Archive pour le Tag 'listes'

Listes anti covid: seulement 1 % des voix aux régionales

Listes anti covid: seulement 1 % des voix aux régionales

le courant anti mesures Covid  soutenues en particulier par l’animateur de Cnews Pascal Praux   n’ont guère recueilli l’adhésion des électeurs aux régionales. Pourtant chaque jour l’animateur  n’a cessé de critiquer les mesures de prévention de la situation sanitaire sur la chaîne droitière. Dans cinq régions au moins, des listes étaient menées par des candidats issus de la mouvance «corona-sceptique». Soutenu par la Fédération Citoyenne, un collectif contestataire, né de la critique de la gestion par le gouvernement de la crise sanitaire, le mouvement «Un Nôtre Monde» a présenté trois listes qui n’ont pas récolté plus de 1% des voix.

Si ces listes issues des mouvances corona-sceptiques ont récolté des scores infimes, «c’est d’abord en raison d’une sociologie largement surestimée», selon Benjamin Morel, maître de conférences à l’universitéPanthéon-Assas. «Il y a le prisme des réseaux sociaux qui abrite un surinvestissement de groupes militants radicaux assez peu représentatifs», continue le chercheur estimant qu’il y a «une vraie distorsion entre le débat politique réel et le débat politique virtuel».

La folie des listes identitaires

La folie des listes identitaires

Pour différents métiers et différentes catégories sociologiques, les listes identitaires se multiplient. Un processus d’une folie totale qui pourrait conduire à l’explosion de la nation en chapelles sectaires. En outre souvent des chapelles identitaires caractérisées par la radicalité de leur position et le rejet des autres. Certes on peut comprendre que certaines catégories de personnes face aux mutations de toutes sortes qui affectent la société, –mutations économiques et sociales- troublent les plus intéressés quant à leur place dans la société et soient en recherche de réassurance identitaire. Pour autant constituer des listes officielles selon les races, les mœurs, les tendances, les opinions ou encore les origines constituent une attaque sans précédent au concept d’une nation. La liste de médecins noirs a créé un véritable choc et a été dénoncé par les organisations républicaines.
Face à la circulation de cette, la Licra a décidé de dénoncer « la folie identitaire » de certains. L’Ordre national des médecins et l’Ordre national des infirmiers ont rédigé un communiqué commun pour condamner cet annuaire.
[Communiqué commun] L’Ordre des médecins et l’@OrdreInfirmiers condamnent fermement la constitution d’annuaires de professionnels de santé communautaires. @BouetP @JMMOURGUES pic.twitter.com/wBK911iBDs

— Ordre des Médecins (@ordre_medecins) August 11, 2020
Les deux organismes s’en remettent à la loi qui interdit la constitution de liste en fonction des origines ou de la confession religieuse. D’après Patrick Chamboredon, président de l’Ordre national des Infirmiers « Cela ne correspond pas à ce qu’est le code de la santé publique et cela ne correspond pas à ce qu’est l’éthique et la déontologie des professionnels de la santé. » Et d’ajouter  »le critère de choix d’un professionnel c’est sa compétence. » Il met ainsi en garde contre d’éventuelles dérives de ce genre de liste : qui la tient à jour ? Qui sont les soignants ainsi répertoriés ? Sont-ils reconnus ? Alors en cas de discrimination il incite  »à venir se rapprocher de nos institutions pour dénoncer ce type de comportements. Ce sont des méthodes qui son répréhensibles. »

Listes aux municipales: la macronie veut reporter la date pour atténuer la catastrophe électorale

Listes  aux municipales: la macronie  veut reporter la date pour atténuer la catastrophe électorale

 

 

 

Normalement les nouvelles listes électorales pour le second tour devaient être déposées fins mars mais la macronie y est en train de manœuvrer pour faire reporter ce dépôt en juin. L’idée est de profiter d’une certaine unité nationale retrouvée à l’occasion du Coronavirus pour bricoler  des alliances qui masqueraient la catastrophe électorale de la république en marche .

Ce n’est sans doute pas par hasard par ailleurs que Macron a abandonné tout ce qui caractérisait sa politique de réformes à savoir la réforme des retraites, la réforme de l’UNEDIC, la réforme des allocations logement pour se recentrer uniquement sur la gestion du Coronavirus. En quelque sorte, Macron s’est transformé en infirmier en chef de la France pour abandonner toutes ses velléités de transformation politique. Pas étonnant, sa politique économique et sociale été rejetée par 70 % de la population. Surtout les élections municipales ont constitué un avertissement terrible pour la majorité. Presque tous  les députés de la république en marche qui se sont présentées ont été balayées aux municipales se retrouvant souvent en quatrième, cinquième ,sixième position. En tout cas avec des scores complètement anecdotiques. Ces députés sortis de nulle part pourraient bien être condamné à y retourner en cas de nouvelles élections législatives.

Du coup la manœuvre politique vise à atténuer l’ampleur de la défaite en profitant d’un climat de l’opinion plus favorable à une certaine union dans le pays. Il y a en plus la menace du conseil d’État qui peut servir la république en marche à savoir l’annulation possible du premier tour la ou les conseils municipaux sont incomplets.

Le Conseil d’Etat a en effet côté jugé justifié, mercredi, le report du second tour avec conservation des résultats du premier. Il a toutefois précisé que « si la crise persiste » et rend impossible « l’organisation du second tour avant l’été », « il appartiendra aux pouvoirs publics de reprendre l’ensemble des opérations électorales » (premier et second tours) « dans les communes où les conseils municipaux sont incomplets », soit environ 5 000 communes.

 

Municipales: des listes communautaires interdites y compris pour les chasseurs ?

Municipales: des listes communautaires interdites y compris pour les chasseurs ?

 

La problématique des listes communes communautaires pose un redoutable questionnement sur sa définition. Bien entendu ce que visent certains, c’est le communautarisme musulman. Mais les éventuels promoteurs de listes communautariste musulmanes éviteront d’afficher leur valeur religieuse et encore moins leurs dérives anti républicaines. Dès lors que le contenu des programmes ne sera pas connu, on voit mal comment on pourrait interdire cette forme de communautarisme sur le plan juridique. Il conviendrait sans doute de revoir les conditions d’acceptation de la totalité des sensibilités politiques, associatives et communautaires. Aujourd’hui en effet,  lors des élections dont l’objectif est naturellement de gérer l’intérêt général on accepte à peu près n’importe quelle liste. Pour preuve depuis  très longtemps la communauté des chasseurs participe aux élections y compris aux présidentielles sans parler d’autres hurluberlus qui défendent des causes très partielles qui n’ont pas grand-chose à voir avec l’intérêt général voire qui profitent des élections pour se faire connaître. Pour les listes communautaires musulmanes c’est évidemment l’islamisme politique qui est en cause. À cinq mois des élections municipales de mars, les responsables de l’Union des démocrates musulmans de France (UDMF), et ses quelque 800 adhérents, s’activent pour présenter des listes dans «une cinquantaine» de communes.

Quatre ans après une controverse autour des velléités électorales de ce parti aux départementales, des responsables politiques, de La République en marche (LREM) au Rassemblement national (RN), s’inquiètent du développement de listes «communautaires» ou «communautaristes». Un symptôme, selon eux, d’une montée de l’«islam politique». «Dans certaines villes, le score de ces listes sera la surprise des municipales», met en garde le député (Libertés et Territoires) François Pupponi, ancien maire de Sarcelles (Val-d’Oise).

À l’échelle nationale, le très faible résultat (0,13 % des voix exprimées, soit 28 400 bulletins) réalisé par la liste UDMF aux dernières européennes n’a pas trop inquiété mais cette fois le score pourrait bien prendre. La difficulté c’est évidemment d’éviter que des filtres juridiques organisent une censure injustifiée des listes. Pour autant, il serait temps de faire le ménage dans  les  listes de candidatures qui font émerger des candidats immatures et/ou  ligotées par des intérêts trop parcellaires pour prétendre gérer l’intérêt général

Elections municipales: des listes communautaires interdites y compris pour les chasseurs ?

Elections municipales: des listes communautaires interdites y compris pour les chasseurs ?

 

La problématique des listes communes communautaires pose un redoutable questionnement sur sa définition. Bien entendu ce que visent certains, c’est le communautarisme musulman. Mais les éventuels promoteurs de listes communautariste musulmanes éviteront d’afficher leur valeur religieuse et encore moins leurs dérives anti républicaines. Dès lors que le contenu des programmes ne sera pas connu, on voit mal comment on pourrait interdire cette forme de communautarisme sur le plan juridique. Il conviendrait sans doute de revoir les conditions d’acceptation de la totalité des sensibilités politiques, associatives et communautaires. Aujourd’hui en effet,  lors des élections dont l’objectif est naturellement de gérer l’intérêt général on accepte à peu près n’importe quelle liste. Pour preuve depuis  très longtemps la communauté des chasseurs participe aux élections y compris aux présidentielles sans parler d’autres hurluberlus qui défendent des causes très partielles qui n’ont pas grand-chose à voir avec l’intérêt général voire qui profitent des élections pour se faire connaître. Pour les listes communautaires musulmanes c’est évidemment l’islamisme politique qui est en cause. À cinq mois des élections municipales de mars, les responsables de l’Union des démocrates musulmans de France (UDMF), et ses quelque 800 adhérents, s’activent pour présenter des listes dans «une cinquantaine» de communes.

Quatre ans après une controverse autour des velléités électorales de ce parti aux départementales, des responsables politiques, de La République en marche (LREM) au Rassemblement national (RN), s’inquiètent du développement de listes «communautaires» ou «communautaristes». Un symptôme, selon eux, d’une montée de l’«islam politique». «Dans certaines villes, le score de ces listes sera la surprise des municipales», met en garde le député (Libertés et Territoires) François Pupponi, ancien maire de Sarcelles (Val-d’Oise).

À l’échelle nationale, le très faible résultat (0,13 % des voix exprimées, soit 28 400 bulletins) réalisé par la liste UDMF aux dernières européennes n’a pas trop inquiété mais cette fois le score pourrait bien prendre. La difficulté c’est évidemment d’éviter que des filtres juridiques organisent une censure injustifiée des listes. Pour autant, il serait temps de faire le ménage dans  les  listes de candidatures qui font émerger des candidats immatures et/ou  ligotées par des intérêts trop parcellaires pour prétendre gérer l’intérêt général

Municipales: des listes communautaires interdites y compris pour les chasseurs ?

Municipales: des listes communautaires interdites y compris pour les chasseurs ?

 

La problématique des listes communes communautaires pose un redoutable questionnement sur sa définition. Bien entendu ce que visent certains, c’est le communautarisme musulman. Mais les éventuels promoteurs de listes communautariste musulmanes éviteront d’afficher leur valeur religieuse et encore moins leurs dérives anti républicaines. Dès lors que le contenu des programmes ne sera pas connu, on voit mal comment on pourrait interdire cette forme de communautarisme sur le plan juridique. Il conviendrait sans doute de revoir les conditions d’acceptation de la totalité des sensibilités politiques, associatives et communautaires. Aujourd’hui en effet,  lors des élections dont l’objectif est naturellement de gérer l’intérêt général on accepte à peu près n’importe quelle liste. Pour preuve depuis  très longtemps la communauté des chasseurs participe aux élections y compris aux présidentielles sans parler d’autres hurluberlus qui défendent des causes très partielles qui n’ont pas grand-chose à voir avec l’intérêt général voire qui profitent des élections pour se faire connaître. Pour les listes communautaires musulmanes c’est évidemment l’islamisme politique qui est en cause. À cinq mois des élections municipales de mars, les responsables de l’Union des démocrates musulmans de France (UDMF), et ses quelque 800 adhérents, s’activent pour présenter des listes dans «une cinquantaine» de communes.

Quatre ans après une controverse autour des velléités électorales de ce parti aux départementales, des responsables politiques, de La République en marche (LREM) au Rassemblement national (RN), s’inquiètent du développement de listes «communautaires» ou «communautaristes». Un symptôme, selon eux, d’une montée de l’«islam politique». «Dans certaines villes, le score de ces listes sera la surprise des municipales», met en garde le député (Libertés et Territoires) François Pupponi, ancien maire de Sarcelles (Val-d’Oise).

À l’échelle nationale, le très faible résultat (0,13 % des voix exprimées, soit 28 400 bulletins) réalisé par la liste UDMF aux dernières européennes n’a pas trop inquiété mais cette fois le score pourrait bien prendre. La difficulté c’est évidemment d’éviter que des filtres juridiques organisent une censure injustifiée des listes. Pour autant, il serait temps de faire le ménage dans  les  listes de candidatures qui font émerger des candidats immatures et/ou  ligotées par des intérêts trop parcellaires pour prétendre gérer l’intérêt général

Européennes : Plusieurs listes de gilets jaunes ?

Européennes : Plusieurs listes de gilets jaunes ?

 

On peut faire l’hypothèse qu’il y aura plusieurs listes de gilets jaunes en raison du caractère très composite de ce mouvement. Une première liste a été déposée par le ralliement d’initiative citoyenne menée par l’aide-soignante r l’aide soignante Ingrid Levavasseur. Deux ou trois autres listes pourraient bien voir le jour même si globalement la majorité des gilets jaunes conteste la stratégie qui consiste à rejoindre un système politique qu’il remette totalement en cause. Les modérés Jacqueline Mouraud et Benjamin Cauchy ont eux aussi l’intention de déposer une liste.  Les extrémistes pourraient eux aussi être tentés au dernier moment d’être aussi présents même si pour l’instant ils contestent le principe.

Bien avant la liste d’Ingrid le Vavasseur, une première liste avait été lancée début décembre avec des objectifs similaires: mettre en place le RIC et améliorer le pouvoir d’achat. L’initiative avait été peu relayée, l’heure étant plus aux manifestations qu’à «l’après “gilets jaunes”». Plusieurs personnalités en sont à l’origine, comme le fonctionnaire de l’Indre Jean-François Barnaba et le chanteur Francis Lalanne. . Et d’ajouter, à l’adresse de la tête de liste Levavasseur: «Je comprends la fureur des “gilets jaunes” quand ils voient qu’une personne qui a été “leaderisée” par les plateaux de télévision se dit représentante d’un mouvement. Moi, je ne fais pas le guignol sur les plateaux, on m’a très peu vu. Car notre combat n’est pas là». Contrairement à Ingrid Levavasseur, Francis Lalanne assure qu’il dispose un financement fiable pour la campagne, à hauteur de 800.000 euros. Jean-Marc Governatori, président de l’Alliance écologiste indépendante va se porter caution auprès de l’imprimeur. La question se pose de savoir si ces éventuelles différentes listes pourraient ou non ce réunir. Les différences sont en effet très importantes. Il y a ceux qui s’inscrivent plutôt dans une démarche bassiste mais aussi des responsables d’extrême-gauche, d’autres d’extrême droite enfin ceux qui finalement sont proches de Macron comme la liste d’Ingrid le Vavasseur. L’hypothèse de regroupement est aussi très contestée.  Contacté par Le Figaro, Jean-François Barnaba, «gilet jaune» très en vue médiatiquement depuis le début du mouvement, se montre un peu plus réticent à cette idée. «Ces jeunes médiatisés sont tous quasiment issus du même rond-point. Ils sont instrumentalisés, notamment par Bernard Tapie, et n’ont pas le moindre projet. Je ne peux pas concevoir quoi que ce soit avec ces lauréats de la “Star Ac’”», peste-t-il.

Les leaders les plus radicaux du mouvement ont récemment crié à l’entourloupe, dénonçant une récupération médiatique. Sur le plateau de «L’Émission politique», jeudi soir, Évelyne Liberal, représentante du mouvement, a vivement harangué Ingrid Levavasseur sur son initiative, l’accusant de vouloir «faire le buzz». «Je ne voterai pas pour vous», a-t-elle lancé.

Elections Européennes 2019 : Retour aux listes nationales pour éviter un nouveau coup de pied au cul

Elections Européennes 2019 : Retour aux listes nationales pour éviter un nouveau coup de pied au cul

 

Retour aux listes nationales pour éviter un nouveau coup de pied au cul du parti au pouvoir. Un coup de pied au cul  qui se traduit en général par une abstention massive et surtout un vote d’opposition. Considéré comme sans enjeu politique majeur, les élections européennes servent ainsi de défouloir, témoin les résultats de 2014.  14% pour le PS, 25% pour le FN, 20% pour l’UMP, 14% pour le PS, 10% pour les verts et le Modem, 6% pour le front de gauche, de résultats encore plus catastrophiques qu’attendus pour Hollande et le PS ; En cause évidemment un rejet de cette Europe technocratique et ultra libérale, paralysée devant la crise et qui s’est montrée incapable de relancer l’économie. Une Europe qui au contraire à travers l’austérité n’a fait qu’aggraver le chômage. C’était un coup de pied au cul sans précédent pour Hollande qui ne s’en remettra pas. .Du coup Macron rétablit les listes nationales. .Des responsables du parti d‘opposition Les Républicains ont dénoncé ce choix, qui vise selon eux à masquer la faible implantation locale du parti du président de la République, La République en marche (LREM). Selon le Premier ministre, “ce modèle, largement majoritaire dans l‘Union européenne, permettra de renforcer l‘intelligibilité du scrutin et la lisibilité des enjeux de l’élection du Parlement européen. Il a fait l’objet d’un large consensus auprès des formations politiques consultées ”Edouard Philippe précise qu‘un projet de loi en ce sens, déposé début 2018, comprendra également une disposition ouvrant la voie à la mise en place, à titre complémentaire, de listes transnationales, “dans l‘hypothèse où les textes européens seraient modifiés en ce sens». Après sa rencontre avec Edouard Philippe, le secrétaire général des Républicains, Bernard Accoyer, a déploré la volonté “regrettable” de l‘exécutif de revenir à des listes nationales. “Nous dénonçons les motivations évidentes de cette manipulation électorale : il s’agit d’abord et avant tout de favoriser les candidats d’Emmanuel Macron avec la constitution d’une liste fourre-tout abritant des candidats LREM dépourvus d’attache territoriale et des partis sous tutelle d’En Marche”, a-t-il ensuite expliqué dans un communiqué.

Premiers pas vers des listes transnationales aux européennes ?

Premiers pas vers des listes transnationales aux européennes ?

France, Italie et Espagne seraient d’accord pour la création de listes internationales, comprenant des candidats d’au moins 7 pays différents  pour les prochaines élections européennes. Cela pour pouvoir au remplacement des 73 députés britanniques  Deux solutions pour cela soit une modification constitutionnelle, soit une démarche sur la base du volontariat des pays. Il est probable qu’on ne pourra engager de modifications des traités concernant les élections européennes ici 2019. Cela en raison des délais mais aussi du risque qu’il y aurait que certains pays s’opposent à cette proposition. Cette orientation pourrait être mise en œuvre sur la base du volontariat. Existerait alors lors des élections européennes (partielles) de 2019 d’une part des listes composées uniquement de nationaux, d’autre part des listes transnationales. Ce qui constituerait quand même une avancée pour une meilleure intégration dans l’espace communautaire. Pour commencer l’expérimentation ces listes de transnationales seraient réservées à l’élection des 73 députés que le Royaume Uni abandonne. “Les élections européennes ce sont aujourd’hui 28, bientôt 27 avec des débats étanches et parallèles, menés chacun chez soi”, déplore l’Italie, la F rance et l’Espagne, espérant créer avec cette mesure “une véritable agora européenne”. “Cessons d’enfermer les citoyens nationaux entre des murs et de leur imposer des œillères. Portons ensemble notre identité européenne sans renier nos identités nationales et développons un véritable espace public européen vivant, uni dans sa diversité”, poursuit le texte. Emmanuel Macron avait notamment développé cette idée parmi plusieurs propositions pour réformer l‘UE lors de son discours sur l‘Europe de la Sorbonne, fin septembre. ”Nous avons un choix simple: nous répartir les dépouilles, …… Ou vous décidez que ces 73 députés doivent être la réponse européenne au Brexit. Et ce sera une liste transnationale où l’on vote pour les mêmes parlementaires européens partout en Europe. Chiche!”, avait-il lancé.

Élections régionales 2015 : contre le FN, Valls pour la fusion des listes

Élections régionales 2015 : contre le FN,  Valls  pour la fusion des listes

Valls a au moins  réussi à faire l’unanimité contre lui en proposant la fusion des listes de droite et de gauche pour faire barrage au FN lors  du second tour des élections régionales de 2015.  la plupart des responsables du PS ont considéré que cette proposition était à la fois prématurée et en même temps irresponsable.  il paraît en effet évident qu’il sera difficile de mobiliser au premier tour si l’on sait par avance qu’il faudra voter aussi pour des concurrents au second tour. Il y a cependant une sorte d’hypocrisie à vouloir évacuer la question qui inévitablement se posera dès le soir du premier tour. En clair comme l’PS arrivera le plus souvent en troisième position il n’aura d’autre choix que de se retirer, un retrait forcément qui va bénéficier à la liste de droite classique. Seconde possibilité fusionner les listes, ce qui lui permet alors au PS de conserver un certain nombre d’élus. La droite refuse par avance cette  perspective persuadée qu’elle figurera en seconde position et que de toute façon elle bénéficiera des voies de la gauche même sans fusion. La sortie de Manuel Valls sur les élections régionales ne passe donc  pas. Preuve de la véracité de « l’UMPS » pour le Front national, et « non sens » pour François Fillon, l’hypothèse du Premier ministre sur la fusion des listes gauche-droite face au FN aux élections régionales n’emballe pas non plus les socialistes. Alors que le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis a appelé le chef du gouvernement à la cohérence, la tête de liste PS aux régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie lui a demandé de « cesser ses petites phrases qui nuisent à notre campagne ». « De grâce, laissons-nous travailler, laissons-nous agir auprès de nos concitoyens, et puis cessons ces petites phrases qui jettent le trouble et qui nuisent à notre campagne. Donc, assez, stop! », a déclaré ce jeudi 12 novembre à la presse Pierre de Saintignon, en marge d’une conférence de presse.




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