Archive pour le Tag 'les verts'

Avenir d’Europe-Ecologie-Les Verts : vers le néant

Avenir d’Europe-Ecologie-Les Verts : vers le néant

 

 

Alors que Europe écologie les Verts ne représentent plus qu’1 ou 2 % des électeurs (Hamon que leur candidat Yannick Jadot avait rejoint n’a pas dépassé 6,3 % des suffrages aux présidentielles), le parti écolo réaffirme son objectif de conquérir pouvoir. De quoi rire s’il ne fallait en pleurer tellement les écolos politisés ont discrédité la problématique écologique. Durant tout le quinquennat de François Hollande ils n’ont d’ailleurs cessé surtout d’exprimer des positions gauchistes en laissant presque de côté la problématique écologique. Ensuite ils se sont divisés les uns en se rapprochant des frondeurs socialistes, les autres en soutenant Hollande et enfin une  troisième partie a soutenu Emmanuel Macron lors des présidentielles.  le mouvement Europe écologie les Verts ne représentent à peu près plus rien, il a surtout été victime de ses dérives gauchistes. Il faut d’ailleurs se réjouir de la disparition de ce parti du paysage politique. En effet, un parti uniquement écologiste est une sorte d’anachronisme car la problématique de l’environnement doit être appropriée par tous les partis et une cohérence doit être recherchée entre les facteurs économiques, sociaux, sociétaux et environnementaux. Saucissonner  la problématique, c’est tomber  dans le simplisme, l’irréalisme et la démagogie. Pourtant EELV  a lancé sa grande réunion d’été à Dunkerque, avec une première journée consacrée en grande partie à l’avenir de l’écologie politique. Confronté à une baisse du nombre d’adhérents, et à des difficultés de trésorerie, le parti écologiste, qui a récemment du licencier cinq employés pour raisons économiques, a tenu à maintenir ses journées d’été. « Vous avez trois jours pour débattre, pendant que les militants socialistes sont privés d’universités, que les Républicains sont éclatés (…) et alors même le Front national a annulé son rendez-vous de rentrée », lance Marine Tondelier, élue municipale chargée de l’organisation des JDE.  « La France n’en as pas fini avec les écologistes promet le secrétaire national David Cormand sous les applaudissements. Son objectif, « passer d’un parti qui était avant tout lanceur d’alerte, à un parti qui s’organise pour conquérir le pouvoir ». !!!!

EELV : les Verts dans le rouge (Placé)

EELV : les Verts glissent vers le rouge (Placé)

Placé ne peut que constater les dégâts , les verts s’enfoncent dans le rouge ; Non pas le gros  rouge qui tâche , le rouge révolutionnaire. E ça n’arrange ses affaires. Placé sait bien que la gauche n’est pas prête de revenir au pouvoir après 2017 , surtout les verts qui risquent de disparaitre. Lui qui rêve de devenir ministre au moins une  fois dans sa vie n’a pas de mots trop dur pour stigmatiser le changement de couleur des verts. Il n’est pas vieux Placé mais c’est déjà un vieux routiers des manouvres politiciennes ( c’est un peu grâce à lui s’il y a eu des députés verts). Il emploie uen dialectique très sénatoriale et finira  au PS au parti radical socialiste.  Le président du groupe écologiste au Sénat Jean-Vincent Placé, favorable à un retour d’EELV au gouvernement, a dénoncé ce dimanche 15 février un « déplacement vers l’extrême gauche des Verts » et a prôné l’union avec les socialistes pour les élections départementales face au danger FN. Je suis inquiet de cette orientation que je combat.  « Il y a tout à la fois un déplacement vers l’extrême gauche des Verts et, de facto, une marginalisation des questions d’écologie ( il aurait pu sen apercevoir plus tôt !NDLR). Je suis inquiet de cette orientation que je combat », a-t-il déclaré lors du Forum Radio J.  « Je note qu’un porte-parole du mouvement, Julien Bayou, a indiqué qu’il était pour la primaire de l’autre gauche à l’exclusive du PS. (…) Je ne sais pas si ce jeune homme comprend bien dans quel état est le pays », a poursuivi le député de l’Essonne, qui a vu dans cette démarche un « repli identitaire ». Pour celles et ceux qui pensent que la priorité de l’année à venir est de casser du socialiste et de fracturer la majorité, je dis que cela n’a aucun sens.   »Pour celles et ceux qui pensent que la priorité de l’année à venir est de casser du socialiste et de fracturer la majorité, je dis que cela n’a aucun sens. Les Français rejettent ces comportements politiciens, et de plus en plus », a insisté Jean-Vincent Placé. Après le départ « tout simplement incompréhensible » des Verts du gouvernement, orchestré par Cécile Duflot, Placé veut les voir revenir.  »Les trois sondages que nous avons faits depuis sur les sympathisants, pas seulement les 5.000 militants qui restent dans le parti », ont indiqué qu’ »entre 85 et 90% pensent que nous devrions être aux responsabilités gouvernementales pour peser pour plus d’écologie », a-t-il justifié. Il n’y aura pas de Podemos, pas de Syriza en France, En revanche, il peut y avoir le Front National Jean-Vincent Placé Facebook Twitter Linkedin  Cécile Duflot « dit ce qu’elle veut, c’est une écologiste sincère, je n’ai pas de leçon à lui donner ». Mais sa présence au meeting de soutien à Syriza aux cotés de Jean-Luc Mélenchon fut « une erreur ». « Il n’y aura pas de Podemos, pas de Syriza en France, En revanche, il peut y avoir le Front National » dont il craint la présence massive au second tour des élections départementales. « Je recommande à mes amis très clairement, comme on l’a fait trop peu, dans une vingtaine de départements comme le mien dans l’Essonne (…), un accord de premier tour » avec le PS. « On est rationnel et on s’allie avec celles et ceux qui sont les plus efficaces pour battre la droite et l’extrême droite », a-t-il prôné.

 

EELV (les verts) : sauver les meubles aux européennes

EELV (les verts) : sauver les meubles aux européennes

 

En 2099 EELV avait faiat une score très honorable de 16% mais en 2014 les verts ne pourrait faire que la moitié du fait notamment de leur positions ambigües voire contradictoires au gouvernement, de leurs querelles internes et de la très mauvaise image de Duflot. Du coup on tenet de sauver les meubles en mettant des personnalités moins compromises. Europe Ecologie-les Verts a arrêté ce samedi 14 décembre ses listes de candidats aux élections européennes, sur lesquelles l’ex-numéro 1 Pascal Durand figure en tête de liste pour l’Île-de-France, Eva Joly sera en deuxième position sur la même liste. Dans l’Ouest, Yannick Jadot est tête de liste. Dans l’Est ce sera Sandrine Bélier, dans le Nord Karima Delli, dans le Sud-Ouest José Bové, dans le Sud-Est Michèle Rivasi, dans le Centre Clarisse Heusquin. Yvette Duchemann sera tête de liste en Outre-mer.  A l’exception de ces deux dernières et de Pascal Durand, tous sont députés européens sortants. Selon la nouvelle patronne du parti Emmanuelle Cosse, le nom des têtes de liste avait été adopté après trois tours de scrutin sur trois « scénarios de liste » successifs avant que l’ultime ne réunisse 81,34% des voix exprimées et soit donc adopté. « Je suis extrêmement heureuse. Au final on a une liste qui a été adoptée à 81%, qui a permis de montrer nos ambitions pour les européennes, avec des figures de notre parti, une bonne partie qui avait fait partie de l’aventure de 2009, et qui montre une diversité de profil », selon elle. « C’est un très bon signe pour le parti qui montre qu’il est rassemblé, ça va nous permettre de lancer notre campagne européenne », s’est-elle félicitée. Le parti, qui avait connu un succès inattendu aux européennes de 2009, faisant alors jeu égal avec le PS avec plus de 16% des voix et 14 eurodéputés (ils sont devenus 16 par la suite), ne s’attend en effet pas à un tel score en mai 2014. Il mise plutôt sur six candidats éligibles au Parlement européen, voire « huit à dix » si les résultats étaient meilleurs que prévus. Si les places de têtes de liste pour Pascal Durand, Yannick Jadot, Sandrine Bélier ou Karima Delli ne faisaient plus guère de doutes ces derniers jours, la situation était moins consensuelle dans les régions Sud-Ouest et Sud-Est. Dans le Sud-Ouest, José Bové, sortant, soutenu par les écologistes pour être le candidat des Verts européens au poste de président de la Commission européenne, était en concurrence avec Catherine Grèze, eurodéputée sortante, poussée en interne par la majorité du parti. Celle-ci sera finalement en deuxième position. Dans le Sud-Est, Michèle Rivasi, sortante, spécialiste des questions de santé notamment, était en concurrence avec Karim Zéribi, sortant lui aussi, candidat à la mairie de Marseille. Cet ex-MRC qui fut en 2008 sur la liste de Vincent Peillon et l’a remplacé à Strasbourg lorsque Vincent Peillon est devenu ministre en 2012, mais en étant passé du PS à EELV entre temps, sera en deuxième position.

 

EELV : c’est vicié chez les verts ( Nicolas Hulot)

EELV : c’est vicié chez les verts ( Nicolas Hulot)

 

« Depuis un long moment, on voit que la jonction entre la société française et ces enjeux écologistes, qu’ils sont les seuls à porter ne se fait pas et probablement il y a quelque chose de profondément vicié dans ce parti », a déclaré Nicolas Hulot.   »Les gens ont une forme d’irritation vis-à-vis de cette formation politique », a ajouté l’ancien animateur, qui avait échoué à être le champion écologiste à la présidentielle de 2012, battu en primaire par Eva Joly.  Les écologistes ont une « vraie difficulté à s’adresser à ceux qui ne sont pas convaincus. Au prétexte qu’ils portent un enjeu crucial, déterminant pour toutes nos démocraties, ils pensent qu’ils sont immédiatement compréhensibles », a jugé M. Hulot. Estimant que l’écologie était un enjeu « transversal, supra-partisan », il a en outre regretté que « parfois et même souvent, les écologistes imposent qu’avant d’être écologiste on soit à gauche de la gauche ». Nommé envoyé spécial du président François Hollande pour la protection de la planète, Nicolas Hulot s’est par ailleurs dit « très inquiet » concernant la conférence mondiale sur le climat que doit accueillir la France en 2015. « Je ne suis pas du tout convaincu en l’état que Paris sera un succès. Pour l’instant, les conditions ne sont pas réunies », a déclaré M. Hulot. « Ce qu’il faut, surtout c’est relancer une dynamique », a-t-il estimé, lançant l’idée d’un accord à deux vitesses avec « un groupe de tête d’Etats qui peuvent avoir des objectifs excessivement forts, encadrés juridiquement, et derrière des pays qui vont peut-être aller un peu moins vite ».

 

Sondage EELV : les verts discrédités pour 70%

Sondage EELV :  les verts  discrédités pour 70%

Près de 70% des Français jugent qu’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) ne propose pas d’ »alternatives politiques », selon un sondage OpinionWay pour Metro News publié vendredi. 69% des personnes interrogées considèrent qu’EELV « ne propose pas réellement d’alternatives politiques ». 22% considèrent que le parti écologiste, qui a deux ministres au gouvernement, « propose des alternatives politiques insuffisamment prises en compte » et 7% « des alternatives politiques trop souvent prises en compte ». Pour 54% par ailleurs, le départ du député Noël Mamère de EELV, officialisé mercredi, est lié « principalement à la situation à l’intérieur du parti », tandis que pour 44%, c’est « la situation du parti au sein du gouvernement ». L’élu girondin avait expliqué qu’à ses yeux, le « parti ne produit plus rien », il avait critiqué les dirigeants et s’était interrogé sur « l’utilité des écologistes au gouvernement ».

 

Carburant ; les verts veulent taxer le gasoil

 

Carburant ; les verts veulent taxer le gasoil

 

A l’Assemblée, mercredi après-midi, les responsables écologistes, comme François de Rugy ou Noël Mamère, se sont relayés pour expliquer que le budget n’était «pas votable en l’état». Plus tôt dans la matinée, le ministre de l’Écologie avait mis le feu aux poudres en laissant entendre lors d’une conférence de presse que l’avantage fiscal dont bénéficie le diesel ne serait pas touché. «Il n’y a pas, à ma connaissance, de disposition qui concerne de manière spécifique ce qu’on peut appeler la convergence fiscale du diesel et de l’essence», a-t-il assuré. Un bras d’honneur adressé aux écologistes, qui réclament de longue date la fin progressive de l’avantage fiscal consenti sur le gazole qui conduit, selon eux, à «sur-subventionner» cette forme d’énergie à hauteur de 7 milliards d’euros par an. Le patron des écologistes, Pascal Durand, est lui-même monté au créneau en rappelant que le diesel est «un marqueur» de la participation des Verts au gouvernement. «Il y a 15.000 morts par an par le diesel, a rappelé de son côté le ministre écologiste Pascal Canfin, c’est un cancérigène certain, on ne peut pas ne rien faire sur ce carburant comme on n’a rien fait sur l’amiante». Ambiance au sein du gouvernement. Face au tollé, Philippe Martin est revenu sur ses propos, estimant avoir été mal compris. «Je ne cautionne pas que je ferme la porte à une hausse du diesel ou que l’avantage fiscal sera maintenu, je ne le sais pas et je ne le dis pas», a-t-il déclaré à l’AFP, affirmant que la question de la fiscalité diesel n’avait pas encore fait l’objet d’«un arbitrage particulier». «La question de la convergence diesel essence n’a pas été abordée» lors du Conseil des ministres mercredi matin qui avait précédé sa conférence de presse, a-t-il expliqué. Reste que dans une émission politique enregistrée à la mi-journée, le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a assuré ce mercredi qu’un alourdissement de la taxation du diesel était «abandonné» par le gouvernement.Le nouveau ministre de l’Écologie n’est pas au bout de ses peines. A peine avait-il confirmé, mercredi matin, l’introduction d’une «composante carbone» dans les taxes pesant sur l’énergie dans la loi de finances 2014, que ce projet de fiscalité verte était déjà critiqué par les écologistes. «On ne sait même pas ce que le budget contient en terme de fiscalité écologique et à quoi va servir l’argent», a dénoncé François de Rugy. Pour les Verts, cette fiscalité doit être couplée avec une baisse de la TVA pour la rénovation et l’isolation thermique des logements.

« François Hollande doit être clair », Barbara Pompili (députée EELV, les verts) ; malheureusement ce n’est pas son métier !

« François Hollande doit être clair », Barbara Pompili (députée EELV, les verts) ; malheureusement ce n’est pas son métier !

Exiger de Hollande qu’il soit clair c’est demander l’inaccessible, pourtant la députée verte Pompili rêve encore (normal, c’est son métier) »J’ai besoin que le président de la République redonne confiance aux Français et pour cela il faut être clair ». Pour l’écologiste, la France ne connaît pas une crise conjoncturelle mais bien structurelle. D’ailleurs, elle trouve que les déclarations de l’exécutif, qui estime que « le pire est dernier nous », sont « un peu optimistes ». « Sortir de la crise structurelle demande des réformes de fond, ça demande vraiment beaucoup de courage », explique-t-elle, rejoignant la vision de Ségolène Royal  Elle demande ainsi « des lignes directrices claires ».  « La ligne, c’est de dire : on est complètement dépassés, on ne peut plus continuer à piller les ressources, on est dans un monde complètement sans règle où on nous demande d’être compétitif avec des esclaves au Bangladesh. », ajoute-t-elle.  Avoir une meilleure vision est aussi nécessaire « pour répondre aux questions du chômage », continue-t-elle. Pour cela, il faut viser les secteurs d’avenir, comme ceux de la transition énergétique, explique-t-elle, avant de prendre exemple sur l’Allemagne. La création d’emploi permettra aussi de résoudre « une grande partie » du problème des retraites, dit-elle, estimant que le dialogue social entrepris par François Hollande est « la bonne méthode ». « Il faut que les syndicats comprennent l’opportunité absolue de cette méthode, qu’ils reprennent un peu le pouvoir et montrent aux gens qu’il faut être syndiqué parce qu’enfin, on aura des partenaires sociaux qui seront aux manettes ». Concernant le contenu de la réforme des retraites, une chose est sûre pour elle : « On ne veut pas encore reculer l’âge de la retraite », souligne-t-elle.

 

Cohn-Bendit quitte les verts ; pas Eva Joly !

Cohn-Bendit quitte les verts ; pas Eva Joly !

Eva Joly reste, Cohn Bendit part, pas fameux pour le mercato politique des verts (EELV)°. « De facto, je suis parti. Je ne participe pas à leurs débats et je n’ai pas l’intention de le faire. » A l’occasion du lancement du « Forum des écologistes » mercredi avec son frère Gabriel Cohn-Bendit, Daniel Cohn-Bendit avait déjà laissé entendre qu’il s’éloignait chaque jour un peu plus d’Europe Ecologie-Les Verts. Pas vraiment un scoop. Plutôt une confirmation d’une relation qui se distend chaque jour un peu plus. Son seul lien avec ce parti dont il était tête de liste aux européennes de 2009 est la cotisation qu’il continue à leur verser, expliquait l’eurodéputé en milieu de semaine. Son avenir? Faire vivre son « Forum des écologistes » pour qu’émerge « une conscience écologique transpartidaire ». Dans les couloirs du « Forum », Cohn-Bendit s’émerveillait encore d’avoir fait salle comble la veille à Bruxelles avec son ami Guy Verhofstadt. Le sujet? L’Europe, comme toujours. De quoi lui donner envie de repartir pour un tour lors des Européennes de 2014? « Je ne serai pas candidat », tranche Cohn-Bendit. Ses projets? Un documentaire sur le football. Et pour le reste? « J’ai dix ans pour pouvoir réinventer quelque chose dans ma vie », livrait-il en aparté.  » « C’est sûr que dans mon for intérieur, entre Europe Ecologie et moi, c’est une histoire terminée », avait-il assuré. Les choses étaient dites. Mais son camarade Yannick Jadot – qui souhaite conduire la liste EELV lors des européennes de 2014 – espère toujours que, dans ce cas, Cohn-Bendit viendra lui apporter son aide. « La vraie valeur ajoutée pour une élection européenne, c’est Dany. Il est irremplaçable mais aucun danyste ne l’est », confiait récemment David Cormand, chargé des relations extérieures d’EELV. Un sacré compliment dans la bouche de ce cadre du parti qui est loin d’être « un danyste ».

 




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