Archive pour le Tag 'Littérature'

Littérature–Laeticia Hallyday: Bientôt dans la Pléiade ?

Littérature–Laeticia Hallyday: Bientôt dans la Pléiade ?

La veuve de Johnny Hallyday planche sur un livre retraçant sa vie ! Un événement culturel qui devrait avoir lieu en 2025. Laetitia Hallyday sa vie, son œuvre bientôt peut-être candidate pour rejoindre la Pléiade : Ronsard, du Bellay, Aragon, Aristophane, Aristote. Une poète supplémentaire qui pourrait s’en plaindre. ? L’époque a les poètes qu’elle mérite!

Laeticia Hallyday n’a pas tout dit. La veuve du Taulier s’apprête donc à tout dévoiler dans un livre à paraître en 2025. Un ouvrage qu’elle prépare avec l’écrivain Simon Liberati, récompensé d’un prix Renaudot en 2022 pour son livre Performance.

Ce livre, qui sera disponible aux éditions Stock, « devrait sortir dans un an et demi », a-t-elle révélé ce dimanche dans les colonnes de La Tribune Dimanche. « Ça avance », a-t-elle également assuré. « C’est comme une thérapie, ça me fait beaucoup de bien. »

La littérature française encore inspirée par le Nouveau Roman

La littérature française encore inspirée  par le Nouveau Roman 

L’essayiste et critique,  Tiphaine Samoyault   évoque Dans le Monde la postérité et l’actualité du mouvement littéraire.

 

 

On doit à l’essayiste et critique littéraire Tiphaine Samoyault la biographie de Roland Barthes (Seuil, 2015), dont le parcours a accompagné le Nouveau Roman. Elle estime qu’on peut repérer plus de continuités que de ruptures entre ce courant et la littérature contemporaine.


Le Nouveau Roman est-il un « astre mort » ou exerce-t-il encore une influence sur la littérature actuelle ?

La littérature française demeure profondément travaillée par le Nouveau Roman. On lui reproche le soupçon qu’il a fait peser sur le genre du roman lui-même. Mais l’autofiction ou la littérature documentaire sont dans le droit-fil de ce soupçon. Cette méfiance ne lui était d’ailleurs pas propre, mais reprenait un héritage du surréalisme, de Breton, de Valéry ou de Proust… On pourrait imaginer que Nathalie Sarraute rompt en 1983 avec le Nouveau Roman quand elle écrit Enfanceun texte de souvenirs [Gallimard].

En réalité, elle adopte exactement les mêmes techniques narratives que dans ses autres livres en les rendant compatibles avec l’une des plus belles autobiographies écrites au XXe siècle. L’autofiction, l’introspection, le rapport à la mémoire restent donc inscrits dans le sillage du Nouveau Roman. La manière dont Claude Ollier cherche à déranger le français par les langues étrangères a, elle aussi, quelque chose de très actuel. Christine Angot continue à se réclamer de Duras et de Sarraute. Claude Simon, auteur énormément étudié, a un effet considérable auprès de nombreux écrivains, comme Laurent Mauvignier ou Pierre Bergounioux.

Certains écrivains contemporains se réfèrent peut-être à des œuvres, ou à des auteurs. Mais qu’en est-il de la théorie ?

Le Nouveau Roman a été identifié comme courant autour d’un certain nombre de manifestes et de règles, qui n’émanaient que d’une seule personne, Alain Robbe-Grillet, mais qui réunissaient ces auteurs autour du désir d’en finir avec un certain réalisme. Il s’est créé une sorte de label où l’on voit à l’œuvre une stratégie, au sens sociologique du terme. Cela a très bien fonctionné à une époque d’expansion capitalistique où il fallait faire marcher la littérature avec des labels. Mais ce n’est que la partie émergée d’une double tendance de la littérature française : soupçon sur le genre roman et expérimentation linguistique. Cela existe encore.

Trouvez-vous que « Nouveau Roman. Correspondance 1946-1999 » fait comprendre cette continuité ?

Un des grands mérites de l’ouvrage tient à ce qu’il fait remonter l’histoire du Nouveau Roman à 1946, à un moment de refondation. Il s’agit de reconstruire sur des ruines, après la Libération, quand l’humanisme a été tellement mis à mal que l’on questionne les notions de sujet et d’histoire. Une époque où la littérature occupait encore une place centrale dans la définition des valeurs communes.

La littérature pro-démocratie retirée des bibliothèques à Hong Kong

La littérature  pro-démocratie retirée des bibliothèques à Hong Kong

 

 

Le rouleau compresseur chinois et en marche à Hong Kong. La nouvelle loi de sécurité qui pratiquement supprime toutes les libertés individuelles et collectives, elle  s’applique avec la rigueur et la brutalité  typique de la dictature communiste. Ainsi la littérature pro démocratie a-t-elle même été retirée des bibliothèques à Hong Kong. Et en plus avec quelle hypocrisie ! Non pas paraît-il pour l’éliminer mais pour en examiner le contenu et vérifier si ces livres sont conformes à la philosophie de la nouvelle loi sur la sécurité. De quoi sourire devance une telle pantalonnade des apparatchiks chinois . Comme si ces livres n’avaient pas déjà été analysés à la loupe par le pouvoir central !.

Les ouvrages du jeune militant Joshua Wong ou encore de la politicienne Tanya Chan sont marqués indisponibles ou en considération sur les sites des bibliothèques publiques, selon une recherche effectuée en ligne.

“La loi de sécurité met en place un régime de censure sur cette ville financière internationale, comme il existe sur le continent”, a dit samedi Joshua Wong dans un Tweet.

Vendredi, le gouvernement local a déclaré que le slogan “Libérez Hong Kong, révolution de notre temps”, régulièrement scandé lors des manifestations pro-démocratie était illégal.

Un homme arrêté pour avoir renversé plusieurs policiers en moto, qui brandissait un drapeau avec ce slogan, a été inculpé pour terrorisme et incitation au séparatisme.

Le département des services culturels de la ville, qui administre les bibliothèques, a dit dans les médias que les livres avaient été retirés le temps de savoir s’ils violaient la loi ou non !!!!.

La chasse aux préjugés appauvrit la littérature » ( Marylin Maeso)

La chasse aux préjugés  appauvrit la littérature » ( Marylin Maeso)

Marylin Maeso, Philosophe, estime que la chasse aux préjugés susceptibles  d’offenser une minorité, substitue aux préjugés une autre forme d’appauvrissement, s’inquiète, dans une tribune au « Monde », la philosophe.

 

 

Tribune.

 

«  On a tort de dire que « l’art se moque de la morale », selon la formule consacrée. C’est occ

 

« ulter la longue lignée des artistes engagés qui ont insufflé à leurs écrits l’incisivité de l’épée, fiers qu’ils étaient d’apporter leur pierre à l’édifice des justes combats. Mais se mettre au service d’une noble cause n’est pas s’y asservir. La nuance réside dans l’entière liberté que le créateur préserve farouchement, quitte à s’attirer les foudres de ses contemporains.

Ce débat millénaire est aujourd’hui relancé par le phénomène des « sensitivity readers » américains, recrutés par des écrivains ou éditeurs pour repérer et expurger des manuscrits toute expression de préjugés susceptibles de heurter la sensibilité des lecteurs issus de minorités. Un reportage a été récemment consacré par France 24 à ces « relecteurs en sensibilité ».

Doit-on voir en ces relecteurs les dignes héritiers d’Hugo, clamant, dans son William Shakespeare : « Ah ! esprits ! soyez utiles ! servez à quelque chose. Ne faites pas les dégoûtés quand il s’agit d’être efficaces et bons. L’art pour l’art peut être beau, mais l’art pour le progrès est plus beau encore » ? Ou ne sont-ils que les rejetons de la tranchante Anastasie ?

Si l’objectif est de sortir la littérature de ses ornières pour lui imprimer les aspérités bigarrées qui donnent tout son relief à l’humanité, force est de constater que nombre d’auteurs n’ont pas attendu l’œil des sensitivity readers pour, dans leurs œuvres, faire un sort aux stéréotypes. Songeons au roman de Virginie Despentes King Kong Théorie (Grasset, 2006), qui déchire le carcan de l’éternel féminin en parlant « pour les moches, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, toutes les exclues du marché de la bonne meuf » et dynamite son pendant masculin, ce « piège pour les deux sexes » déconstruit par Olivia Gazalé dans Le Mythe de la virilité (Robert Laffont, 2017).

Songeons également au roman autobiographique Je sais pourquoi chante l’oiseau en cage, publié, en 1969, par Maya Angelou, figure du mouvement américain pour les droits civiques, où elle démontre par l’exemple le pouvoir transformateur et libérateur de la littérature contre le racisme.

Quant à la littérature jeunesse, si importante dans la formation des esprits qui ont besoin de pouvoir s’identifier à des personnages pour se construire sans complexes, le diptyque Les filles peuvent le faire aussi !/Les garçons peuvent le faire aussi !, de Sophie Gourion et Isabelle Maroger (Gründ, 2019), prolonge dignement un travail salutaire de dépoussiérage. Il invite les enfants à faire fi des stéréotypes de genre et à ne pas censurer leurs goûts et leurs envies par crainte d’être socialement stigmatisés : on n’est pas moins fille en pirate qu’en princesse, et pas moins garçon en danseur étoile qu’en pompier. »

Twitter : 280 caractères au lieu de 140, la révolution culturelle qui va sauver la littérature.

Twitter : 280 caractères au lieu de 140, la révolution culturelle qui va sauver la littérature.

 

 

Le courant orthodoxe qui défend la langue française s’inquiétait depuis longtemps des limites d’expression de Twitter, limité à 140 caractères et qui imposent  des raccourcis linguistiques. Message reçu, Twitter va autoriser le  dépassement fatidique des 140 caractères. La littérature est sauvée ! «  Durant la dernière décennie, le tweet a évolué d’un simple message en 140 caractères vers une riche toile pour la créativité, comprenant photos, vidéos, mots-dièse, Vines et autres », a rappelé le patron de Twitter. Mais l’extension l’extension à 280 caractères va créer  un traumatisme anxiogène insupportable chez les utilisateurs habituels. Les politiques, les philosophes médiatophiles, les sportifs et autres stars du showbiz pourront donc continuer de déverser leurs aphorismes de caricature sans mettre en péril leur appareil neuronal. Twitter est en effet devenu un véritable phénomène de société qui réduit la pensée aux propos de bistrot. Une véritable rupture qui permet de réduire la réflexion politique, sociétale ou même  philosophique à un slogan. La littérature elle-même pourrait même un jour accepter de se soumettre aux limites qualitatives et quantitatives de Twitter. À quand un Goncourt du nouveau roman tweeté ?  . Le président de Twitter, Jack Dorsey, avait  déjà annoncé qu’il changerait en peu  la limite de 140 caractères imposée aux tweets, les messages postés par les utilisateurs. « Ça restera, c’est une bonne contrainte pour nous », a-t-il expliqué dans une interview à la chaîne américaine Today, soulignant le caractère symbolique de cette limite, qui permet de conserver l’esprit « sur le moment » du réseau social.  Le mot « esprit » est sans doute uen peu excessif ! Mé  C + mieux !

 

réforme Twitter pour la règle des 140 caractères, la littérature sauvée !

réforme Twitter pour la règle des 140 caractères, la littérature sauvée !

Le courant orthodoxe qui défend la langue française s’inquiétait depuis longtemps des limites d’expression de Twitter, limité à 140 caractères et qui imposent  des raccourcis linguistiques. Message reçu, Twitter va autoriser un léger dépassement des 140 caractères. On augmente un peu le volume de caractère. Dans l’application et sur le site internet, le compteur de caractères ne change pas. Les fameux 140 caractères résistent à l’évolution. Ce sont les contenus inclus dans le décompte qui changent. Comme annoncé avant l’été par le réseau social, les médias (photos, vidéos, GIF…) et les citations de tweets ne seront plus comptabilisés dans le décompte. Autrement dit, plus d’espace sera disponible pour le texte et les commentaires. La littérature est sauvée !  L’extension à 10 000 caractères envisagée un moment avait créé un traumatisme anxiogène insupportable chez les utilisateurs habituels. Les politiques, les philosophes médiatophiles, les sportifs et autres stars du showbiz pourront donc continuer de déverser leurs aphorismes de caricature sans mettre en péril leur appareil neuronal. Twitter est en effet devenu un véritable phénomène de société qui réduit la pensée aux propos de bistrot. Une véritable rupture qui permet de réduire la réflexion politique, sociétale ou même  philosophique à un slogan. La littérature elle-même pourrait même un jour accepter de se soumettre aux limites qualitatives et quantitatives de Twitter. À quand un Goncourt du nouveau roman tweeté ?  Le réseau social avait en effet mécontenté et traumatisé nombre de ses utilisateurs en réformant son fil d’actualité avec des algorithmes, il cherche aujourd’hui à les rassurer. Le président de Twitter, Jack Dorsey, avait  déjà annoncé qu’il changerait peu  la limite de 140 caractères imposée aux tweets, les messages postés par les utilisateurs. « Ça restera, c’est une bonne contrainte pour nous », a-t-il expliqué dans une interview, soulignant le caractère symbolique de cette limite, qui permet de conserver l’esprit « sur le moment » du réseau social. En janvier, le site spécialisé Re/Code — souvent bien informé — affirmait que l’entreprise envisageait de porter à 10 000 caractères la taille maximale des tweets, citant plusieurs sources internes. C + mieu !

Twitter : un peu plus que 140 caractères : la littérature sauvée

Twitter : un peu plus que  140 caractères : la littérature sauvée

Le courant orthodoxe qui défend la langue française s’inquiétait depuis longtemps des limites d’expression de Twitter, limité à 140 caractères et qui imposent  des raccourcis linguistiques. Message reçu, Twitter va autoriser un léger dépassement des 140 caractères. La littérature est sauvée ! La plateforme, qui cherche à élargir son public, cessera de comptabiliser dans les 140 caractères les photos, vidéos, noms dans les réponses et sondages, a expliqué Todd Sherman, responsable produit.  »Durant la dernière décennie, le tweet a évolué d’un simple message en 140 caractères vers une riche toile pour la créativité, comprenant photos, vidéos, mots-dièse, Vines et autres », a-t-il rappelé. Twitter maintenu à une limite des 140 caractères, la littérature est sauvée ! L’extension à 10 000 caractères envisagés un moment avait créé un traumatisme anxiogène insupportable chez les utilisateurs habituels. Les politiques, les philosophes médiatophiles, les sportifs et autres stars du showbiz pourront donc continuer de déverser leurs aphorismes de caricature sans mettre en péril leur appareil neuronal. Twitter est en effet devenu un véritable phénomène de société qui réduit la pensée aux propos de bistrot. Une véritable rupture qui permet de réduire la réflexion politique, sociétale ou même  philosophique à un slogan. La littérature elle-même pourrait même un jour accepter de se soumettre aux limites qualitatives et quantitatives de Twitter. À quand un Goncourt du nouveau roman tweeté ?  Le réseau social avait en effet mécontenté et traumatisé nombre de ses utilisateurs en réformant son fil d’actualité avec des algorithmes, il cherche aujourd’hui à les rassurer. Le président de Twitter, Jack Dorsey, avait  déjà annoncé qu’il changerait peu  la limite de 140 caractères imposée aux tweets, les messages postés par les utilisateurs. « Ça restera, c’est une bonne contrainte pour nous », a-t-il expliqué dans une interview à la chaîne américaine Today, soulignant le caractère symbolique de cette limite, qui permet de conserver l’esprit « sur le moment » du réseau social. En janvier, le site spécialisé Re/Code — souvent bien informé — affirmait que l’entreprise envisageait de porter à 10 000 caractères la taille maximale des tweets, citant plusieurs sources internes. C + mieu  !

Twitter maintenu à une limite des 140 caractères, la littérature est sauvée !

Twitter maintenu à une  limite des 140 caractères, la littérature est sauvée !  

 

Le patron de Twitter a rassuré tout le monde en déclarant que le réseau sera toujours limité à 140 caractères. L’équivalent de deux à trois lignes. Cela pour sauver l’expression de « l’esprit sur le moment ». L’extension à 10 000 caractères envisagés un moment avait créé un traumatisme anxiogène insupportable chez les utilisateurs habituels. Les politiques, les philosophes médiatophiles, les sportifs et autres stars du showbiz pourront donc continuer de déverser leurs aphorismes de caricature sans mettre en péril leur appareil neuronal. Twitter est en effet devenu un véritable phénomène de société qui réduit la pensée aux propos de bistrot. Une véritable rupture sociétale qui permet de réduire la réflexion politique, sociétale ou même  philosophique à un slogan. La littérature elle-même pourrait même un jour accepter de se soumettre aux limites qualitatives et quantitatives de Twitter. À quand un Goncourt du nouveau roman tweeté ?  Le réseau social avait en effet mécontenté et traumatisé nombre de ses utilisateurs en réformant son fil d’actualité avec des algorithmes, il cherche aujourd’hui à les rassurer. Le président de Twitter, Jack Dorsey, a annoncé, vendredi 18 mars, qu’il ne changerait pas la limite de 140 caractères imposée aux tweets, les messages postés par les utilisateurs. « Ça restera, c’est une bonne contrainte pour nous », a-t-il expliqué dans une interview à la chaîne américaine Today, soulignant le caractère symbolique de cette limite, qui permet de conserver l’esprit « sur le moment » du réseau social. En janvier, le site spécialisé Re/Code — souvent bien informé — affirmait que l’entreprise envisageait de porter à 10 000 caractères la taille maximale des tweets, citant plusieurs sources internes.

 (Avec le monde)

Littérature politique : après le livre de Sarkozy, celui de Morano

Littérature politique : après le livre de Sarkozy, celui de Morano

C’est évidemment la rentrée littéraire dans le monde politique notamment chez les candidats à la primaire à droite. Après le mea culpa de Sarkozy « la France pour la vie » c’est maintenant au tour de Nadine Morano d’annoncer son prochain bouquin. Un livre qui sera un peu à l’image de celui de Sarkozy, un livre d’ego, puisqu’elle entend surtout parler d’elle-même. De toute évidence cela risque de constituer l’événement littéraire de la rentrée tellement Morano est  la littérature ce que McDo est à la gastronomie.  Morano veut vraisemblablement copier Sarkozy qui prend le prétexte d’une fausse introspection pour surtout parler de lui-même. Le titre pourrait d’ailleurs être « moi, moi, moi » ! On attend évidemment avec impatience l’œuvre de Nadine, l’inénarrable créatrice du concept de la race blanche. Comme on le sait la plupart de ses livres politiques ne sont pas écrits par les intéressés mais par des nègres. Pour Morano il faudra surtout sans doute choisir un nègre blanc. Espérer aussi qu’elle lira son livre !  Morano déclare souvent ne pas appartenir à «  l’espèce bien-pensante » ! Un nouveau concept linguistique aussi ridicule que celui de race qui scientifiquement n’a jamais eu aucun fondement. Qu’on emploie certes dans le langage courant mais qui convient mieux aux chiens qu’aux hommes. Morano qui innove dans la pensée raciste se distingue aussi t dans l’ingénierie sémantique douteuse.  Nadine Morano, sanctionnée par son parti Les Républicains pour avoir parlé de la France comme d’un pays « de race blanche ». « Je parle vrai, je dis les choses avec sincérité, je crois que les Français ne supportent plus cette espèce de bien-pensante qui consiste à nier ce que nous sommes et à ne pas apporter de solution », a-t-elle poursuivi. L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy a déclaré qu’elle maintenait sa candidature à la primaire de la droite et du centre en vue du scrutin présidentiel de 2017. « J’ai envie d’apporter aux Français un langage de sincérité, de vérité », a-t-elle expliqué. Au secours !

Twitter à plus de 140 caractères : ou la mort de la littérature française contemporaine

Twitter à plus  de 140 caractères : ou la mort de la littérature française contemporaine

On vient à peine de banaliser le « fast aphorisme numérique »  que déjà les écrivains au  bestseller d’une ligne sont renvoyés aux principes  premiers de l’écriture. En effet Twitter veut faire sauter le verrou de 140 caractères et passer à 10 000. Une vraie révolution culturelle. Dommage car nombre de succès littéraires était fondés sur le rétrécissement de la pensée et du verbe. Un seul exemple,  un des grands succès de 2015 « Le crime du compte Neuville » d’Amélie Nothomb paru  chez Albin Michel écrit sans doute en une journée-ceci expliquant cela-  ne compte que 130 pages avec en plus une énorme police de  caractères et de très grandes  marges. Pour donner une idée cette œuvre magistrale dans son volume (comme dans son contenu), ne représenterait qu’une trentaine de pages si l’on retenait la mise en page d’« A la recherche du temps perdu » de Proust (texte intégral paru chez Gallimard en 1999). Du coup cette décision de Twitter constitue un coup d’arrêt à la logique d’écriture des romans réalisés en une journée entre deux verres de beaujolais  à la terrasse du Café de Flore.  Décidément, Twitter ne sait plus quoi faire pour séduire de nouveaux utilisateurs ! Après avoir expérimenté en décembre 2015 l’affichage des tweets par pertinence et non plus dans un ordre chronologique, voilà que le site de microblogging réfléchit à abandonner à sa fonction historique, la limite des 140 signes pour un tweet… comme une rumeur le laissait déjà entendre en septembre.  La nouvelle limite pourrait être de 10 000 caractères !  De quoi porter un coup fatal à la logique de production intellectuelle dans le domaine philosophique et surtout politique. Un aspect positif toutefois : la retombée sur l’emploi. On prévoit en effet la création de milliers de postes de nègres pour aider nos élites à produire au-delà de trois lignes de réflexion.

Littérature : Valls va publier ses discours, avant d’enregistrer un CD ?

Littérature : Valls va publier ses discours, avant d’enregistrer un CD ?

 

Comme on ne l’a vu dans un autre article la littérature française a besoin de soutien ; en effet, si le nombre de titres a doublé, par contre, le nombre de lecteurs à diminué de moitié. La plupart des 15 000 titres annuels ne sont tirés qu’à quelques centaines ou milliers d’exemplaires, ce qui était déjà le cas aussi pour Valls leur de ses précédents ouvrages. Cette fois il veut publier ses discours récents (ou ceux de ses nègres), une sorte d’auto biographie très anticipée pour le cas où….en 2017 ou en 2022 ! On espère surtout que Valls n’envisagera pas ensuite d’enregistrer un CD pour chanter les louanges de sa gestion. Selon Le Parisien, les droits de cet ouvrage intitulé L’Exigence, en librairies début janvier, seront reversés aux associations de soutien aux victimes des attaques terroristes de janvier et novembre 2015. Compte tenu du succès habituel des tirages de Valls il ne faudra pas compter avec des retombées financières très  substantielles mais le geste est là ! À l’occasion de la première commémoration des attentats de Charlie Hebdo, le premier ministre va publier aux Editions Grasset ses discours prononcés dans l’Hémicycle après les attaques de janvier et celles du 13 novembre, comme le révèle Le Parisien, samedi 26 décembre. Selon le quotidien, Manuel Valls souhaite ainsi faire revivre l’esprit du 11 janvier, qui avait vu des millions de Français dans les rues contre le terrorisme. La préface de ce recueil, intitulé L’Exigence, est également signé par le premier ministre. Les droits de l’ouvrage seront reversés aux associations de soutien aux victimes. La dernière fois que Manuel Valls a publié un ouvrage, il était encore ministre de l’Intérieur. La laïcité en France est sorti en 2013. Un thème qui lui est cher, puisque son premier livre, en 2005, était un recueil d’entretiens intitulé La laïcité en face. Ses autres publications, Les habits neufs de la gauche (2006) ou encore Pouvoir (2010) ont été publiés avant qu’il soit ministre. Son livre programmatique, L’Energie du changement, publié en 2011, au moment de la primaire socialiste, avait fait un flop. Seuls 2661 exemplaires avaient été vendus.




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