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LFI: « l’union sans la gauche »

LFI: « l’union sans la gauche »

Plus la gauche s’écroule dans l’opinion est plus nombreux sont ceux qui réclament une illusoire union mais sans y croire réellement. La vérité sans doute c’est qu’il n’y a plus rien à réunir tellement les effectifs sont devenus insignifiants dans les différentes chapelles de gauche et surtout tellement sont grandes les divergences idéologiques. Des divergences idéologiques qui vont de l’approche communiste, en passant par le gauchisme, la social-démocratie et l’écologie bobo.

Pourtant deux leaders des insoumis, Clémentine Autain et François Ruffin défendent  encore l’utopie de l’union de la gauche. Justement une union que réfute même Mélenchon.

Devant la presse, la semaine dernière, Jean-Luc Mélenchon se moquait encore des discours «creux et vides» des partisans du rassemblement. «Je dis creux et vides parce que nous savions tous que tout le monde aurait son candidat. C’est une simagrée car tout le monde connaissait d’avance les points d’atterrissage», avait affirmé le candidat de LFI.Mélenchon aussi et pour l’union mais sans la gauche autre que la sienne !

Occitanie : LFI pas compatible avec la socialiste Carole Delga

Occitanie : LFI  pas compatible avec la socialiste Carole Delga

. La présidente PS sortante d’Occitanie, Carole Delga, refuse toute alliance avec La France Insoumise. Arrivée nettement en tête dans sa région au premier tour (39,57%), elle a donc refusé d’ouvrir, comme convenu, les négociations avec la liste LFI, qui a terminé en sixième position (5,06%). «Je l’ai dit avant le premier tour : mon projet n’est pas compatible avec les propos de Jean-Luc Mélenchon», a-t-elle affirmé au Monde lundi 21 juin. «Elle a toujours dit qu’elle rassemblerait les forces de gauche républicaines. Cela n’inclut donc pas La France Insoumise», confirme son entourage.

Comme son homologue d’Occitanie, Alain Rousset, le président socialiste sortant de Nouvelle Aquitaine, arrivé lui aussi en tête (28,84%), n’a pas ouvert de discussion avec la tête de liste LFI, Clémence Guetté (5,67%). «Ils ont passé leur campagne à dire qu’Alain Rousset était macroniste», souffle son entourage. Il faut dire que les deux sortants disposent d’une avance confortable pour se priver d’alliance de second tour, en outre aujourd’hui l’affichage d’une alliance avec les insoumis notamment constitue plutôt un handicap qu’un soutien.

Sondage parti d’opposition: 41% aucun, 25% RN et LFI 13%.

Sondage parti d’opposition: 41% aucun, 25% RN et LFI 13%.  

D’après un sondage Elabe pour BFM, 4 Français interrogés sur 10 (41%) déclarent qu’aucun mouvement politique ne parvient à incarner l’opposition à l’exécutif à leurs yeux. Un chiffre similaire à celui enregistré en septembre 2019 par Elabe, à la même question.

Le premier parti cité à cette question est le Rassemblement National (RN). Il est pour 25% des Français interrogés (+1% par rapport au même sondage en septembre 2019), le principal groupe politique d’opposition. Le parti d’extrême droite est nettement devant La France Insoumise (LFI) à 13% (-1%). Le parti Les Républicains (LR) est lui cité par 7% (-1%) des personnes interrogées, alors qu’Europe Ecologie / Les Verts (EELV) l’est par 5% (=).

À noter que le RN de Marine Le Pen est le premier groupe politique cité comme principale force d’opposition quelle que soit la catégorie professionnelle des Français interrogés.

Il ressort que des catégories de la population sont particulièrement représentées chez certains partis. Ainsi, les personnes se sentant proches du RN sont plus nombreuses au sein des ouvriers (23%), les personnes âgées de plus de 65 ans se sentent plus proches de LaREM ou de LR (16% et 18%). LFI fédère avant tout les moins de 25 ans, et enfin les professions intermédiaires expriment une plus forte proximité avec EELV que la moyenne (14%).

Etude ELABE réalisée pour BFMTV sur un échantillon 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet les 4 et 5 février 2020.

LFI: Mélenchon en correctionnelle ?

LFI: Mélenchon en correctionnelle ?

 

D’après l’AFP, Mélenchon  devrait être convoqué en correctionnelle en raison des incidents qui ont eu lieu lors de perquisitions. Le problème c’est que l’intéressé et d’autres personnes visées ne semblent pas avoir été encore informés. Cela signifierait que la justice utilise la voie des médias  sans doute pas sans arrière pensée. Le chef de file de La France Insoumise Jean-Luc Mélenchon et d’autres responsables seront jugés en correctionnelle à la suite des accrochages qui avaient émaillé les perquisitions visant son domicile et le siège du mouvement en octobre, a-t-on appris jeudi d’une source proche du dossier. L’ancien candidat à la présidentielle et les députés Alexis Corbière et Bastian Lachaud font partie des personnalités convoquées en citation directe par le parquet de Bobigny, pour actes d’intimidation contre l’autorité judiciaire, rébellion et provocation, a appris l’AFP de même source, confirmant une information de L’Express.

 

LFI : nouvelle organisation mais Mélenchon reste le boss

LFI : nouvelle organisation mais Mélenchon reste le boss

 

On le sait, la contrition n’est pas l’exercice préféré de Mélenchon qui a toujours tendance à reporter sur les autres des responsabilités dont certaines lui incombent. Le seul mea culpa de Mélenchon se résume  dans cette petite phrase » nous n’avons pas réussi à fédérer ». Pour le reste, Mélenchon a évidemment montré encore une fois toutes ses qualités de tribun mais aussi son entêtement à mépriser les autres forces de la gauche. Le problème c’est que la France insoumise n’est pas en meilleure forme que ses éventuels partenaires. Pourtant Mélenchon se refuse pour l’instant à tout concept d’union avec ces forces de gauche. S’il persiste dans cette ligne, il est évident que Mélenchon prendra une nouvelle fessée aux municipales qui ne sont pas des sélections forcément calibrées pour lui et sa formation. Jean-Luc Mélenchon a tout juste admis qu’il allait s’entourer de plus jeunes et même de très jeunes mais il restera le patron. La question se suppose d’ailleurs légitimement de savoir si LFI a ou non un  avenir sans Mélenchon.“Nous sommes en train d’adopter un organigramme (…) Il y a toute une équipe qui arrive. Ils sont jeunes et même très jeunes”, a-t-il ajouté. “Ce n’est plus moi qui ouvrirai toutes les réunions, ni moi qui les terminerai toutes. J’en ferai un certain nombre mais pas toutes.”

LFI-Mélenchon : d’abord victime de ses contradictions

LFI-Mélenchon : d’abord victime de ses contradictions

 

Il est clair que Mélenchon a attrapé la grosse tête lors des élections présidentielles de 2017. Il ne s’est d’ailleurs jamais remis de son espérance déçue d’être qualifié pour le second tour. Reconnaissons que son score était assez remarquable avec environ  20 %. Du coup Mélenchon en a tiré la conclusion qu’il pouvait étouffer toute la gauche et la traiter par le mépris. Il est vrai que cette gauche est plus que jamais éclatée et affaiblie mais on ne saurait résumer son existence à celle des marxistes classiques que représentent les insoumis. En retombant à 6,3 % des voix aux européennes, Mélenchon s’est réveillé avec la gueule de bois. Responsable en grande partie du succès aux élections présidentielles, il est tout autant responsable de la descente aux enfers. Indiscutablement, Mélenchon ne manque pas de culture et c’est sans doute le meilleur  tribun l’époque mais il se comporte davantage en syndicaliste qu’en responsables politique. La contestation systématique et le radicalisme caractérisent sa ligne politique, une ligne révolutionnaire mais qui ne prend pas qui peut dans les milieux populaires même chez les gilets jaunes où finalement c’est surtout le rassemblement national qui a ramassé la mise. L’autre contradiction de Mélenchon c’est de vouloir incarner le changement démocratique alors qu’il est dans la politique depuis quarantaine d’années. Dernière faiblesse et non la moindre sa propension à étouffer toute contestation au sein de son mouvement. Mélenchon est à la fois la force et la faiblesse des insoumis. Son talent oratoire lui a permis de faire émerger une sorte de nouveau parti communiste mais sa faiblesse c’est d’incarner  à lui seul un mouvement entièrement 

Européennes: LFI va créer ses propres sondages

Européennes: LFI va créer ses propres sondages

 

Les insoumis (LFI) sont de plus en plus mécontent des sondages concernant notamment les élections européennes qui, d’après eux, minimisent leur score. Conséquence ils veulent produire leurs propres enquêtes. Les insoumis n’ont sans doute pas complètement tort  d’émettre des critiques à propos de la crédibilité des sondages surtout dans cette période électorale caractérisée par beaucoup d’incertitudes sur fond  de crise sociale. La raison  centrale, c’est qu’à peu près tous les sondages sont commandés par des médias la plupart détenues par des financiers ou sous la tutelle des pouvoirs publics. On a bien vu comment le JDD, Paris-Match encore Europe 1 avait prit l’initiative d’une pseudo remontée de Macron dans les médias en tout début d’année. Pas étonnant car les patrons de ces médias Lagardère et Bolloré sont les plus fervents supporters de Macron. Depuis, la manipulation a fait flop car tous les autres sondages ont démontré que Macron est scotché à 30 % d’opinions favorables et que 70 % condamnent sa politique. L’enjeu des européennes est important pour le pouvoir qui a minima doit apparaître en tête alors qu’il se trouve actuellement à peu près à égalité avec le rassemblement national. Reste à savoir si un sondage produit par un parti politique sera plus crédible que celui des médias contrôlés par des financiers. Pas sûr même si les estimations des sondages paraissent un peu faiblardes pour les : entre sept et 8 %.  «Les sondages ne sont pas réservés aux instituts qui en font leur profession et si un parti se lance en respectant les règles de l’art, pourquoi pas», indique-t-on à la Commission des sondages. À les entendre cependant, «si c’est avéré, ce serait nouveau». Directeur général adjoint de l’institut de sondage Opinionway, Bruno Jeanbart n’est pas plus surpris que cela. «C’est une pratique courante à l’étranger, dans le parti des conservateurs en Grande-Bretagne par exemple, ou aux États-Unis». Il s’étonne plutôt qu’en France, personne ne s’y attelle même si, souligne-t-il, «aux États-Unis, l’expérience montre que les données sont plutôt moins bonnes». Mais Jeanbart se défend des accusations de LFI. «Nous ne sommes pas opaques, toutes nos données sont rigoureusement publiées», dit-il, précisant utiliser «comme à peu près tout le monde, la présidentielle de 2017 pour le redressement et pas les européennes de 2014». Un autre acteur du secteur admet cependant que, contrairement à OpinionWay, «quelques instituts ne publient pas toutes les données brutes des sondages, profitant des failles de la loi votée en 2017». Et il admet, à la suite de LFI, que le premier sondage sur une potentielle liste des «gilets jaunes» aux européennes (publié en décembre) ayant été commandé par LREM, cela peut «éveiller quelques doutes».

Pour Jérôme Sainte-Marie, à la tête de Pollingvox, l’intérêt pour un parti ou un mouvement de faire ses propres sondages en interne est faible. «Financièrement, indique-t-il, cela vous coûte sans doute aussi cher, voire plus cher, que de le confier à une société indépendante, si vous le faites selon les normes». Il y voit surtout «un coup de communication», voir «une fonction psychologique de réassurance». «Je comprends que les sondages soient douloureux pour eux mais ils devraient plutôt, dit-il, s’interroger sur leur stratégie».

Congrès Versailles : le monarque boycotté par LFI

Congrès Versailles : le monarque boycotté par LFI

 

 

La réunion en congrès du parlement est bien entendu une énième opération de com. pour mettre Macron dans la lumière. Première remarque pourquoi à Versailles symbole d’une  monarchie qui ne change pas grand-chose quand elle devient républicaine (les énarques ont remplacé les anciens courtisans et la haute finance la bourgeoisie). Seconde observation, ces symboles de monarchie réhabilitée commence à souler nombre de citoyens qui attendaient un chef d’Etat ouvert et moderne et hérite en fait d’un dirigeant  finalement assez rétro, arrogant et qui s’enivre de son propre parfum. Tout ce cérémonial est complètement désuet ; d’abord la réunion d’un congrès n’est pas utile ; ensuite il pourra t se tenir à Paris et non dans le temple de la monarchie. Il sera surement encore question de la réforme de la constitution comme si c’était la préoccupation majeure dans un environnement où la croissance est menacée notamment par l’environnement géopolitique.  “Le monarque Emmanuel Macron recevra de nouveau les représentants du peuple à Versailles. Ils auront le droit d’écouter sa majesté et de lui répondre une fois qu’il sera parti. Ce nouveau monde a tout de l’ancien régime et rien de la République. Ce sera sans nous”, peut-on lire sur le compte Twitter du député LFI Eric Coquerel. Le discours présidentiel de Versailles sera suivi, après le départ du chef de l’Etat, d’un débat sans vote du Parlement.

Simonnet (LFI) : veut garder son logement social !

Simonnet  (LFI) : veut garder son logement social !

 

 De toute évidence certains insoumis ont du mal à mettre en cohérence  leurs principes  de solidarité et leur pratique personnelle. Pour tout dire ils entretiennent aussi des relations ambiguës avec l’argent. Après les affaires de Garrido en délicatesse avec les différentes  cotisations qu’elle doit, après le couple Garrido-Corbière, qui s’est illustré en rechignant à quitter l’habitation à loyer modéré(HLM) qu’il occupe à Paris, c’est désormais Danielle Simonnet qui refuse délibérément de quitter le logement social au motif surréaliste qu’elle ne veut pas participer à la spéculation immobilière !  L’intéressé occupe en effet un logement social dans le XXe arrondissement de la capitale. , un appartement de 83m² avec balcon pour 1300€ par mois. Ce tarif, dont elle jouit depuis qu’il a été fixé par la Régie immobilière de la Ville de Paris en 1999, est très largement en-dessous de ceux du marché. Mas cela ne semble pas déranger l’élue francilienne. Interrogée par le quotidien, la conseillère de Paris - dont le revenu mensuel brut s’élève à 4190€ bruts -, explique qu’elle n’entend absolument pas quitter ce logement. «Je ne veux pas me loger dans le privé, enrichir un propriétaire privé et participer à la spéculation immobilière», justifie-t-elle.

 

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