Archive pour le Tag 'l’hypocrisie'

Rencontre Russie–Ukraine: zelinsky dénonce l’hypocrisie et le manque de courage de Poutine

Rencontre Russie–Ukraine: zelinsky dénonce l’hypocrisie et le manque de courage de Poutine

À juste titre le président ukrainien dénonce l’hypocrisie de Poutine. Alors que ce dernier a proposé une rencontre en Turquie jeudi 15 mai, il se dérobe désormais. Il refuse en effet de dire s’il envisage ou non de s’y rendre.

Au-delà de la forme, les intentions de Poutine sont de reprendre les propositions de 2022 qui en réalité visent à rayer l’Ukraine de la carte. Une double hypocrisie qui va ternir un peu plus l’image du dictateur russe. Reste à savoir si Trump va ou non user de son potentiel de pression pour contraindre Poutine à se rendre en Turquie pour rencontrer Zelinsky. Volodymyr Zelensky dénonce donc«le très étrange silence» de Moscou propos de sa propre proposition de rencontre en Turquie

Dans son allocution quotidienne, Volodymyr Zelensky a dénoncé lundi soir «le très étrange silence» de Moscou concernant les pourparlers directs entre la Russie et l’Ukraine, qui devraient avoir lieu le 15 mai à Istanbul.

«La Russie devra arrêter la guerre et il vaut mieux le faire le plus tôt possible. Il ne sert à rien de continuer les massacres», a-t-il lancé.

Guerre Ukraine : l’hypocrisie des États-Unis

Guerre Ukraine : l’hypocrisie des États-Unis


Il est de plus en plus clair que les États-Unis ont décidé de laisser Poutine gagner la guerre en Ukraine. Pour preuve notamment le refus de vendre des systèmes de défense à l’Ukraine même contre paiement.

Le pire, c’est l’hypocrisie de la bande qui entoure Trump et qui maintenant s’impatiente de l’immobilisme des négociations dont ils sont en grande partie responsable. Les États-Unis estiment qu’il faut passer à autre chose. En clair laisser les Européens maintenant se dépatouiller avec le dossier pourri de l’Ukraine dont par parenthèse le président américain et son équipe d’amateurs ont complètement sous-estimé les complexités dont les roueries de Poutine. Sans parler évidemment des complicités de Trump lui-même avec Poutine.

En outre pour faire avaler la pilule de leur hypocrisie les États-Unis ne cessent de souffler le chaud et le froid sur le conflit ukrainien. Ainsi
le vice-président américain JD Vance s’est dit vendredi à Rome «optimiste» sur les négociations en cours visant à mettre fin au conflit en Ukraine, au cours d’une rencontre avec la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni.

«Je veux informer la première ministre sur les négociations entre la Russie, l’Ukraine et aussi sur certaines choses intervenues au cours des dernières 24 heures», a-t-il déclaré avant de s’entretenir avec Girgia Meloni au Palais Chigi, sa résidence officielle.

«Je crois que nous avons des choses intéressantes à rapporter sur certaines négociations, en privé bien sûr», a-t-il ajouté. «Je ne veux préjuger de rien mais nous sommes vraiment optimistes sur la possibilité de mettre fin à cette guerre très brutale», a conclu JD Vance, sans donner d’autres précisions.

«Nous devons déterminer dans les prochains jours» si la paix est «faisable», affirme Rubio de son coté !

Ukraine : l’hypocrisie des États-Unis

Ukraine : l’hypocrisie des États-Unis


Il est de plus en plus clair que les États-Unis ont décidé de laisser Poutine gagner la guerre en Ukraine. Pour preuve notamment le refus de vendre des systèmes de défense à l’Ukraine même contre paiement.

Le pire, c’est l’hypocrisie de la bande qui entoure Trump et qui maintenant s’impatiente de l’immobilisme des négociations dont ils sont en grande partie responsable. Les États-Unis estiment qu’il faut passer à autre chose. En clair laisser les Européens maintenant se dépatouiller avec le dossier pourri de l’Ukraine dont par parenthèse le président américain et son équipe d’amateurs ont complètement sous-estimé les complexités dont les roueries de Poutine. Sans parler évidemment des complicités de Trump lui-même avec Poutine.

En outre pour faire avaler la pilule de leur hypocrisie les États-Unis ne cessent de souffler le chaud et le froid sur le conflit ukrainien. Ainsi
le vice-président américain JD Vance s’est dit vendredi à Rome «optimiste» sur les négociations en cours visant à mettre fin au conflit en Ukraine, au cours d’une rencontre avec la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni.

«Je veux informer la première ministre sur les négociations entre la Russie, l’Ukraine et aussi sur certaines choses intervenues au cours des dernières 24 heures», a-t-il déclaré avant de s’entretenir avec Girgia Meloni au Palais Chigi, sa résidence officielle.

«Je crois que nous avons des choses intéressantes à rapporter sur certaines négociations, en privé bien sûr», a-t-il ajouté. «Je ne veux préjuger de rien mais nous sommes vraiment optimistes sur la possibilité de mettre fin à cette guerre très brutale», a conclu JD Vance, sans donner d’autres précisions.

«Nous devons déterminer dans les prochains jours» si la paix est «faisable», affirme Rubio de son coté !

Ukraine : l’hypocrisie des États-Unis


Il est de plus en plus clair que les États-Unis ont décidé de laisser Poutine gagner la guerre en Ukraine. Pour preuve notamment le refus de vendre des systèmes de défense à l’Ukraine même contre paiement.

Le pire, c’est l’hypocrisie de la bande qui entoure Trump et qui maintenant s’impatiente de l’immobilisme des négociations dont ils sont en grande partie responsable. Les États-Unis estiment qu’il faut passer à autre chose. En clair laisser les Européens maintenant se dépatouiller avec le dossier pourri de l’Ukraine dont par parenthèse le président américain et son équipe d’amateurs ont complètement sous-estimé les complexités dont les roueries de Poutine. Sans parler évidemment des complicités de Trump lui-même avec Poutine.

En outre pour faire avaler la pilule de leur hypocrisie les États-Unis ne cessent de souffler le chaud et le froid sur le conflit ukrainien. Ainsi
le vice-président américain JD Vance s’est dit vendredi à Rome «optimiste» sur les négociations en cours visant à mettre fin au conflit en Ukraine, au cours d’une rencontre avec la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni.

«Je veux informer la première ministre sur les négociations entre la Russie, l’Ukraine et aussi sur certaines choses intervenues au cours des dernières 24 heures», a-t-il déclaré avant de s’entretenir avec Girgia Meloni au Palais Chigi, sa résidence officielle.

«Je crois que nous avons des choses intéressantes à rapporter sur certaines négociations, en privé bien sûr», a-t-il ajouté. «Je ne veux préjuger de rien mais nous sommes vraiment optimistes sur la possibilité de mettre fin à cette guerre très brutale», a conclu JD Vance, sans donner d’autres précisions.

«Nous devons déterminer dans les prochains jours» si la paix est «faisable», affirme Rubio de son coté !

École : de l’uniforme à la tenue unique ou le en même temps de l’hypocrisie

École : de l’uniforme à la tenue unique ou le en même temps de l’hypocrisie


Peu d’observateurs sans doute ont noté le glissement sémantique particulièrement hypocrite de Macron qui passe du concept d’uniforme pour les élèves à celui de tenue unique. On connaît évidemment le principe de l’uniforme pratiqué notamment dans les pays anglo-saxons mais aussi en France dans les territoires d’outre-mer et encore aujourd’hui dans les anciennes colonies. Par contre l’idée de tenue unique est évoquée très précisément pour empêcher l’obligation de l’uniforme. D’ailleurs le président a déjà évoqué ce que pourrait être ce très vague concept de tenue unique : un pantalon et un polo ( quid de la jupe!). En fait, justement ce que portent déjà à peu près tout le monde dans la plus grande diversité et la plus grande anarchie. C’est tout le drame de Macron partir d’une idée pertinente, la déformer ne pas déplaire à certains et à l’arrivée un projet qui finit en eau de boudin. Autre exemple cette affaire de service national unique qui n’a strictement rien à voir avec le service militaire et qui ressemblera davantage à une colonie de vacances pendant quelques jours. Bref, en permanence le manque de cohérence, de courage voire la lâcheté.

Un polo blanc ou gris, un pull bleu marine et un pantalon gris anthracite. Et en maternelle, pour les plus petits, une blouse. Le Figaro dévoile le trousseau concocté par le gouvernement pour les élèves qui, à la rentrée 2024, seront concernés par l’expérimentation de l’uniforme dans les établissements scolaires. Avant d’être propulsé premier ministre, Gabriel Attal devait présenter ce trousseau. Il revient à la nouvelle ministre de l’Éducation, Amélie Oudéa-Castéra d’assurer le service après-vente.

Dans sa conférence de presse du 16 janvier, le président Macron a évoqué, à ce stade, «une centaine d’établissements volontaires» pour cette expérimentation de «tenue unique» qui «efface les inégalités». Soit 20 à 25.000 élèves. Pour des collectivités qui, comme Nice, Perpignan, Metz ou la région Auvergne-Rhône-Alpes, se sont rapidement déclarées intéressées par le projet de l’exécutif, dans les tuyaux depuis un an, l’expérimentation pourrait commencer dès le printemps. Certaines ont d’ailleurs élaboré leur propre trousseau, sous réserve de répondre au cahier des charges fixé par l’Éducation nationale. À commencer par «les principes de neutralité et de laïcité», indique le guide envoyé en décembre aux collectivités. En Auvergne-Rhône-Alpes, où cinq lycées ont été identifiés, Laurent Wauquiez, le président (LR) de région, a dégainé dès le 21 décembre, en dévoilant son projet : un polo bleu marine et un pull de la même couleur, siglé d’un discret drapeau français et du logo de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.

L’uniforme retenu est simple, sobre et «sportswear», loin des tenues strictes que l’on trouve dans certains établissements sous contrat ou du traditionnel blazer anglais et autres uniformes asiatiques. Avec cette tenue clé en main, le gouvernement veut «alléger la logistique pour les établissements et les parents». Il entend aussi donner un coup de pouce à l’expérimentation voulue par le président Macron et Brigitte Macron, au-delà des collectivités de droite. Selon France Info, sur la centaine d’établissements envisagés, une soixantaine est déjà identifiée, parmi lesquels 39 écoles, 11 collèges et 10 lycées.

Les parents n’auront rien à débourser. D’un montant de 200 euros, ce trousseau sera financé pour moitié par les collectivités et l’État.

Macron et immigration:L’hypocrisie du recours au conseil constitutionnel

Macron et immigration:L’hypocrisie du recours au conseil constitutionnel

On comprend évidemment que des oppositions puissent solliciter le conseil constitutionnel afin d’obtenir juridiquement ce qu’ils n’ont pu arraché sur le plan politique, c’est-à-dire la contestation pour partie ou totalement d’une loi. Dans le cas précis des oppositions ont encore demander l’arbitrage du conseil constitutionnel. Mais cette fois il y a aussi la demande du président afin l’institution des sages puisse faire le ménage vis-à-vis de dispositions que le président de la république n’apprécie guère ou même qu’il conteste.

Du point de vue du fonctionnement politique et démocratique, cee recours du président paraît assez curieux et révèle en réalité une certaine hypocrisie. La vérité c’est que la majorité a été contrainte de faire des concessions aux partis politiques des « républicains » qui ont profité des circonstances pour durcir le texte de la loi immigration. Des concessions qui étaient obligatoires pour obtenir les voix républicaines mais qui ont contrarié le président et bien sûr la gauche. (Une gauche qui va aussi solliciter le conseil constitutionnel mais pour des motifs différents).

En quelque sorte, le président pour compenser la faiblesse politique du pouvoir qui se caractérise notamment par une absence de majorité à l’assemblée nationale compte sur le conseil constitutionnel pour arbitrer et surtout éliminer les durcissements de la loi immigration.

« Ce texte est le fruit de compromis avec des choses sérieuses et des choses que je n’aime pas, mais qui ne sont pas contre nos valeurs », a déclaré le chef de l’État, selon une source citée par l’AFP, appelant ses troupes à « dénoncer les manœuvres du RN », qui a voté pour le texte, « remercier ceux qui ont voté pour la loi et écouter les autres », alors que la majorité s’est fracturée.

Dans le détail, le président Emmanuel Macron va transmettre dès ce mercredi au Conseil constitutionnel le projet de loi immigration, a confirmé le porte-parole du gouvernement Olivier Véran. Il s’agit de demander aux Sages de « statuer sur la conformité de tout ou partie de cette loi à notre Constitution », a précisé le ministre à l’issue du Conseil des ministres, alors que la crise politique est ouverte dans la majorité.

Ces propos rejoignent ceux d’Elisabeth Borne, plus tôt dans la matinée, au micro de France Inter. « Nous avons fait part de nos doutes, a-t-elle insisté, en référence à certaines mesures poussées par Les Républicains. Le président de la République va saisir le Conseil constitutionnel, on verra ce qu’il répond ».
Elisabeth Borne n’a pas exclu non plus de devoir « revenir » sur certaines d’entre elles, comme les aides personnalisées au logement ou la caution pour les étudiants étrangers .

Politique- L’hypocrisie du recours de Macron au conseil constitutionnel

Politique- L’hypocrisie du recours de Macron au conseil constitutionnel

On comprend évidemment que des oppositions puissent solliciter le conseil constitutionnel afin d’obtenir juridiquement ce qu’ils n’ont pu arraché sur le plan politique, c’est-à-dire la contestation pour partie ou totalement d’une loi. Dans le cas précis des oppositions ont encore demander l’arbitrage du conseil constitutionnel. Mais cette fois il y a aussi la demande du président afin l’institution des sages puisse faire le ménage vis-à-vis de dispositions que le président de la république n’apprécie guère ou même qu’il conteste.

Du point de vue du fonctionnement politique et démocratique, cee recours du président paraît assez curieux et révèle en réalité une certaine hypocrisie. La vérité c’est que la majorité a été contrainte de faire des concessions aux partis politiques des « républicains » qui ont profité des circonstances pour durcir le texte de la loi immigration. Des concessions qui étaient obligatoires pour obtenir les voix républicaines mais qui ont contrarié le président et bien sûr la gauche. (Une gauche qui va aussi solliciter le conseil constitutionnel mais pour des motifs différents).

En quelque sorte, le président pour compenser la faiblesse politique du pouvoir qui se caractérise notamment par une absence de majorité à l’assemblée nationale compte sur le conseil constitutionnel pour arbitrer et surtout éliminer les durcissements de la loi immigration.

« Ce texte est le fruit de compromis avec des choses sérieuses et des choses que je n’aime pas, mais qui ne sont pas contre nos valeurs », a déclaré le chef de l’État, selon une source citée par l’AFP, appelant ses troupes à « dénoncer les manœuvres du RN », qui a voté pour le texte, « remercier ceux qui ont voté pour la loi et écouter les autres », alors que la majorité s’est fracturée.

Dans le détail, le président Emmanuel Macron va transmettre dès ce mercredi au Conseil constitutionnel le projet de loi immigration, a confirmé le porte-parole du gouvernement Olivier Véran. Il s’agit de demander aux Sages de « statuer sur la conformité de tout ou partie de cette loi à notre Constitution », a précisé le ministre à l’issue du Conseil des ministres, alors que la crise politique est ouverte dans la majorité.

Ces propos rejoignent ceux d’Elisabeth Borne, plus tôt dans la matinée, au micro de France Inter. « Nous avons fait part de nos doutes, a-t-elle insisté, en référence à certaines mesures poussées par Les Républicains. Le président de la République va saisir le Conseil constitutionnel, on verra ce qu’il répond ».
Elisabeth Borne n’a pas exclu non plus de devoir « revenir » sur certaines d’entre elles, comme les aides personnalisées au logement ou la caution pour les étudiants étrangers .

L’hypocrisie du recours au conseil constitutionnel par le président

L’hypocrisie du recours au conseil constitutionnel par le président

On comprend évidemment que des oppositions puissent solliciter le conseil constitutionnel afin d’obtenir juridiquement ce qu’ils n’ont plus arraché sur le plan politique, c’est-à-dire la contestation pour partie ou totalement d’une loi. Dans le cas précis des jeux positions ou encore demander l’arbitrage du conseil constitutionnel. Mais cette fois il y a aussi la demande du président que l’institution des sages puisse faire le ménage vis-à-vis de dispositions que le président de la république n’apprécie guère ou même qu’il conteste.

Du point de vue du fonctionnement politique et démocratique. Ce recours du président paraît assez curieux et révèle en réalité une certaine hypocrisie. La vérité c’est que la majorité a été contrainte de faire des concessions aux partis politiques des républicains qui ont profité des circonstances pour durcir le texte de la loi immigration. Des concessions qui étaient obligatoires pour obtenir les voix républicaines mais qui ont contrarié le président et bien sûr la gauche. (Une gauche qui va aussi solliciter le conseil constitutionnel mais pour des motifs différents).

En quelque sorte le président pour compenser la faiblesse politique du pouvoir qui se caractérise notamment par une absence de majorité à l’assemblée nationale compte sur le conseil constitutionnel pour arbitrer et surtout éliminer les durcissements de la loi immigration.

« Ce texte est le fruit de compromis avec des choses sérieuses et des choses que je n’aime pas, mais qui ne sont pas contre nos valeurs », a déclaré le chef de l’État, selon une source citée par l’AFP, appelant ses troupes à « dénoncer les manœuvres du RN », qui a voté pour le texte, « remercier ceux qui ont voté pour la loi et écouter les autres », alors que la majorité s’est fracturée.

Dans le détail, le président Emmanuel Macron va transmettre dès ce mercredi au Conseil constitutionnel le projet de loi immigration, a confirmé le porte-parole du gouvernement Olivier Véran. Il s’agit de demander aux Sages de « statuer sur la conformité de tout ou partie de cette loi à notre Constitution », a précisé le ministre à l’issue du Conseil des ministres, alors que la crise politique est ouverte dans la majorité.

Ces propos rejoignent ceux d’Elisabeth Borne, plus tôt dans la matinée, au micro de France Inter. « Nous avons fait part de nos doutes, a-t-elle insisté, en référence à certaines mesures poussées par Les Républicains. Le président de la République va saisir le Conseil constitutionnel, on verra ce qu’il répond ».
Elisabeth Borne n’a pas exclu non plus de devoir « revenir » sur certaines d’entre elles, comme les aides personnalisées au logement ou la caution pour les étudiants étrangers .

Energie- Russsie …( et Azerbaïdjan) : l’hypocrisie générale de l’Europe

Energie- Russsie …( et Azerbaïdjan) : l’hypocrisie générale de l’Europe

Le journal les Échos rapportent comment Marion Van Renterghem décrypte le plan de Vladimir Poutine pour isoler l’Ukraine et renforcer l’addiction de l’Europe au gaz naturel russe. Elle pose la question de l’incohérence géopolitique, et même du cynisme, des dirigeants européens « sous influence ».(Le même cynisme de l’Europe vis-à-vis du Haut-Karabakh et de l’Arménie. )NDLR

Sans le sabotage anonyme du plus grand pipeline sous-marin du monde, au large de l’île danoise de Bornholm, ce 26 septembre 2022, Vladimir Poutine pourrait encore savourer la satisfaction de tenir l’Europe en laisse grâce à un gazoduc de 10 milliards d’euros, financé pour moitié par cinq groupes européens (Engie, Shell, OMV, Uniper et Wintershall), au côté du géant russe Gazprom.

Ardemment voulu par le Kremlin et… l’ancienne chancelière allemande, Angela Merkel, le gazoduc Nord Stream 2 (inauguré en 2021), qui contourne soigneusement la Pologne et l’Ukraine, s’est soudainement transformé en symbole de la faiblesse et de la coupable incohérence de l’Union européenne.

Avec la guerre en Ukraine, c’est même devenu le stigmate d’ « une des plus gigantesques erreurs stratégiques du XXIe siècle ». Marion Van Renterghem (prix Albert Londres) ne mâche pas ses mots dans ce thriller géopolitique captivant qui est plus qu’une allégorie. Dans un style vif et sans détour, elle retourne avec ardeur le couteau dans la plaie….

Le chef du Kremlin a réussi à berner ou à endormir une grande partie de la classe politique européenne, à travers une armada d’agents d’influence, d’ « idiots utiles ou d’alliés malgré eux », en puisant largement dans la « lâcheté de beaucoup et la naïveté de tous »… dont certains politiques français comme Fillon ou Sarkhosy .

D’autant que la biographe d’Angela Merkel n’épargne personne : ni l’ancienne chancelière elle-même, ni le chancelier Gerhard Schröder, l’un des principaux artisans du vaste réseau de complicités de Poutine, ni l’ancien patron du SPD et puissant ministre de l’Economie et de l’Energie, Sigmar Gabriel, l’un des rares à faire son autocritique.

Au bout du compte, le gazoduc Nord Stream (avec ses deux jumeaux inaugurés à dix ans d’intervalle) apparaît surtout comme l’ultime stigmate de la faiblesse coupable des Européens confrontés au cynisme absolu du régime poutinien. Face à l’obstination de Merkel qui a fait du nouveau gazoduc jumeau de Nord Stream 1 un « impératif catégorique », ni l’opposition des Polonais, ni celle des Baltes, des Slovaques ou des Tchèques ne pèseront du moindre poids.

Surtout, Angela Merkel se refuse à voir que le deuxième gazoduc sous la Baltique fait voler en éclats la sécurité stratégique de l’Ukraine.

Notons que c’est la même hypocrisie de l’union européenne vis-à-vis du conflit du Haut-Karabakh. C’est aussi pour des questions de ressources que l’union européenne, France y compris, a lâché l’Arménie pour l’Azerbaïdjan ! L’accord avec l’Azerbaïdjan est censé doubler les importations de gaz naturel de l’UE pour atteindre au moins 20 milliards de mètres cubes par an d’ici 2027

Energie- Gaz russe : l’hypocrisie générale de l’Europe

Energie- Gaz russe : l’hypocrisie générale de l’Europe

Le journal les Échos rapportent comment Marion Van Renterghem décrypte le plan de Vladimir Poutine pour isoler l’Ukraine et renforcer l’addiction de l’Europe au gaz naturel russe. Elle pose la question de l’incohérence géopolitique, et même du cynisme, des dirigeants européens « sous influence ».

Sans le sabotage anonyme du plus grand pipeline sous-marin du monde, au large de l’île danoise de Bornholm, ce 26 septembre 2022, Vladimir Poutine pourrait encore savourer la satisfaction de tenir l’Europe en laisse grâce à un gazoduc de 10 milliards d’euros, financé pour moitié par cinq groupes européens (Engie, Shell, OMV, Uniper et Wintershall), au côté du géant russe Gazprom.

Ardemment voulu par le Kremlin et… l’ancienne chancelière allemande, Angela Merkel, le gazoduc Nord Stream 2 (inauguré en 2021), qui contourne soigneusement la Pologne et l’Ukraine, s’est soudainement transformé en symbole de la faiblesse et de la coupable incohérence de l’Union européenne.

Avec la guerre en Ukraine, c’est même devenu le stigmate d’ « une des plus gigantesques erreurs stratégiques du XXIe siècle ». Marion Van Renterghem (prix Albert Londres) ne mâche pas ses mots dans ce thriller géopolitique captivant qui est plus qu’une allégorie. Dans un style vif et sans détour, elle retourne avec ardeur le couteau dans la plaie….

Le chef du Kremlin a réussi à berner ou à endormir une grande partie de la classe politique européenne, à travers une armada d’agents d’influence, d’ « idiots utiles ou d’alliés malgré eux », en puisant largement dans la « lâcheté de beaucoup et la naïveté de tous »… dont certains politiques français comme Fillon ou Sarkhosy .

D’autant que la biographe d’Angela Merkel n’épargne personne : ni l’ancienne chancelière elle-même, ni le chancelier Gerhard Schröder, l’un des principaux artisans du vaste réseau de complicités de Poutine, ni l’ancien patron du SPD et puissant ministre de l’Economie et de l’Energie, Sigmar Gabriel, l’un des rares à faire son autocritique.

Au bout du compte, le gazoduc Nord Stream (avec ses deux jumeaux inaugurés à dix ans d’intervalle) apparaît surtout comme l’ultime stigmate de la faiblesse coupable des Européens confrontés au cynisme absolu du régime poutinien. Face à l’obstination de Merkel qui a fait du nouveau gazoduc jumeau de Nord Stream 1 un « impératif catégorique », ni l’opposition des Polonais, ni celle des Baltes, des Slovaques ou des Tchèques ne pèseront du moindre poids.

Surtout, Angela Merkel se refuse à voir que le deuxième gazoduc sous la Baltique fait voler en éclats la sécurité stratégique de l’Ukraine.

Notons que c’est la même hypocrisie de l’union européenne vis-à-vis du conflit du Haut-Karabakh. C’est aussi pour des questions de ressources que l’union européenne, France y compris, a lâché l’Arménie pour l’Azerbaïdjan ! L’accord avec l’Azerbaïdjan est censé doubler les importations de gaz naturel de l’UE pour atteindre au moins 20 milliards de mètres cubes par an d’ici 2027

Politique énergétique et- Gaz russe : l’hypocrisie générale de l’Europe

Politique énergétique et- Gaz russe : l’hypocrisie générale de l’Europe

Le journal les Échos rapportent comment Marion Van Renterghem décrypte le plan de Vladimir Poutine pour isoler l’Ukraine et renforcer l’addiction de l’Europe au gaz naturel russe. Elle pose la question de l’incohérence géopolitique, et même du cynisme, des dirigeants européens « sous influence ».

Sans le sabotage anonyme du plus grand pipeline sous-marin du monde, au large de l’île danoise de Bornholm, ce 26 septembre 2022, Vladimir Poutine pourrait encore savourer la satisfaction de tenir l’Europe en laisse grâce à un gazoduc de 10 milliards d’euros, financé pour moitié par cinq groupes européens (Engie, Shell, OMV, Uniper et Wintershall), au côté du géant russe Gazprom.

Ardemment voulu par le Kremlin et… l’ancienne chancelière allemande, Angela Merkel, le gazoduc Nord Stream 2 (inauguré en 2021), qui contourne soigneusement la Pologne et l’Ukraine, s’est soudainement transformé en symbole de la faiblesse et de la coupable incohérence de l’Union européenne.

Avec la guerre en Ukraine, c’est même devenu le stigmate d’ « une des plus gigantesques erreurs stratégiques du XXIe siècle ». Marion Van Renterghem (prix Albert Londres) ne mâche pas ses mots dans ce thriller géopolitique captivant qui est plus qu’une allégorie. Dans un style vif et sans détour, elle retourne avec ardeur le couteau dans la plaie….

Le chef du Kremlin a réussi à berner ou à endormir une grande partie de la classe politique européenne, à travers une armada d’agents d’influence, d’ « idiots utiles ou d’alliés malgré eux », en puisant largement dans la « lâcheté de beaucoup et la naïveté de tous »… dont certains politiques français comme Fillon ou Sarkhosy .

D’autant que la biographe d’Angela Merkel n’épargne personne : ni l’ancienne chancelière elle-même, ni le chancelier Gerhard Schröder, l’un des principaux artisans du vaste réseau de complicités de Poutine, ni l’ancien patron du SPD et puissant ministre de l’Economie et de l’Energie, Sigmar Gabriel, l’un des rares à faire son autocritique.

Au bout du compte, le gazoduc Nord Stream (avec ses deux jumeaux inaugurés à dix ans d’intervalle) apparaît surtout comme l’ultime stigmate de la faiblesse coupable des Européens confrontés au cynisme absolu du régime poutinien. Face à l’obstination de Merkel qui a fait du nouveau gazoduc jumeau de Nord Stream 1 un « impératif catégorique », ni l’opposition des Polonais, ni celle des Baltes, des Slovaques ou des Tchèques ne pèseront du moindre poids.

Surtout, Angela Merkel se refuse à voir que le deuxième gazoduc sous la Baltique fait voler en éclats la sécurité stratégique de l’Ukraine.

Notons que c’est la même hypocrisie de l’union européenne vis-à-vis du conflit du Haut-Karabakh. C’est aussi pour des questions de ressources que l’union européenne, France y compris, a lâché l’Arménie pour l’Azerbaïdjan ! L’accord avec l’Azerbaïdjan est censé doubler les importations de gaz naturel de l’UE pour atteindre au moins 20 milliards de mètres cubes par an d’ici 2027

Gaz russe : l’hypocrisie générale de l’Europe

Gaz russe : l’hypocrisie générale de l’Europe

Le journal les Échos rapportent comment Marion Van Renterghem décrypte le plan de Vladimir Poutine pour isoler l’Ukraine et renforcer l’addiction de l’Europe au gaz naturel russe. Elle pose la question de l’incohérence géopolitique, et même du cynisme, des dirigeants européens « sous influence ».

Sans le sabotage anonyme du plus grand pipeline sous-marin du monde, au large de l’île danoise de Bornholm, ce 26 septembre 2022, Vladimir Poutine pourrait encore savourer la satisfaction de tenir l’Europe en laisse grâce à un gazoduc de 10 milliards d’euros, financé pour moitié par cinq groupes européens (Engie, Shell, OMV, Uniper et Wintershall), au côté du géant russe Gazprom.

Ardemment voulu par le Kremlin et… l’ancienne chancelière allemande, Angela Merkel, le gazoduc Nord Stream 2 (inauguré en 2021), qui contourne soigneusement la Pologne et l’Ukraine, s’est soudainement transformé en symbole de la faiblesse et de la coupable incohérence de l’Union européenne.

Avec la guerre en Ukraine, c’est même devenu le stigmate d’ « une des plus gigantesques erreurs stratégiques du XXIe siècle ». Marion Van Renterghem (prix Albert Londres) ne mâche pas ses mots dans ce thriller géopolitique captivant qui est plus qu’une allégorie. Dans un style vif et sans détour, elle retourne avec ardeur le couteau dans la plaie….

Le chef du Kremlin a réussi à berner ou à endormir une grande partie de la classe politique européenne, à travers une armada d’agents d’influence, d’ « idiots utiles ou d’alliés malgré eux », en puisant largement dans la « lâcheté de beaucoup et la naïveté de tous »… dont certains politiques français comme Fillon ou Sarkhosy .

D’autant que la biographe d’Angela Merkel n’épargne personne : ni l’ancienne chancelière elle-même, ni le chancelier Gerhard Schröder, l’un des principaux artisans du vaste réseau de complicités de Poutine, ni l’ancien patron du SPD et puissant ministre de l’Economie et de l’Energie, Sigmar Gabriel, l’un des rares à faire son autocritique.

Au bout du compte, le gazoduc Nord Stream (avec ses deux jumeaux inaugurés à dix ans d’intervalle) apparaît surtout comme l’ultime stigmate de la faiblesse coupable des Européens confrontés au cynisme absolu du régime poutinien. Face à l’obstination de Merkel qui a fait du nouveau gazoduc jumeau de Nord Stream 1 un « impératif catégorique », ni l’opposition des Polonais, ni celle des Baltes, des Slovaques ou des Tchèques ne pèseront du moindre poids.

Surtout, Angela Merkel se refuse à voir que le deuxième gazoduc sous la Baltique fait voler en éclats la sécurité stratégique de l’Ukraine.

Niger : l’hypocrisie des États-Unis et de l’Europe

Niger : l’hypocrisie des États-Unis et de l’Europe

À juste titre, Macron a dénoncé la couardise des États-Unis et de l’Europe vis-à-vis de la situation au Niger. De fait , la France- avec la CDEAO- se trouve relativement isolée. Les États-Unis ne veulent même pas parler de coup d’état et négocient discrètement le maintien au Niger de leurs forces. De son côté, l’Europe ferme les yeux sur la situation et ne veut pas s’engager comme d’habitude. Pour l’Europe ,le Niger n’est pas un enjeu économique stratégique et il n’appartient pas au Vieux continent de s’engager à la fois pour la démocratie et la lutte contre le terrorisme.

Macron a raison de dénoncer cette hypocrisie. La France est un effet la salle grande puissance à réclamer le retour de la démocratie et le retour du président élu.

Dans la coulisse évidemment, la Russie ne cesse d’ajouter de l’huile sur le feu en s’appuyant sur les gauchistes et autres profiteurs qui préfèrent Poutine à la démocratie. Dernier coup de force de la dictature, la demande de renvoi de l’ambassade de France. Une provocation évidemment. Mais le temps jouera certainement contre le coup d’État car le prix de l’alimentaire a considérablement augmenté et l’État malien se trouvera bientôt en situation de faillite financière et ne pourra plus payer ses fonctionnaires y compris les militaires.

Un enjeu de taille, il s’agit ni plus ni moins de la contagion des dictatures dans toute l’Afrique et de la menace encore plus grave du terrorisme islamique .

Politique-Niger : l’hypocrisie des États-Unis et de l’Europe

Politique-Niger : l’hypocrisie des États-Unis et de l’Europe

À juste titre, Macron a dénoncé la couardise des États-Unis et de l’Europe vis-à-vis de la situation au Niger. De fait , la France- avec la CDEAO- se trouve relativement isolée. Les États-Unis ne veulent même pas parler de coup d’état et négocient discrètement le maintien au Niger de leurs forces. De son côté, l’Europe ferme les yeux sur la situation et ne veut pas s’engager comme d’habitude. Pour l’Europe ,le Niger n’est pas un enjeu économique stratégique et il n’appartient pas au Vieux continent de s’engager à la fois pour la démocratie et la lutte contre le terrorisme.

Macron a raison de dénoncer cette hypocrisie. La France est un effet la salle grande puissance à réclamer le retour de la démocratie et le retour du président élu.

Dans la coulisse évidemment, la Russie ne cesse d’ajouter de l’huile sur le feu en s’appuyant sur les gauchistes et autres profiteurs qui préfèrent Poutine à la démocratie. Dernier coup de force de la dictature, la demande de renvoi de l’ambassade de France. Une provocation évidemment. Mais le temps jouera certainement contre le coup d’État car le prix de l’alimentaire a considérablement augmenté et l’État malien se trouvera bientôt en situation de faillite financière et ne pourra plus payer ses fonctionnaires y compris les militaires.

Un enjeu de taille, il s’agit ni plus ni moins de la contagion des dictatures dans toute l’Afrique et de la menace encore plus grave du terrorisme islamique .

Niger : l’hypocrisie des États-Unis et de l’Europe

Niger : l’hypocrisie des États-Unis et de l’Europe

À juste titre, Macon a dénoncé la couardise des États-Unis et de l’Europe vis-à-vis de la situation au Niger. De fait , la France- avec la CDEAO- se trouve relativement isolée. Les États-Unis ne veulent même pas parler de coup d’état et négocient discrètement le maintien au Niger de leurs forces. De son côté, l’Europe ferme les yeux sur la situation et ne veut pas s’engager comme d’habitude. Pour l’Europe ,le Niger n’est pas un enjeu économique stratégique et il n’appartient pas au Vieux continent de s’engager à la fois pour la démocratie et la lutte contre le terrorisme.

Macron a raison de dénoncer cette hypocrisie. La France est un effet la salle grande puissances à réclamer le retour de la démocratie et le retour du président élu.

Dans la coulisse évidemment, la Russie ne cesse d’ajouter de l’huile sur le feu en s’appuyant sur les gauchistes et autres profiteurs qui préfèrent Poutine à la démocratie. Dernier coup de force de la dictature, la demande de renvoi de l’ambassade de France. Une provocation évidemment. Mais le temps jouera certainement contre le coup d’État car le prix de l’alimentaire a considérablement augmenté et l’État malien se trouvera bientôt en situation de faillite financière et ne pourra plus payer ses fonctionnaires y compris les militaires.

Un enjeu taille, il s’agit ni plus ni moins de la contagion des dictatures dans toute l’Afrique et de la menace encore plus grave du terrorisme islamique .

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