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Formation professionnelle : le scandale continue surtout pour les chômeurs

Formation professionnelle : le scandale continue surtout pour les chômeurs

 

Le vrai scandale c’est l’opacité et des gâchis énorme (souvent dénoncés par la Cour des comptes). Il s’agit de 30 à 35 milliards par an dont se gavent les structures de formation et les formations bidon. Par contre les chômeurs ne bénéficient qu’à la marge de cette énorme manne. Pourtant il est prouvé qu’un chômeur sur deux trouve un emploi après une formation. En fait le gouvernement ne veut pas s’attaquer à ce fromage et sa mini réforme ne change rein ;  Au lendemain de la publication d’une nouvelle hausse du chômage, Louis Gallois, président du comité de surveillance de PSA Peugeot Citroën déclare : « Il faut savoir qu’il n’y a qu’un chômeur sur cinq qui bénéficie d’une formation professionnelle. C’est beaucoup trop peu ».  Seuls 28% des demandeurs d’emploi ont déclaré avoir suivi une formation professionnelle en 2012, d’après les derniers chiffres de l’Insee. Ce qui fait donc trois chômeurs sur dix…. on est à peu près dans les mêmes eaux que le chiffre avancé par Louis Gallois.  Et 28% c’est effectivement peu surtout quand on compare aux 49%, près d’un sur deux, de salariés qui ont bénéficié d’une formation la même année. C’est d’abord une question d’argent. Sur les 32 milliards d’euros dépensés pour la formation professionnelle en 2012, seuls 12% étaient destinés aux demandeurs d’emploi. « Les employeurs ont un rôle important sur le marché de la formation des adultes, les entreprises concourant à plus de 40% des dépenses nationales dans ce domaine. Les personnes privées d’activité professionnelle sont donc évincées de la voie privilégiée pour se former« , explique l’Insee. Deuxième raison : suivre une formation est un vrai parcours du combattant pour les demandeurs d’emploi. Il faut savoir sur quoi on veut se former, être bien conseillé et surtout trouver l’argent pour faire des formations sachant que pour la moitié d’entre elles, le montant dépasse les 300 euros. Conséquence de toutes ces raisons, parmi les chômeurs qui aimeraient bien se former, un sur cinq jette l’éponge avant de commencer. Les chiffres de Pôle emploi sont très clairs sur ce point. Plus d’un chômeur sur deux qui a reçu une formation retrouve un emploi dans les six mois qui suivent. C’est beaucoup mieux que pour les demandeurs d’emploi qui n’ont pas eu de formation. Et surtout, il s’agit dans la grande majorité des cas d’un CDI ou d’un CDD de plus de six mois, d’après une enquête de Pôle emploi.

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Dépenses publiques : trop de bureaucratie, trop de gaspillages

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Dépenses publiques : trop de bureaucratie, trop de gaspillages

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Dépenses publiques : trop de bureaucratie, trop de gaspillages

Emploi : les contradictions de Gattaz ( Medef)

Emploi : les contradictions de Gattaz

 

Très contradictoire (et maladroit aussi) le patron du MEDEF qui ce matin lors de son intreview à France info  arborerait encore son pin’s « 1 million d’emplois » et qui dans le même temps affirme que le Medef n’a pas un bouton pour déclencher la création d’emploi. Gattaz a raison quand il affirme que c’est la compétitivité retrouvée qui permettra de retrouver la compétitivité et de regarnir les carnets de commandes. Il a encore raison quant à la complexité du compte pénibilité, nouvelle cathédrale administrative imposée aux entreprises mais qui devrait être prise en charge par la sécu. Par contre il a tort de militer pour la suppresion de l’impôt sur la fortune car il mélange la sphère financière et l’économie réelle. Gattaz est à la limite du champ politique et de ce point de vue les PME qui sont les vraies créatrices d’emplois en France (les multinationales, elles,  délocalisent) ont bien du mal à se reconnaitre dans les contradictions du patron du Medef.  Pierre Gattaz est en effet arrivé à France Info, mercredi matin, avec un pin’s un peu particulier accroché au revers de sa veste. Sur celui-ci, on peut lire « Un million d’emplois« , soit l’engagement d’embauches du Medef en contrepartie du pacte de responsabilité et du CICE. Le président du Medef l’affirme d’emblée : « Tout ce que je fais, c’est pour l’emploi et la croissance du pays« . C’est pourquoi il n’est absolument pas en phase avec la politique gouvernementale : « Il y a urgence à prendre de vraies mesures [...] L’embauche est une conséquence d’un terreau de compétitivité retrouvée« . Conséquence : « Nous avons applaudi au discours de Manuel Valls, ‘j’aime l’entreprise’, mais il faut des mesures en cohérence avec ces beaux discours« . Dans le viseur de Pierre Gattaz, le compte pénibilité, un « flagrant délit de complexité » selon lui. Du coup « nous demandons un moratoire au minimum de cette disposition« , qui aboutira in fine à la suppression tant réclamée par le Medef. Le patron des patrons n’a pas de mots assez durs pour qualifier ce dispositif « anti-compétitif, anti-économique« . En martelant son discours, Pierre Gattaz a une certitude : « Les entreprises s’engagent, c’est le gouvernement qui ne s’engage pas« . Sur les 35 heures, « nous avons proposé que chaque entreprise puisse négocier avec ses salariés« . Sur l’ISF, dont il vient de réclamer la suppression, « c’est un poison qui détruit l’entreprise« . Du côté du Medef, « on n’a pas un bouton sur lequel on va appuyer pour créer de l’emploi

 

Sarkozy, faux –cul : « les sifflets contre Juppé, ce n’est pas de ma faute « 

Sarkozy, faux –cul : « les sifflets contre Juppé, ce n’est pas de ma faute  »

 

Plus faux cul tu meurs ! Sarkozy essaye de se justifier après les sifflets contre Juppé. Ce n’est pas de sa faute, il ne pouvait pas interrompre les sifflets. Quand on voit son visage diffusé sur Canal (le petit journal), on peut même s’apercevoir qu’il s’en réjouit plutôt.  En outre il oublie de préciser que de l’ordre de 25 à 30% de la salle étaient composés venus nombreux d’autres villes que Bordeaux, jusque dans les pyrénéennes ou encore Poitiers. Comme pour Johnny Halliday, certains même le suivent dans ses meetings. Normal, c’est plus un one man show qu’une vraie réunion politique ! En faiat des sifflets pas si spontanés car la salle avait donc été soigneusement préparés et bourrés avec les fans les plus radicaux de Sarkozy. – En meeting à Boulogne mardi 25 novembre, Nicolas Sarkozy s’est également confié au Figaro dans l’édition du 26 novembre. Le candidat à la présidence de l’UMP a profité de cette interview pour revenir sur les sifflets essuyés par Alain Juppé à son meeting de Bordeaux.  Il n’est pas « si aisé d’interrompre une salle » qui manifeste son « désaccord sincère et spontané avec l’orateur », a indiqué l’ex-président qui n’avait pas cherché à interrompre les militants. Interrogé par une équipe de Canal + à l’issue du meeting, il avait d’ailleurs répondu ne pas les avoir entendus.   »Croyez-vous que cela soit si aisé d’interrompre une salle de 5000 personnes qui manifestent leurs désaccords sincères et spontanés avec l’orateur? », s’est justifié Nicolas Sarkozy dans Le Figaro. « Au reste, ce n’est pas Alain Juppé qui a été sifflé, c’est ce qu’il a dit », a-t-il ajouté.   »Si j’avais dit la même chose, j’aurais été sifflé moi aussi », assure-t-il. « Beaucoup – en Aquitaine peut-être plus qu’ailleurs – ont été ulcérés par le fait que François Bayrou se mobilise pour faire élire François Hollande puis utilise les voix de la droite pour devenir maire de Pau », a-t-il poursuivi. « Je le dis solennellement, notre famille a besoin de tous ses talents. Personne ne pourra réussir seul », a-t-il fait valoir.

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Dépenses publiques : trop de bureaucratie, trop de gaspillages

Frais bancaires: de 100 à 350 euros selon les banques

Frais bancaires: de 100 à 350 euros selon les banques

 

Paradoxe,  non seulement les banques disposent gratuitement des dépôts et évidemment font travailler l’argent mais en plus elles ne cessent d’augmenter les frais dits de gestion. Pourtant les profits et les dividendes n’ont jamais été auusi élevés. . A eux seuls, les quatre premiers groupes français – Crédit Agricole, BNP Paribas, BPCE et Société Générale – ont affiché 15 milliards d’euros de bénéfices nets en 2013, soit l’équivalent des profits des trois premiers réseaux avant crise. Symbole de ce retour en force, le Crédit Agricole triomphe aujourd’hui en affichant le meilleur résultat 2013 des banques françaises, avec un bénéfice net de 5,14 milliards d’euros, détrônant ainsi BNP Paribas.  « Les banques se concentrent aujourd’hui sur des activités matures et elles deviennent des sortes d’ »utilities ». Elles prennent moins de risques, elles font moins de croissance, elles ont besoin de plus de fonds propres et leur rentabilité est donc moins élevée. Mais elles ont une forte capacité à distribuer des dividendes. BNP Paribas veut porter son taux de distribution des bénéfices à environ 45 % en 2016 », analyse Romain Burnand, gérant chez Moneta. La Société Générale veut, elle, porter sa distribution de dividendes à 40 % en 2014. Ce qui est loin d’être une mauvaise affaire pour les investisseurs. Dans le même temps  les tarifs bancaires repartent  à la hausse. «De plus en plus de banques facturent des frais de tenue de compte annuels souvent compris entre 20 et 28 euros et les frais des cartes bancaires augmentent en moyenne de 2 à 4%», constate dans une étude Ludovic Herschlikovitz, directeur général de Choisir-ma-banque, filiale de Meilleurtaux.. Selon les résultats de l’étude, un jeune actif paie en moyenne 114,50 euros par an de frais bancaires (frais, services…). Mais, les écarts sont très importants d’un établissement à l’autre. Dans les banques à réseau classique, le Crédit agricole Nord-Est se distingue en ne facturant en moyenne que 25,87 euros par an. À l’opposé la Banque Marze est la plus chère (152,40 euros).  «Dans de nombreuses régions et pour plusieurs profils, le Crédit agricole remporte plusieurs Trophées d’or décernés aux banques ayant des tarifs inférieurs à la moyenne», souligne Ludovic Herschlikovitz. «La banque a récemment modifié sa méthode de tarification. Baptisée Le socle et adoptée par toutes ses caisses régionales, elle comprend les services de base. Les autres sont optionnels», ajoute-t-il. Les banques en ligne ont des tarifs très proches. Un jeune actif paiera ainsi moins de 15 euros de frais par an chez Boursorama, ING, Fortuneo et Soon (nouvelle banque mobile d’Axa) et 22 euros chez Hello Bank (BNP Paribas). Plus établies dans la vie, les personnes qui apparaissent dans cette catégorie ont une consommation bancaire large et détiennent une carte Visa classique. Leurs frais bancaires annuels s’élèvent à 191,81 euros selon l’étude de Choisir-ma-banque.  Le «Trophée d’or» de la banque la moins chère revient à la Caisse d’épargne Provence-Côte d’Azur avec 110,97 euros de frais annuels pour ce type de profil. La Banque populaire et le Crédit agricole sont aussi très compétitifs selon l’étude. À l’opposé la banque Dupuy de Parseval (dans l’Hérault) est trois fois plus chère (315,12 euros). Côté banques en ligne Boursorama et ING arrivent en tête du classement, facturant 18 euros en moyenne. Les clients aisés utilisent généralement davantage de services et sont dotés d’une carte bancaire haut de gamme (Visa Premier…). Ils paient en moyenne 244,59 euros de frais bancaires annuels, selon l’étude. Le Crédit mutuel Massif Central remporte le «trophée d’or» de la banque la moins onéreuse (157,07 euros par an). «Alors qu’il ne s’agit pas de sa cible privilégiée, le Crédit coopératif est lauréat du “Trophée d’or” dans sept régions sur treize. Le Crédit agricole possède aussi des offres compétitives pour ses clients haut de gamme», note Ludovic Herschlikovitz. La banque Dupuy de Parseval est une nouvelle fois la plus onéreuse (315,12 euros par an). Les banques en ligne qui ne facturent pas les cartes bancaires, sont de loin les plus compétitives. À commencer par Boursorama, la mois chère avec 27,86 euros de frais bancaires annuels… Quels que soient les profils, les banques en ligne sont les moins chères.

 

A défaut d’emploi Valls soutient les restos du cœur !

A défaut d’emploi Valls soutient les restos du cœur !

 

Il faut vraiment que le gouvernement soit complètement démuni pour appeler les dons via les Restos du Cœur. Certes cette œuvre caritative est magnifique et aide les plus démunis mais le gouvernement devrait avoir honte de se réfugier derrière cette œuvre de solidarité. Valls ose même parler de sursaut pour la justice sociale or il  n’y a jamais eu autant de disparités, autant de pauvres, autant de riches,  autant de marginaux exclus de la société. Jamais autant de dividendes versés aux actionnaires, jamais autant de chômeurs. Les mots ont perdu tous sens dans la bouche de ces oligarques. Le Premier ministre Manuel Valls, qui a assisté lundi au lancement de la 30ème campagne des Restos du cœur, s’est engagé à « promouvoir les dons » en nature à cette association, notamment pour les filières de fruits et légumes. « Les choses ont avancé dans la filière laitière et nous évoquions que dans d’autres filières, fruits et légumes, pour la viande aussi, il y avait encore des progrès à accomplir, et Michel Sapin et Stéphane Le Foll sont évidemment prêts à travailler le plus vite possible, j’ai bien entendu le message, sur ces questions tout à fait fondamentales », a dit le Premier ministre lors d’une conférence de presse dans un centre parisien de l’association. « Le gouvernement s’engage à promouvoir les dons », a poursuivi M. Valls, « donc il faut à la fois trouver les bons dispositifs fiscaux, mais surtout les bons dispositifs techniques, administratifs, à travers le dialogue avec les filières afin que nous puissions avancer le plus vite possible. » Les Restos du cœur ont obtenu l’an dernier du gouvernement que la loi Coluche sur les exonérations fiscales soit étendue aux dons des producteurs laitiers, et réclament cette mesure pour tous les dons agricoles. »Viande, œufs, légumes, céréales, il faut que toutes les filières puissent bénéficier d’un dispositif fiscal incitatif », estime le président de l’association Olivier Berthe. Le Premier ministre, après une visite des locaux pendant environ une heure, de l’association aux côtés des ministres de la Santé Marisol Touraine, du ministre des Finances Michel Sapin, et de la maire de Paris Anne Hidalgo, pendant environ une heure, a évoqué un « véritable sursaut pour la justice, contre le inégalités, pour une meilleure répartition des richesses, que nous devons les uns et les autres accomplir, et c’est l’engagement que je prends devant vous ».

 

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Dépenses publiques : trop de bureaucratie, trop de gaspillages

 

 

 

 

Florange et Trierweilller : les deux boulets de Hollande

Florange et  Trierweilller : les deux boulets de Hollande

 

Apparemment pas de liens entre ces deux sujets pourtant dans les deux cas Hollande s’est montré lâche ; Pour Florange c’est évidemment le plus grave ; il avait promis une loi pour la reprise des sites menacés, en fait une loi complètement inefficace puisqu’elle n’impose aucune obligation réelle de trouver un repreneur et qu’on a même fait disparaître toute sanction contre l’entrepreneur qui liquide un site (dernière disposition voulue par le conseil constitutionnel). Depuis Florange, c’est une suite ininterrompue de fermetures de sites avec évidemment le chômage qui ne cesse de progresser, officiellement 5 millions de chômeurs mais en réalité prés de 8 millions. En cause une politique complètement incohérente marquée par un slalom fiscal mais globalement avec des prélèvements obligatoires en hausse, un jour on augmente, un jour on allège. Du coup faute de confiance, la croissance s’écroule. Florange, c’était déjà le clou dans la chaussure de Sarkozy, c’est désormais un abcès  dans celle de Hollande. Hollande auto proclamé président normal et qui se comporte comme un monarque y compris avec ses maitresses. En renvoyant Trierweilller (qui par parenthèse n’avait rien à faire à l’Elysée) par voie de dépêche à l’AFP, Hollande a montré sa varie facette : égocentrique et méprisant. L’affaire Trierweilller va lui couter très cher d’autant qu’il s’entête à installer Julie Gayet à l’Elysée. Trierweilller a effet engagé une tournée internationale pour le démolir En Grande Bretagne, en Italie, ailleurs. Son livre est un vrai succès de librairie. En pleine tournée promotionnelle au Royaume-Uni, Valérie Trierweiler continue en effet de distiller ses confidences dans les médias. Ce dimanche, c’est la première fois qu’elle s’exprime dans une interview télévisée sur son brûlot contre François Hollande.  L’ancienne compagne du chef de l’Etat, auteure du best-seller «Merci pour ce moment», justifie sa démarche dans un entretien accordé à la BBC. Son livre «n’est pas une vengeance» envers le président de la République française, assure-t-elle. «Ce n’est pas une vengeance, ce n’est pas pour le détruire lui, c’est pour me reconstruire moi», lâche Valérie Trierweiler.  Visiblement toujours aussi touchée d’avoir été trahie par son compagnon, elle explique ne pas avoir «voulu croire à ces rumeurs même si «parfois», elle en était «vraiment agacée». «Je n’ai pas vu les photos tout de suite, je ne voulais pas les voir», ajoute Valérie Trierweiler. Samedi déjà, dans un entretien diffusé par le journal italien La Repubblica, elle revenait sur les «mensonges» de François Hollande.   Dans l’interview de la BBC de ce dimanche, Valérie Trierweiler s’attaque aussi aux  erreurs politiques de son ancien compagnon. Son «problème», ce sont «les résultats qui n’arrivent pas», assure l’ancienne journaliste. «François Hollande s’est engagé sur un certain nombre de réformes (…) Il avait assuré que la courbe du chômage baisserait,», analyse Valérie Trierweiler.

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Dépenses publiques : trop de bureaucratie, trop de gaspillages

 

 

 

 

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Dépenses publiques : trop de bureaucratie, trop de gaspillages

 

 

 

 

Croissance mondiale: un repli sous-estimé par les médias

 Croissance mondiale: un repli sous-estimé par les médias  

 

Peu  de médias traitent traitent en France du repli de la croissance mondiale en novembre. .A la Une de ce vendredi,  c’est la coupe Davis, Nabila, la photo de Hollande-Gayet, les matchs de foot truqués .  Bref c’est le week-end à la française qui commence désormais le vendredi. Pourtant les indicateurs de l’économie mondiale sont inquiétants. Sans doute ne faut-il pas détériorer davantage la confiance (et celle  les annonceurs !) alors on fait l’impasse. On reparlera d’économie plus tar d. Pourtant les chiffres sont mauvais aux Etats Unis avec le chômage et l’inflation.  En Chine, l’indice PMI HSBC/Markit du secteur manufacturier a enregistré une croissance nulle en novembre à 50,0 contre 50,4 en octobre, selon une enquête menée auprès des directeurs d’achat. En zone euro La croissance a ralenti, atteignant même son plus bas niveau en un an et demi, ce qui ravive le spectre d’un retour à la contraction dans la région, a indiqué jeudi le cabinet Markit qui publie l’indice PMI. Le PMI composite de la zone euro s’est établi à 51,4 en novembre contre 52,1 en octobre. Lorsqu’il dépasse les 50 points, cela signifie que l’activité progresse tandis qu’elle se replie s’il est inférieur à ce seuil.  La croissance de l’activité du secteur privé allemand a ralenti en novembre à son rythme le plus faible en seize mois avec la stagnation de l’industrie manufacturière et le moindre dynamisme des services, laissant augurer une activité sans ressort au quatrième trimestre. L’indice PMI composite, qui regroupe l’industrie manufacturière et les services, a reculé à 52,1 contre 53,9 en octobre. Pour le secteur manufacturier, l’indice PMI flash est tombé à 50,0, qui correspond au seuil séparant contraction et expansion, après 51,4 le mois précédent. L’indice des services, lui, a chuté à 52,1 après 54,4 mais reste au-dessus du seuil de 50. L’un et l’autre sont ressortis nettement en dessous des attentes des économistes interrogés par Reuters. « Ce qui arrive, c’est qu’en général le secteur des services suit celui de la production de biens sur la pente descendante et c’est ce que nous constatons en ce moment », a déclaré Chris Williamson, chef économiste de Markit. « Le secteur manufacturier stagne, les nouvelles commandes reculent pour le troisième mois consécutif, et le recul est le pire enregistré depuis la fin 2012″, a-t-il ajouté. L’économie allemande a échappé de peu à une récession technique au troisième trimestre, le PIB enregistrant une croissance de 0,1% grâce au dynamisme des dépenses de consommation et à une faible contribution du commerce extérieur. Les organisations internationales, comme l’OCDE et le FMI, ont abaissé leurs prévisions de croissance pour la première économie de la zone euro, de même que le gouvernement qui n’attend plus qu’une hausse du PIB de 1,2% cette année et de 1,3% en 2015. L’activité dans le secteur privé s’est contractée pour le septième mois consécutif en novembre en France, à un rythme légèrement moins élevé que le mois précédent. L’indice PMI composite, qui combine les secteurs de l’industrie et les services, s’est ainsi inscrit à 48,4, après 48,2 au mois d’octobre, restant sous la barre de 50 séparant les zones de contraction et d’expansion de l’activité. Dans le secteur manufacturier, l’indice a diminué à 47,6 contre 48,5 en octobre, un niveau nettement en deçà des attentes des 17 économistes interrogés par Reuters (48,8) et qui constitue un plus bas depuis trois mois. Les services ont vu leur indice progresser à 48,8, après 48,3 en octobre, un niveau supérieur au consensus des économistes (48,5) et qui constitue un plus haut depuis trois mois. Selon Chris Williamson, économiste chez Markit, la faiblesse de l’activité dans le secteur privé et des inquiétudes sur les services pourraient se traduire par une contraction de 0,1% du PIB de la France au quatrième trimestre.

 

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