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Sondage – les raisons du blocage de l’immobilier : les banques responsables

Sondage – les raisons  du blocage de l’immobilier  : les banques responsables

 

Enfin, un élément d’éclairage sur la situation catastrophique de l’ immobilier avec ce sondage qui montre que 59% des Français estiment que les banques sont responsables. Des banques qui (comme pour les entreprises) se montrent  de plus en plus implacable vis-à-vis des préteurs.  Ces banques représentent le premier facteur de blocage du marché de l’immobilier selon les Français, loin devant le gouvernement ou les agents immobiliers. « L’acteur qui a le plus d’influence » sur le marché de l’immobilier est le secteur bancaire, selon les Français. Un sondage Ipsos pour le réseau immobilier Orpi publié ce vendredi 5 septembre révèle que les banques sont citées comme premier facteur de blocage du marché, à 49%, loin devant le gouvernement (15%), les agents immobiliers (15%), les acheteurs (14%) et les vendeurs (7%). Quelque 45% des sondés juge que les banques sont « les mieux positionnées pour débloquer le marché », là encore loin devant le gouvernement (34%) ou les vendeurs (9%). Or pour 59% des Français, les banques se montrent au contraire « de plus en plus exigeantes et sélectives dans l’attribution de crédits », alors même que les taux d’intérêt des crédits immobiliers sont tombés à 2,68% en moyenne au mois d’août, soit leur plus bas depuis quelque 70 ans. Pour débloquer le marché immobilier, 32% des sondés préconisent le retour à « plus de souplesse dans les conditions d’accès au crédit », devant une amélioration des aides aux ménages accédant à la propriété (26%) ex aequo avec une politique fiscale plus favorable (26%).Les Français n’ont pas tort cependant c’est le niveau de solvabilité qui est en cause surtout. Avec en moyenne un cout d’ achat en France de 230 000 euros, il faut un revenu de 4500  à 5000 euros, or en l’état du marché du travail (et des rémunérations) peu de candidats à l’accession peuvent présenter cette garantie. Le prix de l’immobilier, la durée des prêts sont donc aussi à prendre en compte avec l’attitude des banques.

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Hollande « j’aime les pauvres » !

Hollande « j’aime les pauvres » !

 

Un vrai cri du cœur de Hollande qui doit brusquement se souvenir qu’il a été élu par la gauche mais il ne sait plus où est sa gauche à écrit Trierweiler. Torpillé par son ex compagne qui révèle son vrai  caractère. Hollande se découvre une passion soudaine  pour les pauvres, les plus défavorisé, les humbles. Il ajoute même sans rire » c’est ma raison d’être » ! Pathétique évidemment quand on sait que sa seule et unique raison d’être c’est la conquête et la jouissance du pouvoir. Il ne connait rien des humbles et des paumés des petites gens, il ne sait même pas ce que coûte les choses essentielles comme le raconte Trierweilller, il n’a jamais fait les course ! Après le cri d’amour de Valls « j’aime les entreprise », c’est donc le cri d’amour de Hollande «  j’aime les pauvres. Des déclarations auusi pitoyables lune que l’autre car ce ne sont pas dans le domaine du sentiment faux cul qu’on attend les responsables mais sur de décisions et des résultats. Mais  François Hollande l’assure : il « agira jusqu’au bout ». Et ce, même si les sondages sont mauvais, sa cote de popularité en baisse et les résultats toujours attendus. « Je suis à mi-mandat, il n’y a pas de sondage, aussi difficile soit-il, que je regarde en face, qui puisse interrompre le mandat que donne le peuple au président de la République », a-t-il déclaré, comme une réponse à l’enquête du Figaro du jour qui place Marine Le Pen devant lui au second tour en 2017. « Mon devoir, c’est ne pas céder à je ne sais quelle pression », a poursuivi François Hollande, qui a pris le temps de répondre, même si le sommet de l’Otan, à Newport (Royaume-Uni), n’était pas, à ses yeux, le « lieu le plus approprié » pour évoquer la situation française. Et le départ du secrétaire d’Etat Thomas Thévenoud, sur lequel il n’a au final pas réagi. « Il y a un gouvernement, il sera devant l’Assemblée nationale pour engager sa responsabilité le 16 septembre, et je ne doute pas qu’il l’obtienne », a complété le chef de l’Etat. Avant d’assurer, une nouvelle fois, qu’il ne se « départirait pas » de sa responsabilité présidentielle. Mais ce n’est pas le seul sujet franco-français auquel a dû répondre François Hollande. Quelques minutes plus tôt, il a été interrogé sur le livre de son ex-compagne Valérie Trierweiler. « Je n’admettrai jamais, je dis bien jamais, que puisse être mis en cause ce qui est l’engagement de toute ma vie », a répondu le locataire de l’Elysée, qui estime que la fonction présidentielle « doit être respectée ». « Je ne vais pas laisser mettre en cause la conception de mon action au service des Français et notamment de la relation humaine que j’ai avec les plus fragiles, les plus modestes, les plus humbles, les plus pauvres », a poursuivi François Hollande – qui appellerait ces derniers les « sans-dents », selon l’ex-première dame. « Parce que je suis à leur service et parce que c’est ma raison d’être, tout simplement ma raison d’être », a conclu le chef de l’Etat.

 

L’Iran et les Etats-Unis ensemble contre l’Etat islamique

L’Iran et  les Etats-Unis ensemble contre l’Etat islamique

Une conséquence que n’avaient sans doute pas prévu les barbares de l’Etat islamique, l’union de L’Iran des Etats-Unis (et autres ays occidentaux) justement pour combattre les djihadistes. Ce qui va  aussi permettre à l ’Iran de sortir de son isolement et de faciliter l’accord sur le nucléaire. Un tournant géopolitique sans doute très important pour les équilibres géopolitiques et aussi économiques. De quoi aussi faire réfléchir certains émirats qui soutiennent les rebelles avec des positions très ambigües comme le Qatar par exemple.  Selon la BBC, l’Iran a approuvé une coopération militaire avec les Etats-Unis pour combattre l’Etat islamique dans le nord de l’Irak. Une première en 35 ans de relations diplomatiques compliquées.  Si l’information se confirme, c’est un signe très fort du dégel qui se dessine entre les Etats-Unis et l’Iran. Selon la BBC, l’ayatollah Khamenei a autorisé le commandant en chef de l’armée iranienne à « coordonner des opérations militaires avec les Etats-Unis, l’Irak et les forces kurdes » contre l’Etat islamique. Jusqu’à présent, l’Iran s’était toujours opposé à une intervention militaire américaine en Irak, considéré comme un pays allié. Mais le régime chiite iranien voit également d’un très mauvais oeil l’Etat islamique, considéré comme un mouvement extrémiste sunnite dangereux pour ses propres intérêts. Barack Obama avait lui appelé fin août à une coalition internationale pour lutter contre l’organisation djihadiste. Il avait demandé, à cette occasion, à son secrétaire d’Etat, John Kerry, de se rendre au Proche-Orient. Une semaine plus tôt, la France avait appelé, elle, à « une coordination internationale » contre l’EI. Cette coopération militaire, si elle se confirme, serait une première depuis la chute du shah d’Iran en 1979. Elle est annoncée alors que se tiennent, à Genève, des négociations entre l’Iran et six pays occidentaux, dont les Etats-Unis, au sujet du nucléaire iranien.  A l’issue d’une des réunions, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères a d’ailleurs fait part d’un possible accord d’ici novembre : « Tant que le groupe 5+1 est sincère et adopte une approche constructive, il est possible d’obtenir un bon résultat avant le 24 novembre« , a déclaré Majid Takht-Ravanchi.

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Sondage : le gouvernement n’en fait pas assez pour les entreprises pour 63% des Français

Sondage : le gouvernement n’en fait pas assez pour les entreprises pour 63% des Français

Déclarer « J’aime les entreprises »  c’est bien  mais agir, c’est mieux ;  ce que pensent les Français. Une large majorité de Français a le jugement inverse : 63 % d’entre eux considèrent en effet que « Manuel Valls et le gouvernement n’en font pas assez pour les entreprises » contre 15 % qui jugent que l’exécutif en « fait trop » et encore 15 % qui estiment que ce n’est « pas assez ».  Sans surprise, la proportion de sondés qui pensent qu’il n’y en a « pas assez » pour les entreprises atteint des sommets chez les sympathisants de droite (81 %) de longue date acquis à la politique de l’offre. Une position partagée par 72 % des électeurs du FN. Plus intéressant encore sont les résultats de ce sondage chez les sympathisants de gauche : 44 %, soit une majorité relative, estiment aussi que le gouvernement n’en fait « pas assez », contre 22 % qui juge le dosage bon et 22 % qui l’estiment « trop » favorable aux entreprises. Le président de CSA, Bernard Sananès, voit deux raisons à ces résultats : «L’entreprise est perçue comme un acteur de la sortie de crise» et les Français considèrent désormais «qu’aider les entreprises, ce n’est pas aider les patrons mais l’emploi». De quoi faire écho aux propos du Premier ministre déclarant devant le Medef : «Il n’y a pas d’emplois sans employeurs. C’est pourquoi il est absurde de parler de «cadeau fait aux patrons» ».  A gauche, seuls les sympathisants du PCF et de Jean-Luc Mélenchon jugent majoritairement (47 %) que l’exécutif en « fait trop ». Les sympathisants écologistes pensent, au contraire, à 53 % que le gouvernement n’en fait « pas assez » pour les entreprises. Un avis partagé par 41 % d’électeurs socialistes contre 18 % estimant que c’est « trop ». Voilà qui devrait alimenter le débat entre le gouvernement et les frondeurs du PS, minoritaires dans leur électorat. Plus largement, la conversion des sympathisants de gauche à une politique pro-entreprise rappelle celle survenue dans les dernières années à propos de la fiscalité (les impôts étant devenus impopulaires même à gauche). «C’est une conversion de la même ampleur, mais celle sur les entreprises est plus positive et plus pragmatique», nuance Bernard Sananès, soulignant que, s’agissant des entreprises, les sondés ne se situent pas par rapport à leur cas particulier mais en fonction d’une vision de l’économie. Et d’assurer à la lumière d’autres enquêtes : «Il y a, dans l’opinion, une réhabilitation de l’entreprise.»

 

Thévenoud, encore un ministre en délicatesse avec les impôts

Thévenoud, encore un ministre en délicatesse avec les impôts

 

On se demande vraiment où Hollande va chercher ministres. Cette fois c’est Thévenoud qui a dû «  oublier »  de payer  et de déclarer ses impôts pendant plusieurs années. Après Cahuzac, Thévenoud visiblement en mettait à gauche ! Évidemment ce n’est que la face visible de l’iceberg car la plupart des ministres sont en fait des bourgeois  qui n’ont guère de scrupules vis-à-vis de règles républicaines et à légard de la probité. Il est vrai que les impôts, c’est comme la justice, c’est pour les couches moyennes pauvres, les « sans-dents ?. Pas pour les grande fortunes et les oligarques. Ironie du sort, Thévenoud a fait partie de la commission qui a enquêté sur Cahuzac, il était aussi vice président de la commison sur la fraude fiscale. Un vrai spécialiste ! Thévenoud, c’est le portrait type de la classe politique française, sorti de l’institut d’études politiques (classe préparatoire  de l’ENA), il est conseiller technique de Fabius puis sollicite un mandat. En faiat il n’a jamais travaillé ailleurs que dans la politique.  Il aura été 9 jours ministre comme  secrétaire d’Etat au Commerce extérieur (copinage avec Fabius !), et  a dû démissionner pour raisons fiscales. Il égale le record de durée dans un gouvernement de Léon Schwartzenberg.  « Faites repentance fiscale parce que le compte à rebours va s’enclencher« . C’est Thomas Thévenoud qui avait lancé ce vibrant appel en octobre 2013, juste avant l’entrée en vigueur d’une loi renforçant la lutte contre la fraude fiscale.  Quelques mois plus tôt, en juillet 2013, il avait aussi appartenu à la commission d’enquête sur d’enquête sur Jérôme Cahuzac. Et lui-même tombe pour des raisons fiscales, des « retards de déclaration et de paiement à l’égard de l’administration fiscale », qui « sont, à ce jour, intégralement régularisés avec l’ensemble des  pénalités qui s’y référent, conformément à la loi » a-t-il précisé dans un communiqué à l’AFP. Il assurait aussi n’avoir « jamais fait l’objet d’aucune poursuite judiciaire ou fiscale». Une version que contredit Mediapart. Le site d’informations affirme qu’une procédure avait été lancée à son encontre. L’Elysée de son côté avait d’abord annoncé accepter la démission de Thomas Thévenoud pour raisons personnelles. Avant que Matignon ne parle d’une situation découverte après sa nomination. Quoi qu’il en soit l’exécutif a semble-t-il voulu faire vite dans cette affaire pour éviter d’en rappeler d’autres. Trop tard !

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Après les « sans culottes » les « Sans-Dents », nouveau mouvement anti-Hollande ?

Après les « sans culottes » les   »Sans-Dents », nouveau mouvement  anti-Hollande ?

les  «  sans dents »,  selon Valérie Trierweiler, François Hollande utiliserait cette expression pour désigner les pauvres, une expression de certains opposants au président. Un mépris supposé qui se retourne contre le président en ligne, au-delà des affinités politiques. Car cette expression est utilisée par divers opposant à Hollande aussi bien de la droite que ceux de la gauche déçus par sa politique. En fait des «  sans dents » proches des « sans culottes » qui remettent en cause l’oligarchie, un système politique et un mode de reproduction de ses élites.   »Merci pour ce moment », le livre de Valérie Trierweiler, sort ce jeudi. Quelques extraits ont déjà circulé, dont cette moquerie que François Hollande aurait adressé à son ancienne campagne au sujet de ses origines modestes. « Il s’est présenté comme l’homme qui n’aime pas les riches. En réalité, le président n’aime pas les pauvres. Lui, l’homme de gauche, dit en privé : les sans-dents, très fier de son trait d’humour ». Les «  sans dents sont révoltés, en tout cas écœurés par un président qui se voulait normal et qui ne l’est pas du tout. Sans doute Hollande a-t-il voulu d’une certaine manière prendre Mitterrand comme modèle. Un président lui aussi cynique mais avec une culture et un certain charisme. Du coup Hollande es t un ersatz de Mitterrand ; la vérité c’est que l’homme n’a pas de convictions, pas de projet et pas la dimension de l’emploi. Encore quelques mois il lui restera plus qu’à se démettre ou d’être chassé. Avec 15% encore de fidèles chez les français, la légitimité de sa fonction est largement remise en cause. Au delà du pamphlet de Trierweilller sur le comportement de Hollande, c’est surtout l’échec total de sa politique qui émarge de sa pratique. Surtout sur le chômage la où depuis le 12 septembre 2012, on attend vainement l’inversion tellement proclamée. Les « sans dents «  attendent !

Les notaires en grève le 17 septembre, la France paralysée ?

Les notaires en grève le 17 septembre, la France paralysée ?

 

Les corpos ne sont pas ceux de la CGT dockers ou du livre mais cette fois chez les notaires. Evidemment qui souhaitent l’immobilisme et pour cause ils essentiellement rémunérés sur le prix des ventes. On se demande bien pourquoi !  Et qui bénéficient d’un monopole. Certes la conjoncture économique n’est pas brillante et les transactions immobilières s’en ressentent mais on a rarement vu un notaire au « resto du cœur ». Pourquoi surtout réserver l’exclusivité des actes dits notariés aux seuils notaires ? Les avocats par exemple sont tout aussi compétents e pour effectuer ce type d’opérations administratives et juridiques. Le 17 septembre, la France sera donc paralysée ou presque car les notaires  passent à l’action. A quand une manif avec des casseurs ?  Le Conseil supérieur du notariat invite les quelques 9500 notaires de France à manifester à Paris, indique le journal les Échos ce jeudi 4 septembre. La raison de leur colère? La réforme des professions réglementées voulue par l’ex-ministre de l’Economie Arnaud Monteboug et que son successeur Emmanuel Macron compte bien mettre en œuvre.  Pour cela, Bercy devrait s’appuyer sur le travail de l’Inspection générale des Finances (IGF) qui, dans un rapport que l’AFP a pu consulter en août, passe au crible 37 professions dites « réglementées », c’est-à-dire dont l’accès est limité (par des diplômes ou la nécessité de racheter des charges existantes), qui pratiquent des tarifs réglementés et/ou qui ont un monopole pour certains actes.  Des huissiers aux architectes en passant par les kinésithérapeutes, les notaires ou les auto-écoles, l’IGF constate que ces professions affichaient en 2010 une rentabilité (bénéfice net avant impôts sur chiffre d’affaires) moyenne de 19,2%, soit « 2,4 fois la rentabilité constatée dans le reste de l’économie ». Pour l’IGF, cette prospérité, plus vraie pour certains métiers que pour d’autres, « ne s’explique pas toujours par la durée de la formation, l’ampleur des investissements à réaliser ni l’existence d’un risque d’échec économique ».  Un rapport très contesté par les professions concernées. Au-delà de l’appel à la grève, le Conseil supérieur du notariat (CSN) a réalisé…

 

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Macron tourne autour du pot sur les 35 heures

Macron tourne autour du pot  sur les 35 heures

 

 

Comme souvent le gouvernement tourne autour du pot pour éviter d’affronter les problèmes. Ainsi Macron persiste en soutenant des dérogations aux 35 heures dans toutes les entreprises mais sans remettre en cause la loi. Autant dire que c’es t une position très faux cul (de ce point de vue Sarkozy n’avait pas été plus courageux(. Les 35 heures sont une erreur grossière en ce qu’elles ont gravement affecté la compétitivité des entreprises déjà structurellement fragiles et surtout elles ont développé en France une culture RTT et tuer en grande partie la valeur travail y compris chez des cadres.  Le nouveau ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, a réitéré mardi son souhait de voir les partenaires sociaux trouver un compromis pour « adapter » la durée de travail dans les entreprises, sans déroger à la législation sur les 35 heures. L’ancien conseiller de François Hollande avait suscité l’émoi jeudi dernier lors de la publication par Le Point d’une interview accordée avant sa nomination à Bercy, le 26 août. « Nous pourrions autoriser les entreprises et les branches, dans le cadre d’accords majoritaires, à déroger aux règles de temps de travail et de rémunérations », y disait-t-il en précisant qu’il s’exprimait « librement ». « C’est déjà possible (…) pour les entreprises en difficulté. Pourquoi ne pas étendre ce dispositif à toutes les entreprises, à la condition explicite qu’il y ait un accord majoritaire avec les salariés? » Cette interview avait provoqué la colère de la gauche du PS et incité Manuel Valls à préciser dimanche, devant l’université d’été de sa formation politique, qu’il n’était pas question de revenir sur la semaine de travail de 35 heures. Emmanuel Macron, qui était mardi en déplacement à Romagny (Manche), où il a visité l’une des plus importantes sociétés coopératives de France, a réitéré ses réflexions. « Je ne pense pas qu’il faille aujourd’hui déroger de manière législative aux 35 heures mais j’invitais (dans l’interview au Point-NDLR) à la négociation sur celles-ci », a-t-il dit. Il y a des entreprises « où les 35 heures sont une bonne chose, où elles sont adaptées, où les gens vivent très bien avec. Dans d’autres catégories d’entreprises, dans d’autres secteurs, elles ne semblent pas adaptées aujourd’hui et donc il faut permettre aux gens d’être intelligents », a-t-il ajouté. « C’est, j’espère, la négociation qui va le conduire, mais ce n’est pas une décision du gouvernement aujourd’hui et ce n’est en tout cas pas une décision du ministre de l’Economie », a-t-il expliqué à des journalistes. « Il ne s’agit pas d’en faire une polémique et d’hystériser le pays avec ce sujet. »

 

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Chômage : renforcer les contrôles (Rebsamen)

Chômage : renforcer les contrôles (Rebsamen)

 

Il na pas complètement tort  Rebsamen, certains chômeurs (pas la majorité) préfèrent vivre avec les ASSEDIC (voire le RSA) plutôt que de rechercher du travail. Souvent d’ailleurs avec les autres aides sociale,  un salarié  qui gagne de l’ordre de 1000 euros s’en tire moins bien qu’un chômeur. Contre le chômage, le gouvernement joue donc de la carotte et du bâton.  Mais on doit tout autant admettre que les offres d’emplois sont rares en ce moment et que Pôle emploi propose souvent des CDD de quelques heures par semaine et à 50km voire plus loin du domicile ce ne sont pas les 3 à 400 000 emplois disponibles qui pourront répondre aux besoins des 5 millions officiels de chômeurs (en fait 7 à 8 millions avec le RSA, les non-inscrits et les bénéficiaires de l’allocation handicapés). . Le ministre du travail, François Rebsamen, a donc déclaré ce mardi sur i-Télé avoir demandé à Pôle emploi de «renforcer les contrôles» sur les chômeurs «pour vérifier qu’ils cherchent bien un emploi». Le ministre, qui constate qu’il y a en France 350.000 offres d’emplois non pourvues, veut que Pôle emploi agisse «dans un état d’esprit différent».  «C’est négatif, quand on est un chômeur qui recherche un emploi, d’être à côté de quelqu’un qui ne cherche pas d’emploi. Il n’est pas possible, dans un pays qui est en difficulté, qui veut se redresser, d’avoir des gens» qui ne recherchent pas vraiment du travail, estime le ministre. «Bien sûr, il ne s’agit pas de la majorité des chômeurs, nuance-t-il. Pour certains il y a des problèmes de salaire, d’adéquation» entre la formation et l’offre d’emploi, et «c’est pour ça qu’on fait des formations prioritaires». Sur les 100.000 formations annoncées par François Hollande pour l’année 2014, 58.000 ont à ce jour été données, a précisé François Rebsamen.  Comment se manifestera ce contrôle renforcé? «Par des convocations, des vérifications. Sinon, on est radié. On peut d’ailleurs se réinscrire après», souligne-t-il. Interrogé sur un éventuel durcissement des règles d’indemnisation des chômeurs, le ministre n’a pas abondé dans ce sens, déplorant toutefois que «tout [soit] tabou». Pour le ministre du Travail, qui a reconnu la semaine dernière «un échec» du gouvernement après la publication des nouveaux chiffres mensuels du chômage, on n’a pas encore «tout essayé». «La formation, l’éducation, la recherche: c’est là-dessus qu’on est en retard», a-t-il déploré.

 

Les 2/3 en apprentissage en Suisse, en France, 80% au bac !

Les 2/3 en apprentissage en Suisse, en France, 80% au  bac !

 

La priorité des  réformes  de l’enseignement c’est évidemment celle des contenus et non celle des rythmes scolaires, ensuite c’est celle de orientation. En France, 80% sont orientés vers le bac  (des bacs très diversifiés dont beaucoup ressemblent à de mauvais CAP d’antan). Du coup une grande partie, bac de seconde zone en poche, rejoignent pôle emploi. C’est la grande différence par exemple avec la Suisse (ou encore l’Allemagne) où l’apprentissage est une filière privilégiée.    »En Suisse, la proportion d’une classe d’âge de gamins qui va au bac, c’est 20 %. Ils ont un taux de chômage de jeunes de 5%. Il faut regarder les faits », d’après Pascal Lamy, ancien président de l’Organisation mondiale du commerce. D’après les chiffres de l’OFCE, le taux de chômage des Suisses de moins de 25 ans s’élève à 8,5% sur l’ensemble de l’année 2013i on est évidemment loin des 23,9% de jeunes chômeurs comptés en France l’an dernier par l’OFCE.  L’ancien directeur de l’Organisation mondiale du commerce sous-évalue le nombre de bacheliers. En Suisse l’équivalent du bac c’est le certificat de maturité gymnasiale. D’après l’Office fédéral de la statistique, 34% des jeunes ont décroché leur « Matu » l’an dernier, c’est beaucoup plus que les 20% avancés par Pascal Lamy… mais bien en-dessous des 73% de bacheliers français l’an dernier.  Pour autant, il y a bel et bien moins de jeunes chômeurs et moins de bacheliers en Suisse qu’en France. Un phénomène qui s’explique en grande partie par le succès de l’apprentissage professionnel. D’après les chiffres de l’OFCE, près de 7 jeunes suisses sur 10 sont sur le marché du travail avant leur 25 ans quand ils ne sont que 35% en France. « La formation professionnelle commence dès l’âge de 12 ans avec la sensibilisation au monde de l’entreprise et aux différents métiers. Ce qui les amène au sortir de la scolarité obligatoire, c’est-à-dire à 15 ans,  à s’orienter pour les deux tiers vers un apprentissage« , explique François Garçon, chercheur à l’Université Paris 1 et auteur du livre Le Modèle Suisse.  Preuve qu’il n’y a pas de culte du diplôme en suisse, sur les sept ministres du gouvernement helvète, trois sont passés par une formation professionnelle. En France, on est gouverné par 7 énarques sur 18 ministres !

 

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