

Société- De l’ordre à tous les étages : il serait temps !

Société- De l’ordre à tous les étages : il serait temps !

Après les incidents et les violences qui non seulement se multiplient mais s’amplifient dans leur nature y compris avec des morts , le ministre de la fonction publique fait le vœu qu’on « remette de leur à tous les étages ». Il serait temps car désormais on assiste non seulement à des règlements de compte notamment dans le cadre du trafic de drogue mais aussi à des violences sur des scolaires qui banalisent la sauvagerie.

D’une façon générale, la discipline à tous les étages et mise en cause et d’une certaine manière l’État est comprise par son inaction hormis quelques manifestations spectaculaires mais très temporaires comme les opérations antidrogue. À tout le moins la problématique de la sécurité et de la violence mérite un débat urgent au moins dans le cadre du Parlement mais aussi évidemment des orientations très fermes car ce sont les règles de la république et de la démocratie qui sont en cause.
Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, s’est exprimé vendredi 5 avril sur CNews et Europe 1 sur les récentes affaires de harcèlement et de violence scolaires survenues cette semaine en France. En réponse à ces actes, le membre du gouvernement a appelé à une sévérité accrue. « Il faut beaucoup de sévérité, il faut tout simplement remettre de l’ordre à tous les étages. On peut le faire et on doit le faire en remettant nos policiers dans nos rues. Il faut remettre de l’ordre à tous les étages de notre société », a-t-il déclaré sur le plateau de la chaîne.

« Cela commence évidemment à l’école et le Premier ministre a fait un sujet prioritaire d’appliquer les règles, tout simplement », en particulier en ce qui concerne le harcèlement, a poursuivi Stanislas Guerini, faisant référence à l’affaire Samara. Il a également souligné l’importance de l’autorité, mentionnant la nécessité d’appliquer la loi de 1905 sur la laïcité, estimant que ce principe était « le joyau de la République ».

 

De l’ordre à tous les étages : il serait temps

De l’ordre à tous les étages : il serait temps

Après les incidents et les violences qui non seulement se multiplient mais s’amplifient dans leur nature y compris avec des morts , le ministre de la fonction publique fait le vœu qu’on « remette de leur à tous les étages ». Il serait temps car désormais on assiste non seulement à des règlements de compte notamment dans le cadre du trafic de drogue mais aussi à des violences sur des scolaires qui banalisent la sauvagerie.

D’une façon générale, la discipline à tous les étages et mise en cause et d’une certaine manière l’État est comprise par son inaction hormis quelques manifestations spectaculaires mais très temporaires comme les opérations antidrogue. À tout le moins la problématique de la sécurité et de la violence mérite un débat urgent au moins dans le cadre du Parlement mais aussi évidemment des orientations très fermes car ce sont les règles de la république et de la démocratie qui sont en cause.
Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, s’est exprimé vendredi 5 avril sur CNews et Europe 1 sur les récentes affaires de harcèlement et de violence scolaires survenues cette semaine en France. En réponse à ces actes, le membre du gouvernement a appelé à une sévérité accrue. « Il faut beaucoup de sévérité, il faut tout simplement remettre de l’ordre à tous les étages. On peut le faire et on doit le faire en remettant nos policiers dans nos rues. Il faut remettre de l’ordre à tous les étages de notre société », a-t-il déclaré sur le plateau de la chaîne.

« Cela commence évidemment à l’école et le Premier ministre a fait un sujet prioritaire d’appliquer les règles, tout simplement », en particulier en ce qui concerne le harcèlement, a poursuivi Stanislas Guerini, faisant référence à l’affaire Samara. Il a également souligné l’importance de l’autorité, mentionnant la nécessité d’appliquer la loi de 1905 sur la laïcité, estimant que ce principe était « le joyau de la République ».

 

Social- Assurance santé : des augmentations de l’ordre de 10 %

Social- Assurance santé : des augmentations de l’ordre de 10 %

Alors que les pouvoirs publics et les experts patentés ne cessent d’affirmer que le combat de l’inflation est gagné, les prix, eux, ne cessent d’augmenter. D’abord sur le plan méthodologique, une baisse de l’inflation ne signifie nullement une baisse des prix. En effet les hausses d’inflation ce cumulent. Et même inflation constante les prix demeurent un niveau exceptionnellement haut. Un peu partout , on constate des augmentations tarifaires; ce sera le cas pour nombreux d’abonnements à des services par exemple l’électricité dont les prix vont croître de 10 % à partir du début de l’année prochaine; auussi pour les assurances.

Ce sera aussi le cas sans doute des complémentaires santé. Ainsi le groupe paritaire AG2R La Mondiale augmentera «de 8 à 9%» les cotisations de complémentaire santé en 2024, pour faire face notamment aux transferts de dépenses depuis le budget de la Sécurité sociale, indique le directeur général du groupe dans une interview ce vendredi aux Échos. «Il n’y a pas d’argent magique. Si les dépenses de santé augmentent et l’État transfère la charge aux complémentaires, les cotisations (de complémentaire santé, NDLR) des Français augmenteront mécaniquement», affirme le directeur général, Bruno Angles.

«Nous limiterons l’augmentation de nos cotisations de 8 à 9% en moyenne en assurance santé, et 5% en prévoyance», indique-t-il. AG2R La Mondiale est le premier groupe de complémentaire santé à donner une indication claire sur l’évolution de ses tarifs en 2024, alors que tout le secteur s’attend à des augmentations substantielles. Celles-ci devraient aller de 8 à 12,5%, selon les estimations il y a quelques semaines du spécialiste Addactis.

Assurance santé : des augmentations de l’ordre de 10 %

Social- Assurance santé : des augmentations de l’ordre de 10 %

Alors que les pouvoirs publics et les experts patentés ne cessent d’affirmer que le combat de l’inflation est gagné, les prix, eux, ne cessent d’augmenter. D’abord sur le plan méthodologique, une baisse de l’inflation ne signifie nullement une baisse des prix. En effet les hausses d’inflation ce cumulent. Et même inflation constante les prix demeurent un niveau exceptionnellement haut. Un peu partout , on constate des augmentations tarifaires; ce sera le cas pour nombreux d’abonnements à des services par exemple l’électricité dont les prix vont croître de 10 % à partir du début de l’année prochaine; aussi pour les assurances.

Ce sera aussi le cas sans doute des complémentaires santé. Ainsi le groupe paritaire AG2R La Mondiale augmentera «de 8 à 9%» les cotisations de complémentaire santé en 2024, pour faire face notamment aux transferts de dépenses depuis le budget de la Sécurité sociale, indique le directeur général du groupe dans une interview ce vendredi aux Échos. «Il n’y a pas d’argent magique. Si les dépenses de santé augmentent et l’État transfère la charge aux complémentaires, les cotisations (de complémentaire santé, NDLR) des Français augmenteront mécaniquement», affirme le directeur général, Bruno Angles.

«Nous limiterons l’augmentation de nos cotisations de 8 à 9% en moyenne en assurance santé, et 5% en prévoyance», indique-t-il. AG2R La Mondiale est le premier groupe de complémentaire santé à donner une indication claire sur l’évolution de ses tarifs en 2024, alors que tout le secteur s’attend à des augmentations substantielles. Celles-ci devraient aller de 8 à 12,5%, selon les estimations il y a quelques semaines du spécialiste Addactis.

Foot–la défaite face à l’Allemagne, un bon rappel à l’ordre

Foot–la défaite face à l’Allemagne, un bon rappel à l’ordre

La presse était à peu près unanime, la France ne devait faire qu’une bouchée de l’équipe allemande actuellement en pleine crise. Bref, l’euphorie médiatique irresponsable habituelle. Au lieu de cela, on a observé une Allemagne appliquée et qui finalement a gagné par deux buts à un.

La France a surtout fait preuve d’une grande fébrilité en défense. Un milieu de terrain qui avait du mal à exister et des attaquants trop absents eux aussi.

Surtout on a noté que l’équipe de France était en réalité très dépendante de MBappé qui n’a pas joué.

Il faudra sans doute que les médias y compris sportifs relativisent le niveau de l’équipe de France ne serait-ce que pour rappeler à l’ordre sur la nécessité de l’engagement, de la solidarité et de l’efficacité.

D’après la presse, les mauvais résultats allemands et le limogeage dimanche du sélectionneur, Hansi Flick, faisaient des joueurs de Didier Deschamps les grands favoris de cette rencontre, un duel a priori déséquilibré entre deux équipes aux formes opposées.

La France devra se relever de cette première défaite post-Coupe du monde lors de son prochain match contre les Pays-Bas- Un adversaire à prendre particulièrement sérieux– le 13 octobre, en éliminatoires de l’Euro 2024.

Euthanasie : l’Ordre des médecins « défavorable »

Euthanasie : l’Ordre des médecins « défavorable »


Alors que les conclusions de la convention citoyenne (qui par parenthèses n’a aucune légitimité ) sur la fin de vie pourraient engendrer un changement de loi avant fin 2023 en la matière en se prononçant sur la légalisation d’une « aide active à mourir »,, l’Ordre des médecins estime qu’un praticien ne peut « provoquer délibérément la mort par l’administration d’un produit létal ». Il se dit également « défavorable à toute possibilité de mettre en place une procédure d’aide active à mourir pour les mineurs et les personnes hors d’état de manifester leur volonté ».

L’Ordre des médecins se montre plus souple sur le suicide assisté, à certaines conditions. « Dans l’hypothèse d’une légalisation du suicide assisté », poursuit le communiqué, le conseil demanderait l’établissement d’une « clause de conscience » pour les médecins, « qui pourrait être mise en exergue à tout moment de la procédure ». Il souhaite également que « l’évaluation, la décision d’éligibilité pour une aide active à mourir, et la responsabilité devraient être collégiales ». Si le Conseil est « défavorable à la participation active du médecin lors de la prise du produit létal par le patient », il estime « que le médecin qui n’aurait pas fait valoir sa clause de conscience pourrait rester présent et accompagner son patient jusqu’à ses derniers instants ».

Fin de vie et euthanasie : l’Ordre des médecins « défavorable »

Fin de vie et euthanasie : l’Ordre des médecins « défavorable »


Alors que les conclusions de la convention citoyenne (qui par parenthèses n’a aucune légitimité et aucune compétence) sur la fin de vie, qui pourrait engendrer un changement de loi avant fin 2023 en la matière en se prononçant sur la légalisation d’une « aide active à mourir », sont attendues dimanche 2 avril, l’Ordre des médecins estime qu’un praticien ne peut « provoquer délibérément la mort par l’administration d’un produit létal ». Il se dit également « défavorable à toute possibilité de mettre en place une procédure d’aide active à mourir pour les mineurs et les personnes hors d’état de manifester leur volonté ».

L’Ordre des médecins se montre plus souple sur le suicide assisté, à certaines conditions. « Dans l’hypothèse d’une légalisation du suicide assisté », poursuit le communiqué, le conseil demanderait l’établissement d’une « clause de conscience » pour les médecins, « qui pourrait être mise en exergue à tout moment de la procédure ». Il souhaite également que « l’évaluation, la décision d’éligibilité pour une aide active à mourir, et la responsabilité devraient être collégiales ». Si le Conseil est « défavorable à la participation active du médecin lors de la prise du produit létal par le patient », il estime « que le médecin qui n’aurait pas fait valoir sa clause de conscience pourrait rester présent et accompagner son patient jusqu’à ses derniers instants ».

Déserts médicaux :La faute à l’ordre des médecins

Déserts médicaux :La faute à l’ordre des médecins

 

Face à l’avancée des déserts médicaux, Michel Debout, professeur émérite de médecine légale et de droit de la santé, s’indigne dans une tribune au « Monde » du fait que l’ordre des médecins n’ait rien fait pour alerter les pouvoirs publics. Cette institution de droit privé a pourtant une connaissance exacte de la démographie médicale.

 

La santé des Français est la première victime de l’installation, partout sur le territoire national, zones rurales et urbaines comprises, des déserts médicaux. Alors que l’on s’interroge sur les responsabilités des ministres de la santé successifs, de droite et de gauche, depuis 1971, date de l’instauration du numerus clausus limitant drastiquement, chaque année, le nombre d’étudiants en médecine (donc celui des médecins en exercice dans le futur !), le rôle négatif de l’ordre des médecins n’est jamais évoqué : il est, pour moi, essentiel.

Cette institution de droit privé, chargée d’une mission de service publique, devait être supprimée après l’élection de François Mitterrand, selon la 85e proposition du programme qu’il avait présenté aux Français, mais rien n’en a été. Il a été maintenu, avec quelques modifications devant rendre son organisation plus démocratique et plus proche des praticiens.

Le premier rôle de l’ordre est d’être le gardien de la déontologie médicale qui dispose dans le 1er article de son code : « Le médecin exerce sa mission dans l’intérêt de ses patients et de la santé publique. » Comment ne pas admettre que le premier intérêt de la santé publique est que notre pays dispose d’un nombre suffisant de médecins, dans chaque spécialité d’exercice, et répartis équitablement sur le territoire national ?

 

Bien plus, lorsque l’on se rend sur le site officiel de l’ordre, on peut lire, dans la rubrique démographie médicale, l’affirmation suivante : « L’ordre des médecins dispose d’une expertise unique pour analyser la démographie médicale française grâce aux données des tableaux de l’ordre. » S’il est un organisme qui avait une connaissance précise, depuis des décennies, sur ce qui allait advenir en termes de démographie médicale, département par département, avec les données expertes sur les modes et le type d’exercice (influence de la féminisation de la profession), de l’âge de départ à la retraite, des spécialités en tension, c’est bien l’ordre !

Dupont Moretti rappelé l’ordre par la justice

Dupont Moretti rappelé l’ordre par la justice

Le ministre de la justice ayant accusé les juges de partialité à son égard a été l’objet d’un sévère rappel à l’ordre de la première présidente de la Cour de cassation.

Dans un communiqué, «la première présidente de la Cour de cassation regrette fortement les propos tenus par le garde des Sceaux, dont la mission est de garantir l’indépendance de la Justice». «Mettant en cause l’honneur des magistrats instructeurs, ils contribuent à fragiliser l’autorité judiciaire, pilier de l’état de droit», poursuit Chantal Arens, la plus haute magistrate de France. Convoqué jeudi matin pour être réentendu par des magistrats de la Cour de justice de la République (CJR) sur les soupçons de prise illégale d’intérêts qui lui valent une mise en examen depuis juillet, le garde des Sceaux avait refusé de répondre à leurs questions.

Critiquant des «investigations conduites de manière totalement disproportionnée», Éric Dupond-Moretti assure que les magistrats lui portent une «inimitié» ancienne qui aurait «dû (les) conduire à (se) déporter du dossier». «Mais l’impartialité n’est pas votre sujet», ajoute-t-il. Il dénonce encore une instruction «biaisée» et le non-respect de ses «droits les plus élémentaires».

Dans une cinglante réponse, la présidente de la Cour de cassation «rappelle que l’indépendance de l’autorité judiciaire est garantie par la Constitution». «Les juges d’instruction conduisent leur mission, de manière collégiale, en toute indépendance et dans le respect du droit, leurs décisions étant susceptibles de recours», souligne Chantal Arens dans son communiqué. La CJR avait ouvert une information judiciaire en janvier 2021 après les plaintes de syndicats de magistrats et de l’association anticorruption Anticor dénonçant deux situations de conflits d’intérêts depuis l’arrivée d’Éric Dupond-Moretti à la Chancellerie, en juillet 2020.

Plan nucléaire : un coût de l’ordre de 50 milliards pour 6 EPR

Plan nucléaire : un coût de l’ordre de 50 milliards pour 6 EPR


Après l’annonce présidentielle relative à la relance du nucléaire se pose évidemment la question du coût et de son financement. Normalement il s’agit de six réacteurs EPR 2 d’un cout de 8 milliards l’unité à mettre évidemment en comparaison avec un réacteur classique de 900 MW. Ces nouveaux EPR 2 auraient une puissance minimale de 1650 MW. La question de la durée de vie des centrales nucléaires devrait à nouveau être posée.

Normalement les anciennes centrales étaient prévues pour une durée de vie de l’ordre de 40 ans. Cependant suite à Fukushima, une vaste opération appelée Grand carénage  renforce considérablement la sécurité et permet d’espérer un allongement à 60 ans minimum. C’est la durée de vie prévue aux États-Unis. La durée de vie des EPR pourrait donc être envisagée pour une durée minimale de 50 à 60 ans sans problème. De quoi en même temps étaler l’amortissement de ses installations coûteuses. En clair, il faudrait prévoir un besoin de financement d’une centaine de milliards mais sur 50 ans.

Certes la situation d’EDF n’est pas mirobolante mais d’une part les prix de l’électricité vont continuer d’évoluer à la hausse sous l’effet de la tendance mondiale, d’autre part EDF fera comme précédemment appel à l’emprunt. Et c’est précisément en ce moment qu’il faut rapidement se décider avant que les taux d’intérêt ne redémarrent pendant plusieurs années. Le financement de ce nouveau plan nucléaire sera également assurée par l’augmentation du prix de l’électricité d’après  des experts pensent qu’il augmentera de 6 % par an, soit un doublement du prix en dix ans.

Suez rappelé à l’ordre par l’autorité des marchés

Suez rappelé à l’ordre par l’autorité des marchés

 

Un rappel à l’ordre de l’autorité des marchés qui demande davantage de transparence de la part de Suez. Mais un rappel à l’ordre sans valeur juridique mais qui remet quand même en cause la mesure de protection prise par Suez pour mettre son activité eau à l’abri.

On peut supposer que les opérateurs intéressés exercent une pression énorme sur l’autorité des marchés financiers pour qu’elle clarifie sa position. Ce qu’elle tarde visiblement à faire. De la même manière que les pouvoirs publics qui s’en tiennent à leur souhait d’une négociation entre Suez et Veolia.

Cette invraisemblable bataille risque de se traduire dans tous les cas par la vente d’activités de l’eau et de services à des fonds spéculatifs étrangers ! Bref à des ventes par appartements.. Au total ,un affaiblissement général d’un secteur d’activité très important pour la France. Tellement important qu’il pourrait poser la question d’une nationalisation temporaire compte tenu de la pagaille actuelle est de l’intérêt général de plus en plus stratégique de la gestion de l’eau. Une occasion aussi de mieux réguler  l’activité

MANIFESTATIONS LOI DE SÉCURITÉ: 98 BLESSÉS PARMI LES FORCES DE L’ORDRE

 MANIFESTATIONS LOI DE SÉCURITÉ: 98 BLESSÉS PARMI LES FORCES DE L’ORDRE

Selon les chiffres définitifs établis par le ministère de l’Intérieur et publiés ce dimanche soir, 98 agents des forces de l’ordre ont été blessés samedi lors des manifestations contre l’article 24 de la loi sur la sécurité globale et en faveur des libertés publiques.

 

Par ailleurs, le parquet de Paris a chiffré à 29 le nombre de gardes à vue dans la capitale en marge de cette « marche des libertés ». 26 concernaient des majeurs et donc trois des mineurs. Trois d’entre elles ont été prolongées, tandis que 14 ont donné lieu à des déferrements dont trois comparutions immédiates. Deux ont occasionné un rappel à la loi, et dix d’entre elles ont été classées sans suite par la justice, faute de charges suffisantes.

Mobilité des Français : une baisse de l’ordre de 30 % pour environ 60 à 70 % lors du premier confinement

Mobilité des Français : une baisse de l’ordre de 30 % pour environ 60 à 70 % lors du premier confinement

 

 

 

 

La baisse de mobilité est notoirement moins importante que lors du premier confinement. Elle atteint en moyenne de l’ordre de 30 % alors qu’elle concernait de 60 à 70 % lors du premier confinement. Il s’agit évidemment de moyenne avec de fortes disparités selon les zones géographiques. France Info fait état d’un rapport de l’Inserm, publié le 12 novembre, qui constate également que la baisse des déplacements est beaucoup moins forte entre le deuxième et le premier confinement : -33% du 2 au 6 novembre contre -67% du 23 au 27 mars. Or, les auteurs de ce rapport, qui s’appuient sur des données de téléphonie fournies par l’opérateur Orange, notent également que la baisse de la mobilité est encore plus faible aux heures de pointe du matin, autrement dit au moment de partir au travail ou d’emmener les enfants à l’école. « Les données sur lesquelles nous nous appuyons ne permettent pas de savoir pourquoi les gens se déplacent. Mais on peut estimer que les baisses plus modestes, constatées entre 7 heures et 9 heures du matin, sont probablement liées au maintien de l’ouverture des écoles et de plusieurs secteurs d’activité », précise à franceinfo l’épidémiologiste Eugenio Valdano, co-auteur du rapport de  l’Inserm.

 

Si les Français continuent de se déplacer sur leur lieu de travail, du lundi au vendredi, ils semblent au contraire rester chez eux le week-end. Les mesures du trafic routier, publiées par le Cerema, montrent que, pendant le deuxième week-end du confinement, la circulation est redescendue à un niveau quasi équivalent à ceux observés en mars et en avril. Alors que la circulation sur les routes, les samedis et dimanches, avait subi une baisse de plus de 80% au printemps, le week-end des 7 et 8 novembre a vu une baisse du trafic de plus de 70%, d’après les données du Cerema.

Vins: un recul des exportations de l’ordre de 20 %

Vins:  un recul des exportations de l’ordre de 20 %

Une double punition pour les vins français affectés d’une part par la fermeture et les restrictions concernant les bars et les restaurants du pays mais aussi par la diminution des ventes à l’étranger. En gros les exportations de vins vont avoir baissé de l’ordre de 20 % en volume et de 30 % en valeur.

La cause de cette baisse est à impliquer directement à la crise du Covid-19. En grande partie en raison de la fermeture des restaurants quasiment simultanément dans de nombreux pays du monde, où les vins français tiennent une bonne partie des cartes de vins. Mais la pandémie n’est pas l’unique responsable. La chute s’explique aussi par l’imposition de taxes de 20% aux États-Unis depuis octobre 2019 sur les vins tranquilles de moins de 14 degrés, ainsi que sur les incertitudes liées au Brexit, la Grande-Bretagne étant l’un des premiers clients de la France viticole.

Une série de mesures de soutien ont été décidées depuis le confinement pour la filière viticole, à commencer par des mesures de distillation de crise, financées sur fonds européens et français à hauteur de 155 millions d’euros. Le gouvernement avait en effet approuvé dès le mois d’avril la distillation du surplus de vin en alcool pour les vignerons français à la suite d’une baisse de la demande en raison de fermetures de restaurants et de bars et d’une baisse des exportations.

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