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BCE-Baisse des taux d’intérêt : pas dans l’immédiat mais courant 2024

BCE-Baisse des taux d’intérêt : pas dans l’immédiat

D’une certaine manière la banque centrale européenne souffle le chaud et le froid et surtout sans doute tente de ne pas s’éloigner de la politique monétaire américaine afin de ne pas mettre en péril l’euro. Dans un premier temps Christine Lagarde la présidente de l’abaisser le avait indiqué il n’était pas question de baisse de taux d’intérêt dans l’immédiat. Elle vient cependant de rectifier le tir en indiquant que des baisses cependant interviendraient courant 2024. Une inflexion du discours qui tient sans doute compte du très net tassement de la croissance européenne notamment par rapport aux États-Unis.

Si la banque fédérale américaine a bien laissé entendre dans un premier temps que des baisses des taux d’intérêt interviendraient dans le courant de 2024, l’enthousiasme de la banque centrale européenne est nettement plus contenu. Certes, la BCE n’est pas opposée le moment venu à cette diminution mais à condition que l’inflation recule de manière significative et durable. Ce qu’indique le chef économiste de la banque centrale, Philippe Lane. Il y a cependant une grande différence entre la situation américaine et la situation européenne. En effet les États-Unis bénéficient d’une croissance solide, ce qui n’est pas le cas de l’Europe qui va tutoyer la stagnation en 2024. L’union européenne pourrait donc avoir besoin de façon plus urgente d’une diminution des taux d’intérêt pour ne pas affaiblir une croissance déjà faiblarde voir nulle. L’ennui c’est que la BCE ne peut totalement ce désolidariser de la banque centrale américaine sans mettre en danger l’euro.

La banque centrale européenne a sans doute raison d’être aussi prudente car dans les premiers mois de 2024 on devrait enregistrer un sursaut de l’inflation car la plupart des prix des produits et autres services vont subir des augmentations à partir du début de l’année prochaine. Souvent des augmentations à deux chiffres qui ne pourront être amortis que sur l’année.

Par ailleurs demeure un peu partout dans le monde et particulièrement en France où la productivité ne progresse pas une part d’inflation structurelle qui ne pourra sauf réforme d’ampleur. La baisse des taux d’intérêt n’est pas pour tout de suite d’après la BCE. Mais vient d’indiquer Christine Lagarde préside de la BCE, cette baisse pourrait intervenir courant 2024.

Philip Lane, l’économiste en chef de la BCE, a donc douché les espoirs d’une baisse des taux d’intérêt dès le mois de mars 2024, comme l’anticipaient certains investisseurs. Il estime que le reflux de l’inflation n’est pas encore assez solide et que la BCE enclenchera une probable série de baisse des taux à partir des données du premier semestre, si elles sont satisfaisantes.

Conclusion :P as de baisse à court terme mais une probable série de baisses très progressives enclenchée à partir du second semestre

Baisse des taux d’intérêt : pas dans l’immédiat

Baisse des taux d’intérêt : pas dans l’immédiat

Si la banque fédérale américaine a bien laissé entendre que des baisses des taux d’intérêt interviendraient dans le courant de 2024, l’enthousiasme de la banque centrale européenne est nettement plus contenu. Certes, la BCE n’est pas opposée le moment venu à cette diminution mais à condition que l’inflation recule de manière significative et durable. Ce qu’indique le chef économiste de la banque centrale, Philippe Lane.

La banque centrale européenne a sans doute raison d’être aussi prudente car dans les premiers mois de 2024 on devrait enregistrer un sursaut de l’inflation car la plupart des prix des produits et autres services vont subir des augmentations à partir du début de l’année prochaine. Souvent des augmentations à deux chiffres qui ne pourront être amortis que sur l’année.

Par ailleurs demeure un peu partout dans le monde et particulièrement en France où la productivité ne progresse pas une part d’inflation structurelle qui ne pourra sauf réforme d’ampleur. La baisse des taux d’intérêt n’est pas pour tout de suite d’après la BCE

Philip Lane, l’économiste en chef de la BCE, a donc douché les espoirs d’une baisse des taux d’intérêt dès le mois de mars 2024, comme l’anticipaient certains investisseurs. Il estime que le reflux de l’inflation n’est pas encore assez solide et que la BCE enclenchera une probable série de baisse des taux à partir des données du premier semestre, si elles sont satisfaisantes.

Conclusion :P as de baisse à court terme mais une probable série de baisses très progressives enclenchée à partir du second semestre

Commissariat au Plan : contre la dictature de l’immédiat et le laisser-faire

Commissariat au Plan : contre la dictature de l’immédiat et le laisser-faire

 

Le nouveau haut-commissaire au plan, François Bayrou, a rappelé qu’il convenait de lutter contre la dictature de l’immédiat et le laisser-faire. Il s’agit non seulement d’éclairer les scénarios d’avenir pour notamment l’économie mais tout autant d’associer les acteurs à la réflexion pour obtenir un meilleur consensus aux évolutions structurelles.

 Les médias ultra libéraux ont fortement critiqué cette résurgence du concept de plan en la caricaturant et en considérant qu’il s’agissait d’un projet visant à étatiser l’économie . La première observation qu’il convient de faire ce que le plan n’a jamais été en France un instrument orientant la totalité de l’économie. Le plan s’est toujours contenté de définir des hypothèses d’évolution et quelques priorités stratégiques sur un champ qui ne dépassait pas 10 % de l’ensemble de l’économie.

D’autres reproches sont adressées au plan du fait de son manque de moyens. Pourtant plan n’a pourtant jamais constitué une administration très lourde. On peut même dire que les effectifs étaient assez légers mais il y avait possibilité de recourir aux compétences d’experts, d’universitaires et autres responsables de l’administration.

Pour  François Bayrou il s’agit surtout de : « Réunir, fédérer sur des lignes directrices, faire apparaître, aux yeux de tous, des points de consensus sur l’intérêt général et accepter les points qui font débat, les options différentes, voire antagonistes ». Il s’agit, , « d’établir ensemble des faits incontournables et des nécessités incontournables », qui « échappent à l’idéologie […] à la subjectivité ».

 

Le chef de l’État a évoqué trois grands thèmes de travail: la « vitalité de la France » -écologie, démographie, identité, francophonie, recherche et innovation etc.), « l’indépendance » (relocalisations, productions vitales, souveraineté agricole, dette…) et la « justice » (inégalités, éducation, santé, aménagement du territoire, aide au développement…).




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