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2023: La fin de Macron avant l’été ?

2023: La fin de Macron avant l’été ?

Tous les sondages montrent la profonde colère de l’opinion vis-à-vis de la conjoncture économique et sociale. En premier,et de loin, la question de la perte de pouvoir d’achat. S’ajoutent à cela, les craintes d’une réforme des retraites idiote et injuste. Il y a enfin les incertitudes concernant la politique énergétique bradée par Macron au profit de l’Allemagne; macron est en effet directement responsable du délitement de la filière nucléaire française comme ancien conseiller de Hollande puis ministre de l’économie enfin président de la république. Il y a encore quelques mois il proposait d’abandonner la filière nucléaire ( en commençant par Fessenheim) maintenant il veut la réactiver et même construire des EPR.

Macron voudrait bien faire de cette année 2023 le moment charnière de sa présidence en engageant nombre de réformes notamment la réforme des retraites. Il n’est pas certain cependant qu’il y parvienne tellement la conjoncture est pavée de d’ obstacles (inflation, pouvoir d’achat, remontée des taux d’intérêt, dette, politique énergétique incohérente, insécurité montante, hôpital et école en plein naufrage ). On sait que l’intéressé n’est guère courageux et qu’il sera sans doute prêt à échanger son maintien comme président jusqu’en 2027 contre l’abandon de ses intentions réformistes.

Le président de la République a confirmé que l’année 2023 serait bien celle de la réforme des retraites. Une réforme d’ailleurs de plus en plus allégée puisqu’elle pourrait être très étalée dans le temps et ne concerner en fait une partie des salariés . Les fonctionnaires et les régimes spéciaux pourraient être épargnés avec la fameuse clause du grand-père qui permet de n’appliquer la réforme qu’aux nouveaux entrants

Cette année (2023) sera en effet celle d’une réforme des retraites», dont la présentation est fixée au 10 janvier prochain. «Il nous faut travailler davantage», a insisté Macron , disant vouloir «assurer l’équilibre de notre système pour les années à venir. Bref une sorte de réformes allégée,différée et sans doute injuste. Pour résumer, le privé et les nouveaux vont payer pour le public et les plus anciens.

Pour autant, la bataille est loin d’être gagnée. En effet, la réforme des retraites pourrait bien être bousculée par un autre champ de préoccupation concernant l’évolution du pouvoir d’achat. D’autres motifs d’insatisfaction vont aussi s’ajouter comme l’injuste règle de la modification de l’indemnisation du chômage qui évidemment avec son caractère technocratique ne tient pas compte des situations concrètes. S’y ajouteront les insatisfactions de nombre de catégories et pas forcément uniquement de salariés. Voir à cet égard le mouvement des médecins libéraux.

L’année 2023 pourrait bien être celle de la retraite mais peut-être celle de la retraite de Macron stoppé là dans sa velléité de transformation disruptive pour le principe afin de laisser son nom dans l’histoire.

Température : retour de l’été ?

strong>Température : retour de l’été ?

On peut se demander si le dérèglement climatique ne va pas précipiter le retour de l’été avec des températures proches de 30° à quelques jours de novembre. De toute manière à défaut de retour de l’été, on peut s’attendre à un nouvel hiver sans réel grand froid. Dans nombre de régions la neige n’est plus qu’un souvenir et même dans les stations de
. Des records mensuels de température ont été battus dans plusieurs villes de France, particulièrement dans le Sud, vendredi 28 octobre, relève Météo France.
C’était le cas à Ger (Pyrénées-Atlantiques), avec un pic à de 33,2°C, soit presque deux degrés de plus que son record précédent, en date du 13 octobre 2019.
A Tarbes, le thermomètre a atteint 31,8°C, soit 14°C de plus que la normale. Même chose à Biarritz, avec un pic à 27,3°C (huit degrés de plus), ou à Strasbourg, où la température était de 24.6°C (11 degrés de plus).

« A quelques jours de la fin de ce mois d’octobre, l’anomalie de température moyenne affiche déjà une valeur supérieure à 3°C. Valeur très conséquente atteinte pour la dernière fois en février 2020″, a précisé le service météorologique sur son compte Twitter.
Vendredi on encore atteint des températures de leurs deux 30° dans certaines régions.

Entre le 15 et le 24 octobre, la France a enregistré une série de neuf jours consécutifs avec des températures supérieures d’environ 4°C par rapport à la température moyenne de référence. Il s’agit d’une « série jamais relevée pour un mois d’octobre » depuis 1947, selon Météo-France. Le pays connaît des écarts à cette moyenne tous les jours depuis le 2 octobre.

« On sait déjà que les vagues de chaleur, en plus d’être plus fréquentes et plus intenses. Reste que ces températures ,toujours bonnes à prendre , viennent bouleverser la bio diversité.

Météo: Bientôt le retour de l’été ?

Météo : Bientôt le retour de l’été ?

On peut se demander si le dérèglement climatique ne va pas précipiter le retour de l’été avec des températures proches de 30° à quelques jours de novembre. De toute manière à défaut de retour de l’été, on peut s’attendre à un nouvel hiver sans réel grand froid. Dans nombre de régions la neige n’est plus qu’un souvenir et même dans les stations de montagne il faut solliciter les machines à neige ! Pour les jours qui viennent Météo-France attend en effet de 20 à 25°C au nord de la Loire et de 23 à 29°C en général plus au sud.

Jeudi et vendredi « s’annoncent comme les journées les plus chaudes de la semaine », selon Météo-France. L’organisme prévoit des températures maximales de 20 à 25°C au nord de la Loire et de 23 à 29°C en général plus au sud.

Elles atteindront 29 à 31°C sur les Pyrénées-Atlantiques, les Landes et les Hautes-Pyrénées.
« Des températures jamais vues après un 25 octobre depuis le début des mesures sont susceptibles d’être atteintes dans certaines villes, comme à Bordeaux ou Clermont-Ferrand », souligne Météo France sur son site. Météo-France jeudi des températures maximales de 22°C à Lille, 24°C à Paris, 31°C à Mont-de-Marsan et 27°C à Marseille.
« Vendredi, on pourrait approcher voire atteindre localement les 30°C en Auvergne, dans l’Allier et le Puy-de-Dôme », ajoute l’organisme. Il explique ce phénomène par « le flux de sud-ouest en altitude, déjà bien établi depuis une dizaine de jours sur l’Europe de l’Ouest », qui « va continuer cette semaine à ramener de l’air particulièrement doux pour la saison sur notre pays ».

Ce début d’automne est marqué en France par une douceur, voire une chaleur dans le Sud-Ouest notamment, remarquables pour un mois d’octobre. Plusieurs records ont été battus.
Dimanche 23 octobre, la ville de Figari, en Corse, a ainsi atteint un record mensuel avec 32,5°C: il n’y avait jamais fait aussi chaud en octobre, depuis l’ouverture de la station Météo France sur place en 1979. Le précédent record mensuel de chaleur était de 31,6 °C le 3 octobre 2006.
Entre le 15 et le 24 octobre, la France a enregistré une série de neuf jours consécutifs avec des températures supérieures d’environ 4°C par rapport à la température moyenne de référence. Il s’agit d’une « série jamais relevée pour un mois d’octobre » depuis 1947, selon Météo-France. Le pays connaît des écarts à cette moyenne tous les jours depuis le 2 octobre.

« On sait déjà que les vagues de chaleur, en plus d’être plus fréquentes et plus intenses. Reste que ces températures ,toujours bonnes à prendre , viennent bouleverser la bio diversité.

SMIC : plus 25 € ….. pour l’été

SMIC  : plus 25 € ….. pour l’été si Macron est réélu!

 

Le SMIC net  , actuellement 2269 € depuis le 1er janvier va augmenter en juin prochain… Si Macron est élu. Bruno Le Maire a affirmé, sur le plateau de TF1, que cette hausse serait de l’ordre de 25 euros nets.Bref une augmentation de leur de 2 % alors que les perspectives d’inflation sont de 5 % pour 2022 ! Une idée de la future stratégie salariale en France

“Le SMIC va être automatiquement revalorisé. Sans doute avant l’été, et pour un montant de l’ordre de 25 euros nets”.

Il ne s’agit pas d’un coup de pouce exceptionnel du gouvernement mais bien d’une revalorisation automatique dont le montant précis ne peut être connu pour l’instant.

 

Météo : l’été pourri va continuer jusqu’à fin août

Météo : l’été pourri va continuer jusqu’à fin août

 

 

 

Pour des questions touristiques , les grands médias ont tendance à nettement sous-estimer le caractère particulièrement pourri de la météo de cet été. Une période avec des épisodes particulièrement inhabituels  concernant aussi bien les précipitations que les températures. Les jardiniers et les agriculteurs eux-mêmes constatent que la saison est catastrophique pour les fruits et légumes.

Une grande partie du pays a entamé l’été sous de nombreuses précipitations, non sans conséquences sur les cultures, à l’opposé de ce que prévoyait Météo France

En mai, l’institut de prévision tablait ainsi sur trois mois chauds et secs, plus que la normale, excepté pour la Bretagne et les régions proches de la Manche. Météo France une nouvelle fois s’est encore complètement planté.

 Dans nombre de régions la température est inférieure à celle du mois de mai qui il est vrai a été plus proche de celle d’un mois de juillet que d’un mois de printemps ! À noter qu’il est aussi tombé environ 10 fois plus de pluie que d’ordinaire. 

A l’échelle de la France métropolitaine du 16 juin au 15 juillet, il est tombé 144 mm de pluie, un record sur cette période depuis le début de ce type de mesure (1959). Sur cette même période, les années les plus sèches sont 2015 avec 15 mm et 2019 avec 25 mm. Et Météo-France d’annoncer encore du mauvais temps pour le mois d’août.

L e temps ne devrait pas s’améliorer au mois d’août malgré quelques embellies la semaine prochaine. Il n’y aura pas de tendances de beau temps durable. Un pic de chaleur pourrait être atteint pour le 15 août.

Prévision Météo : l’été pourri va continuer

Prévision Météo : l’été pourri va continuer

 

 

 

Pour des questions touristiques et peut-être aussi  politiciennes , les grands médias ont tendance à nettement sous-estimer le caractère particulièrement pourri de cet été. Une période avec des épisodes météo particulièrement inhabituels  concernant aussi bien les précipitations que les températures. Les jardiniers et les agriculteurs eux-mêmes constatent que la saison est catastrophique pour les fruits et légumes.

Une grande partie du pays a entamé l’été sous de nombreuses précipitations, non sans conséquences sur les cultures, à l’opposé de ce que prévoyait Météo France.

En mai, l’institut de prévision tablait ainsi sur trois mois chauds et secs, plus que la normale, excepté pour la Bretagne et les régions proches de la Manche. Météo France une nouvelle fois s’est encore complètement planté.

Dans nombre de régions la température est inférieure à celle du mois de mai qui il est vrai a été plus proche de celle d’un mois de juillet que d’un mois de printemps ! À noter qu’il est aussi tombé environ 10 fois plus de pluie que d’ordinaire.

A l’échelle de la France métropolitaine du 16 juin au 15 juillet, il est tombé 144 mm de pluie, un record sur cette période depuis le début de ce type de mesure (1959). Sur cette même période, les années les plus sèches sont 2015 avec 15 mm et 2019 avec 25 mm. Et Météo-France d’annoncer encore du mauvais temps pour le mois d’août.

« Jusqu’à la moitié du mois d’août au moins, il faut s’attendre à un temps assez maussade, prévient Christian Viel. Les conditions vont rester relativement fraîches, et le temps sera assez humide. » 

Météo : l’été pourri va continuer

 Météo : l’été pourri va continuer

 

 

 

Pour des questions touristiques et peut-être aussi de politiciennes , les grands médias ont tendance à nettement sous-estimer le caractère particulièrement pourri de cet été. Une période avec des épisodes météo particulièrement inhabituels  concernant aussi bien les précipitations que les températures. Les jardiniers eux-mêmes constatent que la saison est catastrophique pour les fruits et légumes.

Une grande partie du pays a entamé l’été sous de nombreuses précipitations, non sans conséquences sur les cultures, à l’opposé de ce que prévoyait Météo France

En mai, l’institut de prévision tablait ainsi sur trois mois chauds et secs, plus que la normale, excepté pour la Bretagne et les régions proches de la Manche. Météo France une nouvelle fois s’est encore complètement planté.

 Dans nombre de régions la température est inférieure à celle du mois de mai qui il est vrai a été plus proche de celle d’un mois de juillet que d’un mois de printemps ! À noter qu’il est aussi tombé environ 10 fois plus de pluie que d’ordinaire. 

A l’échelle de la France métropolitaine du 16 juin au 15 juillet, il est tombé 144 mm de pluie, un record sur cette période depuis le début de ce type de mesure (1959). Sur cette même période, les années les plus sèches sont 2015 avec 15 mm et 2019 avec 25 mm. Et Météo-France d’annoncer encore du mauvais temps pour le mois d’août.

« Jusqu’à la moitié du mois d’août au moins, il faut s’attendre à un temps assez maussade, prévient Christian Viel. Les conditions vont rester relativement fraîches, et le temps sera assez humide. » 

DROGUE: campagne d’info avant l’été ?

DROGUE: campagne d’info avant l’été ?

 

Alors que le président de la république a annoncé un grand débat sur la drogue, le ministre de l’intérieur de son côté annonce une grande campagne de sensibilisation à partir de l’été.

Il est évident que cette question est très sensible dans la mesure où elle est souvent liée à l’insécurité.

Le phénomène n’est évidemment pas nouveau mais il a pris une telle ampleur qui s’inscrit désormais aussi dans une problématique économique. En effet de trafic de drogue représente entre 3 et 5 milliards fait vivre de l’ordre de 200 000 personnes à partir notamment de 5000 points de vente officiellement repérés, soit une cinquantaine par département.

Un phénomène considérable et en plus aggravée en France premier pays consommateur de cannabis

 

« La France est devenue un pays de consommation et donc, il faut briser ce tabou », avait estimé le chef de l’État. La France est le premier pays d’Europe en nombre de

« Le cannabis est devenu une drogue dure », a déclaré Gérald Darmanin au JDD, rappelant la hausse « considérable » du niveau de THC, la molécule psychotrope du cannabis.

Contamination : un nombre toujours élevé dans quatre semaines ! Et menaces sur l’été

Contamination : un nombre toujours élevé dans quatre semaines ! Et menaces sur l’été

 

Pour l’épidémiologiste Mahmoud Zureik, la fermeture des écoles et l’extension des restrictions à toute la France métropolitaine pendant quatre semaines pourraient permettre de « revenir à un niveau de plateau élevé » comparable à celui de janvier-février. Mais l’été s’annonce plus dur que l’an passé. (Interview JDD)

« Nous devons, pour les mois à venir, fournir chacun effort supplémentaire. » Lors d’une allocution télévisée mercredi soir, Emmanuel Macron a annoncé de nouvelles restrictions pendant quatre semaines contre le Covid-19. Dès samedi, toute la métropole sera soumise aux mesures renforcées déjà en vigueur dans 19 départements. Les écoles fermeront aussi leurs portes pour laisser place à l’enseignement à distance puis à des vacances unifiées sur le territoire. Mais l’effet conjugué de ce tour de vis et le déploiement de la vaccination, veut croire le Président, « va nous permettre, à partir de la mi-mai, de commencer à rouvrir progressivement le pays ».

Ces mesures seront-elles suffisantes pour enrayer la dynamique épidémique? Le calendrier d’allègements esquissé par Emmanuel Macron est-il réaliste? Professeur de santé publique et d’épidémiologie à l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, Mahmoud Zureik analyse ces annonces.

Les mesures annoncées mercredi seront-elles suffisantes pour casser la courbe épidémique?
Elles seront en partie efficaces, de façon non-négligeable, surtout par la fermeture des écoles. Est-ce que ce sera suffisant? Tout dépend de l’objectif. En novembre, le Président a annoncé un objectif de 5.000 contaminations par jour et de 2.500 personnes en réanimation. Ce chiffre était présenté comme un seuil permettant de contenir l’épidémie. Depuis, on n’en parle plus. Si l’objectif est de revenir à un niveau de plateau élevé avec 20.000 à 25.000 contaminations par jour comme en janvier-février, on peut y arriver. S’il s’agit de passer de 35.000 cas quotidiens actuellement à 5.000 contaminations, certainement pas.

Pourquoi?
Cela dépend du chiffre de départ : passer de 35.000 contaminations quotidiennes à 5.000, c’est extrêmement difficile. Cela demande des mesures beaucoup plus strictes et plus longues. Prenons l’exemple du Royaume-Uni : fin décembre, début janvier, ils étaient proches des 60.000 cas par jour. Ils ont mis trois mois pour redescendre sous les 5.000. S’ils avaient réagi avant, la nature et la durée des mesures auraient été bien inférieures.

L’interdiction des voyages entre régions ne va pas entrer en vigueur avant lundi et va donc tarder à produire des effets

A partir de quand pourra-t-on observer un éventuel effet des nouvelles restrictions?
Pas avant deux, trois semaines. Mais l’interdiction des voyages entre régions ne va pas entrer en vigueur avant lundi et va donc tarder à produire des effets. Le paramètre le plus avancé pour observer un impact, c’est le nombre de contaminations. Le nombre d’hospitalisations, de réanimations et de décès, lui, va continuer à augmenter parce qu’il y a toujours un décalage entre les contaminations et les hospitalisations, de 7 à 10 jours environ pour l’hospitalisation et de deux à trois semaines pour la mortalité. Avec le variant anglais, on voit que le passage en réanimation est plus rapide qu’avec le variant classique, donc ce décalage sera peut-être raccourci, de l’ordre de 5 à 10 jours environ contre 7 à 10 jours.

Dans son allocution, Emmanuel Macron a affirmé que les « mesures de freinage renforcées » mises en place dans 19 départements le 18 mars ont eu de « premiers effets ». Est-ce vrai?
C’est encore difficile à dire. On verra dans les jours qui viennent mais, pour le moment, si impact il y a, il est presque négligeable.

L’école est l’un des derniers vecteurs de circulation du virus et il concerne des millions de personnes

En quoi la fermeture des écoles peut avoir un effet bénéfique?
C’est la première fois que le président de la République reconnaît que l’école est un lieu de circulation du virus, ce que l’on pensait depuis des mois. Le variant anglais, avec sa transmissibilité accrue, a rendu la problématique de l’école plus aiguë et visible. Les restaurants sont fermés, les commerces sont fermés, les lieux culturels sont fermés, on a encouragé le télétravail… L’école est l’un des derniers vecteurs de circulation du virus et il concerne des millions de personnes, c’est-à-dire les enfants, les parents et le personnel de l’Education nationale.

 

Indirectement, c’est donc aussi un moyen de réduire les contacts des adultes en les poussant à rester chez eux?
Le chômage partiel ou le télétravail, selon les schémas familiaux, permettra aux parents d’avoir moins de contacts. Cela dit, il ne s’agit pas forcément de rester chez soi, confiné dans un lieu clos. Du point de vue du risque de contamination, être à l’extérieur, en respectant les gestes barrière, c’est mieux que de s’enfermer chez soi. Mais il faut avoir beaucoup moins d’interactions sociales, éviter les squares et les rues avec une densité importante et, si on est avec des gens, ne pas partager de repas. Se balader sur une plage, dans la forêt ou une rue déserte ne présente quasiment aucun risque de contamination.

Les déplacements entre régions seront autorisés ce week-end. Est-ce que cela pourrait envenimer la situation?
Jusqu’à lundi, on aura une sorte de mise en attente des mesures. Pendant ce temps, il y aura des interactions, des brassages, et donc un risque de contamination et de dissémination dont on se serait bien passé. Les gens se sont organisés pour leur lundi de Pâques, c’est donc un compromis, mais qui se fera peut-être un peu au détriment de la maîtrise de l’épidémie.

Avec la vaccination, on peut être optimiste sur le ralentissement de l’épidémie dans les mois qui viennent

Le passage à des restrictions nationales, avec une allocution solennelle, permet-il d’envoyer un signal pour inciter à la vigilance?
Cela envoie un signal sur la gravité de la situation, mais il est difficile de savoir si cela va changer quelque chose. Les restrictions durent depuis un an et, malgré cela, même s’il y a des relâchements, beaucoup de gens sont responsables et conscients du danger!

Quoi qu’il arrive, la situation hospitalière sera toujours très tendue dans quatre semaines?
On aura toujours de fortes tensions hospitalières et un nombre élevé de contaminations. Même si on atteint un pic de contaminations en avril, la descente va être lente. Néanmoins, avec la vaccination, avec le fait que de plus en plus de gens ont contracté le Covid et présentent une immunité, avec la modification des conditions météorologiques qui permettra d’aller plus souvent à l’extérieur, on peut être optimiste sur le ralentissement de l’épidémie dans les mois qui viennent.

On verra les premiers résultats [de la vaccination] pendant le mois de mai

Quand la vaccination produira-t-elle un effet sur la courbe épidémique?
De plus en plus d’études montrent que les vaccins protègent des formes graves mais aussi des contaminations. C’est une très bonne nouvelle! Cela signifie que, même si on n’arrive pas rapidement à un nombre très élevé de personnes vaccinées, pour atteindre l’immunité de groupe, plus on vaccine, moins il y a de place pour le virus. Je dirai que l’on verra les premiers résultats pendant le mois de mai. Les vaccins produisent d’ailleurs déjà leurs effets en Ehpad et sur les personnes très âgées. C’est un signe d’espoir, le bout du tunnel n’est pas très loin.

Vous estimez dans le même temps que l’été sera plus difficile que l’été dernier. Pourquoi?
Parce que le niveau de circulation du virus sera plus élevé. L’année dernière, le 11 mai [date du déconfinement progressif, NDLR], on avait entre 1.000 et 3.000 contaminations par jour selon les estimations. On était dans des conditions presque normales avec un virus qui circulait à bas bruit. Cette fois-ci, on va probablement arriver vers l’été avec une circulation plus élevée du virus.

 

« Tous les Français pourront être vaccinés d’ici la fin de l’été » : le mensonge criminel de Macron

« Tous les Français pourront être vaccinés d’ici la fin de l’été » : le mensonge criminel de Macron

Encore un énorme mensonge de Macron qui justifierait des poursuites judiciaires quand il affirme que tous les Français qui le souhaitent pourront se faire vacciner ici l’été. Or les chiffres le contredisent complètement. En effet jusque-là on a à peine vacciner 10 millions de personnes en trois mois. Au mieux dans les trois mois qui viennent on aura vacciné 15 à 20 millions de personnes.

Soit au total 25 à 35 millions de Français. Et encore à condition que les commandes passées au laboratoire soient effectivement respectées et à condition que la logistique suive puisque actuellement 30 % par exemple des doses sont immobilisés du faite précisément des défaillances logistiques. On voit donc mal comment 66 millions de Français pourraient être vaccinés d’ici l’été. En attendant cet attentisme et ses contradictions se traduisent par de nouvelles personnes contaminées et des mœurs supplémentaires dont la responsabilité impute directement au gouvernement et à Macron qui pour cette raison mériterait d’être jugé par la justice ordinaire et non par la très complaisante Haute Cour de justice composée d’élus ! Et Macron de continuer à mentir de façon éhontée voire criminelle.

« Pour cela, il faut une augmentation importante des livraisons dans les semaines à venir et les prochains mois et les commandes comme les mécanismes mis en place par les européens le permettra« , a assuré Emmanuel Macron dans une conférence de presse à l’issue du premier Conseil européen, retransmise sur BFMTV.

 

70% des Européens vaccinés d’ici la fin de l’été (Union économique) ?

70% des Européens vaccinés d’ici la fin de l’été (Union économique) ?

 

La présidente de la Commission européenne a rappelé son affectif son objectif de vacciner 70% de la population adulte de l’UE d’ici «la fin de l’été»,. Le problème c’est que jusqu’à maintenant on a constaté un grand décalage entre les intentions et la situation réelle. La présidente de la commission européenne prend une précaution oratoire en indiquant que 70 % des Européens pourraient être protégés par un vaccin….. si les doses promises sont effectivement livrées !

 

l’UE espère recevoir d’ici fin juin près de 600 millions de doses d’ici fin juin. Il est vrai que d’ici là plusieurs autres vaccins seront validés par les autorités sanitaires cependant la production industrielle risque de demander plusieurs mois.

Fin de crise sanitaire : pas avant l’été… 2022 !

 Fin de crise sanitaire : pas avant l’été… 2022 !

« C’est en été 2022 qu’on pourra réellement faire un véritable bilan de la situation et tout sera beaucoup plus facile », a déclaré sur France Inter le professeur Pittet, inventeur du gel hydroalcoolique et président de la mission indépendante nationale sur l’évaluation de la gestion de la crise Covid-19 en France. « Mais on retournera au théâtre avant et il y aura d’autres activités sociales agréables » slon  l’épidémiologiste Didier Pittet, l’inventeur du gel hydroalcoolique.

Les deux prochains mois vont être délicats car « on est encore en hiver et on sait que les virus respiratoires aiment cette période », a-t-il dit. Il y aura « ensuite la campagne de vaccination » et on pourra faire « un premier bilan au début de l’été ».

« Mais on va ensuite se propulser vers l’automne et il y aura certainement d’autres variants, peut-être qu’il faudra d’autres vaccins, il faudra encore pouvoir passer un automne qui ne sera pas un automne normal », a poursuivi l’épidémiologiste.

Croissance européenne : reportée à l’été

Croissance européenne : reportée à l’été

 

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Bruxelles reconnaît que la pandémie va peser lourdement sur la croissance qui était espérée au premier trimestre. En fait l’Europe pourrait connaître une dépression de l’ordre de 1 %. La croissance est donc reportée à l’été.

 

« La situation économique reste difficile cet hiver (…), cependant la lumière apparaît désormais au bout du tunnel », a résumé le commissaire européen à l’Economie, Paolo Gentiloni, lors d’une conférence de presse. Pour l’année en cours, les prévisions de l’exécutif européen présentées jeudi s’avèrent moins positives que celles de l’automne dernier.

Concernant les 19 pays de la zone euro, la Commission table sur 3,8% de croissance économique en 2021 (contre 4,2% anticipé jusqu’ici), après la chute historique de -6,8% en 2020. En 2022, la croissance du Produit intérieur brut (PIB) atteindrait de nouveau 3,8%, soit une nette amélioration par rapport aux 3% pronostiqués en novembre.

L’arrivée des vaccins, notamment, permet d’anticiper un rebond plus fort à partir de l’été et l’année prochaine. Du coup, l’économie de l’UE devrait retrouver son niveau d’avant-crise « au deuxième trimestre 2022, plus rapidement que prévu », a souligné M. Gentiloni.

Bruxelles justifie l’assombrissement conjoncturel des dernières semaines par le renforcement nécessaire des mesures de confinement dans de nombreux États membres pour freiner la circulation de variants plus contagieux du coronavirus.

Les prévisions d’éclaircie à venir sont fondées sur le scénario d’un allégement de ces mesures « vers la fin du deuxième trimestre et de façon plus marquée dans la deuxième moitié de l’année, quand les personnes les plus vulnérables et une part croissante de la population adulte auront été vaccinées », a expliqué Paolo Gentiloni.

Par conséquent, « l’incertitude et les risques restent très élevés » en lien avec l’évolution de la pandémie, a-t-il prévenu, évoquant l’importance des campagnes de vaccination.

Pour l’ensemble de l’UE à 27, les prévisions chiffrées suivent la même tendance. Bruxelles prévoit une croissance de 3,7% en 2021 (contre 4,1% espéré précédemment), puis 3,9% en 2022 (contre 3%).

Cependant, « le rythme de la reprise va varier de façon significative entre les pays », estime la Commission. Certains ont en effet été plus touchés par la pandémie ou ont une économie qui dépend davantage du tourisme comme l’Espagne, le Portugal et la Grèce.

Bruxelles table sur 5,5% (-0,3 point) de croissance en France en 2021, puis 4,4% (+1,3 point) en 2022, après -8,3% l’an dernier. Pour l’Allemagne, première économie européenne, la Commission attend une hausse du PIB de respectivement 3,2% puis 3,1%, après -5%.

Paolo Gentiloni a précisé qu’une bonne surprise n’était pas à exclure dans la mesure où ces chiffres ne tiennent pas compte du fonds de relance massif de 750 milliards d’euros dont les premiers versements sont attendus au deuxième semestre.

Ils intègrent en revanche un impact du Brexit de 0,5 point de croissance d’ici à fin 2022, moindre que prévu, grâce à la conclusion d’un accord commercial entre l’UE et le Royaume-Uni. Autre motif d’espoir, la résurgence de l’inflation. Elle devrait atteindre 1,4% cette année en zone euro, après seulement 0,3% l’an dernier. Les prix à la consommation ont augmenté en janvier, après cinq mois de recul consécutifs qui ont alimenté l’inquiétude sur la santé de l’économie.

Les prévisions de la Commission jouent un rôle essentiel dans l’élaboration des politiques économiques européennes. L’UE a levé l’an dernier les freins à l’endettement imposés aux États membres afin que ces derniers aient les coudées franches pour dépenser et combattre les effets récessifs de la pandémie.

Mais cette mesure est temporaire et sera levée une fois la reprise économique bien installée. A ce sujet, « nous prendrons une décision dans les prochaines semaines, au printemps », a déclaré M. Gentiloni, laissant entrevoir une poursuite des mesures de flexibilité. « Ce que montre clairement nos prévisions est que nos difficultés économiques ne s’arrêteront pas le 31 décembre de cette année », a-t-il dit.

 

Confinement jusqu’à l’été 2021, au moins (Castex)

Confinement jusqu’à l’été 2021, au moins (Castex)

 

 

 

Dans une interview au Monde de samedi le chef du gouvernement explique que le confinement va se prolonger jusqu’à l’été 2021 au moins. Sa stratégie dans ce domaine sera présentée à la fin du mois.

En clair,  le gouvernement va continuer de mettre sous cloche l’économie et les relations sociales.

Les conséquences risquent d’être terribles pour la croissance et pour le chômage. On comprend évidemment que des mesures de protection soient prises malheureusement l’efficacité de la politique du gouvernement  ne parait guère efficace quand on constate que la France est l’un des pays les plus touchés par les contaminations et les hospitalisations.

Il paraît pourtant évident qu’une opération de test général de tous les Français permettrait d’identifier les populations touchées, de les isoler et de les traiter. Pourquoi ce qui était effectué en Tchéquie ne serait pas possible en France ?

Pourquoi autoriser certaines activités économiques et interdire d’autres activités sociales ou économiques où les risques de contamination sont très faibles voire nuls.

 

Le gouvernement slovaque, lui, s’est efforcé de soumettre la majorité de la population au test Covid-19 durant le week-end écoulé. Plutôt réussie, l’opération de dépistage hors norme avait pour objet de permettre au pays, très touché par la deuxième vague, d’assouplir ses restrictions et son confinement.

Grâce à l’aide de très nombreux volontaires, les quelque 4 900 points de dépistage et 45 000 professionnels de santé, soldats, policiers et autres pompiers déployés sur le territoire de ce petit pays d’Europe centrale ont permis de collecter des prélèvements sur plus de trois millions de personnes, en l’espace de deux jours, samedi 31 octobre et dimanche 1er novembre. Les enfants de moins de 10 ans et les personnes âgées en ont été dispensés.

Finalement, seuls un peu plus de 1 % des tests antigéniques effectués se sont révélés positifs,

en France en réalité comme on a manqué de masse au début, on manque maintenant de tests! Une situation inadmissible dans un pays aussi développé du coup pour répondre à cette insuffisance on immobilise l’économie et la vie sociale.

Pour le chef du gouvernement français  »tant que nous n’aurons pas de vaccin, nous devons donner des perspectives sur les règles du jeu ». Car il prévient les Français qu’il faudra « vivre avec le virus sur le temps long ». Ainsi, au Monde, il avertit : « Les rassemblements festifs, familiaux dans des salles de fêtes ne pourront pas reprendre avant longtemps. De même, les bars et les restaurants qui font aussi partie des endroits de contamination forte ne pourront pas rouvrir dès le 1er décembre, contrairement aux magasins de jouets, par exemple » » À l’inverse, le télétravail devra perdurer, sur la base d’un équilibre à trouver dans les entreprises pour éviter le tout ou rien », explique-t-il.

Jean Castex en appelle également à la responsabilité des Français : « Seule une régulation par la société elle-même nous permettra une cohabitation apaisée avec le virus »« plus les gens feront d’efforts maintenant, plus on pourra desserrer rapidement ».

Dans cet entretien, le chef du gouvernement dit assumer tenir une ligne sanitaire dure - « dans une crise comme on n’en a pas vu depuis 1920, avec des centaines de morts tous les jours, mon premier critère de décision, c’est la sécurité sanitaire » - même si elle égratigne sa cote de popularité. « Mon rôle de chef du gouvernement est de faire face. La période, on ne la choisit pas », juge-t-il. « Le fait d’être critiqué pour la place que j’occupe, c’est quelque chose que j’avais totalement intériorisé en arrivant à Matignon. Je n’en ressens ni blessure ni surprise. » « Quand je dis que je regarde plus les courbes en réanimation que celle des sondages, c’est l’absolue vérité. Mon sujet, c’est de savoir si l’on prend les bonnes décisions dans l’intérêt des Français. »

La Covid 19 : Des vagues vont se succéder jusqu’à l’été voir plus tard (Conseil scientifique)

 Covid 19 : Des vagues vont se succéder jusqu’à l’été voir plus tard (Conseil scientifique)

 

En clair, le conseil scientifique n’exclut plus la possibilité d’autres vagues qui vont succéder à celle en cours. On parle désormais d’une crise qui pourrait durer jusqu’à l’été voire davantage. « Il est très difficile de prévoir combien de temps va durer la 2e vague, car cela dépend du virus lui-même, de son environnement climatique, des mesures qui vont être prises pour limiter la circulation du virus, de leur acceptation et donc de leur impact », écrit le Conseil scientifique.

« On peut faire une hypothèse d’une sortie de 2e vague en fin d’année ou début d’année 2021. Cette sortie devrait s’accompagner d’un retour de la circulation du virus à un niveau très contrôlé (5.000 à 8.000 nouvelles contaminations par jour maximum) », poursuit l’instance.

« On peut ainsi avoir plusieurs vagues successives durant la fin de l’hiver/printemps 2021, en fonction de différents éléments: état climatique, niveau et efficacité opérationnelle de la stratégie Tester/tracer/isoler (les cas positifs) », ajoute-t-il.

Les gouvernements seront donc confrontés à « la gestion de vagues successives de recrudescence » de l’épidémie, « jusqu’à l’arrivée des premiers vaccins et/ou traitements », peut-être au deuxième trimestre 2021 mais plus vraisemblablement pas avant l’été voire plus tard.

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