Archive pour le Tag 'l’hystérisation'

Christophe Castaner : l’hystérisation sémantique pour cacher son incompétence

Christophe Castaner : l’hystérisation sémantique pour cacher son incompétence

Castaner  a choisi hystérisation sémantique comme moyen de défense. Ainsi il parle d’attentat quand il s’agit le plus souvent d’opération visant à murer la porte des permanences   des députés ; Il ya eu aussi des tagages et des bris de vitrine mais rien qui rappelle un attentat. Castaner, incompétent et dilettante essaie de cacher ses propres faiblesses en surlouant le superflic alors que dans certains cas il a complètement failli dans le maintien de l’ordre par exemple vis-à-vis des blackblocs, au contraire quand il a utilisé des moyens surdimensionnés dans le cas du mort à Nantes qui assistait à un concert musical.

Le principe de l’attentat, c’est de préparer l’acte. Là, on a des gens qui sont venus avec des bidons d’essence. Ils s’étaient équipés et ont tenté notamment d’attenter à la vie d’un parlementaire présent dans la permanence. Christophe Castaner

Le locataire de la Place Beauvau a également fait part de son soutien aux « autres victimes d’attentats tels que celui qui a été commis samedi dernier. Et ce, quelle que soit leur couleur politique », rapporte le journal L’Indépendant. Une vague de dégradations s’abat depuis quelques jours sur les locaux de permanence des députés de La République en marche, depuis la ratification du controversé traité de libre échange avec le Canada (Ceta).

Sur Twitter, le ministre de l’Intérieur a été interpellé par une rescapée de l’attentat du Bataclan, le 13 novembre 2015.

 

Bonjour @CCastaner ayant été au Bataclan et ayant donc survécu à un véritable attentat, je vous invite à faire attention aux mots que vous employez, aux gens que vous blessez et surtout à démissionner. Vous êtes indigne de votre fonction et vous devriez avoir honte. Merci.

Selon le Code pénal, comme le souligne un article du Figaro, un attentat est défini par le « fait de commettre un ou plusieurs actes de violence de nature à mettre en péril les institutions de la République ou à porter atteinte à l’intégrité du territoire national ». Un crime puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d’amende.

 

 

Gilets jaunes-Hôpital Salpêtrière ou l’hystérisation qui rend fou

Gilets jaunes-Hôpital Salpêtrière ou l’hystérisation qui rend fou

D’une manière générale l’hystérisation qui caractérise les positions des un et des autres vis-à-vis des gilets jaunes alimente les commentaires et les théories les plus déments. C’est encore vrai avec cette histoire d’attaque de l’hôpital de la Salpêtrière par des gilets jaunes. En fait d’attaque, Il s’agit de gilets jaunes qui à cause des gaz lacrymogènes se sont réfugiés dans l’immense emprise de plusieurs hectares de l’hôpital et qui voulaient se réfugier dans un bâtiment. Du coup le pouvoir mais aussi les Républicains ont complètement instrumentalisés cette affaire. Une vidéo atteste en effet qu’il ne s’agissait absolument pas d’une attaque de l’hôpital mais d’un mouvement de panique de manifestants. Pour preuve, trente-deux personnes qui avaient été placées en garde à vue après cette intrusion pour participation à un groupement en vue de commettre des dégradations ou des violences ont été remises en liberté jeudi en fin d’après-midi, a-t-on appris auprès du parquet de Paris. Le Premier ministre Edouard Philippe est tombé aussi dans le panneau de l’hystérisation en jugeant “inacceptables” ces événements qui se sont déroulés boulevard de l’Hôpital, dans le 13e arrondissement de Paris, où les défilés ont été marqués par de nouvelles violences.“Vouloir s’introduire dans un hôpital de cette façon n’est pas excusable”, a-t-il déclaré lors d’un déplacement à Angoulême (Charente), en louant le comportement du personnel hospitalier qui a permis selon lui d’empêcher le pire.“Si ce calme n’avait pas été au rendez-vous, les conséquences auraient pu être beaucoup plus graves”, a-t-il déclaré à la presse. Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a pour sa part évoqué une “attaque”. “Ici, à la Pitié-Salpêtrière, on a attaqué un hôpital. Et on a blessé un policier mobilisé pour le protéger”, a-t-il écrit dès mercredi sur Twitter. “Des infirmières ont dû préserver le service de réanimation. Nos forces de l’ordre sont immédiatement intervenues pour sauver le service de réanimation”, a ajouté le ministre devant la presse lors d’une visite à l’hôpital.

L’opportuniste Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, a porté plainte après l’intrusion, a estimé jeudi sur Franceinfo qu’on était “passé au bord d’une catastrophe”. “Il aurait pu se produire un drame dont je n’ose même pas imaginer les conséquences”, a-t-il dit.

Mais pour une partie de la classe politique, le gouvernement fait de la récupération en dramatisant un événement qui n’a pas eu de conséquences, l’intrusion étant en partie le fait de personnes qui voulaient échapper aux gaz lacrymogènes.

Le personnel soignant de l’hôpital a relativisé les faits lors d’une conférence de presse jeudi. Cette affaire montre moins la radicalisation sur le terrain que celle de propos irresponsables qui n’ont d’autre objet que d’entretenir les tensions et de discréditer les syndicats et légers jaunes.




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