Archive pour le Tag 'l’indigence'

Sondage: Marine Le Pen monte surtout grâce à l’indigence de ses adversaires

Sondage: Marine Le Pen monte surtout grâce à l’indigence de ses adversaires

Certains s’étonnent encore encore que Marine Le Pen continue de monter dans les sondages. Le facteur explicatif est moins sans doute dans ses compétences que dans la nullité crasse dont font preuves ses concurrents politiques. Côté gouvernement, c’est évidemment la catastrophe dans tous les domaines qu’il s’agisse de l’activité économique, du pouvoir d’achat, de la sécurité, des services publics. En même temps un désastre des finances publiques avec déficit et dette record en dépit du niveau complètement fou de la fiscalité. La question du pouvoir d’achat et de la sécurité plombent actuellement complètement la popularité d’un gouvernement considéré comme paralysé. Côté opposition, le parti républicain est aujourd’hui sans leader charismatique incontesté et ne parvient pas à se distinguer du pouvoir. Côté gauche, c’est à la fois la division et la fuite en avant vers le radicalisme. L’électorat sera sans doute sévère vis-à-vis de cette irresponsabilité des gauchistes.

Dans un sondage Elabe, l’ancienne candidate à l’Elysée marque donc des points en termes de présidentiabilité. Elle progresse parmi les cadres et les retraités, deux catégories d’électeurs qui ne lui étaient pas du tout favorables. Selon un sondage réalisé par Elabe pour BFMTV, l’image de Marine Le Pen auprès des Français est en nette amélioration après une cure médiatique de plusieurs semaines. Avant les journées de rentrée parlementaire du RN, organisées ce week-end à Beaucaire, près d’Avignon, la finaliste de la dernière présidentielle gagne du terrain dans l’opinion.

« Le plus frappant est qu’elle progresse en présidentiabilité sur sa capacité à réformer le pays (50 %), à rassembler les Français (47 %), ainsi que sur les qualités nécessaires pour être présidente de la République (48 %). C’est rare qu’en trois mois, nous ayons une telle évolution », souligne Bernard Sananès, le président d’Elabe.

Santé : l’indigence de la logistique de l’État

Santé : l’indigence de la logistique de l’État

Spécialiste des collectivités locales et de l’action publique, Me Didier Seban est souvent consulté par les décideurs et hauts fonctionnaires confrontés à la crise sanitaire. Il explique dans le pignon des raisons de l’extrême lenteur de l’État vis-à-vis de la campagne vaccinale.

La crainte d’être poursuivi en justice explique-t-elle la frilosité de la campagne vaccinale ?

Il est évident que les décideurs publics vivent dans cette crainte qui les conduit à se couvrir, à toujours rechercher la norme qui les autorise à agir. Pourtant, à y regarder de près, les poursuites sont rares et les condamnations encore plus. Au cours de la mandature 2014-2020, 0,302 % des élus locaux ont été mis en cause pénalement toutes causes confondues (baromètre de l’observatoire SMALC). Mais, bien sûr, tous les maires de France ont tremblé après les condamnations dans le dossier de la tempête Xynthia et tous les préfets après la catastrophe de Furiani.

Le gouvernement semble donc paralysé par le spectre du procès du sang contaminé ?

Disons que tous les hauts fonctionnaires sont prudents, voire consultent des juristes avant d’agir. Surtout, nous sommes dans un pays de règles. On commence la vaccination des résidents des Ehpad dans toute la France, à l’heure H… On s’est posé la question de vacciner dans les pharmacies, mais on a fait machine arrière de peur de se mettre les médecins à dos. Ce défaut profondément français de vouloir fixer des règles identiques pour toutes les situations, dans toutes les régions, est catastrophique car il empêche les initiatives locales. C’est désormais un mode de fonctionnement de l’Etat qui a perdu ses relais locaux et ne peut s’appuyer que sur une administration préfectorale très affaiblie.

Cette capacité à « ouvrir le parapluie » et à multiplier les règles explique-t-elle les lenteurs de la stratégie vaccinale ?

Oui. Il n’y a pas de « grand complot » de l’Etat mais une succession de décisions prises par des administrations suivant chacune leur logique. Un exemple : au printemps, lors de la pénurie de gel hydroalcoolique, des acteurs privés ont voulu en produire mais ils se sont heurtés à des normes de fabrication, un arrêté vieux de douze ans… au bas mot, six mois d’obstacles à franchir.

Nous payons aujourd’hui un manque terrible de logisticiens. Hormis dans l’armée, la culture de la logistique est étrangère à l’Etat. Personne ne s’en préoccupe vraiment à la différence de ce qui se passe dans l’industrie ou dans la grande distribution qui savent faire en sorte que la marchandise soit en rayon pour Noël. Les collectivités locales, elles, ont su développer cette culture parce qu’elles ont des crises à gérer, des secours à organiser. Enfin, il n’existe pas de système d’autoévaluation des politiques publiques, mais un système de contrôle a posteriori.

Si la campagne vaccinale accumule les retards, peut-on imaginer que des personnes n’ayant pu bénéficier du vaccin attaquent l’Etat pour non-assistance à personne en danger ?

Elles le feront peut-être mais sans grande chance de succès. Pour les ministres, la Cour de Justice de la République, juridiction très politique, serait compétente. Les hauts fonctionnaires relèvent des juridictions ordinaires mais il faudrait par exemple démontrer que tel directeur d’une Agence régionale de santé aurait décidé, en dépit des consignes gouvernementales, de ne pas vacciner un Ehpad. Ou que tel autre serait parti en vacances laissant derrière lui des doses de vaccin périmées… Le vrai problème est que les citoyens ne disposent que de la voie pénale. Des sanctions administratives devraient être prévues alors qu’aujourd’hui la haute administration ne réprime pas les comportements inadéquats, elle se protège.

 

Hollande-Gayet : « La fonction présidentielle est discréditée », (Hervé Morin). ou l’emphase pour combler l’indigence

Hollande-Gayet : « La fonction présidentielle est discréditée », (Hervé Morin). ou  l’emphase pour combler l’indigence

 

Hervé Morin  qui n’a pas écrit ‘ « Voyage au bout de la nuit » comme dirait Lucchini  s’emporte et considère que Hollande a déconsidéré la fonction de président. Il pousse un peu le bouchon l’ami Morin. Certes cette anecdote révélée est plutôt dérangeante pour Hollande mais il n’ya pas mort d’homme. Encore moins atteinte à l’intégrité de la république ; Morin confond la transparence politique avec la propreté  des slips. En fait Morin n’a jamais eu grand chose de très pertinent à dire, il n’a jamais pesé beaucoup  et utilise l’emphase pour masquer le vide de sa pensée politique. Sil fallait condamner tous les présidents de la république qui se laissent aller à quelques infidélités, alors il n’en resterait pas beaucoup. C’est même une tradition (pas seulement française).  Pour Le président du Nouveau Centre, Hervé Morin, est revenu sur la révélation par le magazine « Closer » d’une éventuelle liaison entre François Hollande et Julie Gayet. Les Français ont été nombreux à s’intéresser à la une de Closer vendredi 10 janvier. « Moi le premier », a confié Hervé Morin samedi sur RTL, avouant qu’il s’est procuré le numéro du magazine, qui révélait une supposée liaison entre François Hollande et Julie Gayet.   »François Hollande a un peu plus discrédité la fonction présidentielle, il a franchi un cap supplémentaire », a dénoncé le président du Nouveau Centre. « On n’est plus dans les années 1970″, a concédé Hervé Morin, expliquant « qu’il y a une équation à trouver entre exigence de transparence et le fait de protéger au maximum sa vie privée ». Sans doute une sorte de modèle économétrique de l’apparente vertu !




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