Archive pour le Tag 'loin'

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La coalition unique encore loin d’être réalisé contre l’EI

La coalition unique encore loin d’être réalisé contre l’EI

 

En dépit de la déclaration soutenue à l’unanimité concernant la nécessité de mettre en œuvre tous les moyens de lutter contre l’État islamique la grande coalition unique est encore loin d’être réalisée. Hollande qui a pris  l’initiative de cette opération doit encore en persuader les chefs des états les plus importants. Des obstacles demeurent encore. Du côté des pays arabes, il faut bien constater de nombreuses ambiguïtés notamment de la part de l’Arabie Saoudite. Les États-Unis, eux, méfient d’une alliance avec la Russie qui soutient à bout de bras le régime de Bachar El-Assad, comme l’Iran d’ailleurs. Du coup on pourrait aboutir à une alliance sur le papier mais en laissant la liberté de choix quant aux objectifs et aux moyens. Finalement ce qui était la position de la France il y a encore quelques semaines avant son retournement stratégique. La France a donc entamé lundi une semaine d’offensive militaire et diplomatique présentée comme décisive pour tenter de mettre sur pied une coalition unique contre l’Etat islamique (EI), dix jours après les attentats de Paris revendiqués par Daech. Rencontre avec le Premier ministre britannique David Cameron lundi, déplacement à Washington mardi, dîner informel avec la chancelière allemande Angela Merkel mercredi et étape à Moscou jeudi : l’agenda de François Hollande est quasiment entièrement consacré aux modalités de la « guerre » contre l’EI.  La France est engagée dans la lutte contre l’Etat islamique en Irak depuis septembre 2014 mais n’est entrée militairement sur le théâtre syrien qu’en septembre dernier, plus d’un an après ses alliés américains.  Depuis les attentats du 13 novembre, le partage de renseignements entre Washington et Paris s’est accru, permettant notamment à la France de mener un bombardement massif de Rakka, mais il faut aller

Sondage 2017 : Juppé seul loin devant

Sondage 2017 : Juppé seul loin devant

Une majorité de Français souhaite une candidature d’Alain Juppé (Les Républicains) à l’élection présidentielle de 2017, alors qu’une candidature de François Hollande à sa succession est majoritairement rejetée, d’après un sondage Elabe pour BFM TV publié mercredi. A la question « Pour chacune des personnalités suivantes, souhaitez-vous qu’elle soit candidate à la prochaine élection présidentielle ? », 52% des personnes interrogées, toutes tendances confondues, répondent oui, pour Alain Juppé (32%, « oui, plutôt » et 20% « oui, tout à fait »). Le candidat à la primaire de la droite et du centre est la seule personnalité à dépasser les 50% de sondés favorables à sa candidature. François Hollande ne recueille lui que 19% de personnes favorables à sa candidature, 57% des sondés ne souhaitant même « pas du tout » qu’il se représente. Alain Juppé devance de très loin son rival pour la primaire Nicolas Sarkozy, dont 28% des personnes interrogées souhaitent la candidature. Marine Le Pen (2e avec 37%) et François Bayrou (3e avec 36%) complètent le podium. Alain Juppé réalise le meilleur score auprès des sympathisants de gauche (55%), à égalité avec Manuel Valls

Réformes Valls : plus vite, plus fort, plus loin…… dans le mur

Réformes Valls : plus vite, plus fort, plus loin…… dans le mur

Valls annonce qu’il va accélérer les réformes considérant que le niveau de l’activité et encore trop faible. Il faudrait d’abord que ces réformes aient  commencé. Quant au niveau de l’activité il n’est pas seulement insuffisant il est presque nul ;  en fait la politique contradictoire du gouvernement va clairement dans le mur. Cela d’autant plus que l’environnement international se dégrade nettement. On va donc continuer cette politique bâtarde entre mi-austérité est mi-relance et sans s’attaquer aux réformes structurelles notamment concernant l’Etat et la fiscalité. Pour résumer il y aura encore quelques réformettes et cette annonce électorale de réduction d’impôt pour les couches moyennes en 2016. Il est clair que sans réforme de l’État, aucun allégement, aucune simplification, aucune diminution significative de la fiscalité ne seront  possibles. Le reste est littérature. Le gouvernement français va « poursuivre » sur la voie des réformes afin de « débloquer » une croissance encore « trop faible » en réduisant notamment la pression fiscale et en allant plus loin dans la refonte du marché du travail, déclare pourtant  Manuel Valls dans une tribune à paraître mardi dans Les Echos. A l’approche de l’université d’été du Medef, puis de celle du Parti socialiste, le Premier ministre réaffirme que « l’ampleur du soutien aux entreprises ne sera pas remise en cause » dans le Pacte de responsabilité, qu’une partie du PS veut réajuster. Dans un message au PS et à son aile gauche, il place son action sous le sceau du travail, de l’émancipation, de l’égalité et de la protection en défendant les efforts d’ »assainissement » déjà consentis selon lui. « Nous devons donc poursuivre nos réformes. Persévérer, c’est l’assurance de réussir. Changer de ligne de conduite, c’est la certitude de tout perdre », souligne le chef du gouvernement, en s’adressant aussi en termes voilés au Front national, « à ceux qui voudraient se barricader ». Manuel Valls confirme une nouvelle mesure de baisse d’impôts pour les classes moyennes dans le projet de loi de finances pour 2016, comme annoncé la semaine dernière par François Hollande. « Ces trois années de baisse consécutives allègent l’impôt des classes moyennes ( !!!) et populaires. L’impôt sur le revenu sera aussi modernisé grâce à la mise en oeuvre du prélèvement à la source, qui entrera en vigueur en 2018″,  écrit-il dans cette tribune intitulée « Poursuivre nos réformes économiques pour affirmer nos valeurs ». Le Premier ministre affirme sa volonté, dans le sillage de la loi Macron, de « lever les blocages » et de réduire « des réglementations excessives ou trop complexes », grâce notamment à une seconde loi croissance en 2016 et au projet de loi sur le numérique. S’agissant de la réforme du travail, il redit sa volonté de « repenser la façon d’élaborer une réglementation du travail devenue trop complexe ». Il insiste également sur la « flexisécurité » à la française et dit attendre beaucoup des « propositions audacieuses » que doit lui remettre en septembre l’ancien directeur du Travail Jean-Denis Combrexelle sur les accords d’entreprises et de branches.

Vacances des Français : plus court, moins loin, moins cher

Vacances des Français : plus court, moins loin, moins cher

Conséquence de la crise les Français adaptent leurs vacances. Pour résumer ils font des séjours plus courts choisissent des résidences moins loin et le budget vacances est plus serré :- 4,8 % par rapport à l’an passé, soit désormais 1 979 € par foyer, d’après Protourisme. La progression du nombre de vacanciers et leur choix massif de l’Hexagone s’illustrent par exemple avec les achats de billets de trains effectués par des Français auprès de voyage-sncf.com: Nice, + 11 % ; Aix-en-Provence, + 6 % ; Cannes, + 6 % ; Bordeaux, + 5 % ; Paris, + 4,3 %, etc. Ces chiffres sont corroborés par les données recueillies sous la houlette de MKG Hospitality. Elles concernent la fréquentation hôtelière du mois de juillet: les établissements de la Côte d’Azur affichent un taux d’occupation en progression de + 6 % par rapport à 2014, pendant que ceux du bord de Manche enregistrent + 3,2 %, ceux de l’Atlantique, + 2,1 %, etc.  Les pays du sud de la Méditerranée, où les séjours touristiques étaient nombreux, Égypte, Tunisie et désormais Turquie, victimes des troubles politiques, n’enregistrent pratiquement plus aucune réservation Noter par ailleurs que ces chiffres positifs s’accompagnent d’une hausse significative de la recette (+27,2% sur la Côte d’Azur), il est vrai largement liée à la clientèle étrangère.  Les départs à l’étranger touchent un peu plus de 10 millions de Français cet été. Comme d’habitude, l’Espagne et l’Italie accaparent la très grande majorité des séjours. Mais la Grèce s’impose sur la troisième marche du podium avec la perspective d’accueillir plus de 1,5 million de nos compatriotes dans l’année dont plus de la moitié cet été. Comme s’ils voulaient montrer leur solidarité dans les difficultés que traverse le pays. Les autres grandes destinations touristiques internationales, États-Unis, Canada, Thaïlande, Chine et pays d’Asie du Sud-est enregistrant des résultats plus modestes.

Scandales des dépenses de l’INA : un domicile trop loin du lieu de travail !

Scandales des dépenses  de l’INA : un domicile trop loin du lieu de travail !

 

Curieuse défense de cette technocrate parvenue aux plus hautes fonctions grâce à se passages dans les cabinets ministériels ; c’est parce qu’elle réside trop loin de son domicile qu’elle a dû engager des frais de taxis ( alors qu’elle avait un chauffeur.. et sans doute un permis de conduire)… sans parler des frais de com.! . Bref l’arrogance de ces hauts fonctionnaires qui confondent argent public et argent personnel ( comme Guéant !). France info le révélait ce vendredi midi, l’association Anticor a déposé une plainte visant les dépenses de taxi de l’ex-PDG de l’INA, Agnès Saal, et les contrats passés par Mathieu Gallet, actuel patron de Radio France, à l’époque où il présidait l’Institut. Si Ce dernier n’a pas souhaité réagir, Agnès Saal, elle, a décidé de contre-attaquer par l’intermédiaire de son avocat.  Agnès Saal se défend, après la révélation par France Info d’une plainte déposée par l’association Anticor et portant sur ses frais de taxi lorsqu’elle était présidente de l’INA. Anticor veut savoir s’il s’agit de détournement d’argent public. Sommée de démissionner de son poste de présidente de l’INA 48 heures après le début de la polémique sur ses frais de taxis (40.000 euros en dix mois aux fonctions), Agnès Saal a regagné son ministère de tutelle, la Culture, où elle occupe désormais un poste de chargée de mission. Une enquête disciplinaire a été ouverte à son encontre, mais pour le moment la ministre Fleur Pellerin n’a pas encore pris de décision au sujet de son avenir. L’avocat d’Agnès Saal, lui, estime que l’éviction de sa cliente est déjà une sanction extrêmement lourde. Jean-Pierre Mignard estime qu’on « n’a même pas pris la peine d’écouter ni d’entendre, et donc immédiatement elle a été sanctionnée et démise de ses fonctions. Je pense qu’elle a payé pour d’autres, c’était une cible facile ». Pour sa défense, Agnès Saal nie avoir dilapidé de l’argent public. Au contraire même, selon Me Mignard, elle a même réussi à  limiter les dépenses de déplacement et de réception de la présidence de l’INA. Dans un communiqué, ce dernier souligne d’abord que les sommes en litige « ont fait l’objet d’un remboursement, soit 15.940 euros, dont  6.700 euros de courses de son fils ». Le texte ajoute que « travaillant 70 heures par semaines à 35 kilomètres de son domicile, Madame Saal a refusé un second chauffeur, ce qui représentait un coût annuel de 62.000 euros pour l’INA (…) Les attaques dont fait l’objet Madame Saal sont inadmissibles. Il n’y a à l’évidence aucune intention frauduleuse de sa part ».

« Le FN loin du pouvoir »( Jean-Marie Le Pen)

« Le FN loin du pouvoir »( Jean-Marie Le Pen)

 

Jean-Marie Le Pen fait finalement une analyse assez lucide de la situation politique du FN considérant qua la perspective du pouvoir est encore très loin. Il attribue sa montée aux circonstances à l’environnement, aussi  aux faiblesses des autres partis. Il considère qu’il faudra remédier à la dramatique situation laissée en cas d’accession au pouvoir et assumer ses  terribles conséquences sur le plan politique. Une sorte d’aveu pour dire que le programme du FN est complètement inadapté.  e vieux leader   publie vendredi sur son site internet ce qu’il présente comme une déclaration faite lundi devant le bureau politique de la formation, juste avant la réunion du bureau exécutif qui l’a sanctionné pour une série de déclarations polémiques. Ce que les partis républicains n’ont pas réussi à faire pour démonter la fantaisie du programme du FN, Jean Marie Lepen pourrait ,lui, bien le faire car il connait toutes les contradictions de son mouvement. Il laisse aussi pointer hypothèse d’un éclatement du FN.  Ceci étant Jean marie le Pen persiste et signe dans ses propos racistes.  « Ne nous faisons pas d’illusions sur la force réelle du mouvement », a-t-il dit. « Le fait, réel, d’arriver en première position lors des (élections) européennes et des départementales ne doit pas nous aveugler. Le chiffre des voix obtenues doit être la vraie référence », indique-t-il dans une allusion au fort taux d’abstention de ces scrutins. « Ce sont les événements qui nous rallient l’opinion de nos concitoyens, l’aggravation inéluctable de la situation (à laquelle, il faudra remédier après) peut nous conduire au pouvoir et à ses terribles responsabilités, mais nous n’en sommes pas aux portes, loin de là », dit-il encore.  Pour Jean-Marie Le Pen, « l’unité du mouvement est une des conditions sine qua non, or, elle est gravement menacée par la crise actuelle. »  Cette crise a été provoquée par de nouvelles sorties polémiques du fondateur du FN qui mettent à mal la stratégie de « dédiabolisation » du parti impulsée par Marine Le Pen depuis qu’elle a succédé à son père aux commandes du FN. Une interview à l’hebdomadaire d’extrême droite Rivarol où il a réitéré ses propos sur les chambres à gaz nazies, « détail » selon lui de l’histoire de la Seconde guerre mondiale, et défendu la mémoire du maréchal Pétain a mis le feu aux poudres. Jean-Marie Le Pen, qui a refusé de comparaître devant le bureau exécutif, estime que, dans cette affaire, « c’est l’âme du FN qui a été blessée. »   »On craint d’avoir mauvaise réputation républicaine. Sommes-nous devenus le premier parti antifasciste et antiraciste de France ? », s’est-il demandé, pour ajouter : « Laissons ces tristes hochets à nos ennemis et soyons fiers d’être le parti des patriotes français et des parias du drapeau tricolore. »  Quant à sa convocation devant le bureau exécutif réuni en commission disciplinaire, il a déclaré qu’elle était « indélicate, injustifiée, immorale et (…) scandaleuse. »  Il a encore assuré qu’il ne s’était pas exprimé au nom du Front national dans ses interviews controversées, « laissant ce soin aux collaborateurs socialo-gaullistes de la présidente » Marine Le Pen.

 

Sondage: Qui ferait mieux que Hollande : surtout Juppé, ensuite loin Valls et Sarkozy

Sondage:  Qui ferait mieux que Hollande : surtout Juppé, ensuite loin Valls et Sarkozy

 

Un curieux sondage CSA pour BFM sur « qui ferait mieux que Hollande » car en vérité la réponse est :  presque n’importe qui ! Mais c’est  Alain Juppé, candidat à la primaire à droite en vue de la présidentielle 2017, qui recueille 50% de réponses positives. Il est le seul à rassembler une majorité de Français derrière lui. De justesse, puisque 49% des sondés estiment qu’il ne ferait pas un meilleur Président que François Hollande. Le maire de Bordeaux arrive en tête grâce à une crédibilité ancrée dans toutes les familles politiques, explique BFMTV. Il est ainsi très favorablement jugé par les sympathisants de l’UMP (79%), Alain Juppé recueille également 44% d’avis favorables chez ceux du PS, tandis que 29% des sympathisants FN lui accordent du crédit. Lui succèdent l’actuel Premier ministre Manuel Valls (39%) et l’ancien président Nicolas Sarkozy (38%). Manuel Valls rassemble lui aussi au-delà de son propre camp, assure BFMTV : les sondés sont 53% des sympathisants PS et 45% des soutiens de l’UMP à estimer qu’il ferait, aujourd’hui, un meilleur Président que François Hollande. Nicolas Sarkozy surclasse lui toujours Alain Juppé auprès des sympathisants de l’UMP, qui sont 91% d’entre eux à penser qu’il ferait mieux que François Hollande (contre 79% pour Alain Juppé). Mais à l’opposé, les sympathisants PS lui opposent un « non » massif, 94% pensant qu’il ne ferait pas un meilleur président que François Hollande.  Au pied du podium, arrive Marine Le Pen, quatrième du classement, avec 32% de « oui ». Mais la présidente du Front national ne convainc que dans son camp : 98% des sympathisants FN pensent qu’elle ferait une meilleure Présidente que François Hollande, contre seulement 6% de ceux du PS, et un tiers de ceux de l’UMP (32%), précise BFM. Puis la maire de Lille, Martine Aubry (30%), et l’ancien ministre de l’Economie (19%).

 

Croissance Allemagne : pas loin de la dépression

Croissance Allemagne : pas loin de la dépression

L’Allemagne a flirté avec la récession. Seulement une croissance de 0,1% au troisième trimestre, selon les chiffres publiés ce matin par l’Office fédéral des statistiques (Destatis). En cas de décroissance, la première économique de la zone euro aurait été en récession technique puisqu’elle a connu un repli au deuxième trimestre. Entre avril et juin, le PIB de l’Allemagne a en effet reculé de 0,1%, selon les chiffres corrigés de Destatis (0,2% auparavant).La France,  elle  affiche 0.3%, mais une croissance assez relative puisqu’elle est due d’une  part à la révision en baisse du second trimestre et surtout à de dépenses des administrations publiques. En réalité les résultats économiques de la France et de l’Allemagne sont assez proches.  De fait, si la demande intérieure continue de soutenir la croissance allemande, les investissements des entreprises restent faibles. Eté la situation en France reste fragile. « Malgré la surprise positive du troisième trimestre et une France qui fait mieux que l’Allemagne, nous pensons que la France restera à la traîne du reste de la zone euro en 2015 et 2016, note Christian Schulz, économiste chez Berenberg. Le maque de réforme va continuer à peser sur la compétitivité et donc sur les exportations et l’investissement».

« Hollande: loin du discours du Bourget  » (Édouard Martin)

« Hollande  loin du discours du Bourget  » (Édouard Martin)

 

L’emblématique syndicaliste d’Arcelor Mittal Édouard Martin revient sur la politique du gouvernement depuis le deuxième remaniement de François Hollande. « Je porte beaucoup d’amitié à Arnaud Montebourg. J’ai beaucoup aimé son volontarisme politique », explique-t-il. « Même s’il n’a pas réussi sur tous les dossiers, il a voulu démontrer que c’est bien le politique qui doit mener à bien les orientations qui doivent être bonnes pour le pays et non pas la finance ou les multinationales », ajoute-t-il.   « Je me reconnais dans ce volontarisme-là », confie Édouard Martin. Mais le député européen a du mal à cacher sa déception concernant les promesses non-tenues de François Hollande. « Si vous voulez me faire dire que l’on est loin du discours du Bourget de François Hollande, je vais vous dire oui. Si vous me faire dire que nous sommes loin du discours du Président à Florange, je vais vous dire oui. On voit bien que malgré toutes les aides, le chômage ne cesse de croitre », estime-t-il.  L’État doit être moteur. Il ne doit pas attendre que le privé le fasse à sa place.  Concernant le discours de Manuel Valls au Medef, où ce dernier avait déclaré « j’aime l’entreprise », Édouard Martin trouve choquant les propos des patrons qui disaient que le Premier ministre était encore mieux que la droite.  »Je partage l’idée du Premier ministre. Il faut défendre les entreprises et les aider à retrouver leur rentabilité. Mais il faut aussi que l’Etat soit un peu moteur et prend sa part de responsabilité et ne pas attendre que le privé le fasse à sa place », ajoute Édouard Martin.    Cependant le député reproche à Manuel Valls d’oublier ses fondamentaux. « Il doit être plus attentif à l’aile gauche du PS », estime-t-il avant d’ajouter « il donne le sentiment qu’il n’écoute plus le parti socialiste », conclut-il. 

 

SNCF « dans le vert mais loin de ce qu’il faut pour apurer la dette (40 milliards !).

SNCF « dans le vert mais loin de ce qu’il faut pour  apurer la dette (40 milliards !).

La SNCF dans le vert, c’est bien en tout cas mieux que d’être dans le rouge comme en 2013 ; pour autant c’est bien loin d’être assez pour apurer  la dette du système ferroviaire comme prévu dans la réforme récemment votée. A la décharge (partielle) de la SNCF le cout de l a grève environ 170 millions. La SNCF « sera dans le vert » au premier semestre, a affirmé lundi son président, Guillaume Pepy, à trois jours de la publication des résultats semestriels de l’entreprise. « S’il n’y avait pas eu cette grève d’environ dix jours, on aurait fait notre budget, mais la grève a coûté 170 millions d’euros, cela représente l’équivalent de dix trains tout neufs par exemple pour l’Ile-de-France », a déclaré M. Pepy sur France 2, en référence au conflit du mois dernier autour de la réforme ferroviaire. M. Pepy a néanmoins précisé que la SNCF serait « dans le vert », ajoutant que « la bonne nouvelle aussi, c’est que la SNCF tient sa dette (…) Notre dette est plutôt en décroissance qu’en augmentation ».  Au premier trimestre, la SNCF a réalisé un chiffre d’affaires de 7,9 milliards d’euros, en hausse de 0,8%, porté notamment par la croissance de l’activité de location d’espaces en gare et l’international, et elle tablait sur une année 2014 « toujours sous contrainte ». La SNCF avait plongé dans le rouge en 2013, accusant au terme de l’année une perte nette de 180 millions d’euros, en raison d’une drastique révision en baisse de la valeur comptable de son parc de rames TGV. Le montant de cette dépréciation s’élève à 1,4 milliard d’euros. Le président de la SNCF a par ailleurs réaffirmé, lundi, la volonté de l’entreprise de faire des efforts tarifaires pour les TGV. « On fait des expériences de baisses des prix. Par exemple en Bretagne, on baisse les premiers prix de 15 à 20% pour voir si avec un TGV moins cher il y a plus de passagers. On commence, c’est plutôt encourageant », a-t-il déclaré. « D’ici 2017, d’ici trois quatre ans, il faut qu’il y ait un billet sur trois qui soit un billet à tout petit prix (…) Cette année, il y a un million de billets à petits prix en plus à la SNCF pour le TGV », a ajouté M. Pepy.

 

Sondage mairie Paris : NKM loin devant Dati , à égalité avec Fillon

Sondage mairie Paris  : NKM loin devant Dati , à égalité avec Fillon

La première adjointe du maire de Paris, candidate déclarée, gagnerait dans tous les cas de figure face au candidat UMP. Mieux, elle sortirait en tête du premier tour (avec 38 à 39% des suffrages) quel que soit le nom du challenger de droite. Qui est le mieux placé pour porter les couleurs de l’UMP l’an prochain à Paris? Poussé par ses amis parisiens depuis cinq ans, François Fillon recueillerait 28%. Un résultat en demi-teinte puisque dans une enquête similaire réalisée au début du mois de septembre dernier, il obtenait 33% des voix. Certains verront dans cette relative contre-performance un effet collatéral de la crise de l’UMP avant Noël. La surprise provient surtout de la percée de Nathalie Kosciusko-Morizet. Testée pour la première fois depuis que son nom circule chez les élus parisiens, l’ancienne ministre de l’Ecologie fait jeu égal avec François Fillon. Si Fillon semble peu tenté par une aventure municipale dans la capitale, NKM laisse ses amis pousser sa candidature tout en affirmant que sa priorité demeure la ville de Longjumeau, dans l’Essonne, qu’elle administre depuis 2008.En attendant les choix de François Fillon et Nathalie Kosciusko-Morizet, la candidature la plus crédible reste celle de Rachida Dati. La maire du VIIe arrondissement se prépare activement pour la primaire. Pour l’instant, elle peine à convaincre les Parisiens puisqu’elle obtiendrait  21% au premier tour si elle était tête de liste UMP. Testée aussi dans la primaire auprès d’un échantillon de sympathisants de droite (certes petit donc moins significatif), la députée européenne apparaît très en retard (8%) par rapport à Fillon (64%) et NKM (21%).

 

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