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Epargne-Livret A : les épargnants encore punis ….par les banques

Livret A : les épargnants encore punis ..par les banques ?

Au deuxième trimestre, les grandes banques françaises ont toutes publié des résultats record , faisant presque oublier la crise sanitaire qui avait plombé leurs comptes il y a tout juste un an. Une fois n’est pas coutume, les métiers de banque de détail, pourtant mal en point depuis plusieurs années, ont largement participé à ce rebond.

Selon le décompte fait par DBRS Morningstar, les revenus agrégés en banque de détail de BNP Paribas, Crédit Agricole, BPCE et Société Générale ont grimpé de 9,8 % par rapport à la même période l’an dernier. Tous métiers confondus, le produit net bancaire des quatre groupes a augmenté de 11,3 %, à 33,7 milliards d’euros, et les bénéfices ont plus que triplé. La tendance est similaire chez Crédit Mutuel et La Banque Postale .

 

Alors que l’inflation reprend , les épargnants du livret, eux  à seront encore punis puisque les Pouvoirs publics n’envisagent pas de relèvement de la rémunération du livret au 1er août. Conclusion il y aura une perte nette pouvoir d’achat des épargnants puisque officiellement l’inflation sur un an constatée en juin a atteint 1,5 % alors que le taux de rémunération est toujours limité à 0,5 %.

 En fait,  les pouvoirs publics ont écouté les revendications des banques et de la Banque de France qui conseillent depuis longtemps de bloquer la rémunération voire même de la diminuer. Il n’est donc pas étonnant que nombre de petits épargnants préfère laisser leurs économies sur les comptes courants. « Depuis le début de la crise sanitaire (mars 2020), la collecte du Livret A a atteint 37,75 milliards d’euros faisant de ce produit le principal réceptacle de l’épargne Covid juste derrière les dépôts à vue (50 milliards d’euros) », observe Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’épargne.

Notons cependant que la mesure de l’inflation est devenue largement obsolète avec la crise sanitaire qui a modifié la structure de consommation des ménages. Le coût de certaines dépenses et notoirement sont  sous-évaluées voire ignorées comme celle du logement.

Livret A : les épargnants encore punis ?

Livret A : les épargnants encore punis ?

 

Alors que l’inflation reprend , les épargnants du livret à seront encore punis puisque les Pouvoirs publics n’envisagent pas de relèvement de la rémunération du livret au 1er août. Conclusion il y aura une perte nette pouvoir d’achat des épargnants puisque officiellement l’inflation sur un an constatée en juin a atteint 1,5 % alors que le taux de rémunération est toujours limité à 0,5 %.

 En fait,  les pouvoirs publics ont écouté les revendications des banques et de la Banque de France qui conseillent depuis longtemps de bloquer la rémunération voire même de la diminuer. Il n’est donc pas étonnant que nombre de petits épargnants préfère laisser leurs économies sur les comptes courants. « Depuis le début de la crise sanitaire (mars 2020), la collecte du Livret A a atteint 37,75 milliards d’euros faisant de ce produit le principal réceptacle de l’épargne Covid juste derrière les dépôts à vue (50 milliards d’euros) », observe Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’épargne.

Notons cependant que la mesure de l’inflation est devenue largement obsolète avec la crise sanitaire qui a modifié la structure de consommation des ménages. Le coût de certaines dépenses et notoirement sont  sous-évaluées voire ignorées comme celle du logement.

Livret A : toujours en hausse en mars

  • Livret A : toujours en hausse en mars
  • Conséquence du dégât des mesures restrictives suite à la crise sanitaire mais aussi des doutes sur l’ampleur de la crise économique et sociale qui vivra, les épargnants qui ne peuvent continue d’alimenter leurs comptes d’épargne.
  • Sur le premier trimestre, ce sont 14,63 milliards d’euros qui ont été placés sur le livret A et le LDDS, deux produits comptant parmi les plus populaires dans l’Hexagone. 
  • Inquiets devant l’incertitude engendrée par l’épidémie, les ménages ont continué d’épargner en mars. Selon les dernières estimations de la Caisse des dépôts, 2,8 milliards d’euros supplémentaires ont été déposés sur ce produit le mois dernier, quand la collecte nette du livret d’épargne durable et solidaire (LDDS) s’est élevée à 870 millions d’euros.
  • Sur le premier trimestre, ce sont donc, au total, 14,63 milliards d’euros qui ont été placés sur ces deux produits comptant parmi les plus populaires dans l’Hexagone, contre 9,9 milliards d’euros sur la même période en 2020. «L’encours total sur les deux produits atteint 462,9 milliards d’euros à fin mars 2021», précise la caisse des dépôts dans un communiqué.

Livret A : encore un record qui manifeste l’attentisme des Français

Livret A : encore un record qui manifeste l’attentisme des Français

 

Encore un record en février avec près de 3 milliards de collecte. Au total,  les montants sur les différents livrets d’épargne représentent près de 500 milliards soit une hausse de 10 % sur un an. Pourtant ces livrets  ne rapportent  pratiquement rien puisque la rémunération est seulement de 0,5 % par an soit très en-dessous de l’inflation réelle.

 

Notons par parenthèse que l’indicateur de mesure des prix à la consommation de l’INSEE est devenu complètement obsolète compte tenu de la modification de la structure de consommation. L’inflation réelle et plus proche des 2 à 3 % au liue de 1 % constaté sur un an. De toute manière, l’épargne placée sur les livrets traditionnels ne rapporte pas. En tout cas guère plus que l’épargne llaissée  sur les comptes courants bancaires qui représentent eux aussi autour de 500 milliards. La preuve que la  troisième vague sanitaire va porter un sérieux au moral et à l’économie.

Le précédent record de collecte pour le deuxième mois de l’année correspondait à 2,4 milliards récoltés en février 2009, année durant laquelle la commercialisation du Livret A avait été ouverte à l’ensemble des établissements bancaires. Avant 2009, seules La Banque Postale et le réseau des Caisses d’épargnes distribuaient ce produit.

L’an passé, le Livret A avait par ailleurs connu une collecte nette de près de 1,2 milliard d’euros. Ce livret affiche ainsi une collecte nette cumulée de plus de neuf milliards d’euros déjà sur les deux premiers mois de l’année, contre environ cinq milliards sur la même période en 2020.

Considéré comme un placement refuge, le Livret A, qui garantit pourtant un taux d’intérêt historiquement faible de 0,5% par an, a connu en 2020 un succès historique, avec une collecte près de deux fois supérieure à la normale, à plus de 26 milliards d’euros, dans le contexte d’incertitudes économiques et sanitaires liées au Covid-19.

De son côté, le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) a également connu un mois de février dynamique, avec 910 millions d’euros collectés, soit presque trois fois plus que lors du même mois en 2020. Le Livret A finance essentiellement le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l’économie sociale et solidaire ainsi qu’aux économies d’énergie dans les logements.

Ainsi, la collecte enregistrée par le Livret A et le LDDS réunis s’est montée en février à presque 3,8 milliards d’euros, là aussi un niveau record pour ce mois. Et sur la période janvier-février, cette collecte se monte à près de 11 milliards. À fin janvier, près de 460 milliards d’euros étaient placés au total sur les deux, soit une hausse d’environ 10% sur un an.

Livret A : collecte toujours très élevée en juillet en prévision de la crise économique

Livret A : collecte toujours très élevée en juillet en prévision de la crise économique

La collecte de l’épargne s’est ralentie en juillet mais demeure cependant particulièrement élevée. Au total sur les livrets d’épargne le placement atteindrait globalement environ 450 milliards. Par ailleurs à peu près la même somme reste sur les comptes courants du fait  que l’épargne de toute façon ne rapporte pratiquement rien. La preuve de l’attentisme des ménages toujours très inquiets sur la situation sanitaire et autant sur les conséquences sociaux économiques notamment concernant l’emploi et le pouvoir d’achat.

Le mois dernier, les livrets A ont observé une collecte nette – le niveau auquel les dépôts dépassent les retraits – de 1,85 milliard d’euros, selon la Caisse des dépôts, l’institution publique qui gère ce placement, le plus populaire en France avec l’assurance vie. C’est un niveau élevé pour le mois de juillet. Par le passé, il n’a été dépassé qu’à deux reprises, en 2011 et 2012, à chaque fois à plus de deux milliards d’euros.

Mais c’est un net ralentissement par rapport au mois de juin, alors que celui-ci, à quelque trois milliards d’euros, enregistrait déjà une décélération par rapport au printemps, marqué par le strict confinement imposé face à la crise sanitaire du coronavirus. Considéré comme un placement refuge, le Livret A, qui garantit un taux d’intérêt de 0,5% par an, a connu un succès historique dans le contexte d’incertitudes économiques et sanitaires, contrastant avec une forte décollecte sur les contrats d’assurance vie. Au total, depuis le début de l’année et à fin juillet, les dépôts sur les Livrets A dépassent les retraits à hauteur de 22,25 milliards d’euros, un niveau qui n’a été dépassé à cette période qu’en 2012.

Les tendances sont les mêmes si l’on prend aussi en compte le Livret de développement durable et solidaire (LDDS), un autre placement géré par la Caisse des dépôts, aux côtés du Livret A. À eux deux, ils observent une collecte nette de 2,49 milliards d’euros en juillet, et de 28,61 milliards depuis le début de l’année. Le Livret A finance essentiellement le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l’économie sociale et solidaire ainsi qu’aux économies d’énergie dans les logements. À fin juillet, 439,5 milliards d’euros étaient placés au total sur les deux.

L’inquiétude fait monter en hausse le livret A

L’inquiétude fait monter en hausse le livret A

 

L’épargne sur les livrets A  augmenté de l’ordre de 50 % en mars. Ce que critique le ministre de l’économie Bruno Lemaire qui considère que l’économie n’a pas besoin d’épargne aujourd’hui. Aujourd’hui peut-être, mais demain sans doute. Il est clair que nombre de Français ont modifié la structure de la consommation en la concentrant sur tous les biens essentiels et en différents notamment nombre de dépenses d’équipement. Pour l’avenir,  il est possible que le comportement des Français soit encore influencé par les nombreuses incertitudes pas tellement sur la crise sanitaire mais surtout sur la crise économique qui va suivre. Ils savent bien entendu que le pays va enregistrer une énorme vague de défaillances et que globalement du fait de la montée du chômage le pouvoir d’achat moyen des Français va diminuer.

«Les encours bruts ont doublé entre mars et février 2020» : après avoir déposé 1,54 milliard d’euros sur les livrets A et de développement durable et solidaire (LDDS) en février, les Français ont remis de côté «3,8 milliards d’euros» en mars sur ces produits. Une hausse importante, de l’ordre de «50%» par rapport aux 2,52 milliards d’euros collectés le même mois, un an plus tôt indique Bercy.

Malgré la baisse du taux du livret A, ce produit a toujours les faveurs des épargnants. L’année 2019 avait été un excellent cru pour ces produits : en douze mois, la collecte nette – autrement dit, les dépôts soustraits des retraits – a progressé de 16,55 milliards d’euros, contre 12,69 milliards d’euros l’année précédente. Sur les trois premiers mois 2020, la collecte a été légèrement plus importante qu’en 2019, avec un peu moins de 10 milliards déposés contre 9,65 milliards un an plus tôt.

Cette épargne accrue inquiète le ministre de l’Économie, alors que la consommation des ménages reste l’un des boucliers de la croissance française. Bruno Le Maire a ainsi souligné un «risque de voir le taux d’épargne augmenter face aux incertitudes, au détriment du financement de notre économie». La frilosité des Français ainsi que l’arrêt d’un bon tiers de l’économie explique aisément cette chute. «L’épargne de précaution qui est en train d’être construite aujourd’hui [...] ne va pas se débloquer du jour au lendemain. Il est probable que les consommateurs auront des comportements attentistes et qu’il faudra donc inciter la demande», a mis en garde Bruno Lemaire. Pas sûr cependant que les consommateurs le suive  sur ce terrain car tout dépendra en faite de l’importance de la vague de défaillances d’entreprise et du chômage qui l’ accompagne.

Baisse taux du Livret A: nouvelle lamentable attaque contre les petits épargnants

Baisse  taux du Livret A: nouvelle lamentable attaque contre les petits épargnants

 

 

La baisse du niveau déjà lamentable de la rémunération du livret à témoigne à l’évidence que le pouvoir est un zélé serviteur des intérêts financiers. Notons que cette baisse fait passer la rémunération de 0, 75 % à 0,50 % et  intervient au moment où l’inflation remonte et passe à 1,5 % en 2019. Bref, une perte assurée de 1 % sur l’épargne des petits porteurs de livrets. On ne fera croire à personne que les plus aisés  utilisent le livret A pour sécuriser leur épargne. Ce sont les petites et moyennes catégories qui utilisent ce type d’épargne . Cette baisse aura des les effets sur toute l’épargne et pas seulement sur le livret A. Sa justification par l’aide au développement du logement social est une escroquerie .( 100 à 200 millions d’économies d’ailleurs très théoriques compte  tenu des taux d’emprunt nul). En fait , il s’agit d’une tentative supplémentaire de mettre la main sur cet extraordinaire épargne qui représente près de 300 milliards d’euros pour 55 millions de livrets. son succès ne se dément pas, avec une collecte nette de 13,63 milliards d’euros entre janvier et octobre 2019, selon les dernières données de la Caisse des dépôts. Au total, l’encours du Livret A s’élève à 297,4 milliards d’euros, c’est 6% de plus qu’il y a un an à la même époque. Si l’on ajoute le Livret de développement durable et solidaire (LDDS), les encours gonflent à 408,2 milliards d’euros (+5,7% sur un an).

Le taux du Livret A sera abaissé de 0,75% au plancher de 0,50% en février, annonce le ministre de l’Economie Bruno Le Maire dans un entretien publié mercredi soir sur le site du Parisien. Le gouvernement suit ainsi à la lettre la recommandation de la Banque de France qui se base sur une formule tenant compte du niveau des taux d’intérêt et de l’inflation et dont le plancher a été fixé à 0,50%.

Alors que le taux de rémunération du Livret A – destiné notamment au financement du logement social – est gelé depuis août 2015 à 0,75%, le ministre de l’Economie estime qu’il aurait été “irresponsable et incohérent” de le maintenir plus longtemps à ce niveau. “Incohérent par rapport à notre politique de diversification des placements. Et irresponsable pour les milliers de Français qui attendent un logement social”, souligne Bruno Le Maire. “Ce nouveau taux permettra en effet de construire 17.000 logements sociaux supplémentaires et d’en rénover 52.000 chaque année”, souligne-t-il. Une escroquerie, car les organismes sociaux type HLM ne manque guère de trésorerie.  La rémunération du Livret d’épargne populaire (LEP) passera quand à elle de 1,25% actuellement à 1%, précise le ministre.

Livret A : une chute qui témoigne des incertitudes

Livret A : une chute qui témoigne des incertitudes

 

A nouveau la collecte du livret A diminue. La conséquence directe des les incertitudes économiques et sociales. Les ménages préfèrent pour l’instant laisser leurs économies sur les comptes courants d’autant que la rémunération du livret A est négative par rapport à l’inflation. C’est sans doute aussi la preuve que des sanctions fortes pèsent sur le pouvoir d’achat content tenu des hausses de fiscalité et de l’augmentation des prix des services. Le mois d’octobre a donc de nouveau été marqué par un mouvement de décollecte massif sur le Livret A. Selon les chiffres publiés ce mercredi par la Caisse des dépôts et consignations (CDC), les retraits ont dépassé les dépôts de 2,06 milliards d’euros en octobre pour le seul Livret A contre 0,41 milliard d’euros en septembre. Il s’agit de la plus mauvaise performance cumulée depuis trois ans. « Il faut remonter au mois d’octobre 2015 pour avoir une décollecte aussi forte. [...] La tendance actuelle devrait se poursuivre jusqu’à la fin 2018 », a commenté Philippe Crevel, directeur du think thank dédié à l’épargne, la retraite et la prévoyance, le Cercle de l’Epargne, cité dans un communiqué. Selon Philippe Crevel, « le paiement des impôts locaux et les dépenses de rentrées scolaires », auraient pesé sur le budget des ménages. « Le rendement réel négatif du Livret A [retraité de l'inflation] a peut-être commencé à dissuader les épargnants d’y placer une partie de leurs disponibilités financières », a-t-il ajouté.

Livret A en baisse pourquoi ?

Livret A en baisse pourquoi ?

 

Baisse du livret A en septembre. En cause les dépenses de rentrées scolaires mais aussi fiscales ; Il faut y ajouter l’inquiétante hausse du carburant. Les retraits d’argent sur les livrets A ont été supérieurs aux dépôts au mois de septembre à hauteur de 410 millions d’euros, selon des données publiées mardi par la Caisse des dépôts. A noter aussi l’influence de la très faible rémunération (0.75%) très en dessous de l’inflation (2.3% e tendance annuelle).

La tendance à la décollecte se confirme aussi avec le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) qui enregistre des retraits supérieurs aux dépôts pour un montant de 410 millions d’euros. La collecte cumulée du LDDS, héritier du LDD étendu l’an dernier au financement de l’économie sociale et solidaire, s’est élevée à 1,80 milliard d’euros contre 1,94 milliard l’an dernier sur ce même mois.

Au total, l’encours des placements réalisés sur les deux produits tous guichets confondus atteignait 388,7 milliards d’euros à fin septembre contre 374,9 milliards d’euros l’an dernier.

Livret A : hausse enfin !

Livret A : hausse enfin !

Une petite hausse du livret A  -pas des taux de la collecte- (la seconde) après la dégringolade de ces derniers mois. Le signe peut-être d’une petite amélioration de la situation économique à condition que grèves et blocages ne détruisent pas ce petit regain d’optimisme. Les dépôts d’argent sur le Livret A sont restés supérieurs aux retraits en avril, à hauteur de 260 millions d’euros. C’est le deuxième mois de suite que ce placement affiche une collecte nette positive, alors que les retraits avaient dépassé les dépôts en janvier et février, affirme la Caisse des dépôts. Le Livret de développement durable (LDD), exempt de fiscalité comme le Livret A, enregistre également une collecte nette positive de 100 millions d’euros à la fin avril. Cette collecte positive sur ces deux produits d’épargne, d’un montant total de 360 millions d’euros en avril, réduit ainsi sensiblement la décollecte cumulée enregistrée depuis le début de l’année, par rapport aux quatre premiers mois de 2015. De janvier à avril, la décollecte cumulée des deux livrets est ainsi ressortie à 980 millions d’euros, contre 2 milliards d’euros l’an dernier sur la même période. En comparaison, l’assurance vie continue d’attirer plus fortement les épargnants, la collecte nette sur le premier trimestre ayant atteint 7,8 milliards d’euros.

Le Livret A : nouveau recul

Le Livret A : nouveau recul

La décollecte continue. En cause la faible rémunération et surtout la situation économique et sociale car contrairement à ce qui est affirmée l’inflation est loin d’être nulle sur les dépenses contraintes. Du coup en francs constant le pouvoir d’achat est amputé (exemple les impôts locaux non pris en compte dans l’indice des prix de l’INSEE). et les Français réduisent leur épargne (pour ceux qui en font !).  Les épargnants retirent donc plus d’argent de leur Livret A qu’ils n’en déposent. Une tendance constante depuis six mois, encore confirmée en septembre. D’après les chiffres de la Caisse des dépôts et consignations, la décollecte est a atteint le mois dernier 2,38 milliards d’euros. Au total, 256,8 milliards d’euros étaient déposés sur ce produit d’épargne à la fin du mois de septembre. En général les mois de septembre, d’octobre et de novembre ne sont pas propices aux dépôts. Avec la rentrée, les épargnants ne placent pas beaucoup d’argent sur leur Livret A. De plus, le taux d’intérêt de cette épargne est de moins en moins attractif : il est fixé à 0,75% depuis le premier août dernier. Le Livret de développement durable (LDD) connaît aussi un certain désamour.  Pour autant, cette décollecte est inférieure à celle connue sur l’ensemble de l’année 2014. La CDC affiche 6,21 milliards d’euros de décollecte, contre 6,13 milliards l’an passé.

Nouvelle baisse du livret A

Nouvelle baisse du livret A

 

Les résultats de la collecte du livret à ont encore été dans le rouge au mois de juillet. En cause la rémunération insignifiante de cette épargne. Une rémunération qui a encore diminué à partir du 1er août. La rémunération à zéro 75 % ne semble pas convaincre   les épargnants qui doutent que l’inflation se limite 0.2% cent comme l’indique l’indice officiel de l’INSEE. Du coup les Français ont tendance à laisser leur épargne sur les comptes courants. Une sorte d’épargne de précaution qui ne rapporte rien mais destiné à faire face aux aléas d’une conjoncture bien incertaine. En effet dans le même temps la consommation ne reprend pas non plus de façon très significative ; les résultats du second semestre et les indicateurs de prévision de Markit pour le mois d’août en témoignent. D’une manière générale ces l’attentisme qui caractérise l’attitude des Français. D’autant plus que les marchés boursiers enregistrent eux aussi de fortes inquiétudes.-Le Livret A a connu un nouveau mois de décollecte en juillet, le quatrième consécutif, les retraits ayant été supérieurs de 970 millions d’euros aux dépôts, selon des données publiées vendredi 21 août par la Caisse des dépôts. Le taux de rémunération de ce produit d’épargne a baissé depuis le 1er août à 0,75 %, contre 1 % auparavant, plus bas niveau historique qui s’explique par la faiblesse actuelle de l’inflation.  Sur les six premiers mois de l’année, le Livret A affiche une décollecte nette de 3,41 milliards d’euros, qui s’est particulièrement amplifiée en juillet. Hormis l’embellie passagère du mois de mars 2015, où les dépôts sur le Livret A ont dépassé les retraits à hauteur de 110 millions d’euros, le produit d’épargne présente des résultats dans le rouge depuis avril 2014. Plus de 6 milliards d’euros ont été retirés l’an dernier.

Epargne Livret A : nouvelle baisse des dépôts

Epargne Livret A : nouvelle baisse des dépôts

 

Le livret A s’écroule depuis plusieurs mois ; En cause d’abord la crise qui réduit l’épargne, ensuite d’un taux qui ne rapporte pratiquement rien : 1% pour une inflation officielle de 0.3% mais qui dans la réalité est bien supérieure. Enfin les nombreuses dépenses contraintes à régler en octobre (rentrée scolaire, impôts, énergie etc. °).  Les Français ont moins épargné que dépensé pour le sixième mois consécutif. En octobre, la différence entre les retraits et les dépôts sur le livret A s’est élevé à – 2,93 milliards d’euros, selon des données publiées vendredi par la Caisse des dépôts. Sur les dix premiers mois de l’année, c’est 4,59 milliards d’euros qui ont été retirés sur ce produit d’épargne parmi les préférés des Français. Cela fait plusieurs mois qu’il est à la peine, à cause notamment d’un taux de rémunération historiquement bas, à 1% depuis le 1er août en raison de la faiblesse de l’inflation. En septembre, déjà, le montant des retraits avait surpassé celui des dépôts de 2,37 milliards d’euros. Les mois de septembre, octobre et novembre sont traditionnellement souvent difficiles pour ce livret, les épargnants sollicitant leurs économies pour faire face aux dépenses de rentrée scolaire et au paiement des impôts. L’an dernier à la même période, le livret A enregistrait également une collecte négative de -1,44 milliard d’euros.  Le Livret de développement durable, dont le taux est également fixé à 1%, n’a pas échappé à la désaffection des épargnants en octobre et les retraits ont été supérieurs aux dépôts, à hauteur de 880 millions d’euros. Sa collecte depuis le début de l’année passe dans le rouge ce mois-ci, à -10 millions d’euros. La Caisse a toutefois nuancé la décollecte de ces produits d’épargne en précisant dans son communiqué que « les encours du Livret A et du LDD ont connu ces dernières années une augmentation exceptionnelle, avec une collecte cumulée en 2012 et 2013 de 67 milliards d’euros, notamment liée au relèvement des plafonds. » L’institution précise que les 4,6 milliards de décollecte enregistrés cette année ne représentent que 7% des sommes engrangées ces deux dernières années. Au total, 362,6 milliards d’euros étaient déposés fin octobre sur les deux produits de placement dont les encours permettent notamment de financer le logement social en France. 

 

Epargne : Livret A, ça baisse encore

Epargne : Livret A, ça baisse encore

La collecte du livret A plonge encore, deux raisons à cela d’abord évidemment la crise qui contraint les ménages à puiser dais le bas de laine. Ensuite la perte d’attractivité du livret A qui ne rapporte plus rien (à peine l’inflation réelle). Le gouvernement et le Gouverneur de la banque de France  ont fait une grave erreur en diminuant encore le taux de rémunération ;  la baisse de la collecte va peser sur l’économie (les fonds servent notamment au financement des collectivités locales lesquelles vont réduire leur train de vie). Pour le deuxième mois consécutif, la collecte du Livret A est négative, selon les chiffres de la Caisse des Dépôts publiés ce mardi 22 juillet. Les retraits ont été supérieurs aux dépôts en juin, à hauteur de 130 millions d’euros. Le Livret A ne séduit plus. En juin, les retraits ont été supérieurs aux dépôts, à hauteur de 130 millions d’euros, selon les chiffres de la Caisse des Dépôts publiés ce mardi 22 juillet. Il s’agit du deuxième mois consécutif de collecte négative. En mai, elle était en retrait de 90 millions d’euros. Et cela ne devrait pas s’améliorer. En effet, le 10 juillet, le ministre des Finances, Michel Sapin, a annoncé que le taux de ce placement allait baisser le 1er août en raison de la faiblesse de l’inflation. Il passera de 1,25% actuellement à 1%.  Sur les six premiers mois de 2014, la collecte nette sur ce produit d’épargne, atteint 2,28 milliards d’euros, un niveau nettement inférieur à celui enregistré un an auparavant (15,15 milliards d’euros) mais qui s’expliquait notamment par un relèvement du plafond intervenu début 2013.  Sur le Livret de développement durable (LDD), le montant des dépôts a dépassé de 60 millions d’euros celui des sommes retirées en juin. Au total, 371 milliards d’euros étaient déposés à la fin du premier semestre sur ces deux produits.

Livret A: baisse des dépôts

Livret A: baisse des dépôts

 

 

Les dépôts sur le livret A baissent en raison de la crise évidemment, de la hausse des impôts mais aussi de la très faible rémunération. Les retraits sur le Livret A ont été supérieurs aux sommes déposées en février, le produit d’épargne affichant une décollecte nette de 210 millions d’euros selon des chiffres publiés vendredi par la Caisse des dépôts.  L’an dernier sur la même période, le livret avait attiré davantage d’épargne que de retraits avec une collecte nette de 1,51 milliard d’euros.  Le Livret de développement durable (LDD) a été plus attrayant le mois dernier affichant une collecte nette de 70 millions d’euros.  A fin février, les sommes déposées sur les deux produits de placement atteignaient 369,3 milliards d’euros, indique la Caisse des Dépôts.  L’année 2014 avait bien commencé pour les deux produits avec une collecte nette cumulée de 2,19 milliards d’euros, leur meilleur niveau depuis avril 2013.  Le Livret A, considéré comme le placement préféré des Français, avait notamment bénéficié de l’annonce du gouvernement fin 2013 de son intention de ne pas baisser son taux de rémunération, actuellement à 1,25%.

 

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