Archive pour le Tag 'l’humiliation'

Politique-Élisabeth Borne : l’humiliation minable de Macron

Politique-Élisabeth Borne : l’humiliation minable de Macron

Pour résumer Emmanuel Macron se conduit une nouvelle fois comme un gosse mal élevé qui a besoin en permanence de se rassurer en humiliant son entourage. Il a en effet reproché en plein conseil des ministres à la première ministre d’avoir appelé les liens entre Pétain et le Front National. Un argument qui ne doit plus être utilisé d’après Macron. Ce dernier se rendant compte aussi de l’humiliation subie par la première ministre a déclaré hier lui faire cependant totalement confiance. Bref vraiment l’attitude d’un enfant versatile, mal élevé et condescendant pour ne pas dire méprisant à l’égard de ses collaborateurs comme à l’égard des Français

Dimanche sur Radio J, la première ministre avait jugé que le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella était «héritier» de Philippe Pétain, chef du régime de Vichy, qui collabora avec l’Allemagne nazie. «Le combat contre l’extrême droite ne passe plus par des arguments moraux. Vous n’arriverez pas à faire croire à des millions de Français qui ont voté pour l’extrême droite que ce sont des fascistes», avait ensuite assuré le président de la République devant son gouvernement.

Une remarque interprétée comme un recadrage en règle de la première ministre. Et commentée en boucle par l’ensemble de la classe politique durant vingt-quatre heures. Suffisamment pour enrichir le feuilleton des tensions entre l’Élysée et Matignon et 24 heures après le président pour compenser son outrage réaffirme sa confiance à la première ministre !

Élisabeth Borne : l’humiliation minable de Macron

Élisabeth Borne : l’humiliation minable de Macron

Pour résumer Emmanuel Mac on se conduit une nouvelle fois comme un gosse mal élevé qui a besoin en permanence de se rassurer en humiliant son entourage. Il a en effet reproché en plein conseil des ministres à la première ministre d’avoir appelé les liens entre Pétain et le Front National. Un argument qui ne doit plus être utilisé d’après Macron. Ce dernier se rendant compte aussi de l’humiliation subie par la première ministre a déclaré hier lui faire cependant totalement confiance. Bref vraiment l’attitude d’un enfant versdtile, mal élevé et condescendant pour ne pas dire méprisant à l’égard de ses collaborateurs comme à l’égard des Français

Dimanche sur Radio J, la première ministre avait jugé que le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella était «héritier» de Philippe Pétain, chef du régime de Vichy, qui collabora avec l’Allemagne nazie. «Le combat contre l’extrême droite ne passe plus par des arguments moraux. Vous n’arriverez pas à faire croire à des millions de Français qui ont voté pour l’extrême droite que ce sont des fascistes», avait ensuite assuré le président de la République devant son gouvernement.

Une remarque interprétée comme un recadrage en règle de la première ministre. Et commentée en boucle par l’ensemble de la classe politique durant vingt-quatre heures. Suffisamment pour enrichir le feuilleton des tensions entre l’Élysée et Matignon et 24 heures après le président pour compenser son outrage réaffirme sa confiance à la première ministre !

L’humiliation de Poutine et le risque nucléaire

L’humiliation de Poutine et le risque nucléaire

 

 

La CIA qui ne s’est guère trompée jusqu’alors sur l’évolution de la guerre en Ukraine et sur le déterminisme de Poutine avertit qu’une trop forte humiliation de Poutine pourrait être de nature à faire émerger le risque nucléaire.

 

D’une certaine manière,  Poutine joue aussi l’avenir de son régime avec la guerre en Ukraine. Il lui faut en effet absolument une victoire pour ne pas être discrédité dans son propre pays. Jusque-là Poutine a surtout enregistré des déconvenues. La dernière est celle de la destruction du vaisseau amiral abattu par l’Ukraine. E Moskva, vaisseau amiral russe en mer Noire, a coulé lors de son remorquage, jeudi 14 avril, après été considérablement endommagé dans un premier temps. Moscou avait évoqué un incendie accidentel et une explosion de munitions à bord, tandis que Kiev avait affirmé avoir touché le navire avec un missile., il s’agit pour l’armée russe de l’un de ses plus gros revers et d’une humiliation majeure.

 

Dans le Dombass, la bataille risque d’être rude. L’enjeu pour Poutine et d’annexer ces territoires et de couper les accès maritimes de l’Ukraine. En cas de nouvelle défaite, Poutine pourrait alors bien être tenté d’utiliser l’arme nucléaire tactique pour écraser  totalement les zones ukrainiennes visées. La question se poserait alors de l’enchaînement de la terreur car l’OTAN ne pourrait pas rester complètement indifférente à ce massacre et aux autres tentatives désespérées de Poutine.

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Après l’humiliation par Erdogan, Von der Leyen refuse de se rendre en Ukraine !

Après l’humiliation par Erdogan, Von der Leyen refuse de se rendre en Ukraine !  

 

En réaction sans doute à l’humiliation qu’a subie la présidente de la commission européenne de la part de la Turquie lors d’une visite protocolaire, Von der Leyen a décidé de ne pas se rendre en Ukraine pour les cérémonies d’anniversaire de l’indépendance du pays.

 

«Malheureusement, la présidente n’est pas en mesure de donner une réponse positive à votre invitation en raison d’un agenda particulièrement chargé les jours en question. Merci d’avance de votre compréhension », écrit le chef de cabinet de «VDL», non sans une certaine légèreté. «La présidente m’a demandé de vous transmettre ses meilleurs vœux pour un sommet réussi et ses félicitations à vous et au peuple ukrainien à l’occasion de cet anniversaire important», ajoute le chef de cabinet au style enjoué. Il signe la missive d’un «Cordialement vôtre».

 

 

Un message pas très heureux cependant dans la mesure où l’indépendance de l’Ukraine est actuellement en jeu du faite de la pression militaire russe.

 

Cela traduit à l’évidence un conflit permanent entre le président du conseil européen et la présidente de la commission européenne auquel il conviendra de remédier pour ne pas ridiculiser l’Europe.

 

Par contre. Charles Michel, le président du Conseil européen, s’y rendra. Lors d’un déplacement en Ukraine le mois dernier, il avait expliqué qu’il modifierait ses vacances pour être présent à Kiev. Le président du Conseil européen a confirmé sa présence ce jeudi. Et publié sur Twitter une photo le montrant en pleine discussion, au téléphone, avec Volodymyr Zelensky. À bon entendeur.

 

Cette affaire est d’autant plus problématique qu’elle éclate après deux autres incidents terribles pour l’image de l’UE, celles déjà évoquées de l’humiliation par Erdogan mais aussi l’autres humiliations subies par  Josep Borrell, début février à Moscou puis la polémique du «Sofagate» qui est loin d’être terminée.




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