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Bistrot : Une nouvelle licence IV pour remplacer les services publics !

Bistrot : Une nouvelle licence IV pour remplacer les services publics !

En 40 ans, 80 % des bistrots ont disparu, il en reste environ 30 000. L’idée du gouvernement est de réactiver le secteur avec une nouvelle licence 1V qui appartiendrait aux collectivités locales. Ces nouveaux bistrots étendraient le champ de leurs activités  par exemple comme point relais pour le transport, pour certaines opérations de la poste en plus de leur rôle traditionnel comme points de  rencontres et de convivialité. L’idée du gouvernement qui n’est pas totalement idiote est de reconstituer une espèce de pôle privé qui assurerait les activités classiques du café mais auquel s’ajouterait d’autres activités commerciales et de services publics.  La question est de savoir n’est pas déjà trop tard car dans nombre de quartiers un peu éloigné des centres et  dans les zones rurales, il y a longtemps que le bistrot a disparu comme d’autres commerces ailleurs. « Le café du village, autrefois lieu de rencontre central pour les habitants, a souvent disparu », reconnaît Jean-Marc Borello, le président de Groupe SOS qui veut recréer  ces lieux de vie dans des communes rurales en souffrance. « L’idée n’est pas originale, tout le monde en parle depuis longtemps mais ce qui l’est, c’est que nous avons décidé de tenter le coup. »

Un millier de nouvelles licences IV un peu particulières puisqu’elles appartiendront aux mairies dans lesquelles les cafés seront ouverts. Autrement dit, si les patrons des bars veulent fermer leur établissement, ils ne pourront pas céder leur licence à un exploitant extérieur à la commune. Cette pratique a participé à la paupérisation des centres-villes, les patrons de bistrot partant à la retraite préférant vendre leur licence à un exploitant extérieur à la ville pour  y ouvrir bars et bistrots en périphérie. Ce ne sera plus le cas avec ces nouvelles licences IV qui permettront des créer de nouveaux bars appelés à devenir « des lieux de vie pour les acteurs associatifs locaux, lieux de programmation culturelle, relais de mobilité et points d’accompagnement et de convivialité pour les seniors », précise Jean-Marc Borello.

60% des bacheliers échouent en première année de licence

60% des bacheliers échouent en première  année de licence

Ajuste titre La ministre de l’enseignement supérieur ne manque pas de dénoncer régulièrement ces quelque « 60 % d’échec ». Un chiffre catastrophique qui témoigne de la dévalorisation du bac, de l’incohérence des orientations des étudiants et de la mode de la diplômite en France. Témoins sur ce dernier point,  un nombre de diplômés très importants en France par rapport à celui de l’Europe mais par contre avec un taux de chômage plus important pour les intéressés. Preuve s’il en était qu’on fabrique des diplômés mal  adapté au marché du travail. Si la France compte un pourcentage de diplômés de l’enseignement supérieur plus important que celui de la moyenne européenne (43,6% contre 39,1%), elle est en revanche «à la traîne» en matière d’employabilité. «L’UE vise, en 2020, un taux d’emploi de 82% des diplômés des enseignements supérieur ou secondaire dans les trois ans suivant l’obtention du diplôme», détaille l’INSEE. En 2016, plusieurs pays ont déjà atteint la cible, notamment l’Allemagne et les Pays-Bas où ce taux dépasse déjà 90%. La France n’occupe que la 24ème position dans l’Union européenne avec une employabilité de 71,7%. Concernant la formation tout au long de la vie, la France fait mieux que la moyenne européenne: 18,8% des adultes français âgés de 25 à 64 ans ont suivi un cours ou une formation dans les quatre semaines précédant l’enquête (contre 10,8% au niveau européen). Le  ministère constate par ailleurs  les écarts de réussite importants selon le bac d’origine de l’étudiant. Il constitue le facteur le plus discriminant dans la réussite. Ainsi, si 41,6 % de l’ensemble des étudiants inscrits en L1 passent en L2 à la fin de l’année, c’est le cas que de 50,8 % des bacheliers généraux, 13,6 % des bacheliers technologiques et 4,6 % des bacheliers professionnels. On pourrait aussi s’interroger sur les écarts importants de réussite après trois ans d’études en licence. En effet ces taux varient de 20 % à plus de 60 % !  C’est une fois de plus l’université d’Angers qui arrive en tête avec 64,2 % de réussite, suivi de l’université Lyon-II (60,8 %) et celle de Paris-IV (58,6 %). LI y aurait pour le moins nécessité d’engager des études dévaluation sur les conditions de délivrance de certains diplômes dans certaines disciplines !

 

Comme le bac , la licence pour tous !

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  • Comme  le bac , la licence pour tous !

 

  • On se souvient que ces l’énarque Chevènement qui avaient décidé de l’objectif d’un bac pour tous ou presque. Objectif pratiquement atteint grâce en particulier à la multiplication des disciplines et en particulier de bac pro qui débouche directement sur pôle emploi. Hollande y va de sa petite démagogie en souhaitant maintenant la licence pour tous avec un objectif intermédiaire de 60 % d’ici 10 ans. Certes la montée globale et continue de la formation initiale comme permanente et incontournable pour permettre au pays de rester compétitif et en même temps pour augmenter le niveau culturel moyen. Pour autant si l’on se fie au classement mondiaux qui évalue les systèmes éducatifs la France ne cesse de reculer et se trouve en queue de peloton des pays développés voir même de certains pays en développement. En cause la dégradation des niveaux de formation. Sauf en ce qui concerne l’élite. Certain bac pro valent sans doute moins aujourd’hui que le certificat d’études primaires de 1930. Une dégradation qui concernera tout autant certaines licences, le processus est déjà largement engagé. On forme par exemple des hordes de licenciés en psychologie, en histoire voir en économie qui eux aussi hantent les bureaux de pôle emploi pour obtenir le résultat souhaité par Hollande il faudra multiplier les spécialités comme avec le bac bref des spécialités bidons qui par exemple pour certains bacheliers actuels peuvent au mieux espérer une place de caissière chez Carrefour. Demain sans doute on inventera pour les licences une spécialité de psychosociologie  des désœuvrés des quartiers ghettoïsés   qui est au mieux débouchera sur un emploi de vigile. Il serait temps de mettre un terme de cette course au diplôme universitaire et notamment de réhabiliter la filière apprentissage considérée avec une grande condescendance par nos responsables politiques, notre système éducatif aussi malheureusement par les parents. En visite pour la rentrée scolaire dans un établissement d’Orléans, François Hollande a appelé de ses vœux une réforme du lycée après celle du collège. François Hollande a défendu son bilan en matière d’éducation, jeudi lors d’une visite à Orléans à l’occasion de la rentrée scolaire, et s’est projeté dans l’avenir,   »Pour les prochaines années (…) nous devons renforcer encore un certain nombre de changements, notamment entre le collège et le lycée. Le lycée doit être maintenant la prochaine étape de nos réformes », a dit le Président, ajoutant que cela concernait aussi bien le lycée général que le lycée professionnel. « Ils doivent être eux aussi être tournés vers les enjeux d’avenir », vers « les métiers d’avenir ». « Nous devons aussi faire en sorte de mieux assurer la transition entre le lycée et l’enseignement supérieur », a poursuivi le président. Inscrivant son action dans la durée, au-delà du quinquennat en cours, François Hollande a fixé comme objectif que dans dix ans « 60% d’une classe d’âge soit diplômée de la licence ». Le chef de l’Etat avait auparavant longuement défendu son bilan en matière d’éducation, en particulier les réformes controversées des rythmes scolaires et du collège. « L’école ne peut pas rester immuable », a-t-il répondu aux critiques. Il s’est réjoui des résultats en matière de lutte contre le décrochage scolaire et de la progression du numérique à l’école. « Fin 2018, tous les collèges de France (…) auront accès au numérique », a-t-il promis. Le chef de l’Etat a de nouveau assuré que sa promesse emblématique de créer 60.000 postes dans l’enseignement pendant son quinquennat serait tenue.

Après le bac pour tous, la licence pour tous (Hollande)

Après le bac pour tous, la licence pour tous (Hollande)

On se souvient que ces l’énarque Chevènement qui avaient décidé de l’objectif d’un bac pour tous ou presque. Objectif pratiquement atteint grâce en particulier à la multiplication des disciplines et en particulier de bac pro qui débouche directement sur pôle emploi. Hollande y va de sa petite démagogie en souhaitant maintenant la licence pour tous avec un objectif intermédiaire de 60 % d’ici 10 ans. Certes la montée globale et continue de la formation initiale comme permanente et incontournable pour permettre au pays de rester compétitif et en même temps pour augmenter le niveau culturel moyen. Pour autant si l’on se fie au classement mondiaux qui évalue les systèmes éducatifs la France ne cesse de reculer et se trouve en queue de peloton des pays développés voir même de certains pays en développement. En cause la dégradation des niveaux de formation. Sauf en ce qui concerne l’élite. Certain bac pro valent sans doute moins aujourd’hui que le certificat d’études primaires de 1930. Une dégradation qui concernera tout autant certaines licences, le processus est déjà largement engagé. On forme par exemple des hordes de licenciés en psychologie, en histoire voir en économie qui eux aussi hantent les bureaux de pôle emploi pour obtenir le résultat souhaité par Hollande il faudra multiplier les spécialités comme avec le bac bref des spécialités bidons qui par exemple pour certains bacheliers actuels peuvent au mieux espérer une place de caissière chez Carrefour. Demain sans doute on inventera pour les licences une spécialité de psychosociologie  des désœuvrés des quartiers ghettoïsés   qui est au mieux débouchera sur un emploi de vigile. Il serait temps de mettre un terme de cette course au diplôme universitaire et notamment de réhabiliter la filière apprentissage considérée avec une grande condescendance par nos responsables politiques, notre système éducatif aussi malheureusement par les parents. En visite pour la rentrée scolaire dans un établissement d’Orléans, François Hollande a appelé de ses vœux une réforme du lycée après celle du collège. François Hollande a défendu son bilan en matière d’éducation, jeudi lors d’une visite à Orléans à l’occasion de la rentrée scolaire, et s’est projeté dans l’avenir,   »Pour les prochaines années (…) nous devons renforcer encore un certain nombre de changements, notamment entre le collège et le lycée. Le lycée doit être maintenant la prochaine étape de nos réformes », a dit le Président, ajoutant que cela concernait aussi bien le lycée général que le lycée professionnel. « Ils doivent être eux aussi être tournés vers les enjeux d’avenir », vers « les métiers d’avenir ». « Nous devons aussi faire en sorte de mieux assurer la transition entre le lycée et l’enseignement supérieur », a poursuivi le président. Inscrivant son action dans la durée, au-delà du quinquennat en cours, François Hollande a fixé comme objectif que dans dix ans « 60% d’une classe d’âge soit diplômée de la licence ». Le chef de l’Etat avait auparavant longuement défendu son bilan en matière d’éducation, en particulier les réformes controversées des rythmes scolaires et du collège. « L’école ne peut pas rester immuable », a-t-il répondu aux critiques. Il s’est réjoui des résultats en matière de lutte contre le décrochage scolaire et de la progression du numérique à l’école. « Fin 2018, tous les collèges de France (…) auront accès au numérique », a-t-il promis. Le chef de l’Etat a de nouveau assuré que sa promesse emblématique de créer 60.000 postes dans l’enseignement pendant son quinquennat serait tenue.

 

 




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