Archive pour le Tag 'libre'

« Julian Assange enfin libre « 

    « Julian Assange enfin libre « 

    Julian Assange enfin libre. Le lanceur d’alerte, incarcéré depuis 2019 dans une prison au Royaume-Uni, a trouvé un accord avec l’administration Biden, rapportent plusieurs médias américains, dont nos confrères de CNN et de NBC.

    Concrètement, le fondateur de WikiLeaks a conclu un accord de plaider coupable avec le ministère américain de la Justice. En échange, il ne sera pas extradé vers les États-Unis. Au contraire, les procureurs américains réclameront une peine de 62 mois, ce qui équivaut au temps passé par Julian Assange en prison en Angleterre, explique CNN.

    Détenu depuis 2019 dans une prison de haute sécurité de Londres, il se bat pour ne pas être livré à la justice américaine, qui le poursuit pour avoir rendu publics à partir de 2010 plus de 700.000 documents confidentiels sur les activités militaires et diplomatiques américaines, en particulier en Irak et en Afghanistan.

    Parmi ces documents figure une vidéo montrant des civils, dont deux journalistes de l’agence Reuters, tués par les tirs d’un hélicoptère de combat américain en Irak en juillet 2007. Il encourait en théorie jusqu’à 175 ans de prison en vertu de la loi sur l’espionnage.

     

    Politique -L’absence en France d’une écologie politique libre et indépendante

    L’absence en France d’une écologie politique libre et indépendante

     

    L’écologie politique, telle qu’elle est représentée en France, se réduit à un mouvement ancré à l’extrême gauche, regrettent des militants de l’environnement, dont Corinne Lepage, qui appellent, dans une tribune au « Monde », à faire émerger une écologie politique innovante.

     

    Une réflexion pertinente dans la mesure où progressivement Europe écologie les Verts (EELV)  a été complètement noyautés par les gauchistes d’ailleurs plus préoccupés par les questions sociétales que par l’environnement NDLR

     

     

    Le dépassement de toutes les limites de la Terre est désormais avéré. Notre pays n’est pas épargné par les effets du changement climatique, suscitant une angoisse légitime face à des phénomènes non maîtrisés.

    La sous-estimation des risques et des pénuries généralisées dans les services publics nous oblige à faire émerger une écologie politique innovante ; une écologie qui dépasse les contradictions de ce monde, assume sobriété et partage plus équitable des richesses et conjure dans le même temps les tentations de « démocratures » et dictatures.

     

    Le moment est venu de construire une véritable offre de l’écologie politique en France, car elle n’existe pas. Cela peut paraître paradoxal, mais c’est une réalité.

    L’écologie politique, telle qu’elle est représentée aujourd’hui dans notre pays, est réduite à l’émergence d’un mouvement politique désormais clairement ancré à l’extrême gauche, une prétendue Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) qui ne répond ni aux besoins de l’écologie ni aux souhaits d’une majorité de Français, en dépit de l’angoisse écologique qu’ils expriment au regard des bouleversements que connaît notre monde. D’où l’incapacité à convaincre nos concitoyens et la sphère politique de l’urgence écologique.

    Contrairement à ce qu’aurait pu laisser espérer la constitution d’un groupe écolo à l’Assemblée nationale, l’écologie politique a en fait complètement disparu des radars pour se fondre dans les obsessions exprimées de manière violente par La France insoumise (LFI), formation majoritaire au sein de la Nupes. Avec des membres qui, pour l’essentiel, n’ont rien à voir avec l’écologie voire pire, déconsidèrent les propositions écologistes aux yeux de beaucoup de nos concitoyens.

    La disparition d’une écologie politique libre et indépendante, tant pour des raisons idéologiques – le triomphe d’une écologie clivante –, que financières – le besoin de se renflouer avec le financement public après l’échec de la présidentielle –, crée à l’évidence un grand vide qu’il est urgent de combler, tant les attentes et les enjeux pour notre planète et ses habitants sont importants.

     

    L’absence en France d’une écologie politique libre et indépendante

    L’absence en France d’une écologie politique libre et indépendante

     

    L’écologie politique, telle qu’elle est représentée en France, se réduit à un mouvement ancré à l’extrême gauche, regrettent des militants de l’environnement, dont Corinne Lepage, qui appellent, dans une tribune au « Monde », à faire émerger une écologie politique innovante.

     

    Une réflexion pertinente dans la mesure où progressivement Europe écologie les Verts (EELV)  a été complètement noyautés par les gauchistes d’ailleurs plus préoccupés par les questions sociétales que par l’environnement NDLR

     

     

    Le dépassement de toutes les limites de la Terre est désormais avéré. Notre pays n’est pas épargné par les effets du changement climatique, suscitant une angoisse légitime face à des phénomènes non maîtrisés.

    La sous-estimation des risques et des pénuries généralisées dans les services publics nous oblige à faire émerger une écologie politique innovante ; une écologie qui dépasse les contradictions de ce monde, assume sobriété et partage plus équitable des richesses et conjure dans le même temps les tentations de « démocratures » et dictatures.

     

    Le moment est venu de construire une véritable offre de l’écologie politique en France, car elle n’existe pas. Cela peut paraître paradoxal, mais c’est une réalité.

    L’écologie politique, telle qu’elle est représentée aujourd’hui dans notre pays, est réduite à l’émergence d’un mouvement politique désormais clairement ancré à l’extrême gauche, une prétendue Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) qui ne répond ni aux besoins de l’écologie ni aux souhaits d’une majorité de Français, en dépit de l’angoisse écologique qu’ils expriment au regard des bouleversements que connaît notre monde. D’où l’incapacité à convaincre nos concitoyens et la sphère politique de l’urgence écologique.

    Contrairement à ce qu’aurait pu laisser espérer la constitution d’un groupe écolo à l’Assemblée nationale, l’écologie politique a en fait complètement disparu des radars pour se fondre dans les obsessions exprimées de manière violente par La France insoumise (LFI), formation majoritaire au sein de la Nupes. Avec des membres qui, pour l’essentiel, n’ont rien à voir avec l’écologie voire pire, déconsidèrent les propositions écologistes aux yeux de beaucoup de nos concitoyens.

    La disparition d’une écologie politique libre et indépendante, tant pour des raisons idéologiques – le triomphe d’une écologie clivante –, que financières – le besoin de se renflouer avec le financement public après l’échec de la présidentielle –, crée à l’évidence un grand vide qu’il est urgent de combler, tant les attentes et les enjeux pour notre planète et ses habitants sont importants.

     

    Quant aux écologistes qui n’appartenaient pas cette mouvance, ils ne sont pas parvenus à créer au cœur de l’échiquier politique français un pôle attractif. Cette cartographie a explosé sous le double coup de boutoir de l’absorption d’Europe Ecologie-

    Société : 60 % du temps libre devant les écrans !

    Société : 60 % du temps libre devant les écrans !

     

    Culturellement Facebook a  gagné avec son univers virtuel métavers qui contraint à passer sa vie devant les écrans. D’ores et déjà les écrans captent plus de 60 % de notre temps de loisirs. C’est la conclusion qui ressort de l’étude Hobby One, réalisée par Vertigo Research en décembre auprès d’un échantillon de 14.000 personnes âgées de 11 ans et plus. Chaque jour, nous passons plus de la moitié de notre temps libre à échanger sur les réseaux sociaux, regarder des séries sur les plateformes de streaming, suivre des émissions à la télévision, jouer aux jeux vidéo. Au détriment évidemment du cinéma, de la promenade, du spectacle vivant ou du sport par exemple.

     

    Brexit : un accord essentiellement de libre échange

    Brexit : un accord essentiellement de libre échange

    Dans une tribune au « Monde », l’économiste Stéphane Madaule analyse les termes de l’accord de commerce et de coopération qui régit, depuis le 1er janvier, les relations économiques entre le Royaume-Uni et l’Union européenne.

    Tribune. L’accord de commerce et de coopération est enfin signé entre le Royaume-Uni et l’Union européenne (UE). C’était le dernier texte majeur en négociation en vue de conclure le Brexit. Son entrée en vigueur est effective depuis le début janvier.

    Au-delà des déclarations rassurantes des uns et des autres sur l’issue de ces négociations, personne ne sait si l’application de ce texte se fera dans la douleur ou engendrera une véritable coopération entre deux entités qui se séparent mais restent liées dans la durée.

    Les deux protagonistes ont choisi d’un commun d’accord de continuer à échanger librement, sans taxes ni droits de douanes, pourvu que s’établissent des « conditions équitables pour une concurrence ouverte et loyale et un développement durable ».

    Alors tentons de décrypter les quelques parties les plus emblématiques de ce texte de 1 354 pages, afin d’en analyser l’originalité et l’applicabilité.

    Exigences apparemment contradictoires

    Tout d’abord, il y a ce qui ne change pas. Pour les deux partenaires, ce sont toutes les dispositions qui concernent le non-subventionnement des activités productives et de services, l’interdiction de fausser la concurrence sur les appels d’offres publics ou par des appuis indus aux entreprises publiques, en ligne avec les règles habituelles prônées par l’Organisation mondiale du commerce (OMC).

    Et puis, il y a ce qui change et innove.

    Si l’Union européenne a accepté de continuer à échanger librement sans taxes ni droits avec le Royaume-Uni, elle a souhaité que ce ne soit pas un libre-échange déréglementé mais un libre-échange encadré par les règles de son marché intérieur. Toutefois, il était hors de question pour les Britanniques de ne pas recouvrer leur pleine souveraineté.

     

    Afin de rendre compatible ces deux exigences apparemment contradictoires, les protagonistes de cet accord ont chacun fait un pas vers l’autre. Au titre X de cet accord (page 202), il est bien spécifié que « chaque partie est libre de définir son approche des bonnes pratiques réglementaires dans le cadre du présent accord d’une manière compatible avec son propre cadre juridique… ». 

    Le Royaume-Uni y trouve ainsi matière à recouvrer effectivement la pleine maîtrise de ses lois et de ses règlements, sur le plan commercial notamment. Toutefois, pour l’UE, ces évolutions réglementaires ne doivent guère être susceptibles de créer des distorsions de concurrence.

    Un tribunal d’arbitrage

    En conséquence au point 4 (page 208) du titre XI, il est prévu que « les parties affirment convenir l’une et l’autre que leur partenariat économique ne peut générer des bénéfices de manière mutuellement satisfaisante que si les engagements en matière de conditions équitables pour une concurrence ouverte et loyale résistent à l’épreuve du temps, en empêchant les distorsions du commerce et de l’investissement, et en contribuant au développement durable ».

    Numérique : une stratégie à définir pour le logiciel libre

     Numérique : une stratégie à définir pour le logiciel libre

     

    Tribune dans le Monde de:

     

     

    Roberto Di Cosmo,Directeur de Software Heritage, professeur d’informatique à l’Inria et à l’université de Paris

    Stefane Fermigier,Entrepreneur du logiciel libre et co-président du Conseil national du logiciel libre/CNLL

    Cedric Thomas Economiste et directeur général de l’organisation Open source OW2.

     

     

    Tribune.

     

    Le 1er janvier 2022, pendant que la campagne électorale des présidentielles battra son plein, la France prendra la présidence tournante de l’Union européenne (UE) pour six mois, et aura à cœur de catalyser la collaboration entre les Etats membres. Il sera alors attendu de chaque ministre un programme ambitieux.

    Pour aller dans le sens de l’histoire, la France devra promouvoir la collaboration entre Etats dans le domaine du numérique et se hisser à la hauteur des enjeux en plaçant les valeurs d’ouverture, de transparence, d’inclusivité et d’autonomie du logiciel libre au cœur de sa stratégie numérique.

    Pour cela, nous appelons dès aujourd’hui à la création au sein de l’Etat d’une « mission logiciel libre » dépendant du premier ministre, avec les moyens nécessaires et la volonté de travailler avec les acteurs de l’écosystème du logiciel libre, ses communautés et ses entreprises. Nous rejoignons en cela une des recommandations fortes du rapport du député Eric Bothorel sur « la politique publique de la donnée, des algorithmes et des codes sources », remis au premier ministre le 23 décembre 2020.

    L’ouverture comme moteur d’innovation

    Le logiciel libre (aussi appelé logiciel open source, c’est-à-dire couvert par des licences qui garantissent le droit de l’utiliser, de l’étudier, de le modifier et de le redistribuer librement) et l’ouverture des données sont deux enjeux majeurs du numérique moderne dont les administrations publiques prennent de plus en plus conscience.

    En novembre 2020, la Commission européenne a rendu publique sa stratégie pour le logiciel libre. Celle-ci met clairement l’accent sur l’ouverture comme moteur d’innovation, d’autonomie numérique et de respect des citoyens et des utilisateurs. La Commission constate que l’open source permet à des organisations entières de facilement « se connecter de manière transparente au-delà des silos organisationnels et des frontières » pour améliorer l’efficacité de leurs processus.

    Pour la Commission, les effets du paradigme d’ouverture de l’open source vont au-delà du logiciel, au point de « définir une vision pour encourager et exploiter le pouvoir de transformation, d’innovation et de collaboration de l’open source, ses principes et ses pratiques de développement ».

    Intérêt du logiciel libre pour les administrations publiques

    Plus récemment, en décembre 2020, le Conseil européen appelait dans sa Déclaration de Berlin à « promouvoir le développement, le partage et la réutilisation des normes, solutions et spécifications open source par-delà les frontières ». Enfin, la nomination par le président américain Joe Biden de David Recordon, un spécialiste de l’open source, au poste de directeur de la technologie de la Maison Blanche est un autre signe de l’intérêt que représente le logiciel libre pour les administrations publiques.

     

    Croissance Japon : dépenses des ménages en chute libre

    Croissance Japon : dépenses des ménages en chute libre

    D’après les statistiques gouvernementales, les dépenses des ménages ont reculé en mai de 16,2% en rythme annuel, soit leur plus forte chute depuis que ces données sont disponibles, en 2001. Il s’agit d’un déclin supérieur à celui anticipé par les analystes (-12,2%) après une baisse de 11,1% en avril  Les dépenses des ménages japonais ont décliné en mai à leur rythme le plus important depuis près de 20 ans alors que les consommateurs ont suivi les appels au confinement formulés par les autorités dans le but de lutter contre la crise sanitaire liée au coronavirus.

    Les données officielles publiées mardi soulignent les pressions auxquelles fait face l’économie nippone, tombée en récession et qui devrait connaître un creux prolongé.

    Créations d’entreprises : chute libre !

    Créations d’entreprises : chute libre !

    Les statistiques relatives aux défaillances d’entreprises n’ont guère plus d’intérêt que celle concernant les chômeurs en cette période de crise sanitaire. En effet plus de la moitié des salariés du privé étaient en chômage partiel. D’après l’INSEE, en mars, en raison du confinement en vigueur durant la deuxième moitié du mois, les créations d’entreprises avaient déjà baissé d’un quart (-25,4%) par rapport à celles de février, avec là aussi une baisse plus forte pour les entreprises classiques que pour les micro-entreprises, dont les procédures d’immatriculation sont plus simples.

    L’Insee prévient toutefois que la baisse entre février et mars est légèrement atténuée par des difficultés rencontrées en février « dans les échanges de données entre l’Insee et un centre de formalités des entreprises » et que ces difficultés ont aussi « très légèrement » accentué la chute en mars et avril.

    Les tribunaux de commerce, qui ne prennent pas en compte les entreprises individuelles non immatriculées au Registre du commerce et des sociétés (RCS), avaient fait état de leur côté lundi d’un effondrement de plus de la moitié (-54,3%) des immatriculations de nouvelles entreprises entre le 16 mars et le 30 avril par rapport à la même période de 2019. Selon les chiffres de l’Insee, les créations d’entreprises sont passées de 71.653 en janvier à 69.461 en février, puis 51.789 en mars avant de tomber à 34.425 en avril. En avril, la baisse des immatriculations est particulièrement forte dans les services aux ménages (-45,1%) et les activités immobilières (-44,8%) et la plus faible dans le secteur information et communication (-17,4%).

     

    Industrie France : en chute libre

     Industrie France : en chute libre

    L’indice PMI des directeurs d’achat est tombé à 31,2 points en avril contre 43,2 en mars.( 50 sépare la hausse de la baisse).  Les difficultés pour mettre en oeuvre les mesures de déconfinement risquent encore d’assombrir les perspectives d’un rebond rapide de l’activité.

    mondiales, mettant en péril des milliers de fournisseurs et d’autres maillons des chaînes logistiques.

    Du côté de la demande, les indicateurs sont également dans le rouge. Beaucoup d’entreprises ont réduit drastiquement leurs activités et les ménages français ont privilégié l’épargne de précaution.

    Carburants : ventes en chute libre

    Carburants : ventes en chute libre

     

    Une véritable chute libre pour la vente de carburant qui atteint en moyenne 70%  pour les véhicules automobiles et 95 % pour le kérosène des avions. Une demande qui s’écroule complètement alors que dans le même temps l’Arabie Saoudite et la Russie au contraire ont décidé d’ouvrir les vannes de la production pour écrouler la concurrence. Nombre de pays producteurs se trouvent donc très affectés par les pertes de recettes mais les États-Unis et le Canada subissent aussi des dégâts car avec un pétrole autour de 35 € le baril,  il est impossible d’amortir les très forts coûts du gaz de schiste. Il y a donc des dimensions économiques dans cette stratégie de l’Arabie Saoudite mais aussi une dimension politique avec notamment l’affaiblissement supplémentaire de l’Iran qui avait déjà du mal à écouler son pétrole

    . D’après plusieurs acteurs, depuis la mi-mars, la consommation de carburants a reculé d’environ 70%. Pour les carburéacteurs – les carburants avion -, la dégringolade atteint 95%: ne sont plus autorisés que les vols sanitaires et les vols cargo. «Dans ce marasme absolu pour notre industrie, un seul segment de produits tire – un peu – son épingle du jeu, c’est le fioul domestique, explique Olivier Gantois. Cela correspond à des achats d’opportunités: les clients qui se chauffent au fioul (près de 4 millions de foyers en France, soit l’équivalent de 10 millions de personnes, NDLR) profitent des prix bas pour remplir leur cuve.» À titre indicatif, une citerne contient environ 1000 litres, et les consommateurs, très attentifs aux évolutions tarifaires, la remplissent

    Villani, candidat libre, le vilain petit canard de LREM

    Villani, candidat libre, le vilain petit canards de LREM

     Il y a évidemment quelque chose de surréaliste dans la décision de Stanislas Guerini d’exclure Cédric Villani de la république en marche. D’abord personne ne connaît Stanislas Guerini qui est supposé diriger un parti qui n’existe pas. En outre un délégué  général qui manifeste autant de charisme qu’  une limande . Guerini  n’a pas fait preuve depuis sa nomination de la moindre personnalité, de la moindre créativité et du moindre courage. Bref,  un oligarque placés là par Macron pour contrôler de façon stalinienne un pseudo parti. Notons d’ailleurs que les principaux responsables de la république en marche ont été auto désignés. Et pour cause, les structures locales ou régionales n’existent pas et où n’ont aucun pouvoir politique. La république en marche,  c’est un peu le parti communiste des années 50 avec les militants en moins et les courtisans en plus. Il y a une grande différence entre Cédric Villani qui, lui, a une vraie stature internationale, une reconnaissance mondiale, une vraie spécialité professionnelle tandis que  Stanislas Guerini q n’a jamais réussi grand chose. Prudent d’ailleurs, l’intéressé s’aventure peu sur la scène médiatique tellement il est transparent autant qu’inutile

     Le scientifique “n’est plus adhérent” de LaRem, a donc dit lundi sur Radio Classique le délégué général du parti, Stanislas Guerini, anticipant une exclusion qui sera discutée mercredi en bureau exécutif.

    Cédric Villani avait acté dimanche à l’issue de l’entretien avec Emmanuel Macron une “divergence majeure” et dit son choix de briguer la mairie de la capitale en “toute indépendance”, en bâtissant une “coalition pour le climat”, sans rejoindre le candidat investi par LaRem, Benjamin Griveaux.

    A pied, en métro, en auto ou en Vélib’, le scientifique de 46 ans va donc poursuivre sa campagne au pas de course, multipliant déplacements et contacts, des écologistes aux radicaux, sans céder aux sirènes qui l’invitent à renoncer. Un sondage Odoxa-CGI pour Le Figaro publié dimanche le place à 10% – le seuil pour qu’une liste passe au deuxième tour -, à six points derrière Benjamin Griveaux. L’écart était de deux points dans une enquête Ifop pour Le Journal du Dimanche du 19 janvier.

    Dans le sondage Odoxa, le candidat Europe Ecologie-Les Verts David Belliard est à 14,5%. Un émiettement qui profite à la maire sortante Anne Hidalgo, en tête à 23%, devant l’ancienne ministre Les Républicains Rachida Dati, 20%.

    Les prochains sondages diront si la mise à l’écart de Cédric Villani lui profitera ou pas. De l’avis d’une militante, cet acte d’autorité trahit les idéaux d’un mouvement né en 2016 autour de l’idée “macroniste” de bâtir au-delà des clivages partisans d’un monde alors jugé dépassé.

    “On passe, comme ça, du rassemblement à l’exclusion en trois ans ?”, a-t-elle dit à Reuters. “Exclure Cédric Villani, c’est exclure la moitié des militants En Marche de Paris.”

    La fin de l’accès libre au Paracétamol et à l’ibuprofène ?

    La fin de l’accès libre au Paracétamol et à l’ibuprofène ?  

     Une bien curieuse recommandation de l’agence du médicament qui recommande que certaines molécules d’usage courant que le paracétamol ou l’ibuprofène ne soit plus accessible en libre-service. L’agence recommande donc que ces produits ne soient distribués qu’après demande verbale pharmacien. Une recommandation qui ne changera sans doute pas grand-chose. L’agence aurait pu recommander- si les produits présentent effectivement des dangers réels en cas de surdosage- de ne les délivrer que sur ordonnance. Mais là, on aurait alors  sans doute accru le déficit de la sécurité. Bref une recommandation qui ne mange pas de pain mais qui ne changera pas grand-chose

    L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) réclame que les produits évoqués soient placés uniquement derrière le comptoir, et délivrés sur demande à compter de janvier prochain « pour sécuriser l’utilisation de ces médicaments ».

    Si ces molécules sont sûres et efficaces lorsqu’elles sont correctement utilisées, elles peuvent présenter des risques en cas d’abus. L’agence sanitaire détaille: « le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie dans certains cas de surdosage, pouvant conduire à des greffes du foie (première cause de greffe hépatique d’origine médicamenteuse en France) ».

    Quant aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, comme l’ibuprofène ou l’aspirine, ils sont notamment susceptibles d’être à l’origine de complications rénales, de complications infectieuses graves et sont toxiques pour le fœtus en cas d’exposition à partir du début du 6ème mois de grossesse (au-delà de 24 semaines d’aménorrhée).

    Vente libre de lunettes chez les opticiens

    Vente libre de lunettes chez les opticiens

     

    • Il est clair que faute d’ophtalmologistes suffisants en France, il était nécessaire d’autoriser les opticiens à vendre librement des lunettes dans certaines conditions. Dans certaines régions il faut en effet attendre plusieurs mois pour obtenir un rendez-vous avec un ophtalmologiste Les opticiens ont donc eu gain de cause : après l’avoir longuement réclamé, ils peuvent à partir de ce lundi 17 octobre renouveler des lentilles de contact dans certains cas ou délivrer des lunettes correctrices en urgence, sans que le patient ne soit obligé de passer chez son ophtalmologiste. « C’est le résultat d’une concertation entre ophtalmologistes et opticiens à la suite d’un constat, celui des files d’attente qui n’en finissent plus chez les médecins », explique Alain Gerbel, président de la fédération nationale des opticiens.
      « Le décret ne réglera pas tout mais c’est une première étape« , selon Alain Gerbel. Ophtalmologistes et opticiens travaillaient déjà main dans la main mais le texte met en place un système d’échange obligatoire. « C’est un rapport intelligent, nos professions ont décidé de travailler dans l’intérêt du patient« , analyse le chef des files des opticiens. Pour aller plus loin, les deux professions vont bientôt mettre en place une messagerie sécurisée pour assurer le suivi du patient.
    • (AFP)

     

    Banques françaises : trop hégémoniques (Think thank, Génération libre)

    Banques françaises : trop hégémoniques (Think thank, Génération libre)

     

    Un système bancaire trop hégémonique, trop lourd, trop peu concurrentiel et même qui comporte un risque systémique, c’est lavis du le think tank libéral dans un récent rapport. Un avis qui aurait pu aussi insister sur le fait que ces banques font mal leur métier de préteurs compte tenu des conditions draconiennes faites aux entreprises et aux particuliers.    Génération Libre n’hésite pas à évoquer d’entrée un « oligopole », le rapport étant carrément titré: « Casser la rente bancaire française. Pour un système bancaire plus sûr, plus concurrentiel, et plus européen ». Selon les auteurs « l’oligopole bancaire est porteur de risque systémique et échappe largement au regard critique de l’opinion et des medias ». Les auteurs s’en prennent particulièrement aux pouvoirs publics qui soutiennent implicitement ces acteurs aussi bien au niveau national que via la Banque centrale européenne (BCE). Il est rappelé que selon les travaux du prix Nobel d’économie Robert Engle, trois des six institutions financières les plus « systémiques » du monde sont françaises, la plus exposée étant BNP Paribas. Le Crédit agricole et BPCE (Banques populaires-Caisses d’épargne) en prennent aussi pour leur grade, puisqu’elles jouissent d’une rente spécifique avec une « faible rémunération du capital et l’absence de risque d’OPA ».  Trop grosses, top protégées, ces institutions doivent aujourd’hui se remettre en cause « le gigantisme bancaire étant générateur de risques catastrophiques, ce qui appelle la vigilance ». L’une des principales rentes dont bénéficient les « mastodontes » français, est le marché des particuliers, l’un des moins concurrentiels d’Europe. Génération Libre constate ainsi « l’existence de pratiques tarifaires contestables, voire très choquantes, de la part des banques françaises » y compris sur la gestion d’actifs. Une situation « guère contestée par les autorités publiques ». En ce qui concerne le marché des clients professionnels, la situation serait pire, l’étude évoquant un « matraquage». Pour assainir la situation, GénérationLibre fonde beaucoup d’espoir dans « l’uberisation »: « Les nouvelles technologies, et le nouveau rapport aux services qu’elles permettent, condamnent à terme le maintien des rentes ». La montée de la désintermédiation et des financements non bancaire est également saluée comme un progrès. Mais la principale urgence est la mise en place de la « séparation bancaire », (banque de détail-banque d’investissement) bloquée par le Parlement européen depuis mai 2015 et la relance d’une vraie politique de la concurrence dans le secteur.  En conclusion GénérationLibre fait 18 propositions pour la réforme du secteur qui pourraient être regroupées dans une « loi Macron de la banque » permettant notamment de faciliter l’arrivée des Fintech ou de créer un fichier positif, permettant d’améliorer la relation avec les clients.

     

    (Avec Challenges)

    Macron lance « La Gauche Libre »

    Macron lance « La Gauche Libre »

     

    Officiellement ce n’est pas Macon lui-même qui lance son mouvement la gauche libre mais ses partisans. Des partisans qui affirment quand même qu’ils ont reçu la bénédiction de leur leader. Le signe évidemment Emmanuel Macon entend valoriser la popularité dont il jouit dans l’opinion publique pour le rendre incontournable sur l’échiquier politique. Par ailleurs dans l’éventualité d’un renoncement de François Hollande pour l’élection présidentielle de 2017 Macon pourrait constituer un redoutable adversaire pour les autres concurrents et en particulier pour Manuel Valls, lequel souhaiterait bien brandir seul le drapeau du réformisme. Si ce n’est pas pour 2017 ce pourrait être alors  pour 2022. En effet les mesures que pourrait prendre un président de droite à partir de 2017 risquent d’être très radicales  mais aussi impopulaires ; du coup, l’alternance  pourrait se reposer en 2022. « La Gauche Libre » se défend de vouloir créer un mouvement concurrent du PS pour porter une éventuelle candidature de leur champion à la présidentielle de 2017. »On ne souhaite pas détruire le Parti socialiste, on préférerait qu’il change de l’intérieur, mais je pense qu’aujourd’hui il faut être à l’extérieur pour le changer », dit Pierre Person. « De l’intérieur, on ne peut pas changer le PS. C’est un parti d’élus, il a perdu énormément d’adhérents. Il n’est plus représentatif de l’électorat de gauche. » « On se définit un peu comme une start-up politique », explique-t-il. « On essaie de changer un peu le modèle classique d’engagement partisan », ajoute-t-il. La prochaine étape est le lancement d’antennes au niveau départemental afin d’en faire un collectif décentralisé.

     

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