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« Exonération fiscale » pour les autoentrepreneurs sans activité

« Exonération fiscale »  pour les autoentrepreneurs sans activité

 

 

Un geste « royal » de la part du gouvernement :  pas de cotisation foncière des entreprises qui n’ont eu aucune activité en 2012 et 2013. Un vrai cadeau fiscal pour ceux qui en fait n’ont réalisé aucun chiffre d’affaires ! De quoi rire ou pleurer ? Les auto-entrepreneurs et les micro-entreprises qui n’ont eu aucune activité en 2012 et 2013, seront « dispensés » de la cotisation foncière des entreprises (CFE), a annoncé vendredi 7 novembre le ministre des Finances Michel Sapin.  Cette mesure concerne « 110.000 auto-entrepreneurs » qui seront « dispensés du paiement de leur CFE, sans qu’ils aient ni à écrire ni à se déplacer dans leur service des impôts des entreprises », précise le communiqué du ministre. Jusqu’à présent, les auto-entrepreneurs et les entrepreneurs constitués en micro-entreprise étaient exonérés de la CFE uniquement pour leur première année d’activité. L’année suivante, la cotisation devait être acquittée quel que soit le chiffre d’affaires.   »Pour l’avenir, les auto-entrepreneurs concernés sont invités, s’ils n’ont plus l’intention de développer leur activité économique », à se faire connaître afin de ne plus recevoir d’avis d’imposition à la CFE, ajoute le ministère des Finances.   »Par ailleurs, les autres entreprises pourront également bénéficier, à leur demande auprès de leur service des impôts des entreprises, d’un dégrèvement de la CFE si elles justifient d’une absence d’activité économique depuis leur création », conclut Bercy.

 

Hollande à la télé : pathétique devant les 4 français

Hollande à la télé : pathétique devant les 4 français

Le moins que l’on puisse dire c’est que la prestation de Hollande restera marquée par son désarroi devant les 4 français qui l’ont interrogé. D’abord devant cette chômeuse de 60 ans et à qui il propose un contrat de génération qui ne peut la concerner puisqu’elle n’est plus dans une entreprise. Du coup, il invente au débotté un nouveau contrat aidé pour les chômeurs âgés ; désarroi aussi du président en face de cette chef d’entreprisse qui, elle connait l’économie, les chiffres et les procédures. Hollande ne répond pas quand cette chef d’entreprise lui fait observer que le dialogue social est confisqué par des organisations qui n’ont aucune représentativité. Il bafouille en évoquant le choc de simplification. Pugnace la chef de l’entreprisse lui signale qu’en fait on continue d’imposer une bureaucratie administrative en particulier avec la cathédrale du compte de pénibilité. Devant une assistante maternelle qui parle de désertification du territoire, Hollande propose de donner une tablette aux élèves de 5ème ! Pas vraiment la réponse attendue. Quant au chômeur diplômé, il  lui propose presque  de partir à  l’étranger. Bref ce format d’émission a démontré à l’évidence l’énorme décalage  entre les préoccupations des Français et la dialectique obsolète de Hollande et des responsables politiques ? C’est précisément le drame du pays dont une caste corporatiste s’approprie le pouvoir sans rien connaitre des réalités économiques, sociales voire culturelles (exemple: Fluer Pellerin incapable de citer un livre de Modiano !). . Il est certain  que les politiques sont nettement plus à l’aise quand iIs sont interrogés par des journalistes tout aussi approximatifs et incompétents que ceux qu’ils interrogent. La langue ésotérique de sciences-po est plus appropriée pour converser entre amis dans les salons de thé médiatiques !

Hidalgo recadre Hollande : » les rêves c’est bien, les réaliser c’est mieux !

Hidalgo recadre Hollande : » les rêves c’est bien, les réaliser c’est mieux !  

 

Anne Hidalgo a sèchement répondu à Hollande sur les propositions des jeux olympiques pour 2023 ; Et pour cause, Hollande aura disparu de la circulation d’ici là et elle risque d’assumer les risques financiers d’une telle aventure. «Je voudrais vous dire que rien ni personne ne me fera changer de calendrier et de méthode en ce qui concerne, notamment, la candidature de Paris aux Jeux olympiques.» La véhémence de la réplique ne pouvait que trancher brutalement avec la déclaration enthousiaste du chef de l’État. Dans son émission télévisée de mi-mandat, tout en annonçant la candidature de Paris pour l’Exposition universelle en 2025, il avait vivement plaidé pour celle de Paris aux JO. «Pour les Jeux olympiques en 2024, je suis favorable à ce que la Ville de Paris, si elle en décide, présente sa candidature» a-t-il dit en ajoutant immédiatement, en guise d’arguments: «C’est très important parce que ce sera un moment de ferveur et, surtout, cela fera plein d’équipements, plein d’emplois, plein d’industries…» Et lorsque le journaliste Yves Calvi lui fait observer qu’il faudra encore convaincre Anne Hidalgo, le président acquiesce en répondant: «Oui, parce qu’elle ne veut pas prendre de risques, dans la vie on veut toujours être prudent, mais elle sait que c’est une chance pour sa ville.» «Il n’est pas question, pour Paris et pour  la France, d’avoir une candidature de témoignage.» Anne Hidalgo  C’est bien là où le bât blesse. Car la principale intéressée n’est pas du tout convaincue, notamment en raison des dépenses induites d’un tel projet. Pour la Ville, qui doit déjà faire face à un déficit de 400 millions d’euros, la maire de Paris à surtout rappelé le coût de la candidature mais aussi les risques d’endettement qui, selon elle, «ne sont plus acceptables».. À l’évidence, Anne Hidalgo a très mal pris les remarques du président. Sa réponse, cinglante, a été lâchée d’un trait vendredi, et de manière solennelle. Lisant à peine ses notes, la maire a opposé une véritable leçon de méthode au chef de l’État. «Avoir des rêves, c’est magnifique, a-t-elle ironisé, les réaliser, c’est encore mieux.»

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Les mensonges de Hollande « face aux Français »

Les mensonges de Hollande « face aux français »

 

Lors de sa prestation « devant les Français » outre le fait qu’il n’avait à peu rien à dire de nouveau a menti à plusieurs reprises ; Exemple quand devant une chômeuse de 60 ans en recherche d’emploi il a affirmé que la solution était le contrat de génération. Or le contrat de génération est un véritable fiasco (il consiste à employer un sénior et un jeune sur le même poste avec l’aide de l’Etat). Pourquoi tout simplement parce, faute de croissance,  l’heure n’est pas à l’embauche dans les entreprises mais aux licenciements. Complètement bousculé , Hollande  a sorti de sa poche un nouveau contrat aidé pour les personnes de plus de 60 ans  Même chose sur la fiscalité et la simplification devant une chef d’entreprise ; alors qu’il tentait de prouver que le choc de simplification était en marche, la chef entreprise lui a prouvé par exemple que c’était le contraire avec le compte pénibilité, véritable cathédrale administrative . Pour sen sortir Hollande a annoncé une mission d’un chef d’entreprise et d’un parlementaire pour étudier la simplification de cette nouvelle contrainte imposée aux entreprises (et qui devrait l’être par les caisse de retraites ). Interrogé en début d’émission sur les circonstances de la mort de Rémi Fraisse, manifestant tué dans la nuit du 25 au 26 octobre sur le site du barrage de Sivens (Tarn), François Hollande a annoncé la conclusion prochaine de deux enquêtes. L’une d’entre elles, diligentée par le ministère de l’intérieur, doit permettre selon lui de « savoir ce que sont ces grenades qui sont utilisées depuis 50 ans, et qui jusqu’ici n’ont pas tué ». François Hollande s’est trompé. Les grenades offensives, soupçonnées d’avoir causé la mort du manifestant Rémi Fraisse, avaient déjà causé la mort d’un autre manifestant, en 1977 : Vital Michalon, un professeur de physique de 31 ans, lors d’une manifestation sur le site nucléaire de Creys-Malville (Isère). Autre mensonge sur les impôts  François Hollande : « A partir de l’année prochaine, il n’y aura pas d’impôt supplémentaire sur qui que se soit. »

Gilles Bouleau : « Vous vous engagez à ce qu’il y ait un arrêt total, absolu, sans subtilité, de toutes les hausses d’impôts et de taxes jusqu’à la fin de votre quinquennat ? »

F. H. : « C’est ce que je viens d’annoncer : il n’y aura rien [...] »

G. B. : « [Les Français, ] on leur a déjà fait le coup ! »]

F. H. « Pas moi, je suis vierge de ce côté-là. »

Pourquoi c’est faux

Le présentateur de TF1 Gilles Bouleau a raison : le gouvernement avait déjà promis d’arrêter d’augmenter les impôts après 2013, avant que François Hollande admette que c’était impossible. L’exécutif avait alors repoussé l’objectif, hésitant entre 2015, 2016 et 2017. Jeudi soir, François Hollande a finalement choisi d’annoncer un arrêt des hausses d’impôts dès 2015.mensonge encore sur les jeunes. « Aujourd’hui, on est le premier pays à accueillir des étudiants étrangers et des jeunes entrepreneurs, créateurs de start-up. » La France n’est pas le premier, mais troisième pays d’accueil des étudiants étrangers, selon les chiffres de l’Unesco. Elle en a accueilli 288 544 en 2013, soit 7 % du total des étudiants étrangers en mobilité à travers le monde. Quant à l’accueil des « jeunes entrepreneurs créateurs de start ups », le moins qu’on puisse dire est qu’il est difficile de les mesurer, et encore plus de le comparer aux autres pays. On peut noter que dans un classement établi en 2013 par le Wall Street Journal, la France ne se plaçait qu’au septième rang des pays européens les plus accueillants pour les start-up. Mensonge enfin sur les comptes publics. « La dépense de l’Etat en 2015 sera plus faible qu’en 2014. », en faiat  en valeur absolue, la dépense publique va progresser de 14 milliards d’euros entre 2014 et 2015.

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Simplifications administratives pour les particuliers : des gadgets !

Simplifications administratives pour les particuliers : des gadgets !

 

Finalement surtout des gadgets et la découverte internet par l’administration. La vraie solution passerait par la diminution du nombre de parlementaires qui inondent le pays de lois et la suppression dune grande partie de l’administration étouffante et couteuse. Après les entreprises, le gouvernement s’attaque donc à la simplification de la vie des particuliers. Quarante mesures pour faciliter les démarches administratives ont ainsi été présentées mercredi 5 novembre en Conseil des ministres, des annonces qui s’inscrivent dans le cadre du « choc de simplification » décrété par François Hollande il y a 18 mois.   »Ces simplifications concernent tant la facilitation des démarches liées à l’obtention des papiers d’identité que le champ de la protection sociale et de l’emploi », explique le compte rendu du Conseil des ministres. La majorité des mesures s’appuient sur la généralisation de l’usage d’internet dans l’administration. En voici une liste non exhaustive:   La demande de carte Vitale ou son renouvellement pourra s’effectuer en ligne dès mars 2015.   Le paiement de timbres fiscaux pourra également se faire par internet, et le règlement des amendes via un Smartphone.   L’accompagnement personnalisé des demandeurs d’emploi sur internet devrait être généralisé au deuxième trimestre 2015.  Un simulateur en ligne permettra de faciliter l’accès aux droits sociaux des particuliers, en leur permettant de mieux connaître ceux auxquels ils ont le droit.   L’inscription au collège ou au lycée pourra se faire en ligne.  A ces mesures, il convient d’ajouter celles précédemment annoncée par Thierry Mandon, le secrétaire d’Etat à la Réforme de l’Etat, parmi lesquelles la validité pour plusieurs années des certificats médicaux pour une pratique sportive, ou la demande de passeport par internet.  En outre, trois ordonnances présentées en Conseil des ministres autorisent les particuliers à échanger avec l’administration par voie électronique de la même manière que par voie postale classique. Cette mesure devrait être effective d’ici un an pour l’Etat, et deux ans pour les collectivités locales. L’avancement de ces projets pourra être consulté sur le site faire-simple.gouv.  Une nouvelle série de mesures en faveur des particuliers sera annoncée en avril 2015, a fait savoir le gouvernement, qui attend 11 milliards d’euros de gains pour l’économie d’ici à 2017 du « choc de simplification ».

 

Comment les multinationales échappent à l’impôt grâce au Luxembourg

Comment les multinationales échappent à l’impôt grâce au Luxembourg

 

Une fraude monumentale grâce au Luxembourg de la part des multinationales.  De quoi s’interroger sur le choix du luxembourgeois Juncker pour diriger la commission européenne. Ou plutôt ce qui permet de mieux comprendre les affinités entre la finance, les multinationales et les politiques. Des accords fiscaux secrets entre le Luxembourg et 340 multinationales afin de minimiser leurs impôts, sont révélés jeudi 6 novembre par 40 médias internationaux s’appuyant sur des documents obtenus par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ). Ces accords, passés entre 2002 et 2010, représentent des milliards d’euros de recettes fiscales perdues pour les Etats où ces entreprises réalisent des bénéfices, selon l’ICIJ et ses médias partenaires, dont Le Monde en France, The Guardian au Royaume-Uni, ou encore le Süddeutsche Zeitung en Allemagne. L’ICIJ avait dévoilé en janvier les placements de dignitaires chinois dans les paradis fiscaux. Dans son enquête de six mois baptisée « Luxembourg Leaks » ou « LuxLeaks », l’ICIJ a eu accès à 28.000 pages de documents de « tax ruling » montrant comment de grandes entreprises « s’appuient sur le Luxembourg et ses règles fiscales souples, mais aussi sur les déficiences de la réglementation internationale, pour y transférer des profits afin qu’ils n’y soient pas taxés, ou très faiblement », écrit Le Monde.  La pratique du « tax ruling », qui est légale, permet à une entreprise de demander à l’avance comment sa situation sera traitée par l’administration fiscale d’un pays, et d’obtenir certaines garanties juridiques. Les groupes concernés – sont cités notamment Apple, Amazon, Verizon, AIG, Heinz, Pepsi, Ikea ou les Français Axa et Crédit agricole – réalisent ainsi des milliards d’euros d’économies chaque année grâce à la création d’une filiale, d’une holding ou au déplacement d’un siège social sur le territoire du Grand-Duché. Avec pour but de payer le moins d’impôt possible.   »Le Luxembourg garde ces accords fiscaux secrets » et « ne le notifie pas à ses partenaires européens » bien qu’il soit « mis au courant, de fait, par ces multinationales, de leur stratégie d’évitement de l’impôt », poursuit Le Monde.  Les documents obtenus par l’ICIJ ont été établis par le cabinet d’audit et de conseil PricewaterhouseCoopers (PwC), « qui les a rédigés et en a négocié les termes avec l’administration luxembourgeoise », ajoute le quotidien français. En Australie, l’analyse détaillée des documents de l’ICIJ a d’ores et déjà commencé, a fait savoir jeudi Chris Jordan, haut-responsable de l’administration fiscale. Il s’agit de « vérifier que les entreprises paient le juste montant d’impôt » que leur activité justifie.  Le Guardian estime que « ces révélations seront embarrassantes pour le nouveau président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, qui a été Premier ministre du Luxembourg entre 1995 et 2013″, soit pendant la période où les accords mentionnés par l’ICIJ ont été signés. La Commission européenne a ouvert en juin quatre enquêtes sur la pratique fiscale de « tax ruling » visant des Etats membres. L’une vise l’Irlande et concerne des accords passés entre l’administration fiscale et le géant américain Apple, soupçonné d’avoir bénéficié d’un traitement de faveur contraire aux règles européennes de la concurrence. Une deuxième concerne des soupçons d’avantages fiscaux accordés par les Pays-Bas à la chaîne de cafés Starbucks. La troisième porte sur des accords passés par le Luxembourg avec Fiat Finance and Trade, qui fournit des services de gestion de trésorerie au groupe automobile Fiat. La dernière, ouverte en octobre, vise Gibraltar.  Dans Le Monde du 29 octobre, le ministre des Finances luxembourgeois, Pierre Gramegna, a défendu la pratique de « tax ruling ». Elle « fait partie de notre patrimoine et nous voulons la perpétuer dans le respect des règles ». « Le maintien d’une certaine compétitivité, loyale, entre les Etats dans le domaine fiscal est indispensable », ajoutait le ministre du Grand-Duché. De son côté, l’OCDE a publié en septembre à destination du G20 des recommandations contre l’optimisation fiscale, ces stratégies sophistiquées et le plus souvent légales permettant aux multinationales de payer le moins d’impôts possible. L’OCDE milite pour rétablir « la souveraineté fiscale » à savoir que les bénéfices doivent être taxés là où ils sont réalisés.

Les agriculteurs en colère

Les agriculteurs en  colère

 

Grosse manifestations un peu partout en France pour exprimer  le mal-être de l’agriculture. En cause la concurrence étrangère, la réglementation, des prix trop bas. Pas sûr que la déclaration de Valls « Les agriculteurs ont besoin de retrouver confiance dans l’avenir de leur profession »  Suffisent à les rassurer. Valls a en effet décidé de mettre en place « une mission » ( !) pour étudier les conditions de la simplification administrative.  Des débordements aussi qui du coup discréditent la critique de certains agriculteurs vis-à-vis des écologistes violents. Au-delà de cette opposition se pose la question de la reconversion d’une partie de l’agriculture vers des produits plus respectueux de l’environnement et moins intensive. D’une certaine manière c’est une question économique mais auusi sociétale, le consommateur moyen par ses choix étant lui auusi partie prenante du développement d’un processus industriel excessif de l’agriculture C’est évidemment une question également politique qui repose la question de conditions de production de la concurrence notamment en Europe. Come la plupart des secteurs économiques l’agriculture française vit malheureusement une crise durable.  Les agriculteurs ont donc manifesté un peu partout en France mercredi contre ce qu’ils estiment être un trop-plein de réglementation et pour la défense de la production française, qu’ils ont déversée et distribuée abondamment, à Paris notamment. FNSEA et JA (Jeunes agriculteurs) avaient choisi pour mot d’ordre de leur journée d’actions « le patriotisme alimentaire et la valorisation des produits français », sans oublier la dénonciation de règles sanitaires ou de la bureaucratie. Manuel Valls a jugé devant l’Assemblée nationale que le secteur vivait « une crise économique, sociale et morale » et que les agriculteurs avaient « besoin de retrouver confiance dans l’avenir de leur profession. » Rappelant que 3,5 milliards d’euros d’aides européennes avaient été versées en urgence, le Premier ministre a annoncé lors des questions au gouvernement la création d’une mission parlementaire ad hoc. Elle sera confiée à un agriculteur et à un fonctionnaire du ministère de l’Agriculture pour qu’ils proposent des améliorations et simplifications des dispositifs existants et fassent en sorte que les contrôles se passent mieux dans le respect de tous », a-t-il dit.

 

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Valls : coup de menton contre les patrons !

Valls : coup de menton contre les patrons !

Encore un nouveau coup de mentons contre les patrons cette fois pour leur demander de créer des emplois. En fait, un coup de menton surtout politique mais qui sur le plan économique ne peut servir à grand chose. En effet les patrons ne pourront embaucher que su la croissance revient et en même temps si  leurs carnets de commandes se regarnissent ; Manuel Valls va donc faire semblant de demander  des comptes au patronat. Mardi 4 novembre, le Premier ministre va ainsi réunir les partenaires sociaux pour faire le point sur les aides aux entreprises, qui représentent un peu plus de 40 milliards d’euros.  L’objectif est de rappeler que ce geste n’est pas à sens unique. « Quand la nation toute entière consent un effort aussi important, il faut que les entreprises assument leurs responsabilités », déclarait ainsi Manuel Valls dans un entretien à L’Obs, le 22 octobre dernier.  Le message est donc clair: le patronat doit désormais passer des paroles à l’acte. Dans cette optique, un nouvel outil va être mis en place pour suivre de près les efforts du patronat. Ainsi le comité du suivi du CICE (Crédit d’impôt compétitivité pour l’emploi) va être élargi pour être transformé en un comité de suivi et d’évaluation des aides publiques aux entreprises, animé par Jean Pisani-Ferry, commissaire général à la stratégie et à la prospective. Il s’agira ainsi de veiller de près à ce que le patronat tienne ses engagements sur l’emploi et l’investissement. L’exécutif a toujours en tête le fameux pin’s de Pierre Gattaz, qui promettait la création d’un million d’emplois. Une communication qui a passablement agacé le gouvernement.   »Monsieur Gattaz avait un pin’s à un million: qu’il tienne sa promesse », a ainsi rappelé Michel Sapin dimanche dans l’émission Tous Politiques. « Ce que je souhaite aujourd’hui, c’est que le patronat français cesse d’être dans une revendication qui se nourrit d’elle-même, pour être dans la mobilisation : c’est dans l’intérêt des entreprises », a-t-il poursuivi. Evidemment le discours est sensiblement différent du côté du patronat. « On nous dit qu’on fait des cadeaux aux entreprises. Mais ce discours est insupportable. Car on a alourdi de 30 milliards d’euros ces dernières années les charges sur les sociétés », déclarait Pierre Gattaz à l’Opinion vendredi dernier.  Dans cette interview, le patron du Medef soulignait aussi que les décrets d’application du pacte tardaient à paraître. « Les fédérations veulent jouer le jeu (du pacte de responsabilité, ndlr) mais sont très énervées par tous les messages » du gouvernement, poursuivait-il.  Les négociations sur les contreparties du pacte de responsabilité se font actuellement au niveau des branches. Pour le moment, seuls deux secteurs ont signé des accords sur l’investissement et l’emploi, à savoir la chimie et la métallurgie.  Les banques via l’Association française des banques (AFB), ont elles proposé entre 40.000 et 42.000 recrutements entre 2015 et 2017. Un objectif jugé insuffisant par la CFDT qui estime que le pacte de responsabilité doit rapporter au secteur « 1,3 milliard d’euros ». Pierre Gattaz veut aboutir « à une dizaine d’accord d’ici à la fin de l’année ».

 

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Sondage : Hollande a échoué pour l’emploi, les impôts et la politique familiale

Sondage :pour les Français  Hollande a échoué pour l’emploi, les impôts et la politique familiale

Sanction sans appel pour la politique de Hollande dans pratiquement tous les domaines. Le pire c’est surtout le fiasco en matière d’emploi condamné par 97% des Français.  Alors que le Président de la République doit s’exprimer ce jeudi à la télévision dans le but de « reprendre la main » et qu’il avait fait de « l’inversion de la courbe du chômage » l’un des axes forts de la première partie de son quinquennat, force est de constater que les Français n’y croient plus. A la question « le président de la République a-t-il jusqu’à présent plutôt réussi ou plutôt échoué », seules 3% des personnes interrogées répondent que le président a « plutôt réussi » dans le domaine de l’emploi, selon un sondage Odoxa pour RTL , contre 97% qui répondent qu’il a « plutôt échoué »  Et le couperet est tout aussi lourd en matière de fiscalité et de politique familiale, puisque 88% des sondés jugent que François Hollande a « plutôt échoué » contre 12% qu’il a « plutôt réussi ». Ils sont 78% à estimer qu’il a « plutôt échoué » en ce qui concerne la politique familiale, et 22% à avoir « plutôt réussi ». Parmi les sympathisants de gauche, 94% considèrent que le chef de l’Etat a « plutôt échoué » dans le domaine de l’emploi, tandis que 5% répondent qu’il a « plutôt réussi ». 72% disent qu’il a « plutôt échoué » dans le domaine fiscal (27% qu’il a « plutôt échoué ») et 44% qu’il a « plutôt réussi » dans la politique familiale (55% qu’il a plutôt échoué). 100% des sympathisants de droite affirment qu’il a échoué dans l’emploi, 98% dans la fiscalité, et 94% dans sa politique familiale.

 

Sondage : les ménages attendent la déflation pour acheter

Sondage : les ménages attendent la déflation pour acheter

 

Pour l’immobilier, les biens durables, le reste (les achats non urgents), les consommateurs attendent la baisse des prix pour acheter. En outre 90% des français craignent de tomber dans la pauvreté, un record jamais attient. . Le baromètre exclusif élaboré par l’observatoire BFM Business et Ca Com, publié ce 3 novembre, pointe en effet du doigt les craintes des Français concernant leur pouvoir d’achat.  9 personnes sur 10 n’excluent pas totalement la possibilité de tomber un jour dans la précarité. Il s’agit d’un record dans ce baromètre. Et cette inquiétude n’est pas tout à fait injustifiée. En effet, de plus en plus de Français ont des difficultés pour boucler leurs fins de mois. 37% des personnes interrogées déclarent avoir des revenus insuffisants pour finir la fin du mois, soit une hausse de 6 points en 8 mois seulement et un bond de 15 points depuis janvier 2013.  Et cette crainte qui pèse sur les Français a une conséquence directement sur leur consommation. Il y a une augmentation de personnes qui estiment devoir se contenter de l’essentiel. Ils sont 60% aujourd’hui à penser cela, cela représente une hausse de 5 points depuis janvier 2014.  Autre conséquence plus grave : 47% des Français différent leurs dépenses parce qu’ils pensent que les prix vont baisser et qu’ils paieront moins cher demain. 38% pensent qu’il n’est pas urgent de faire des achats importants car les prix vont rester durablement stables. 10% seulement pensent que c’est le moment d’acheter car les prix vont augmenter !  Cela signifie que la France commence à entrer dans le scénario tant redouté par le gouvernement et la BCE. Car l’un des phénomènes caractéristiques de la déflation est quand les consommateurs préfèrent attendre la baisse des prix pour acheter.

 

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