Archive pour le Tag 'logements'

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Hausse des ventes de logements neufs

Hausse des ventes de logements neufs

Les ventes de logements neufs en France ont progressé de 21,8% au deuxième trimestre par rapport à la même période de 2014, confirmant le rebond amorcé au quatrième trimestre de l’an dernier, selon les données publiées mardi par le ministère du Logement et de l’Egalité des territoires. La hausse a davantage concerné les logements collectifs (+23,4%) que les maisons individuelles (+6,0%). Un total de 26.533 logements neufs ont été réservés sur la période avril-juin contre 21.784 un an plus tôt. Ce niveau est supérieur à ceux du premier trimestre (24.423) et du quatrième trimestre 2014 (24.673). L’évolution sur douze mois est de +9,3%, à 95.071 logements. Dans le même temps, les mises en vente se sont établies à 24.557 unités sur le trimestre (-3,9% par rapport au deuxième trimestre 2014), un total inférieur à celui des réservations qui permet aux promoteurs de résorber l’encours des logements proposés à la vente (-8,8%, à 97.486 logements).

Immobilier-logements neufs : amélioration ?

Immobilier-logements neufs : amélioration ?

 

 

Il y aurait uen légère amélioration des perspectives d’après une enquête de l’INSEE auprès des promoteurs. Les perspectives de demande de logements neufs s’amélioreraient  en France mais le climat conjoncturel reste « très dégradé » dans l’artisanat du bâtiment, selon des enquêtes publiées lundi par l’Insee. Les promoteurs interrogés par l’institut pour son enquête trimestrielle dans la promotion immobilière sont beaucoup moins nombreux qu’en janvier à indiquer une baisse de la demande de logements neufs. Le solde d’opinion correspondant, qui avait atteint en octobre son plus bas niveau depuis que la série existe, « s’est redressé depuis lors mais reste encore très en dessous de sa moyenne de long terme », souligne l’Insee. De même, les perspectives de mises en chantier de logements pour les trois prochains mois sont moins dégradées qu’en 2014 et s’améliorent nettement pour les logements destinés à la vente. Les promoteurs sont en outre nettement plus nombreux qu’en janvier à signaler une baisse de leur stock de logements invendus, le solde d’opinion correspondant retrouvant sa moyenne de long terme. Dans l’artisanat du bâtiment, les professionnels restent tout aussi pessimistes qu’en janvier sur l’évolution de leur activité au cours des trois prochains mois, même si leur opinion sur les perspectives globales du secteur est un peu moins mauvaise. Et les artisans sont presque aussi nombreux qu’en janvier à déclarer une baisse des effectifs pour les trois prochains mois. L’Insee publie également son enquête trimestrielle de conjoncture dans les travaux publics qui fait apparaître qu’une proportion record de chefs d’entreprise du secteur signalent une baisse de leur activité passée.  À l’inverse, ils sont légèrement moins nombreux à prévoir une baisse de leur activité pour les trois prochains mois. Leur jugement sur les carnets de commande atteint son plus bas depuis 1984. Le solde d’opinion correspondant aux effectifs prévus se dégrade fortement dans les travaux publics et atteint son plus bas niveau depuis 1993.

Logements sociaux : système à revoir ( Pinel)

Logements sociaux : système à revoir ( Pinel)

 

On sait que les organismes de gestion des logements sociaux tentent  d’établir un subtil équilibre entre le demandeurs à faible revenus et ceux dont les revenus sont plus sûrs et plus réguliers  Cela pour ne pas détériorer leur trésorerie. Il y a en effet moins de risques  financiers à louer à des locataires aux revenus assurés qu’à des personnes plus défavorisés socialement. Du coup les logements sociaux notamment les Hlm ne sont pas tours affectés à ceux qui le mériteraient socialement. Sans parler des passe-droits découlant du clientélisme politique. Le système de l’attribution des logements sociaux doit être revu et un modèle existe: celui du dispositif mis en place à Rennes. C’est l’avis exprimé par la ministre du Logement Sylvia Pinel dans un entretien publié lundi 23 février dans le quotidien Ouest France. « Je proposerai au Premier ministre de s’inspirer (de la méthode appliquée à Rennes, ndlr) pour réformer l’attribution des logements sociaux », affirme la ministre. Sylvia Pinel détaille notamment  trois orientations en faveur d’une plus grande mixité sociale dans le logement. Tout d’abord, le dispositif mis en place à Rennes « fonctionne sur une centralisation des demandes, une stratégie commune des attributions partagée par tous les réservataires et un système de cotation pour déterminer les demandes prioritaires », rappelle la ministre. « C’est ce système là qu’il conviendrait de généraliser dans les territoires tendus » affirme-t-elle, soulignant que « les stratégies d’attribution doivent être mieux partagées et définies à une meilleure échelle, c’est-à-dire au niveau intercommunal ou métropolitain ». La ministre appelle également à la construction de « logements sociaux dans les communes récalcitrantes«  et veut voir les préfets se saisir « des outils qui sont à leur disposition, par exemple le recours aux préemptions ou la délivrance des permis de construire ». Enfin, elle propose d’« assouplir la politique des loyers sociaux dans le parc existant » qui devraient plutôt être fixés « en fonction des revenus du ménage que l’on souhaite accueillir lorsque le logement se libère ».

 

Immobilier : Moins de 300.000 nouveaux logements en 2014 !

Immobilier : Moins de 300.000 nouveaux logements en 2014 !

Hollande avait  promis la construction de 500 000 logements neufs par an, il y en aura à peine 300 000 en 2014. En cause la crise générale, l’attentisme et les coûts. Les coûts du foncier surtout en zones denses, le recul du pouvoir d’achat aussi l’instabilité du marché du travail. Surtout le manque de solvabilité de nombre de primo-accédant qui se trouvent de fait exclus de l’accession à la propriété. Si l’on se fie à la demande de permis de construire (en baisse de 12% en 2015, il ne faut pas s’attendre à un redressement significatif en 2015).  Seulement 297.532 logements ont été mis en chantier l’année passée, soit 10,3% de moins qu’en 2013, selon les chiffres publiés mardi par le ministère du Logement. Ce chiffre est nettement inférieur à la moyenne des dix dernières années (de l’ordre de 347.000 logements), et il faut remonter dix-sept ans en arrière pour retrouver un niveau aussi faible : en 1997, seulement 287.104 mises en chantier avaient été dénombrées. En 2013, 331.867 logements neufs avaient été mis en chantier en France, un chiffre déjà en repli de 4,2% sur un an, et bien en deçà de l’objectif gouvernemental, mais qui semble toujours plus inaccessible dans l’Hexagone, de lancer la construction d’un demi-million de logements par an. Le pic de ces dernières années a en fait été atteint en 2011, avec 378.561 logements mis en chantier. Depuis, les chiffres de la construction n’ont cessé de reculer: à cause de la crise économique, certes, mais aussi de la limitation du périmètre de certaines mesures d’aides fiscales jugées inflationnistes (loi Scellier, prêt à taux zéro…), ainsi qu’à un effet de rattrapage après une année faste. Par ailleurs, les coûts de revient trop élevés – dus notamment à la hausse du prix du foncier en zones tendues et à celle des coûts de la construction – empêchent les promoteurs de commercialiser des logements à des prix qui seraient en adéquation avec le pouvoir d’achat des ménages. Redoutant les risques d’invendus, ils préfèrent donc décaler le lancement de certains programmes. Enfin, il faut aussi dire que la tenue des élections municipales en mars dernier a eu pour conséquences néfastes de bloquer les mises en chantier au premier trimestre, et de remettre en cause certains programmes lors du second, car certaines municipalités ont changé de bord politique. Tout ceci a participé au retard de plusieurs opérations et a contribué aux faibles chiffres de mises en chantier lors de l’année écoulée. Plus précisément, par type de constructions, les mises en chantier de logements ordinaires en 2014 sont ressorties en baisse de 12,5% à 273.860 unités. Celles des logements en résidence (pour seniors, étudiants, de tourisme), ont bien mieux résisté : elles ont progressé de 26% à 23.672 unités. Ce secteur résiste à la conjoncture difficile du bâtiment grâce aux politiques de diversification des grands promoteurs qui souhaitent limiter leur exposition à la crise du logement. Malheureusement, la tendance ne devrait pas s’améliorer à court terme puisque le nombre de permis de construire accordés pour des logements neufs -indicateur des mises en chantier à venir- ne se redresse pas. En 2014, les permis de construire accordés baissent de 12% à 381.075 unités. Cette baisse concerne tant les logements ordinaires individuels (349.050 unités, -14%) que les logements collectifs (187.904 unités, -8,8%).

 

Immobiliers : construction de logements neufs au plus bas

Immobiliers : construction de logements neufs au plus bas

Mons de 300 000 logements construits cette année, c’est loin des 500 000 promis par Hollande et surtout, c’est le chiffre le plus bas depuis la guerre. En fait  le plan annoncé par Valls en août ne produit pas l’effet escompté.  Certes des mesures techniques ont été prises pour simplifier les procédures mais la question centrale est celle de la solvabilité. S’ajoute auusi le manque général de confiance. Manque de confiance des organismes de prêts qui ont resserré les conditions du crédit, manque de confiance des ménages auusi. Surtout la question de la solvabilité des candidats à l’accession. Compte tenu des conditions actuelles de financement (surtout de la durée des emprunts) les charges ne peuvent plus être supportées par nombre de candidats à l’accession surtout les primo accédants ; Il faut rappeler qu’en moyenne les organismes prêteurs exigent un revenu minimum de 4500 euro ! , Plus que jamais, les effets des mesures d’urgence se font attendre. État des lieux des principales mesures tardant à être mises en œuvre ou vidées de leur sens par le législateur. «On a perdu 3 à 9 mois pour la mise en œuvre de nouvelles normes techniques», explique-t-on à la FPI. Sur les 50 mesures de simplification promises pour fin 2014, la moitié ont été repoussées à courant 2015, voire même parfois au second semestre, constate la FPI. Ainsi, les 17 mesures allégeant les règles à l’accessibilité arrêtées mi-février en accord avec les associations représentatives (travaux rendant les logements adaptables aux handicapés), dont une ordonnance en octobre prévoyait les travaux modificatifs des acquéreurs à compter du 1er janvier 2015, sont désormais prévues pour juin 2015. Plusieurs mesures visent à simplifier les autorisations de construction et d’urbanisme de logements neufs afin de fluidifier le marché. Prévue pour décembre, la réduction des délais d’obtention de permis de construire sera votée au premier semestre 2015. En parallèle, la mesure réduisant les obligations de création de parkings dans les immeubles neufs situés en zones tendues et bien desservies par les transports en commun, prévue dans le projet de loi Simplification de la vie des entreprises, vient d’être vidée de son sens par le Sénat et limitée aux résidences pour étudiants et personnes âgées. Cette mesure sera-t-elle rétablie par les députés? Faute de visibilité, les mesures annoncées fin août pour inciter les particuliers à investir dans la pierre renforcent leur attentisme. Bien qu’entré en application le 1er septembre, le nouveau dispositif Pinel (version améliorée de l’ex dispositif Duflot) sera voté en fin d’année dans le cadre du projet de loi de Finances pour 2015. De nombreux particuliers ayant été séduits par le nouveau dispositif ont contacté les promoteurs. Mais, ils préfèrent attendre le vote définitif de la loi avant de s’engager. D’autant qu’il n’est pas exclu que les députés modifient légèrement le texte en deuxième lecture. Alors que le projet de loi prévoit que les investisseurs pourront louer leur bien à leurs ascendants (parents) et descendants (enfants) tout en conservant l’avantage fiscal, les parlementaires pourraient finalement réserver cette disposition à la seule location aux ascendants. Ceux qui loueraient leur bien à un enfant perdraient donc l’avantage fiscal. Par ailleurs, l’abattement exceptionnel de 100.000 euros pour les donations à ses enfants ou petits-enfants pour acheter un logement neuf, lui aussi prévu dans le projet de loi de Finances pour 2015, souffre selon la FPI d’une rédaction trop restrictive. «Il n’y a pas de donation en numéraire pour permettre l’achat d’un logement neuf. La mesure sera sûrement inefficace», juge la FPI.

 

Immobilier 250 000 logements neufs construits au lieu de 500 000

Immobilier 250 000 logements neufs construits au lieu de 500 000

Les mises en chantier ont reculé de 19,3% au deuxième trimestre, selon les chiffres du ministère du Logement publiés ce 29 juillet. Le nombre de permis de construire baisse également. Les mises en chantier de logements neufs en France ont poursuivi leur baisse d’avril à juin. Elles ont diminué de 19,3% sur un an, pour s’établir à 69.531, selon les statistiques du ministère du Logement publiées ce mardi 29 juillet. Sur les douze mois écoulés entre juillet 2013 et juin 2014, le nombre de logements neufs mis en chantier affiche un recul plus modéré de 10,7% à 305.654 unités. Celui-ci s’accélère toutefois au fil des semaines: il était de -8,5% un mois plus tôt, et de -6,5% à fin avril. Et la situation n’est pas prête de s’arranger. Le nombre de permis de construire accordés pour des logements neufs, qui renseigne sur les futures mises en chantier, affiche un recul de 12,5% sur la période, à 88.911. Mais il apparaît légèrement moins dégradé qu’un mois plus tôt (-16,1% à fin mai). Sur douze mois, la baisse des permis de construire est de 20,2% à 387.748 unités, équivalente à celle enregistrée un mois plus tôt (-20,7%). Le 25 juin, le gouvernement a annoncé une série de mesures visant à relancer la construction : prêt à taux zéro reprofilé, développement de l’investissement locatif, accélération des cessions de foncier public, simplification des normes. Certaines entreront en vigueur dès septembre, et de nouvelles mesures devraient être annoncées le mois suivant. Mais dans un secteur où l’inertie est grande, celles-ci ne produiront pas leur effet avant plusieurs mois, ce qui laisse augurer une année 2014 plus que morose. En 2013, 331.867 logements neufs avaient été mis en chantier en France, un chiffre en repli de 4,2% sur un an et très en-deçà de l’objectif gouvernemental – encore jamais atteint dans l’Hexagone – d’un demi-million de logements construits par an.

 

 

Immobilier-Hollande : baisse de la TVA pour les logements « intermédiaires »

Immobilier-Hollande : baisse de la TVA pour les logements « intermédiaires »

Hausse des impôts, baisse des impôts, la valse hésitations du gouvernement continue ; cette fois pour l’immobilier, une baisse de la TVA . Mais seulement pour les logements « intermédiaires », encore un concept flou d’une gauche riche en sémantique mais pauvre en réflexion économique. Alors que les constructions de logements peinent à décoller, le gouvernement s’active afin de trouver des solutions. L’une d’elles pourrait être une baisse de la TVA, préconisée notamment par Jean-Louis Borloo et les professionnels du bâtiment.   En visite à la manifestation « 24 heures du bâtiment », vendredi 14 juin, François Hollande a -en partie- accédé à leur demande.  Le chef de l’Etat a en effet annoncé une baisse de la TVA appliquée sur l’investissement institutionnel dans les logements intermédiaires. Son taux devrait ainsi passer de 19,6% à 10%, dans l’espoir de relancer la construction de ce type d’habitations.  Les logements intermédiaires sont destinés à couvrir le segment de marché entre les HLM et le parc privé, qualifié aujourd’hui de « chaînon manquant » de l’offre locative, pour répondre aux besoins des ménages. « Le logement intermédiaire n’est pas le plus rentable alors que c’est celui qui correspond à une vraie demande du marché », a expliqué le président de la République au Palais des sports à Paris, en présence de la ministre du Logement, Cécile Duflot. Cette mesure pourrait se traduire par la construction de 30.000 à 40.000 logements supplémentaires par an, a estimé Didier Ridoret, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), après le discours de François Hollande.

 

Réquisition logements vides : du pipeau ; 400 sur 90 000 en Ile de France

Réquisition logements vides : du pipeau ; 400 sur 90 000 en Ile de France

Sur les 90 000 logements vacants identifiés fin 2012 en Ile-de-France, seuls 412 font aujourd’hui l’objet d’une véritable procédure de réquisition. Et encore…En décembre 2012, la ministre du Logement, Cécile Duflot, annonçait une première série de réquisitions dans les régions en tension pour la fin de la trêve hivernale. Cinq mois plus tard, aucun des 90000 logements vacants appartenant à des personnes morales (associations, SCI…) en région parisienne n’a été saisi par l’Etat. Et les associations s’impatientent. Une marche symbolique en faveur de ces réquisitions, réunissant une centaine de militants et de familles mal logées, était organisée hier après-midi au départ de la place du Châtelet, à Paris, par Droit au logement (DAL). Objectif : repérer les immeubles inoccupés pour, éventuellement, les investir.

Duflot : transformation de bureaux en logements, ce n’est pas pour demain

Duflot : transformation de bureaux en logements, ce n’est pas pour demain

 

Cécile Duflot qui peine à trouver les logements vides annoncés de manière un peu irresponsable   va lancer, ce jeudi 2 mai, sa grande offensive pour lutter contre la pénurie de logements. La ministre du Logement va présenter en Conseil des ministres, sont projet de loi sur l’urbanisme qui donnera habilitation au ministère à légiférer par ordonnances sur plusieurs mesures. La principale d’entre elles: accorder davantage de dérogations pour transformer les bureaux vacants en logements. Ces bureaux vides seraient au nombre de 3,5 millions en Ile-de-France et 5 millions sur l’ensemble du territoire, un vrai parc exploitable, selon la Ministre du Logement. Ce n’est toutefois pas l’avis de Lionel Bastian, directeur général du cabinet de conseil en immobilier d’entreprise NAI France, interrogé par BFM Business. « Le diagnostic n’est pas bon. Sur  les 3,5 millions de mètres carrés libres en Ile-de-France, il y en a 3 millions qui seront reloués dans six mois. Cela correspond simplement au timing de relocation entre deux entreprises », a-t-il expliqué.  « Sur les 500.000 m² restants de nombreuses questions techniques se posent: les transports en commun desservent-ils bien ces endroits ? Techniquement, le bâtiment est-il transformable? », a-t-il poursuivi. Enfin, Lionel Bastian souligne « qu’il faudrait que les investisseurs aient confiance dans la pérennité de la parole publique, ce qui aujourd’hui n’est absolument pas avéré »

 

Après le « super Paris » des transports, celui des logements

Après le « super Paris » des transports, celui des logements

Le Grand Paris du Transport connait des ratés, celui du Logement pourrait voir plus rapidement le jour. En effet, Jean-Marc Ayrault devrait annoncer, mercredi 6 mars, la création d’une entité regroupant la capitale et les villes de la proche couronne. Elle serait destinée à encourager les maires à bâtir des logements, révèle Le Monde daté du 5 mars. Cette « Métropole de Paris » devrait être inscrite dans le prochain projet de loi sur la décentralisation et voir le jour en 2016.  Cette entité aura pour but de remédier au morcellement des communes de l’Ile-de-France qui nuit aux projets de constructions de logements. A peine 40.000 sortent de terre chaque année, alors que l’objectif fixé par la loi est de 70.000. De même, l’Ile-de-France manque de logements d’urgence destinés aux sans-abris.  Cette Métropole Paris, qui concentre près de 10 millions d’habitants, devrait ainsi mener à la création de structures intercommunales réunissant une population de 200.000 à 300.000 personnes. A sa tête, un Conseil, où siègera le maire de Paris, mais aussi les présidents de ces futures entités intercommunales. Il pourra ainsi mener des actions coordonnées, et sera notamment dotés d’outils de programmation. L’objectif est de lever les freins mis par certains maires à des projets d’aménagements. Selon le projet de loi, la future Métropole sera chargée d’établir un « schéma métropolitain de l’habitat et de l’hébergement« . Celui-ci comprendra « un plan climat énergie » pour améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments, « un plan de l’urgence sociale » et des objectifs de production et de répartition de logement. Reste la question essentielle du financement. La Métropole aura une dotation de fonctionnement et disposera d’un fonds d’investissement dont le montant sera défini dans le cadre des lois de finances. Les conseils généraux les plus riches, comme celui des Hauts-de-Seine par exemple, seront aussi appelés à faire preuve de solidarité en alimentant un fonds de solidarité pour les départements les moins riches, comme la Seine-Saint-Denis. Et ce à hauteur de 60 millions d’euros.

Construction de logements : baisse de 20%

Construction de logements : baisse de 20%

 

 

Le nombre des mises en chantier de logements neufs en France a chuté de 19,6% en 2012 par rapport à l’année précédente, selon des statistiques du ministère du Logement publiées mardi. Le nombre des permis de construire accordés sur la même période pour des logements neufs a pour sa part reculé de 7,7% à 429.851 unités.

 

 

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Etats-Unis: Baisse des ventes de logements

Etats-Unis: Baisse des ventes de logements

 

Les surprises s’accumulent aux Etats-Unis ces dernières semaines. Cette fois, ce sont les promesses de vente de logements qui ont chuté  en décembre après trois mois de hausse, selon des chiffres publiés lundi par l’Association nationale des agents immobiliers américaine (NAR). Elles ont dégringolé de 4,3% par rapport au mois précédent, en données corrigées des variations saisonnières et en rythme annualisé, a indiqué l’Association dans un communiqué, alors que la prévision médiane des analystes prévoyait une stagnation de cet indicateur.

 

 

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Espagne : le prix des logements a baissé de 33%

Espagne : le prix des logements a baissé de 33%

 

Les prix des logements neufs en Espagne ont subi en 2012 leur cinquième année consécutive de baisse pour retomber à leurs plus bas niveaux depuis le début 2003, selon les résultats d’une enquête publiée mercredi par Sociedad de Tasacion, une association spécialisée dans l’immobilier. Le prix d’un logement neuf est aujourd’hui en moyenne inférieur de 33,5% au niveau atteint au plus fort de la bulle immobilière, qui a éclaté en 2007. Et la baisse devrait se poursuivre en 2013, la faiblesse de la demande ne permettant pas d’absorber l’énorme stock de logements neufs à vendre, prévoit l’association. En 2012, les prix ont baissé de 6,9% par rapport à l’année précédente et l’enquête précise que les régions de Navarre et de la Rioja ont été les plus durement touchées. « Cependant, il est possible que la baisse des prix, qui devrait se poursuivre, rende les biens immobiliers plus attractifs pour les investisseurs internationaux, ce qui pourrait permettre d’absorber le stock disponible », estime l’étude. L’éclatement de la bulle immobilière en Espagne a eu de très lourdes conséquences pour les banques, dont certaines ont dû être nationalisées et contraintes d’accepter une aide européenne. De nombreuses banques sont actuellement en train de transférer leurs créances immobilières douteuses de leur bilan vers la Sareb, la « bad bank » créée par le gouvernement de Madrid. Fin décembre, elle avait reçu pour 37 milliards d’euros d’actifs toxiques de quatre banques nationalisées.

 

Construction logements : la crise s’amplifie, -24%

Construction logements : la crise s’amplifie, -24%

Les mises en chantier de logements neufs ont plongé en France de 23,8% à 79.242 logements lors des trois mois compris entre septembre et novembre, par rapport à la même période de 2011, et 110.818 constructions neuves ont été autorisées (-11,8%), a annoncé mercredi le ministère du Logement.  Le plongeon des mises en chantier s’est encore accentué en fin d’année, puisque sur l’ensemble des douze mois achevés en novembre, le recul était limité à 13,1%.  De septembre à novembre, le recul des mises en chantier a été plus marqué pour les logements collectifs (-28,7%) que pour les logements individuels (-11,5% pour l’individuel « pur » et -19,6% pour le logement « groupé », c’est à dire les programmes de construction de plusieurs maisons individuelles).  Les chiffres de la fin 2012 souffrent toutefois d’un effet de comparaison défavorable, car la fin d’année 2011 avait été stimulée par l’expiration de certaines incitations fiscales à construire, qui avait amené particuliers et promoteurs à anticiper leurs mises en chantier.  Le marché « est en recul depuis le printemps à la fois à cause de la crise économique en cours et parce que les dispositifs publics de soutien à la demande ne sont plus aussi puissants que par le passé », résume Michel Mouillart, professeur d’économie à l’université Paris-Ouest et spécialiste du secteur.   »Il n’y a aucune raison que décembre nous surprenne et l’année 2012 sera une année médiocre », a-t-il ajouté, estimant que 300.000 logements environ auront été mis en chantier cette année, un plus bas depuis 2009.  Etant donné la chute des délivrances de permis de construire, le recul des mises en chantier « va continuer en 2013″, a-t-il jugé. Il estime que 20.000 logements de moins seront construits en 2013 par rapport à 2012, « ce qui va renforcer les déséquilibres du marché immobilier », selon lui.   »Les mouvements de pression sur les prix vont se renforcer à peu près partout et les difficultés d’accès au logement vont se renforcer fortement », a-t-il ajouté.

 

 

Duflot pour la réquisition des logements vacants

Duflot pour la réquisition des logements vacants

Cécile Duflot a lancé a avancé  le chiffre de  1,7 million d’habitants de notre pays qui attendent un logement social. En réalité  Il ne s’agit donc pas de 1,7 million de personnes en attente d’un logement, mais de 1,7 million de dossiers en attente d’un traitement. Un chiffre qui regroupe une forte diversité de situations, de la personne seule à la famille nombreuse, en passant par le parent divorcé avec des enfants. En tout, ce sont en fait près de 4,2 millions de personnes qui attendent un HLM.  Pour être éligible à un logement social, un couple sans enfant doit gagner moins de 2715 euros par mois à Paris, moins de 2.109 euros en province ; un couple avec deux enfants doit gagner moins de 4.250 euros mensuels dans la capitale, moins de 3.062 dans le reste de la France. Cela représente mine de rien près des deux tiers des Français (63% en 2010). Avant la décision de Christine Boutin, près de 80% de la population française était légitime pour demander un logement social. Selon l’Union sociale pour l’habitat, près de 17% des Français sont locataires d’un organisme de logement social. Cela représente environ 10 millions de personnes. Près de 4% des ménages logés en HLM gagnent en fait trop d’argent pour y habiter. Le plus souvent, des personnes dont les revenus ont suffisamment augmenté pour dépasser les fameux plafonds. Pour cela, la loi a prévu le supplément de loyer de solidarité, quand le plafond de ressources est dépassé de plus de 20%. Mais même en y ajoutant cette somme, le loyer des bénéficiaires reste largement inférieur à ceux dont s’acquittent les locataires de résidences privées. « S’il est nécessaire, je ferai appel à l’ensemble des moyens disponibles, la réquisition fait partie de cette panoplie. Elle a déjà existé, elle a été mise en œuvre notamment lorsque Jacques Chirac était président de la République parce que la crise était particulièrement difficile, chacun s’en souvient », a-t-elle déclaré. « Elle peut faire partie des dispositions à mettre en œuvre », a insisté la ministre «.  La « . La réquisition de logements vacants est prévue dans une ordonnance du 11 octobre 1945 promulguée pour lutter contre la crise du logement. Elle a été abondamment employée jusque dans les années 60, au cours desquelles plus de 100.000 arrêtés de réquisitions ont été pris, peut-on lire sur le site de l’association Droit au Logement (Dal). Mais la dernière vague de réquisitions date de 1995-96, après l’occupation emblématique d’un immeuble rue du Dragon, dans le centre de Paris. Le gouvernement avait réquisitionné environ 1.000 logements dans la capitale, appartenant à des banques et des compagnies d’assurance, toujours selon le Dal.

 

 

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