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Chômage : stable dans la zone euro, pour l’instant

Chômage : stable dans la zone euro, pour l’instant

Le taux de chômage dans la zone euro est resté stable en janvier à 6,7% de la population active, comme en décembre, proche de son plus bas niveau historique, selon les données d’Eurostat publiées jeudi. Il est en baisse de 0,2 point par rapport à janvier 2022. L’indicateur avait atteint 6,6% en octobre, son point bas historique depuis avril 1998.

Globalement, le marché du travail résiste plutôt bien au net ralentissement de la croissance, provoqué par la guerre en Ukraine, et à la flambée de l’inflation. L’économie européenne a réussi à échapper à une récession au dernier trimestre, mais la croissance s’annonce très faible en 2023.

La tendance du chômage pourrait donc s’inverser d’ici la fin de l’année.

Quelque 13,23 millions d’hommes et de femmes étaient au chômage dans l’UE en janvier au sein des vingt-sept États membres, dont 11,29 millions parmi les vingt pays partageant la monnaie unique –la Croatie a rejoint la zone euro au 1er janvier. Le taux de chômage a légèrement baissé en France, à 7,1% (-0,1 point par rapport à décembre). Il est resté stable en Allemagne, à 3%. Outre l’Allemagne, les taux les plus bas de l’UE ont été enregistrés en République tchèque (2,5%) et en Pologne (2,8%). Le plus élevé a été relevé en Espagne (13%).

Économie– »L’inflation persiste, l’économie résiste »…pour l’instant

« L’inflation persiste, l’économie résiste »…pour l’instant

Cette fin d’été 2022 est toujours placée sous le signe d’une inflation résiliente. Elle sera difficile à juguler et nécessitera la poursuite de politiques monétaires restrictives. La croissance faiblit mais garde un socle solide. Elle semble même repartir aux Etats-Unis après un récent trou d’air. Par Emmanuel Auboyneau, Gérant associé (Dans la Tribune)

 

Parmi les risques fréquemment anticipés par les économistes pour les mois à venir, deux sujets se distinguent : la récession et l’inflation. Si on ne constate pas de décélération brutale de l’économie, la deuxième de ces thématiques nous parait aujourd’hui très sensible. Au-delà de l’inflation par les matières premières, largement corrélée à l’évolution du conflit en Ukraine – mais qui pourrait profiter prochainement de la baisse des cours par rapport aux plus hauts – l’inflation salariale représente un danger plus important. Après quelques mois de pause, les salaires repartent à la hausse aux Etats-Unis, dans un contexte de plein emploi et de mobilité accrue des salariés. En Europe, ce mouvement est moins visible mais tend tout de même vers une évolution similaire, les revendications des salariés se faisant de plus en plus appuyées (Royaume Uni, Allemagne). Une boucle prix-salaires, génératrice d’une inflation plus structurelle, semble s’être mise en place aux Etats-Unis et sera peut-être bientôt active en Europe.

Les Banques Centrales n’ont dès lors pas d’autre alternative que d’agir vigoureusement pour tenter d’enrayer cette nouvelle spirale, même si l’objectif des 2% d’inflation à court terme parait de toute façon illusoire. Les hausses de taux vont se poursuivre à un rythme soutenu, quitte à impacter la croissance économique. C’est d’autant plus probable qu’à ce jour, le socle de croissance reste solide aux yeux de ces institutions, et que l’activité mondiale bénéficie de plusieurs moteurs efficaces.

Aux Etats-Unis, la croissance à venir repose sur plusieurs postulats : 1) un retard de consommation, notamment pour des biens qui sont aujourd’hui peu disponibles du fait de la crise d’approvisionnement (par exemple l’automobile), 2) un faible niveau de stocks qui devrait se regonfler, 3) la reprise des forages dans l’énergie fossile, 4) les dépenses d’armement et 5) l’autofinancement des entreprises. Ces facteurs devraient protéger l’économie américaine d’un recul conséquent, même si un ralentissement semble inéluctable au vu de la politique monétaire actuelle.

En Europe, la croissance tient également le cap, avec la France en tête et l’Allemagne qui pâtit de sa dépendance au marché automobile. L’Europe pourrait toutefois souffrir davantage en raison de son manque d’autonomie énergétique et d’un moral général très entamé par le conflit à ses portes. Ces perspectives sont de nature à inciter la Banque Centrale européenne à modérer son action, même si plusieurs hausses des taux sont déjà dans les tuyaux.

La Chine se trouve dans une situation totalement différente. On constate une reprise économique rapide après les différents confinements qui ont affecté le pays. A la manœuvre, la Banque Centrale accompagne cette reprise au moyen de baisses de taux et d’injections monétaires. Cette volonté manifeste de relancer la machine économique est une bonne nouvelle pour la croissance mondiale.

Cette rentrée est donc placée sous le signe de l’incertitude et de l’inquiétude des acteurs économiques. Les marchés financiers ont connu une évolution erratique cet été, avec une baisse prononcée des indices en juin, une reprise forte en juillet et une rechute partielle en août. La hausse des taux, en particulier si elle n’est pas anticipée, peut entraîner des replis significatifs sur les actifs risqués. A l’inverse, toute accalmie sur le front de l’inflation pourrait entrainer une reprise soudaine des marchés, sauf dégradation subite et inattendue de l’économie. En dépit de cours plutôt attractifs et de résultats de sociétés globalement satisfaisants, nous gardons une certaine prudence à court terme.

Sanctions Russie : pas de coupure pour l’instant du réseau interbancaire international Swift

Sanctions Russie : pas de coupure pour l’instant du réseau interbancaire international Swift

 

Plusieurs pays européens se sont pour l’instant opposé à la coupure du réseau interbancaire international Swift qui permet notamment le financement des échanges commerciaux. Cette arme très dissuasive est mise en réserve en attendant les réactions de Poutine suite aux sanctions de l’union européenne, de la Grande-Bretagne, et des États-Unis notamment.

De la même manière pour l’instant il n’est pas touché à la fortune de Poutine lui-même dont une partie est évidemment placée hors de Russie comme pour la plupart des dictateurs. Swift  coupé ,  porterait un coup très dur à l’économie russe, reste « une option » pour Joe Biden, qui a souligné qu’ »actuellement cela n’était pas (une) position » partagée par les Européens. Selon lui,  les autres sanctions financières annoncées jeudi par les Etats-Unis et leurs alliés avaient « autant d’impact voire plus d’impact » que cette option réclamée par le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Selon un diplomate européen cité par l’AFP, plusieurs Etats membres dont l’Italie, la Hongrie et Chypre s’y refusent dans l’immédiat, préférant garder cette mesure en réserve pour un futur train de sanctions.

Electricité nucléaire : Macron décide un programme de 6 EPR….. pour l’instant

Electricité nucléaire : Macron décide un programme de 6 EPR….. pour l’instant

 

D’une certaine manière,  le président a remis en cause l’objectif de limitation de la production électrique nucléaire à 50 % fixés par Hollande. Le président a en effet demandé à EDF la construction de six réacteurs de nouvelle génération EPR2, pour une première mise en service à l’horizon 2035. A cela s’ajoute l’étude pour huit de plus pour la fin de la décennie 2040.

Une décision très importante de maintenir en fonctionnement toute les centrales en état de produire. En clair, cela signifie un prolongement de la durée de vie le temps de faire le lien avec la production des nouveaux EPR attendus d’ici 15 ans.

Parallèlement, Emmanuel Macron a fixé jeudi l’objectif de doter la France d’une cinquantaine de parcs éoliens en mer pour « viser 40 gigawatts en service en 2050″, un seuil très ambitieux alors que le tout premier site doit commencer à fonctionner en avril, avec 10 ans de retard.

D’ici 2050, il veut multiplier par près de dix la puissance solaire installée pour dépasser 100 gigawatts, contre 13,2 GW aujourd’hui disponibles.

Un recul net par contre concernant les éoliennes terrestres dont  la capacité sera multiplié par deux en 30 ans et non pas en disant par deux la capacité actuelle en 30 ans, plutôt qu’en 10 ans comme prévu jusqu’à présent.

Ce discours aux allures de programme énergie du futur candidat illustre l’évolution pro-nucléaire d’Emmanuel Macron, lui qui en 2017 insistait surtout sur son engagement de réduire le nucléaire à 50% de la production électrique, hérité de François Hollande. Dans les faits, la production électrique nucléaire va demeurer majoritaire.

C’est aussi un signe pour assurer aux Français que le coût de l’énergie ne dépendra pas des importations, dont la hausse des cours contribue lourdement à peser sur le pouvoir d’achat, autre thème majeur de la campagne.

Construire six réacteurs EPR2, sur des sites existants, coûtera une cinquantaine de milliards d’euros, a déjà prévu EDF.

Le groupe propose de les construire par paires sur trois sites: d’abord à Penly (Seine-Maritime), près de Dieppe, puis à Gravelines (Nord) et enfin à Bugey (Ain) ou bien Tricastin

(Drôme).

À noter que le président l’autorité de régulation, lui, en fonction des besoins s’est prononcé non pas pour 6 EPR mais pour trois fois plus ; donc 18 au lieu des 6 décidés et des 8 à l’ étude.

Nucléaire :Macron décide un programme de 6 EPR….. pour l’instant

Nucléaire :Macron décide un programme de 6 EPR….. pour l’instant

 

D’une certaine manière,  le président a remis en cause l’objectif de limitation de la production électrique nucléaire à 50 % fixés par Hollande. Le président a en effet demandé à EDF la construction de six réacteurs de nouvelle génération EPR2, pour une première mise en service à l’horizon 2035. A cela s’ajoute l’étude pour huit de plus pour la fin de la décennie 2040.

Une décision très importante de maintenir en fonctionnement toute les centrales en état de produire. En clair cela signifie un prolongement de la durée de vie le temps de faire le lien avec la production des nouveaux EPR attendu d’ici 15 ans.

Parallèlement, Emmanuel Macron a fixé jeudi l’objectif de doter la France d’une cinquantaine de parcs éoliens en mer pour « viser 40 gigawatts en service en 2050″, un seuil très ambitieux alors que le tout premier site doit commencer à fonctionner en avril, avec 10 ans de retard.

D’ici 2050, il veut multiplier par près de dix la puissance solaire installée pour dépasser 100 gigawatts, contre 13,2 GW aujourd’hui disponibles.

Un recul net par contre concernant les éoliennes terrestres dont  la capacité sera multiplié par deux en 30 ans et non pas en disant par deux la capacité actuelle en 30 ans, plutôt qu’en 10 ans comme prévu jusqu’à présent. 

Ce discours aux allures de programme énergie du futur candidat illustre l’évolution pro-nucléaire d’Emmanuel Macron, lui qui en 2017 insistait surtout sur son engagement de réduire le nucléaire à 50% de la production électrique, hérité de François Hollande. Dans les faits, la production électrique nucléaire va demeurer majoritaire.

C’est aussi un signe pour assurer aux Français que le coût de l’énergie ne dépendra pas des importations, dont la hausse des cours contribue lourdement à peser sur le pouvoir d’achat, autre thème majeur de la campagne.

Construire six réacteurs EPR2, sur des sites existants, coûtera une cinquantaine de milliards d’euros, a déjà prévu EDF.

Le groupe propose de les construire par paires sur trois sites: d’abord à Penly (Seine-Maritime), près de Dieppe, puis à Gravelines (Nord) et enfin à Bugey (Ain) ou bien Tricastin

(Drôme).

À noter que le président l’autorité de régulation, lui, en fonction des besoins s’est prononcé non pas pour 6 EPR mais pour trois fois plus ; donc 18 au lieu des 6 décidés et des 8 à l’ étude.

Covid France : pas de confinement des non vaccinés…. pour l’instant

Covid France : pas de confinement des non vaccinés…. pour l’instant

 

 

En Autriche, un confinement a été décidé pour les noms vaccinés. En Allemagne, on s’interroge sur la pertinence d’une mesure vis-à-vis de l’explosion des contaminations  ( 25 à 30 000 par jour soient le double de la France) . Pour l’instant les statistiques de la France sont moins catastrophiques que dans d’autres pays, l’Allemagne déjà citée ou encore le Royaume-Uni (avec 30 à 40 000 contaminations par jour). Non parlons pas de la Russie qui enregistre des milliers de morts chaque jour. La France ne pourra cependant demeurer longtemps à l’abri de cette véritable cinquième vague. Ce que confirme Christophe Kastner «Une dizaine de pays européens connaissent une tension extrêmement forte sur ce sujet avec une reprise épidémique, et la France n’est pas à l’abri d’une nouvelle vague», a-t-il ajouté.

Mais «toutes les hypothèses sont sur la table car nous sommes face à un virus qui nous surprend et peut encore nous surprendre», a-t-il rappelé.

Politique monétaire : La guerre des taux n’aura pas lieu …. pour l’instant

Politique monétaire : La guerre des taux n’aura pas lieu …. pour l’instant

 

 

Pour l’instant la banque fédérale américaine et la banque centrale européenne sont à peu près sur la même ligne. Il n’est pas question en effet pour l’instant de revoir en hausse les taux actuellement voisins de zéro. Par contre, on envisage progressivement de réduire le programme de rachat des actifs. Du côté des marchés par contre, on pronostique une hausse des taux d’intérêt en raison de la montée de l’inflation. Or toute la question de savoir si effectivement cette inflation a un caractère temporaire ou  si c’est un phénomène plus structurel. Personne n’en sait rien évidemment.

D’abord il est bien difficile de définir l’horizon conjoncturel pour 2022  en raison d’une crise sanitaire qui est loin d’être terminée mais aussi en raison de l’envolée des prix des matières premières et de l’énergie. Des questions plus structurelles se posent aussi sur l’influence des exigences environnementales  ( qui plombent  actuellement fortement par exemple le marché automobile) ou encore sur les processus de recomposition de l’appareil de production sans parler du manque de main-d’œuvre qualifiée dans les pays développés.

En attendant les prix s’envolent..Les derniers chiffres de hausse des prix en zone euro (+4,1 % en octobre, avec une inflation sous-jacente à +2,1 %) ont radicalement modifié leur perception et l’inflation semble là pour durer.

« Les swaps d’inflation à 10 ans européens et américains ont gagné plus de 20 points de base en octobre. Le swap 5 ans dans 5 ans européen est repassé au-dessus de 2 % pour la première fois en 7 ans. Au moment de la réunion de la BCE, la courbe était donc cohérente avec une vue de l’inflation restant au-dessus de l’objectif de 2 % à un horizon de plusieurs années », observe Stéphane Déo, directeur de la stratégie marchés chez Ostrum.

La question de savoir si les banques centrales vont pouvoir imposer longtemps des taux très bas avoir nulle un marché qui constate concrètement une envolée de l’inflation. Bref la guerre des taux n’aura pas lieu, en tout cas pour l’instant

Vaccination des scolaires : pas pour l’instant (Jean-Michel Blanquer)

Vaccination des scolaires : pas pour l’instant (Jean-Michel Blanquer)

Le ministre de l’éducation n’envisage pas de vaccination obligatoire pour les enfants de plus de 12 ans mais il ne l’exclut pas non plus : « Nous ne fermons jamais aucune hypothèse », répond d’abord le ministre de l’Education, « ça a été le cas depuis le début de la crise sanitaire ». Les choses « varient parce que nous essayons d’être le plus adapté possible aux réalités que nous rencontrons, donc dans le futur on peut avoir ça ». Mais l’instauration d’un pass sanitaire obligatoire, « ça n’est pas du tout ma tendance naturelle », insiste Jean-Michel Blanquer.

La proportion de classes fermées à cause de cas de Covid parmi les élèves « est infime », a par ailleurs assuré le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer. « On n’a qu’un très petit nombre de cas », dit-il, sans être en mesure de donner un nombre exact, quelques jours après la rentrée. Il souligne qu’à La Réunion où les élèves ont repris les cours « deux semaines avant la métropole et où la situation sanitaire est comparable, on est en ce moment un peu en dessous de ce chiffre de 0,2

Le variant « Mu » peu présent en France…. pour l’instant

Le variant Mu peu présent en France…. pour l’instant

 

 

 

Les autorités se félicitent du peu de présence du variant Mu particulièrement dangereux parce qu’il échapperait à la couverture des vaccins actuels.  Ce variant fait l’objet d’un suivi particulier en France. Depuis, il est «sous surveillance rapprochée», mais semble pour le moment «très peu présent en France», a indiqué vendredi Sibylle Bernard-Stoecklin de la direction maladies infectieuses de Santé publique France (SPF) lors d’un point presse hebdomadaire. Et sa présence «ne semble pas avoir augmenté récemment» dans le pays, de même qu’ailleurs en Europe, a-t-elle souligné. En France, elle semble même «diminuer au mois d’août» alors qu’elle avait «légèrement augmenté» en juin/juillet. Ceci étant, on avait dit à peu près la même chose au début du variant delta. En effet malheureusement les variant ne connaissent pas de frontières et se pose la question du niveau de vaccination mondiale.

Concertation sur les retraites : la CFDT dit non pour l’instant

Concertation sur les retraites : la CFDT dit non pour l’instant

Pour la CFDT pour l’instant, une concertation sur les retraites « n’a pas lieu d’être », alors qu’il « n’y a pas de voie de passage pour une quelconque réforme d’ici 2022 ». Et de préciser : « Toute concertation qui s’opérerait serait un peu lunaire (…) On ne va pas se mettre à discuter avec un gouvernement pour nourrir le programme d’un candidat. Ça n’a pas de sens. »

Depuis des années, la CFDT se bat pour la création d’un système universel. Elle ne conteste donc pas la nécessité d’une réforme, à condition que le but soit de rendre le système plus juste et pas d’augmenter l’âge de départ à la retraite. Du coup la concertation proposée par le ministre semble vouée un échec.

La Super Ligue, foot : terminé pour l’instant du moins pour l’instant

La Super Ligue, foot : terminé pour l’instant du moins pour l’instant

 

 

Il est clair que ce sont surtout les clubs langues anglais et leurs supporters qui ont fait capoter ce projet de Super liguent du foot qui prévoyait une sorte de championnat européen pour une vingtaine de clubs les plus huppés et les plus prestigieux. La réplique des institutions officielles et des gouvernements contre ce projet a été forte puisqu’on a même envisagé l’exclusion de toute compétition des clubs impliqués dans ce projet de Super ligue.

 

Reste cependant que ce projet mis entre parenthèses renaîtra un jour ou l’autre. L’enjeu est sportif mais peut-être encore davantage financier. Depuis que les clubs appartiennent à peu près tous à des capitaux privés, les investisseurs veulent rentabiliser leurs activités. Pour cela ils acquièrent des joueurs à prix d’or pour des centaines de millions. Des joueurs ensuite payés 2à 3 millions par mois. Au total la masse salariale dépasse la totalité des autres dépenses. D’où l’impérieuse nécessité trouvait plus en plus de ressources financières pour faire face à cette dérive des dépenses.

 

Du coup l’union européenne du football entre parenthèses UE FA) a aussi promis une grande réforme pour moderniser et rendre plus attrayante la compétition actuelle qui concerne environ 70 clubs.

 

De toute manière quoiqu’on en dise le football de l’élite n’a rien à voir avec le football de base des nombreux petits clubs qui ne fonctionnent que grâce bénévolat. Le football de l’élite est engagé dans une spirale financière folle où tout est démesure. De plus en plus les grands clubs ne sont que des équipes de mercenaires et l’amour du maillot est bien relatif. Les présidents, les entraîneurs et les joueurs valsent au gré des humeurs, des résultats et des difficultés financières.

Les organisations internationales auraient intérêt à prendre en compte aussi le fait que les jeunes de 15 à 25 ans s’intéressent beaucoup moins au football que les autres générations en raison peut-être du caractère un peu insipide de nombre de rencontres où les joueurs passent davantage leur temps à passer le ballon en arrière qu’à le diriger vers le but adverse.

 

Licenciements : différés pour l’instant

Licenciements : différés pour l’instant

Un article du Wall Street Journal dePatrick Thomas et Kathryn Dill

Des millions de salariés ont perdu leur emploi pendant la pandémie, mais se séparer d’un collaborateur en raison d’une performance laissant à désirer est devenu beaucoup plus compliqué, selon certains employeurs.

Les entreprises comptaient des salariés sous-performants dans leurs rangs au début des confinements liés au virus et c’est encore le cas aujourd’hui. Cependant, alors que leurs collaborateurs accusent le coup d’un an de stress en tout genre - fermeture des écoles, crises de garde d’enfant, burnout de longues journées enfermés à la maison -, de nombreuses entreprises hésitent à procéder à des licenciements ou même à évoquer des problèmes de sous-performance pour le moment, signalent des dirigeants et conseillers d’entreprise.

Depuis l’annonce de la pandémie il y a près d’un an, les Etats-Unis ont perdu 9,5 millions d’emplois, selon le département du Travail, mais le gouvernement n’assure pas de suivi des licenciements liés à la performance. Toutefois, certaines entreprises et conseillers en ressources humaines disent que de nombreux employeurs appellent officieusement à l’indulgence.

Perdre son emploi implique de se retrouver dans un marché du travail fragile et souvent perdre son assurance santé dans un contexte de crise sanitaire mondiale. Sans vision claire des difficultés des équipes distantes, certains dirigeants d’entreprise déclarent qu’ils ne sont pas certains de l’origine des problèmes de performance, particulièrement si le salarié donnait satisfaction dans le passé.

« Nous prenons davantage de temps pour comprendre la situation personnelle », explique Chirantan CJ Desai, directeur produits chez ServiceNow, à Santa Clara, en Californie. Il ajoute que l’entreprise réfléchit à deux fois avant de placer les salariés dans des programmes d’amélioration de la performance, ce qui constitue souvent un prélude à leur licenciement.

« On se demande sérieusement s’il existe d’autres aspects à prendre en compte : la santé, la garde des enfants, l’isolement, la santé mentale », explique-t-il.

Les managers qui pensent devoir licencier un salarié doivent souvent documenter les problèmes de performance à l’aide de technologie comme le suivi du nombre d’heures de connexion d’un salarié en télétravail

Les personnes qui ont été embauchées ou intégrées de manière virtuelle au cours de l’année dernière, ainsi que les collaborateurs avec un historique de bonne performance dans le passé se voient attribuer le bénéfice du doute, indique Chirantan CJ Desai, au sujet de son groupe, qui compte 6 000 collaborateurs dans le monde. Avant qu’un salarié ne soit placé dans un programme d’amélioration de la performance, il passe un entretien en vidéo avec son responsable lors duquel ils évoquent la possibilité que l’entreprise n’ait pas couvert un élément lors de la formation et abordent d’éventuels problèmes personnels affectant le travail. De ce fait, le nombre de salariés placés en programme d’amélioration de la performance a chuté l’an dernier, rapporte Chirantan CJ Desai.

LaCinda Glover, conseillère en ressources humaines pour la société de conseil Mercer LLC, observe que certains employeurs hésitent à licencier et que certains managers sont plus réticents à placer les salariés en programme d’amélioration de la performance, pendant la pandémie. Les patrons cherchent un équilibre entre les exigences économiques et la compassion, ajoute-t-elle.

« La fenêtre dans laquelle on considère qu’une personne a rempli ses objectifs était beaucoup plus grande l’an dernier que dans le passé », commente LaCinda Glover, ajoutant que de nombreux employeurs ne veulent pas que « l’impact de la pandémie laisse une marque négative dans le dossier de quelqu’un. »

Rebecca Weaver, ancienne responsable RH et fondatrice du cabinet de coaching HRuprise, estime que licencier un salarié en pleine crise sanitaire pèse davantage sur un manager qu’en période normale.

« Les temps sont durs pour beaucoup de gens sur le plan économique. Tout le monde a de plus en plus conscience de ce problème et de la question de l’assurance maladie », explique-t-elle. Les entreprises se demandent aussi si cela vaut la peine de faire des évaluations de performance pour l’année 2020, ajoute-t-elle.

Brian Kropp, directeur de la recherche en ressources humaines chez Gartner, note que certains salariés qui auraient pu être considérés comme sous-performants ont été renvoyés lors de licenciements de masse aux premier et deuxième trimestres 2020, au début de la pandémie.

« Quand on réduit les effectifs, on étudie les personnes qui sont dans la zone basse, mais pas suffisamment mauvais pour être renvoyés et on saisit l’occasion de les manager », indique-t-il.

Dans certains cas, les entreprises revoient leur méthode pour évaluer la performance.

Avec la pandémie, la société de technologie en ressources humaines Zenefits a abandonné son processus d’évaluation annuelle de performance au profit de conversations mensuelles entre les salariés et leur responsable. Ce processus a commencé par la fixation d’objectifs et, par la suite, chaque mois se concentre sur l’évaluation des progrès. Les salariés peuvent également donner à leurs chefs leurs avis sur leurs performances.

« Nous ne savons pas ce que les gens font toute la journée. Nous devons donc les responsabiliser et fixer des objectifs », estime Tracy Cote, responsable ressources humaines chez Zenefits.

L’année dernière, les managers ont pris conscience des difficultés rencontrées par les salariés en télétravail, ce qui rend les employeurs plus enclins à « leur donner une deuxième voire une troisième chance qu’ils n’auraient pas eue dans le passé, sachant qu’ils ont des circonstances atténuantes, certaines dont nous sommes informés et d’autres non », commente Tracy Cote.

Les managers qui pensent devoir licencier un salarié doivent souvent documenter les problèmes de performance à l’aide de technologie comme le suivi du nombre d’heures de connexion d’un salarié en télétravail, explique Eve Klein, avocate chez Duane Morris, un cabinet juridique spécialisé dans les questions d’emploi et d’immigration.

David Pogrund, avocat chez Stone Pogrund & Korey, note que les salariés licenciés qui avaient de mauvaises conditions de télétravail ou qui souhaitaient prendre des congés pour s’occuper d’un proche malade pourraient déclarer avoir fait l’objet de représailles.

David Pogrund, qui enseigne le droit du travail pour les managers à la Booth School of Business de l’Université de Chicago, estime que les employeurs devraient donner à leurs salariés de nombreuses occasions de s’expliquer et de remédier aux problèmes.

« On peut établir de nouveaux ou de plus réalistes objectifs, suggère-t-il. Personne ne souhaite licencier quelqu’un dans ce contexte si ça peut être évité. »

Anthony Shaw, président de l’entreprise de bâtiment écoresponsable Progeneration Energy, à The Woodlands, au Texas, explique que les managers donnaient aux salariés plusieurs chances de rectifier les problèmes de performance, mais que le télétravail rendait les choses plus difficiles.

Un salarié de Progeneration avait des difficultés à finir son travail. Ses responsables lui ont donné l’occasion de s’améliorer, ont réparti ses tâches entre ses collègues et l’ont contacté à plusieurs reprises pour comprendre si des problèmes personnels affectaient son travail, le tout sans résultat. Anthony Shaw a dû finir par licencier cette personne, même s’il l’a maintenue à son poste plus longtemps qu’il ne l’aurait fait normalement.

(Traduit à partir de la version originale en anglais par Astrid Mélite)

Traduit à partir de la version originale en anglais dans l’Opinion)

Énergie–32 réacteurs nucléaires français sur 56 prolongés de 10 ans….. pour l’instant

Énergie–32 réacteurs nucléaires français sur 56 prolongés de 10 ans….. pour l’instant

32 réacteurs anciens nucléaires de 900 MWe (mégawatts électriques) d’EDF auront une durée de vie prolongée de 10 ans. Théoriquement EDF avait prévu une durée de vie de 40 ans mais avec les nouvelles mesures de sécurité renforcée en cours, ces centrales pourrait durer une dizaine d’années supplémentaires pour commencer. Sans doute pour ne pas prendre de face trop des opposants écologistes, les pouvoirs publics s’engagent à ne prolonger que 32 vieux réacteurs de 10 ans …. pour l’instant. L’autorité de sécurité nucléaire fixe les conditions pour qu’ils puissent fonctionner au-delà de leur quatrième « réexamen périodique », qui a lieu tous les dix ans.

Ces réacteurs à eau pressurisée sont les plus anciens des 56 réacteurs que compte le parc nucléaire tricolore. Ils ont été mis en service à la fin des années 1970, et 13 d’entre eux ont d’ores et déjà dépassé les 40 ans de fonctionnement. Or, si les réacteurs nucléaires français ont été autorisés sans limitation de durée de fonctionnement, EDF avait initialement envisagé une durée de vie de 40 ans.

L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a publié une décision, qui était attendue, portant sur les 32 réacteurs de 900 MW, les plus anciens du parc français, mis en service pour l’essentiel dans les années 1980. Elle a fixé les conditions pour qu’ils puissent fonctionner au-delà de leur quatrième « réexamen périodique », qui a lieu tous les dix ans, donc au-delà de leur 40e anniversaire.

Le gendarme du nucléaire prescrit notamment « la réalisation des améliorations majeures de la sûreté prévues par EDF (Electricité de France, ndlr), ainsi que des dispositions supplémentaires qu’elle considère comme nécessaires », précise-t-elle. EDF devra ainsi réaliser une série de tests et de travaux pour améliorer la sûreté de ses réacteurs.

Énergie–32 réacteurs nucléaires français sur 56 prolongés de 10 ans..... pour l'instant dans caburant-énergie trans  »Un premier objectif est de réduire les conséquences des accidents et notamment des accidents graves, avec une fusion du coeur du réacteur », a expliqué à l’AFP Julien Collet, directeur général adjoint de l’ASN. Des améliorations sont notamment prévues pour que la radioactivité reste confinée à l’intérieur de l’enceinte en cas d’accident.

« Le deuxième grand volet porte sur le renforcement (face) aux agressions qui peuvent survenir sur ces installations », a-t-il poursuivi. Sont visées les agressions externes (séisme, inondation, chaleur extrême…) et internes (incendie…). Enfin, un dernier volet porte sur « le renforcement au niveau de la piscine d’entreposage des combustibles usés », a indiqué Julien Collet.

Les réacteurs français avaient été autorisés à l’origine sans limitation de durée de fonctionnement, mais EDF avait initialement envisagé une durée de vie de 40 ans. Certains réacteurs, mis en service au tournant des années 1980, ont dans les faits déjà passé le cap des 40 ans.

La décision annoncée jeudi concerne l’ensemble des réacteurs de 900 MW, qui feront aussi l’objet de préconisations individuelles. La mise en oeuvre des améliorations prévues va maintenant s’étaler sur des années.

Les opposants au nucléaire réclament pour leur part depuis longtemps une fermeture des centrales anciennes, comme cela avait été décidé pour la centrale de Fessenheim (Alsace), la doyenne arrêtée l’an dernier.

32 réacteurs nucléaires français sur 56 prolongés de 10 ans….. pour l’instant

32 réacteurs nucléaires français sur 56 prolongés de 10 ans….. pour l’instant

32 réacteurs anciens nucléaires de 900 MWe (mégawatts électriques) d’EDF auront une durée de vie prolongée de 10 ans. Théoriquement EDF avait prévu une durée de vie de 40 ans mais avec les nouvelles mesures de sécurité renforcée en cours, ces centrales pourrait durer une dizaine d’années supplémentaires pour commencer. Sans doute pour ne pas prendre de face trop des opposants écologistes, les pouvoirs publics s’engagent à ne prolonger que 32 vieux réacteurs de 10 ans …. pour l’instant. L’autorité de sécurité nucléaire fixe les conditions pour qu’ils puissent fonctionner au-delà de leur quatrième « réexamen périodique », qui a lieu tous les dix ans.

Ces réacteurs à eau pressurisée sont les plus anciens des 56 réacteurs que compte le parc nucléaire tricolore. Ils ont été mis en service à la fin des années 1970, et 13 d’entre eux ont d’ores et déjà dépassé les 40 ans de fonctionnement. Or, si les réacteurs nucléaires français ont été autorisés sans limitation de durée de fonctionnement, EDF avait initialement envisagé une durée de vie de 40 ans.

L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a publié une décision, qui était attendue, portant sur les 32 réacteurs de 900 MW, les plus anciens du parc français, mis en service pour l’essentiel dans les années 1980. Elle a fixé les conditions pour qu’ils puissent fonctionner au-delà de leur quatrième « réexamen périodique », qui a lieu tous les dix ans, donc au-delà de leur 40e anniversaire.

Le gendarme du nucléaire prescrit notamment « la réalisation des améliorations majeures de la sûreté prévues par EDF (Electricité de France, ndlr), ainsi que des dispositions supplémentaires qu’elle considère comme nécessaires », précise-t-elle. EDF devra ainsi réaliser une série de tests et de travaux pour améliorer la sûreté de ses réacteurs.

« Un premier objectif est de réduire les conséquences des accidents et notamment des accidents graves, avec une fusion du coeur du réacteur », a expliqué à l’AFP Julien Collet, directeur général adjoint de l’ASN. Des améliorations sont notamment prévues pour que la radioactivité reste confinée à l’intérieur de l’enceinte en cas d’accident.

« Le deuxième grand volet porte sur le renforcement (face) aux agressions qui peuvent survenir sur ces installations », a-t-il poursuivi. Sont visées les agressions externes (séisme, inondation, chaleur extrême…) et internes (incendie…). Enfin, un dernier volet porte sur « le renforcement au niveau de la piscine d’entreposage des combustibles usés », a indiqué Julien Collet.

Les réacteurs français avaient été autorisés à l’origine sans limitation de durée de fonctionnement, mais EDF avait initialement envisagé une durée de vie de 40 ans. Certains réacteurs, mis en service au tournant des années 1980, ont dans les faits déjà passé le cap des 40 ans.

La décision annoncée jeudi concerne l’ensemble des réacteurs de 900 MW, qui feront aussi l’objet de préconisations individuelles. La mise en oeuvre des améliorations prévues va maintenant s’étaler sur des années.

Les opposants au nucléaire réclament pour leur part depuis longtemps une fermeture des centrales anciennes, comme cela avait été décidé pour la centrale de Fessenheim (Alsace), la doyenne arrêtée l’an dernier.

Stabilité financière : pour la Banque de France, tout va bien….. pour l’instant !

Stabilité financière : pour la Banque de France, tout va bien….. pour l’instant !

 

La Banque de France, évidemment sous tutelle de l’État, se veut rassurante quant au risque financier qui pourrait découler de non-remboursement de crédits accordés. La Banque de France diffuse donc un air d’optimisme mais en prenant de solides précautions oratoires pour ne pas évacuer une vague d’insolvabilité.

 « Selon la durée de la crise sanitaire, nous avons des situations actuellement sous contrôle qui pourraient passer à des situations d’insolvabilité », note Sylvie Goulard, sous-gouverneure de la Banque de France. Mais, à la fin de l’année 2020, la matrice des risques apparaît globalement stable d’un semestre à l’autre.

 

Sans surprise, le principal point d’inquiétude concerne la hausse de l’endettement brut des sociétés non financières, en partie liée aux mesures de soutien des pouvoirs publics. La dette brute des entreprises a augmenté de 175 milliards d’euros entre mars et septembre 2020 (soit 2,5 fois plus vite que sur la même période en 2019), dont 121 milliards pour les seuls prêts garantis par l’Etat (PGE), .

Le prêt garanti par l’Etat est un prêt de trésorerie d’un an. Ce prêt de trésorerie pourra couvrir jusqu’à trois mois de chiffre d’affaires, soit un quart du chiffre d’affaires annuel. « Ce dispositif s’inscrit dans le pont aérien de cash que nous avons déployé pour que l’entrepreneur puisse avoir, en prêt, l’équivalent de trois mois de chiffre d’affaires, qu’il n’a pas pu réaliser », résume Nicolas Dufourcq, le patron de Bpifrance. Les entreprises souhaitant emprunter moins que trois mois de chiffre d’affaires en auront la possibilité.

Pour les jeunes pousses innovantes, qui n’ont souvent pas, ou très peu, de chiffre d’affaires, un autre critère est retenu. Le prêt pourra ainsi couvrir jusqu’à deux années de masse salariale, hors cotisations patronales. « Les start-up ne sont pas les oubliées du système », a ainsi souligné Nicolas Dufourcq. Ce plafond est également retenu pour les entreprises créées depuis le 1er janvier 2019.

Le prêt bénéficie d’une garantie de l’Etat à hauteur de 70 à 90%, selon la taille de l’entreprise. Les banques conservent ainsi une part du risque associé, mais celle-ci est minimisée pour les inciter à prêter. Dans les détails, les entreprises ayant moins de 5.000 salariés et faisant moins de 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires bénéficieront d’une garantie de l’Etat de 90%.

Celles qui comptent plus de 5.000 salariés et qui réalisent plus d’1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires pourront bénéficier d’une garantie publique de 80%. Ce pourcentage descend à 70% pour les entreprises ayant un chiffre d’affaires supérieur à 5 milliards d’euros. La garantie est donc plus faible pour les plus grandes entreprises.

Le système se veut le plus accommodant possible pour les entreprises. Aucun remboursement ne sera exigé la première année. Ensuite, l’entreprise pourra décider, à l’issue des douze premiers mois, d’amortir le prêt sur une durée de 1, 2, 3, 4 ou 5 années supplémentaires. « Pas question de créer un autre mur pour l’entreprise », a souligné Sébastien Raspiller, à la direction générale du Trésor.

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