Archive pour le Tag 'Loire-Atlantique'

Pollution : 2000 tonnes d’algues vertes sur une seule plage de Loire-Atlantique

 Pollution : 2000 tonnes d’algues vertes  sur une seule plage de Loire-Atlantique

Des centaines de milliers de mètres cubes d’algues vertes plus ou moins en décomposition sont ramassées chaque année sur les plages de l’Atlantique. Ainsi à Assérac en Loire Atlantique, La mer a rejeté plusieurs tonnes d’algues vertes.  Plus de 2000 tonnes de ces plantes subaquatiques et nauséabondes ont d’ores et déjà été collectées depuis juillet.  Les opérations de nettoyages devraient coûter cette année plus de 20.000 euros à la commune, une dépense en partie assumée par la communauté d’agglomération Cap Atlantique. 

 

Le phénomène des marées vertes est causé par le développement très favorable des algues au sein des baies fermées et peu profondes, en particulier lorsque celles-ci sont riches en azote. Présent sous forme de nitrate, cet élément qui nourrit les algues se retrouve fréquemment dans des cours d’eau en raison de certaines pratiques agricoles, avant de finir rejeté sur le littoral, rappelle la préfecture de Bretagne. Les algues pourrissantes se décomposent en produisant du sulfure d’hydrogène, un gaz toxique dont l’inhalation peut être potentiellement mortelle pour les humains comme pour les animaux.

Covid: Une épidémie de jeunes en Loire-Atlantique

Covid: Une épidémie de jeunes en Loire-Atlantique

Les pays de Loire connaissent une situation contrastée avec une progression inquiétante du virus dans les zones touristiques de Loire-Atlantique et de Vendée. Par contre, la situation est plus maîtrisée dans les autres départements . Autre constat, c’est une population plus jeune qui est désormais hospitalisée.

 

Le médecin de l’ARS  indique que « nous sommes dans une épidémie de jeunes désormais. On a vacciné les personnes à risques qui étaient les plus âgées. Aujourd’hui c’est parmi les jeunes que le virus circule, et beaucoup de ces personnes sont hospitalisées, et faire le covid ce n’est pas si anodin que ça même pour les jeunes.

On fait le constat d’une différence importante entre la côte et le reste de la région. On a eu une très forte montée du taux d’incidence en juillet avec une explosion dans la tranche d’âge des 15-30 ans. On commence à voir des hospitalisations et des entrées en réanimation. Aujourd’hui la situation n’est pas problématique 37 personnes sont en réanimation dans la région. Et il faut en tenir compte.

Sur la Mayenne, la Sarthe et le Maine-et-Loire on est plutôt sur une augmentation lente ou faux plat, signe de la contagiosité du virus. Celle de la grippe au départ, et celle de la varicelle désormais.

Deux chiffres pour comprendre : « Si on prend un patient contaminé par le covid original, on a sur 5 à 6 semaines, si on ne prend pas de mesures, de type masques, tests, isolement, vaccination, 250 personnes contaminées à leur tour. Avec la même absence de mesures, une personne touchée par le variant delta va en contaminer… 16 000″.

Et le médecin de rappeler qu’une personne vaccinée a trois fois plus de chance de ne pas être contaminée, selon l’Imperial College de Londres. Sans préjuger de la gravité de la maladie qui pourra être développée.

La vaccination permet de se prémunir des formes graves de la COVID-19 de l’hospitalisation, de la réanimation, du décès. « Sur 100 personnes qui présentent une forme grave, seules 5 ou 7 sont des personnes vaccinées. Toutes les autres ne sont pas vaccinées, donc le vaccin protège bien », indique Pierre Blaise. « Aux Antilles, 97% des personnes hospitalisées, n’ont pas été vaccinées, 100% des personnes en réanimation n’ont pas été vaccinées ».

Un foyer de cancers pédiatriques en Loire-Atlantique

Un foyer de cancers pédiatriques en Loire-Atlantique

Evoquant le cas d’un foyer de cancers pédiatriques dans son département,Sandrine Josso,Députée (MoDem) de Loire Atlantique,déplore, dans une tribune au « Monde », qu’aucune analyse des données environnementales n’ait été menée.

 

Tribune.

 

Depuis 2015, vingt-cinq enfants ont déclaré un cancer dans un périmètre de 15 kilomètres autour de la commune de Sainte-Pazanne (Loire-Atlantique). Il ne se passe donc pas six mois sans qu’un nouvel enfant soit atteint. Une jeune fille est décédée il y a quelques semaines, portant à six le nombre de morts liées à un cancer pédiatrique dans la zone. Un enfant mort, c’est un de trop. Six, c’est intolérable.

Ce n’est pas faute d’alerter depuis plusieurs années. Dès 2017, l’agence régionale de santé (ARS) des Pays de la Loire se saisit de l’affaire à la suite du signalement d’une lanceuse d’alerte. Aucun lien direct n’est établi entre les polluants et les cancers, et aucune enquête complémentaire n’est diligentée. Bis repetita en février 2019, lorsque l’ARS saisit Santé publique France (SPF). Cette dernière conclut bien à la présence d’un foyer de cancers pédiatriques, mais ne préconise pas la poursuite d’analyse de données environnementales pour déterminer la cause des cancers. La démission des responsables publics doit nous interroger.

 

Comment est-il possible qu’aucune analyse ne soit menée sur le lien potentiel entre cumul de substances nocives dans l’environnement et surreprésentation des cancers pédiatriques sur le territoire ? C’est négliger le bon sens et fermer les yeux sur l’effet cocktail qui découle de l’addition de substances chimiques dans l’environnement. Le cancer est une maladie multifactorielle : refuser d’investiguer toutes ses potentielles origines, c’est laisser les métastases se propager dans le corps social.

L’exposition aux facteurs nocifs n’est pas un problème localisé, mais touche le pays entier, et la santé des Français doit être une priorité nationale. Pour mettre fin à ce fléau invisible, il n’est pas nécessaire de déployer l’artillerie lourde : nous avons déjà les outils.

Passons du principe de précaution au principe de prévention. En croisant les données de SPF avec les données environnementales et de biodiversité, nous pourrions mieux saisir l’ampleur de l’effet cocktail. Ces informations en main, le passage à l’action sera plus efficace. Ensuite, la création de moratoires relatifs aux installations dans les agglomérations où une surmortalité est observée est nécessaire et urgente.

Mettons également un terme aux dérogations préfectorales permettant une poursuite des activités industrielles sans prise en compte du danger. Au lendemain d’élections régionales et départementales, rappelons l’impact environnemental des décisions d’aménagement du territoire qui reposent sur ces collectivités.

Confinement Coronavirus : 150 000 à 200 000 « immigrés parisiens » en Loire-Atlantique

Confinement Coronavirus : 150 000 à 200 000 « immigrés parisiens »   en Loire-Atlantique

La venue en masse de personnes extérieures arrivées en Loire Atlantique constitue un véritable danger en termes d’infection de la zone et au-delà. En effet la quasi-totalité de ces personnes ignorent totalement s’ils sont ou non porteurs du virus et leur déplacement va favoriser la contagion dans toutes la région. Notons par ailleurs que les équipements sanitaires locaux ne sont pas dimensionnés pour répondre à une crise sanitaire qui serait provoquée par ses migrations irresponsables.

 

Près de 150 000 à 200 000 personnes sont venues se confiner en Loire-Atlantique dans le cadre de la pandémie de coronavirus, rapporte mardi 24 mars France Bleu Loire Océan.

Les chiffres sont donnés par le préfet du département, Claude d’Harcourt, qui a précisé que ces personnes sont arrivées « essentiellement sur la frange littorale » de la Loire-Atlantique depuis l’annonce des mesures de confinement. Elles proviennent essentiellement de région parisienne, « un territoire où le virus a circulé largement », a complété Claude d’Harcourt.

 

Certaines personnes qui tentaient de rejoindre la région après le début des mesures de confinement ont dû faire demi-tour sur ordre des forces de l’ordre. Claude d’Harcourt à France Bleu Loire Océan

La pression va se maintenir sur les territoires investis par les Franciliens car « ce ne sont pas des lieux de villégiature », prévient le préfet, qui indique ne pas souhaiter pour l’instant de mesure de couvre-feu car selon lui « ça n’apporterait rien ».

 




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