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Politique de Défense européenne : l’impuissance

Politique de Défense européenne : l’impuissance

L’Europe n’est pas une grande puissance militaire, mais ses instruments financiers lui permettent de peser sur le champ de bataille. Elle doit néanmoins lancer au plus vite un véritable programme d’investissement dans la défense, estime le chercheur Pierre Haroche dans une tribune au « Monde ».

« L’Europe est un géant économique, un nain politique et un ver de terre militaire », observait, il y a plus de trente ans, Mark Eyskens, ancien ministre belge des affaires étrangères. Cependant, la guerre en Ukraine nous rappelle que la frontière entre puissance économique et puissance militaire est extrêmement poreuse. Non seulement les sanctions économiques et financières adoptées depuis février relèvent des compétences de l’Union, mais c’est aussi sa force de frappe budgétaire qui permet à la Commission européenne de proposer un plan de 210 milliards d’euros afin de réduire la dépendance européenne aux énergies fossiles russes. Et sur le terrain des livraisons d’armes, c’est un instrument récent, la Facilité européenne pour la paix, qui a permis à Bruxelles de subventionner le soutien militaire à l’Ukraine à hauteur de 2 milliards d’euros.

Autrement dit, si l’Europe n’est pas une grande puissance militaire, ses instruments financiers lui permettent de peser sur le champ de bataille.

Le 18 mai, la Commission européenne a proposé de franchir un pas supplémentaire : utiliser le budget européen pour subventionner le réarmement des Etats membres et favoriser les achats en commun. En réponse à l’agression russe, de nombreux Etats membres ont en effet décidé d’augmenter leurs dépenses de défense. En proposant de faciliter et de subventionner les projets d’achat de mêmes capacités militaires par plusieurs Etats membres, la Commission cherche à renforcer la coopération entre armées nationales et à créer des économies d’échelle.

L’expérience montre que l’achat du même matériel favorise souvent, en aval, la coopération en matière de formation, d’entraînement, de doctrine, et d’entretien. In fine, des armées disposant des mêmes équipements se coordonnent beaucoup plus facilement en opération. Financer des acquisitions conjointes, c’est enclencher une spirale vertueuse, une forme d’intégration militaire, non par le haut – les structures de commandement – mais par le bas – le matériel et la pratique.

L’objectif est aussi d’éviter la concurrence entre armées européennes. Comme l’acquisition conjointe des vaccins contre le Covid-19, celle de matériel militaire protégerait particulièrement les « petits » pays, qui risqueraient, sinon, de voir leurs commandes passer après celles des « gros » acheteurs.

L’objectif est enfin de promouvoir l’autonomie stratégique européenne en favorisant l’achat d’armes fabriquées en Europe plutôt qu’importées des Etats-Unis. Il s’agit ainsi de faire bénéficier l’économie européenne des emplois que peut générer cet effort de réarmement, mais aussi de ne pas être trop dépendant de puissances extérieures. Le casse-tête que pose actuellement la dépendance énergétique de l’Europe à l’égard de la Russie nous y incite. Même si, contrairement à la Russie, les Etats-Unis sont des alliés, la présidence Trump a montré que cet allié n’était pas forcément toujours aligné sur les intérêts européens.

Violences : un déni de réalité qui masque l’impuissance de l’Etat

Violences : un déni de réalité qui masque l’impuissance de l’Etat

Le pouvoir, les médias et les élites se réfugient souvent dans le déni de réalité pour masquer l’impuissance de l’État et l’ampleur du phénomène. Ainsi le plus souvent, on tente de transformer en faits divers des attentats mortels qui pourtant traduisent un phénomène plus général de violence, d’insécurité voire de racisme. Bref on refuse de voir la réalité de cette violence et du risque de décomposition de la société. Les Français qui vivent au quotidien l’insécurité en tout cas l’observent de près sont beaucoup plus pertinents concernant la nature et l’ampleur du phénomène. Ce n’est pas par hasard s’ils estiment notamment à hauteur de 91 % que le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française et que 87 % considèrent que la justice est trop laxiste.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société d’après un sondage d’Elabe pour BFM.

Rien d’étonnant à cela; Il faut parfois des mois et des mois pour rendre un jugement et en attendant les présumés coupables sont pour beaucoup en liberté et reprennent leurs activités délinquantes.

Par ailleurs au moment du jugement, on se satisfait trop souvent de peines symboliques comme du sursis.

Certes les prisons ne sont sans doute pas l’outil le plus s’adapté pour réduire l’agressivité des délinquants violents; n’empêche à la place, on ne peut lui substituer des peines avec sursis et des très symboliques sanctions avec travaux d’intérêt général.

Il y a certains délits qui méritent purement et simplement la prison dans les conditions actuelles. Mais pour beaucoup notamment chez les jeunes, il convient évidemment d’imaginer des établissements spécialisés visant à permettre les bases de la culture française, les valeurs de la société, les connaissances fondamentales, la valeur travail et la discipline.

Crimes et Violences : mettre fin au déni de réalité qui masque l’impuissance de l’Etat

Crimes et Violences : mettre fin au déni de réalité qui masque l’impuissance de l’Etat

Le pouvoir, les médias et les élites se réfugient souvent dans le déni de réalité pour masquer l’impuissance de l’État et l’ampleur du phénomène. Ainsi le plus souvent, on tente de transformer en faits divers des attentats mortels qui pourtant traduisent un phénomène plus général de violence, d’insécurité voire de racisme. Bref on refuse de voir la réalité de cette violence et du risque de décomposition de la société. Les Français qui vivent au quotidien l’insécurité en tout cas l’observent de près sont beaucoup plus pertinents concernant la nature et l’ampleur du phénomène. Ce n’est pas par hasard s’ils estiment notamment à hauteur de 91 % que le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française et que 87 % considèrent que la justice est trop laxiste.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société d’après un sondage d’Elabe pour BFM.

Rien d’étonnant à cela; Il faut parfois des mois et des mois pour rendre un jugement et en attendant les présumés coupables sont pour beaucoup en liberté et reprennent leurs activités délinquantes.

Par ailleurs au moment du jugement, on se satisfait trop souvent de peines symboliques comme du sursis.

Certes les prisons ne sont sans doute pas l’outil le plus s’adapté pour réduire l’agressivité des délinquants violents; n’empêche à la place, on ne peut lui substituer des peines avec sursis et des très symboliques sanctions avec travaux d’intérêt général.

Il y a certains délits qui méritent purement et simplement la prison dans les conditions actuelles. Mais pour beaucoup notamment chez les jeunes, il convient évidemment d’imaginer des établissements spécialisés visant à permettre les bases de la culture française, les valeurs de la société, les connaissances fondamentales, la valeur travail et la discipline.

Société–Emeutes : le triomphe de la bêtise de gosses mal élevés et de l’impuissance politique

Société–Emeutes : le triomphe de la bêtise de gosses mal élevés et de l’impuissance politique

Il y a quelque chose de pathétique dans les explications de jeunes impliqués dans les émeutes. Pour eux , il s’agirait d’une vengeance et de répondre par la haine à la haine. Le seul problème c’est que cette haine contre les institutions, les biens et les personnes visent surtout les populations où ils sont résidents. Une sorte de manière de se tirer une balle dans le pied en appauvrissant encore un peu plus des quartiers déjà peu favorisés.

Il n’y a évidemment aucune gloire ni aucun courage à brûler des bus, des écoles et autres équipements publiques ou privées. Seulement la lâcheté qui émerge de foules en délire. La plupart des intéressés se vengent surtout de leur propre échec et rejette en même temps institutions et valeurs républicaines. Dans nombre de pays en développement, ces révoltes n’auraient pas duré longtemps car la régulation des violences obéit à d’autres principes qui ne sont pas les principes laxistes des démocraties développées.

Avec le recul on pourra considérer qu’il s’agissait d’une sorte de révolution des cours d’école puisque la plupart des impliqués ont autour de 15 à 16 ans (17 ans en moyenne) mais une cour d’école où le crime prend la place des jeux. Car il s’agit bien de jeux pour beaucoup qui cassent pour casser. Une sorte de révolte contre leur propre parcours scolaire. On comprend mal que le pouvoir n’est pas réagi immédiatement en décrétant l’état d’urgence pourtant souhaité par 70 % de la population d’autant qu’il s’agit de gamins stupides et violents.

Encore la démonstration de l’impuissance de l’État qui tente toujours de ménager les uns et les autres et qui fait du en même temps dans le domaine sociétal. Certes la réponse globale ne serait être uniquement en termes de répression mais là encore Macron a choisi l’immobilisme. Pire, il a humilié publiquement le rapport Borloo qu’il avait lui-même commandé sur des banlieues en mai 2018. Justement un plan global qui manque tellement aujourd’hui.

Société-Emeutes des quartiers : le triomphe de la bêtise de gosses mal élevés et et de l’impuissance politique

Société-Emeutes des quartiers : le triomphe de la bêtise de gosses mal élevés et et de l’impuissance politique

Il y a quelque chose de pathétique dans les explications de jeunes impliqués dans les émeutes. Pour eux , il s’agirait d’une vengeance et de répondre par la haine à la haine. Le seul problème c’est que cette haine contre les institutions, les biens et les personnes visent surtout les populations où ils sont résidents. Une sorte de manière de se tirer une balle dans le pied en appauvrissant encore un peu plus des quartiers déjà peu favorisés.

Il n’y a évidemment aucune gloire ni aucun courage à brûler des bus, des écoles et autres équipements publiques ou privées. Seulement la lâcheté qui émerge de foules en délire. La plupart des intéressés se vengent surtout de leur propre échec et rejette en même temps institutions et valeurs républicaines. Dans nombre de pays en développement, ces révoltes n’auraient pas duré longtemps car la régulation des violences obéit à d’autres principes qui ne sont pas les principes laxistes des démocraties développées.

Avec le recul on pourra considérer qu’il s’agissait d’une sorte de révolution des cours d’école puisque la plupart des impliqués ont autour de 15 à 16 ans (17 ans en moyenne) mais une cour d’école où le crime prend la place des jeux. Car il s’agit bien de jeux pour beaucoup qui cassent pour casser. Une sorte de révolte contre leur propre parcours scolaire. On comprend mal que le pouvoir n’est pas réagi immédiatement en décrétant l’état d’urgence pourtant souhaité par 70 % de la population d’autant qu’il s’agit de gamins stupides et violents.

Encore la démonstration de l’impuissance de l’État qui tente toujours de ménager les uns et les autres et qui fait du en même temps dans le domaine sociétal. Certes la réponse globale ne serait être uniquement en termes de répression mais là encore Macron a choisi l’immobilisme. Pire, il a humilié publiquement le rapport Borloo qu’il avait lui-même commandé sur des banlieues en mai 2018. Justement un plan global qui manque tellement aujourd’hui.

Politique-Emeutes des quartiers : le triomphe de la bêtise de gosses mal élevés et et de l’impuissance politique

Politique-Emeutes des quartiers : le triomphe de la bêtise de gosses mal élevés et et de l’impuissance politique

Il y a quelque chose de pathétique dans les explications de jeunes impliqués dans les émeutes. Pour eux , il s’agirait d’une vengeance et de répondre par la haine à la haine. Le seul problème c’est que cette haine contre les institutions, les biens et les personnes visent surtout les populations où ils sont résidents. Une sorte de manière de se tirer une balle dans le pied en appauvrissant encore un peu plus des quartiers déjà peu favorisés.

Il n’y a évidemment aucune gloire ni aucun courage à brûler des bus, des écoles et autres équipements publiques ou privées. Seulement la lâcheté qui émerge de foules en délire. La plupart des intéressés se vengent surtout de leur propre échec et rejette en même temps institutions et valeurs républicaines. Dans nombre de pays en développement, ces révoltes n’auraient pas duré longtemps car la régulation des violences obéit à d’autres principes qui ne sont pas les principes laxistes des démocraties développées.

Avec le recul on pourra considérer qu’il s’agissait d’une sorte de révolution des cours d’école puisque la plupart des impliqués ont autour de 15 à 16 ans (17 ans en moyenne) mais une cour d’école où le crime prend la place des jeux. Car il s’agit bien de jeux pour beaucoup qui cassent pour casser. Une sorte de révolte contre leur propre parcours scolaire. On comprend mal que le pouvoir n’est pas réagi immédiatement en décrétant l’état d’urgence pourtant souhaité par 70 % de la population d’autant qu’il s’agit de gamins stupides et violents.

Encore la démonstration de l’impuissance de l’État qui tente toujours de ménager les uns et les autres et qui fait du en même temps dans le domaine sociétal. Certes la réponse globale ne serait être uniquement en termes de répression mais là encore Macron a choisi l’immobilisme. Pire, il a humilié publiquement le rapport Borloo qu’il avait lui-même commandé sur des banlieues en mai 2018. Justement un plan global qui manque tellement aujourd’hui.

Emeutes des quartiers : le triomphe de la bêtise et de l’impuissance

Emeutes des quartiers : le triomphe de la bêtise et de l’impuissance

Il y a quelque chose de pathétique dans les explications de jeunes impliqués dans les 10 émeutes. Pour eux , il s’agirait d’une vengeance et de répondre par la haine à la haine. Le seul problème c’est que cette haine contre les institutions, les biens et les personnes visent surtout les populations où ils sont résidents. Une sorte de manière de se tirer une balle dans le pied en appauvrissant encore un peu plus des quartiers déjà peu favorisés.

Il n’y a évidemment aucune gloire ni aucun courage à brûler des bus, des écoles et autres équipements publiques ou privées. Seulement la lâcheté qui émerge de foules en délire. La plupart des intéressés se vengent surtout de leur propre échec et rejette en même temps institutions et valeurs républicaines. Dans nombre de pays en développement, ces révoltes n’auraient pas duré longtemps car la régulation des violences obéit à d’autres principes qui ne sont pas les principes laxistes des démocraties développées.

Avec le recul on pourra considérer qu’il s’agissait d’une sorte de révolution des cours d’école puisque la plupart des impliqués ont autour de 15 à 16 ans (17 ans en moyenne) mais une cour d’école où le crime prend la place des jeux. Car il s’agit bien de jeux pour beaucoup qui cassent pour casser. Une sorte de révolte contre leur propre parcours scolaire. On comprend mal que le pouvoir n’est pas réagi immédiatement en décrétant l’état d’urgence pourtant souhaité par 70 % de la population d’autant qu’il s’agit de gamins stupides et violents.

Encore la démonstration de l’impuissance de l’État qui tente toujours de ménager les uns et les autres et qui fait du en même temps dans le domaine sociétal. Certes la réponse globale ne serait être uniquement en termes de répression mais là encore Macron a choisi l’immobilisme. Pire, il a humilié publiquement le rapport Borloo qu’il avait lui-même commandé sur des banlieues en mai 2018. Justement un plan global qui manque tellement aujourd’hui.

Emeutes: le triomphe de la bêtise et de l’impuissance

Emeutes: le triomphe de la bêtise et de l’impuissance

Il y a quelque chose de pathétique dans les explications de jeunes impliqués dans les 10 émeutes. Pour eux il s’agirait d’une vengeance et de répondre par la haine à la haine. Le seul problème c’est que cette haine contre les institutions, les biens et les personnes visent surtout les populations où ils sont résidents. Une sorte de manière de se tirer une balle dans le pied en appauvrissant encore un peu plus des quartiers déjà peu favorisés.

Il n’y a évidemment aucune gloire ni aucun courage à brûler des bus, des écoles et autres équipements publiques ou privées. Seulement dux la lâcheté qui émerge de foules en délire. La plupart des intéressés se venge surtout de leur propre échec et rejette en même temps institutions et valeurs républicaines. Dans nombre de pays en développement ces révoltes n’auraient pas duré longtemps car la régulation des violences obéit à d’autres principes qui ne sont pas les principes laxistes des démocraties développées.

Avec le recul on pourra considérer qu’il s’agissait d’une sorte de révolution des cours d’école puisque la plupart des impliqués ont autour de 15 à 16 ans (18 ans en moyenne) mais une cour d’école ou le crime prend la place des jeux. Car il s’agit bien de jeux pour beaucoup qui cassent pour casser. Une sorte de révolte contre leur propre parcours scolaire. On comprend mal que le pouvoir n’est pas réagi immédiatement en décrétant l’état d’urgence pourtant souhaitée par 70 % de la population d’autant qu’il s’agit de gamins stupides et violents.
Encore la démonstration de l’impuissance de l’État qui tente toujours de ménager les uns et les autres et qui fait du en même temps dans le domaine sociétal. Certes la réponse globale ne serait être uniquement en termes de répression mais là encore Macon a choisi l’immobilisme. Pire il a humilié publiquement le rapport Borloo qu’il avait lui-même commandé sur des banlieues en mai 2018. Justement un plan global qui manque tellement aujourd’hui.

« Décivilisation »: constat de l’impuissance de Macron

« Décivilisation »: constat de l’impuissance de Macron

À défaut de faire preuve d’efficacité démocratique et sociétale, Macron se transforme en fabricant de concept avec ce nouveau mot de « décivilisation ». L’objectif est évidemment de cacher l’inefficacité de l’action des pouvoirs publics vis-à-vis des différentes violences par une création sémantique pseudo intellectuelle.

Emmanuel Macron alerte contre le risque d’une « décivilisation ». Lors du Conseil des ministres qui s’est tenu ce mercredi matin à l’Élysée, le président de la République a mis en garde face à un délitement de la société dans le contexte des actes de violences de ces dernières semaines, notamment marquées par des menaces contre des élus.

Le problème cependant est la conséquence directe de l’affaiblissement considérable de l’État et des services publics et la perte de confiance totale dans le discours politique. Et le président lui-même participe à l’affrontement à la destruction de l’unité du pays avec ses petites phrases irresponsables et méprisantes.

Parmi le phénomène de violence, il faut toutefois signaler l’importance de la conséquence de la véritable vague de drogue qui envahit le pays et qui se traduit aussi par des règlements de compte quotidien entraînant la mort.

« Décivilisation », c’est tout d’abord le titre d’un livre de Renaud Camus, théoricien du concept de « grand remplacement » cher à une partie de l’extrême droite. « Ce livre est une attaque en règle contre une forme de démocratisation de la culture. Dans son livre Renaud Camus attaquait notamment le fait que la culture ne soit plus héréditaire. Il s’attaque aussi au système éducatif, qui selon lui, a partir du moment où l’éducation est « nationale, » n’instruit plus mais nivelle pas le bas », nous éclaire Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l’extrême droite.

Il y a une autre définition du terme, celle du sociologue allemand Norbert Elias et d’autres sociologues qui ont prolongé ses travaux, qui peut davantage correspondre à l’utilisation qu’en a eu Emmanuel Macron, et au contexte auquel le chef de l’État fait référence.

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« Décivilisation »: nouveau concept de l’impuissance de Macron

« Décivilisation »: nouveau concept de l’impuissance de Macron

À défaut de faire preuve d’efficacité démocratique et sociétale, Macron se transforme en fabricant de concept avec ce nouveau mot de « décivilisation ». L’objectif est évidemment de cacher l’inefficacité de l’action des pouvoirs publics vis-à-vis des différentes violences par une création sémantique pseudo intellectuelle.

Emmanuel Macron alerte contre le risque d’une « décivilisation ». Lors du Conseil des ministres qui s’est tenu ce mercredi matin à l’Élysée, le président de la République a mis en garde face à un délitement de la société dans le contexte des actes de violences de ces dernières semaines, notamment marquées par des menaces contre des élus.

Le problème cependant est la conséquence directe de l’affaiblissement considérable de l’État et des services publics et la perte de confiance totale dans le discours politique. Et le président lui-même participe à l’affrontement à la destruction de l’unité du pays avec ses petites phrases irresponsables et méprisantes.

Parmi le phénomène de violence, il faut toutefois signaler l’importance de la conséquence de la véritable vague de drogue qui envahit le pays et qui se traduit aussi par des règlements de compte quotidien entraînant la mort.

« Décivilisation », c’est tout d’abord le titre d’un livre de Renaud Camus, théoricien du concept de « grand remplacement » cher à une partie de l’extrême droite. « Ce livre est une attaque en règle contre une forme de démocratisation de la culture. Dans son livre Renaud Camus attaquait notamment le fait que la culture ne soit plus héréditaire. Il s’attaque aussi au système éducatif, qui selon lui, a partir du moment où l’éducation est « nationale, » n’instruit plus mais nivelle pas le bas », nous éclaire Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l’extrême droite.

Il y a une autre définition du terme, celle du sociologue allemand Norbert Elias et d’autres sociologues qui ont prolongé ses travaux, qui peut davantage correspondre à l’utilisation qu’en a eu Emmanuel Macron, et au contexte auquel le chef de l’État fait référence.

Sémantique politique – « Décivilisation »: nouveau concept de l’impuissance de Macron

Sémantique politique – « Décivilisation »: nouveau concept de l’impuissance de Macron

À défaut de faire preuve d’efficacité démocratique et sociétale, Macron se transforme en fabricant de concept avec ce nouveau mot de « décivilisation ». L’objectif est évidemment de cacher l’inefficacité de l’action des pouvoirs publics vis-à-vis des différentes violences par une création sémantique pseudo intellectuelle.

Emmanuel Macron alerte contre le risque d’une « décivilisation ». Lors du Conseil des ministres qui s’est tenu ce mercredi matin à l’Élysée, le président de la République a mis en garde face à un délitement de la société dans le contexte des actes de violences de ces dernières semaines, notamment marquées par des menaces contre des élus.

Le problème cependant est la conséquence directe de l’affaiblissement considérable de l’État et des services publics et la perte de confiance totale dans le discours politique. Et le président lui-même participe à l’affrontement à la destruction de l’unité du pays avec ses petites phrases irresponsables et méprisantes.

Parmi le phénomène de violence, il faut toutefois signaler l’importance de la conséquence de la véritable vague de drogue qui envahit le pays et qui se traduit aussi par des règlements de compte quotidien entraînant la mort.

« Décivilisation », c’est tout d’abord le titre d’un livre de Renaud Camus, théoricien du concept de « grand remplacement » cher à une partie de l’extrême droite. « Ce livre est une attaque en règle contre une forme de démocratisation de la culture. Dans son livre Renaud Camus attaquait notamment le fait que la culture ne soit plus héréditaire. Il s’attaque aussi au système éducatif, qui selon lui, a partir du moment où l’éducation est « nationale, » n’instruit plus mais nivelle pas le bas », nous éclaire Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l’extrême droite.

Il y a une autre définition du terme, celle du sociologue allemand Norbert Elias et d’autres sociologues qui ont prolongé ses travaux, qui peut davantage correspondre à l’utilisation qu’en a eu Emmanuel Macron, et au contexte auquel le chef de l’État fait référence.

Sémantique- « Décivilisation »: nouveau concept de l’impuissance de Macron

Sémantique- « Décivilisation »: nouveau concept de l’impuissance de Macron

À défaut de faire preuve d’efficacité démocratique et sociétale, Macron se transforme en fabricant de concept avec ce nouveau mot de « décivilisation ». L’objectif est évidemment de cacher l’inefficacité de l’action des pouvoirs publics vis-à-vis des différentes violences par une création sémantique pseudo intellectuelle.

Emmanuel Macron alerte contre le risque d’une « décivilisation ». Lors du Conseil des ministres qui s’est tenu ce mercredi matin à l’Élysée, le président de la République a mis en garde face à un délitement de la société dans le contexte des actes de violences de ces dernières semaines, notamment marquées par des menaces contre des élus.

Le problème cependant est la conséquence directe de l’affaiblissement considérable de l’État et des services publics et la perte de confiance totale dans le discours politique. Et le président lui-même participe à l’affrontement à la destruction de l’unité du pays avec ses petites phrases irresponsables et méprisantes.

Parmi le phénomène de violence, il faut toutefois signaler l’importance de la conséquence de la véritable vague de drogue qui envahit le pays et qui se traduit aussi par des règlements de compte quotidien entraînant la mort.

« Décivilisation », c’est tout d’abord le titre d’un livre de Renaud Camus, théoricien du concept de « grand remplacement » cher à une partie de l’extrême droite. « Ce livre est une attaque en règle contre une forme de démocratisation de la culture. Dans son livre Renaud Camus attaquait notamment le fait que la culture ne soit plus héréditaire. Il s’attaque aussi au système éducatif, qui selon lui, a partir du moment où l’éducation est « nationale, » n’instruit plus mais nivelle pas le bas », nous éclaire Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l’extrême droite.

Il y a une autre définition du terme, celle du sociologue allemand Norbert Elias et d’autres sociologues qui ont prolongé ses travaux, qui peut davantage correspondre à l’utilisation qu’en a eu Emmanuel Macron, et au contexte auquel le chef de l’État fait référence.

Politique- « Décivilisation »: nouveau concept de l’impuissance de Macron

Politique- « Décivilisation »: nouveau concept de l’impuissance de Macron

À défaut de faire preuve d’efficacité démocratique et sociétale, Macron se transforme en fabricant de concept avec ce nouveau mot de « décivilisation ». L’objectif est évidemment de cacher l’inefficacité de l’action des pouvoirs publics vis-à-vis des différentes violences par une création sémantique pseudo intellectuelle.

Emmanuel Macron alerte contre le risque d’une « décivilisation ». Lors du Conseil des ministres qui s’est tenu ce mercredi matin à l’Élysée, le président de la République a mis en garde face à un délitement de la société dans le contexte des actes de violences de ces dernières semaines, notamment marquées par des menaces contre des élus.

Le problème cependant est la conséquence directe de l’affaiblissement considérable de l’État et des services publics et la perte de confiance totale dans le discours politique. Et le président lui-même participe à l’affrontement à la destruction de l’unité du pays avec ses petites phrases irresponsables et méprisantes.

Parmi le phénomène de violence, il faut toutefois signaler l’importance de la conséquence de la véritable vague de drogue qui envahit le pays et qui se traduit aussi par des règlements de compte quotidien entraînant la mort.

« Décivilisation », c’est tout d’abord le titre d’un livre de Renaud Camus, théoricien du concept de « grand remplacement » cher à une partie de l’extrême droite. « Ce livre est une attaque en règle contre une forme de démocratisation de la culture. Dans son livre Renaud Camus attaquait notamment le fait que la culture ne soit plus héréditaire. Il s’attaque aussi au système éducatif, qui selon lui, a partir du moment où l’éducation est « nationale, » n’instruit plus mais nivelle pas le bas », nous éclaire Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l’extrême droite.

Il y a une autre définition du terme, celle du sociologue allemand Norbert Elias et d’autres sociologues qui ont prolongé ses travaux, qui peut davantage correspondre à l’utilisation qu’en a eu Emmanuel Macron, et au contexte auquel le chef de l’État fait référence.

« Décivilisation »: nouveau concept de l’impuissance de Macron

« Décivilisation »: nouveau concept de l’impuissance de Macron

À défaut de faire preuve d’efficacité démocratique et sociétale, Macron se transforme en fabricant de concept avec ce nouveau mot de « décivilisation ». L’objectif est évidemment de cacher l’inefficacité de l’action des pouvoirs publics vis-à-vis des différentes violences par une création sémantique pseudo intellectuelle.

Emmanuel Macron alerte contre le risque d’une « décivilisation ». Lors du Conseil des ministres qui s’est tenu ce mercredi matin à l’Élysée, le président de la République a mis en garde face à un délitement de la société dans le contexte des actes de violences de ces dernières semaines, notamment marquées par des menaces contre des élus.

Le problème cependant est la conséquence directe de l’affaiblissement considérable de l’État et des services publics et la perte de confiance totale dans le discours politique. Et le président lui-même participe à l’affrontement à la destruction de l’unité du pays avec ses petites phrases irresponsables et méprisantes.

Parmi le phénomène de violence, il faut toutefois signaler l’importance de la conséquence de la véritable vague de drogue qui envahit le pays et qui se traduit aussi par des règlements de compte quotidien entraînant la mort.

« Décivilisation », c’est tout d’abord le titre d’un livre de Renaud Camus, théoricien du concept de « grand remplacement » cher à une partie de l’extrême droite. « Ce livre est une attaque en règle contre une forme de démocratisation de la culture. Dans son livre Renaud Camus attaquait notamment le fait que la culture ne soit plus héréditaire. Il s’attaque aussi au système éducatif, qui selon lui, a partir du moment où l’éducation est « nationale, » n’instruit plus mais nivelle pas le bas », nous éclaire Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l’extrême droite.

Il y a une autre définition du terme, celle du sociologue allemand Norbert Elias et d’autres sociologues qui ont prolongé ses travaux, qui peut davantage correspondre à l’utilisation qu’en a eu Emmanuel Macron, et au contexte auquel le chef de l’État fait référence.

Réforme sociale : l’étatisation systématique du débat à cause de l’impuissance du Medef

Réforme sociale : l’étatisation systématique du débat à cause de l’impuissance du Medef

D’une certaine manière, le silence du Medef est assez scandaleux dans une période où les enjeux économiques et sociaux sont aussi importants. Par son silence et son manque de courage, le Medef est en train de transférer ses responsabilités de partenaires sociales à l’Etat. Du coup, le gouvernement et les organisations syndicales tombent dans le piège de l’étatisation du débat. Or dans le domaine social, l’État a rarement fait preuve de son efficacité et ce terrain n’est pas de sa responsabilité quand il ne met pas en cause l’intérêt général comme dans le code du travail. Il n’est pas normal que les organisations patronales et les organisations syndicales ne se soient pas saisies en priorité de la problématique du travail sous tous ses aspects. Ce n’est pas au gouvernement qui n’y connaît rien de décider seul de cette question. Il faut arrêter la folie de Macron de vouloir lui-même procéder aux réformes du champ social. Il n’en a ni la légitimité, ni la connaissance. Les réformes sociales (qui touchent aussi au plan économique la plupart du temps) doivent en priorité être débattue entre partenaires sociaux. Ce n’est qu’ensuite que le politique doit prendre le relais s’il y a lieu de légiférer.

Il serait temps que le Medef et les organisations syndicales de salariés tirent la sonnette d’alarme pour rappeler au chef de l’État son rôle et ses limites. Macron est en effet en train de transformer la démocratie française en autocratie où il se prend à la fois pour le syndicaliste en chef, pour le patron de toutes les entreprises, pour les organisations intermédiaires, pour le Parlement, pour le gouvernement et pour le monarque.

De ce point de vue, il y a sans doute une erreur du Medef à adopter une position qui consiste à faire le dos rond en acceptant finalement le transfert de responsabilité sociale sur le gouvernement.

Ce Medef doit aussi changer sa culture trop souvent réactionnaire et bien loin de ce qui se pratique en matière de négociation sociale dans les pays du Nord de l’Europe et en particulier en Allemagne. Le Medef et autres organisations patronales avec les syndicats doivent cogérer le débat sur les questions socioéconomiques.

Et les syndicats de salariés de leur côté ne doivent pas tomber dans le piège de la politisation de la problématique sociale. Il ne faut pas se tourner systématiquement vers les partis politiques, le Parlement, le gouvernement ou le chef de l’État. Il faut se retourner vers les chefs d’entreprises au niveau national et au plan local selon la nature des questions.

Les partenaires sociaux doivent aussi faire leur révolution culturelle et en quelque sorte se dépolitiser à tout point de vue.

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