Archive pour le Tag 'les riches !'

Hollande : un discours contre les riches pour légitimer le matraquage fiscal pour tous

 

Hollande  : un discours contre les riches pour légitimer le matraquage fiscal

La finance, les riches ce sont les ennemis mais c’est là un discours du gouvernement pour matraquer fiscalement les ménages, les couches moyennes ; en fait ceux qui travaillent. Une politique en plus complètement contre productive qui affecte la consommation, la croissance et l’emploi .En plus qui accentue les déficits !  Pas étonnant de la part de ce gouvernement composé essentiellement de fonctionnaires qui ignorent tout des réalités socio-économiques. Une litanie sans fin. Le nouveau coup de rabot au quotient familial, décidé lundi par le gouvernement, vient s’ajouter à la longue série de hausses d’impôt votées ces deux dernières années. En 2012, puis en 2013, les ménages ont vu leur facture fiscale grimper de quelque 13 milliards d’euros! Certaines mesures ont été particulièrement insidieuses. Ce fut le cas du gel du barème de l’impôt sur le revenu. Très technique, cette mesure était difficile à appréhender pour les Français lorsqu’elle a été annoncée, en novembre 2011, par le gouvernement Fillon. Pourtant, elle a eu un impact réel, puisqu’elle a entraîné une hausse moyenne de 2 % de leur impôt sur le revenu, payé neuf mois plus tard. Et contrairement aux promesses de campagne de François Hollande, la majorité socialiste n’est pas revenue sur ce gel (sauf pour les ménages les moins aisés). 16 millions de foyers fiscaux verront donc leur impôt augmenter à nouveau de 2 % en septembre 2013  Les classes moyennes supérieures subiront en outre les effets de la première baisse du plafond du quotient familial, votée à l’automne dernier. Le plafond a alors été ramené de 2 336 à 2 000 euros par demi-part. À l’époque, ce coup de rabot avait fait assez peu de bruit. Comme pour le gel du barème, la complexité de la mesure a permis, pendant un temps, de noyer le poisson. Et ce même si les seuils d’application n’étaient pas très élevés (un couple avec deux enfants gagnant plus de 6 433 euros par mois à deux était touché par le premier rabot).D’une façon générale, ces dernières années ont été éprouvantes pour les Français aisés. Le gouvernement Fillon avait commencé à relever les prélèvements sur l’épargne, à augmenter les taxes sur les plus-values immobilières (la résidence principale restant exonérée), à raboter les niches, à créer une contribution sur les hauts revenus. Son successeur a amplifié le mouvement sur tous ces sujets, tout en augmentant nettement les droits de succession, en créant une tranche d’impôt sur le revenu à 45 % et en instaurant en 2012 une contribution exceptionnelle d’ISF. Cette surtaxe d’ISF a été si élevée qu’elle a conduit 8 010 ménages à voir leurs impôts dépasser 100 % de leurs revenus. Contrairement à ce qu’il prétend, le gouvernement Ayrault a aussi mis à contribution les Français les plus modestes. La refiscalisation des heures supplémentaires à partir d’août 2012 et leur soumission aux charges sociales à partir de septembre ont fortement pénalisé les ouvriers. À cela, il faut ajouter la hausse de la redevance télévision, de la fiscalité du tabac et des taxes sur la bière. Les retraités imposables ont, eux, subi une nouvelle taxe de 0,3 % sur leur pension et les travailleurs indépendants constaté une envolée de leurs prélèvements sociaux. Bref, aucun ménage n’a été épargné par le coup de massue fiscal. Et la hausse de la TVA, effective au 1er janvier 2014, sera elle aussi partagée par tous…

 

Parisot et les riches : « la guerre civile » ; en fuyant ? la honte des élites du fric

Parisot et les riches : «  la guerre civile » ; en fuyant ? la honte des élites du fric

 

Le Medef (qui ne représente que les grands groupes du CAC et non la multitude de PME) par la bouche de Parisot parle de guerre civile contre les riches, Afflelou, de 1789 ! Ils sont devenus fous et grotesques à la fois ; la guerre ne se faiat pas en fuyant même lorsqu’elle est civile. Il est vrai qu’un nombre non négligeable de patrons avait déjà trahi pendant la deuxième guerre mondiale ; ce qui avait justifié les nationalisations de De Gaulle ; Lâche et veule, voilà ce qui pourrait qualifier cette aristocratie du fric sans doute insensible à la montée de la pauvreté dans le pays et qui ne pense qu’à une chose protéger leur fortune. L’exil des riches est révélateur de l’effondrement des valeurs notamment républicaines. L’individualisme et l’égoïsme ont pris le pas sur les valeurs de solidarité et d’attachement au pays ; la valeur désormais se mesure au patrimoine financier ; il n’ya pas de honte chez les exilés fiscaux ;  au contraire, du mépris pour le pays qui leur a permis d’acquérir leur fortune. Ce comportement témoigne de la dérive d’un pays qui a perdu ce qui fait l’essence d’une nation ; c’est le chacun pour soi, l’individualisme, l’égoïsme surtout de la part d’une génération qui n’a pas connu la guerre mais a su récolté les fruits des efforts de redressement à partir des années 50.  Certes la fiscalité française est excessive (57% du PIB de prélèvement obligatoire), insupportable pour l’économie, source de notre perte de compétitivité, de l’écroulement de la croissance et du chômage. La faute à ces politiques qui pour l’essentiel sont des fonctionnaires qui n’ont qu’un rapport approximatif avec les réalités économiques, sociales et même sociétales ; un seul slogan de la plus petite collectivité locale jusqu’au sommet de l’Etat, des impôts, encore des impôts. Ceci étant qui subit le plus dramatiquement cette situation ? Les riches ou les smicards ? Curieuse inversion de la victimisation.  Des smicards qui précisément, outre la fiscalité, subissent la veulerie des grands responsables économiques qui se sont gavés de dividendes. Le smicard paye la fiscalité plein pot, avec la fiscalité locale, avec la TVA au supermarché, avec l’énergie, avec l’alimentation. La totalité de son revenu est soumise à l’impôt et il ne lui reste rien. Une différence de taille avec les riches qui eux se révoltent pour protéger des fortunes indécentes. Quand les élites  (financièrement, ce qui limite le qualificatif) se comportent ainsi et sans vergogne, cela démontre que le pays est en mauvaise santé morale. Aux valeurs traditionnelles qui fondent une nation se sont substitués la seule valeur de l’argent et cela dans des limites inqualifiables. Le pire, c’est qu’on hésite à légiférer pour arrêter cette pantomime de l’exil fiscal alors qu’on ne cesse de produire des lois par milliers aussi inutiles que couteuses.  L a crise est certes économique mais ne n’est que la conséquence d’une crise plus profonde de nature sociétale qui pourrit le pays, ses élites.et  contamine même une partie de la population.

 

 

Déficit budgétaire : Obama veut faire payer les riches

Déficit budgétaire : Obama veut faire payer les riches

 

 

 

Diminuer les dépenses mais faire aussi payer les riches c’est la position d’Obama pour diminuer le déficit budgétaire. Le secrétaire américain au Trésor indique en effet qu’il n’y aura pas d’accord au Congrès pour régler le problème budgétaire si les plus riches ne sont pas mis à contribution. Le secrétaire au Trésor américain, Timothy Geithner, a déclaré dimanche qu’il n’y aura pas d’accord au Congrès sur le budget si les républicains n’autorisent pas une hausse des impôts pour les plus riches. « Si les républicains ne veulent pas d’une augmentation des impôts au niveau où ils étaient sous l’administration Clinton en 1990, époque où l’économie américaine était florissante, il n’y aura pas d’accord », a affirmé M. Geithner sur CNN. Le chef républicain de la Chambre des représentants, John Boehner, avait jugé que cette proposition n’était « pas sérieuse ». Elle mentionnait, selon les républicains, 1.600 milliards de dollars de rentrées fiscales supplémentaires et seulement 400 milliards de coupes. »Nous appelons (les républicains) à nous rejoindre pour faire quelque chose de bon pour l’économie américaine », a plaidé M. Geithner, affirmant que cela « demandera de faire des économies dans les dépenses et pas seulement d’augmenter les impôts sur les 2% d’Américains les plus riches ». Les démocrates défendent une politique budgétaire qui combinerait ces hausses pour les plus aisés et des coupes dans les dépenses. De leur côté, les républicains veulent s’attaquer au déficit budgétaire en taillant dans les dépenses – notamment les programmes sociaux – et en visant les niches fiscales, mais sans augmenter le taux d’imposition des plus riches.

 

Paris : plus de voiture de plus de 17 ans, vivent les riches !

Paris : plus de voiture de plus de 17 ans, vivent les riches !

Personnellement, je roule en Clio, 2O ans, 90 000 kms. Paris me sera désormais interdit (le plus souvent j’utilise cependant les transports collectifs). Des mesures aussi anti poids lourds, résultat on ira en périphérie se ravitailler ; il faudra 1000 voitures pour remplacer un camion qui transporte 15 tonnes ! Beau bilan énergétique. Le maire de Paris Bertrand Delanoë propose qu’à partir de septembre 2014 soit interdite la circulation dans la capitale des véhicules particuliers et utilitaires de plus de 17 ans et des poids-lourds de plus de 18 ans. Des abaissements de limitation de vitesse sont aussi étudiés, entre autres. Ce projet, très offensif, sera proposé au Conseil de Paris le 12 novembre prochain. Pourquoi la mairie franchit-elle ce cap ? Les enjeux politiques ne sont-ils pas risqués en vue des élections municipales de 2014 ? Bertrand Delanoë, maire de Paris, était l’invité de RTL.

Ce projet est très offensif, la situation n’est plus tenable ?

« Je constate que depuis dix ans, nous avons osé, nous les Parisiens, changer car la pollution est un fléau, et ce malgré tous nos efforts et des résultats excellents sur un certain nombre de polluants. Certains ont d’ailleurs quasiment disparu. Mais sur les particules fines, qui sont un danger mortel, les normes européennes ne sont pas respectées en France. Le gouvernement est menacé d’être sanctionné parce que ceux qui l’avait précédé ne voulaient pas prendre des mesures assez efficaces.

Je propose donc une nouvelle étape de notre lutte contre la pollution. Je fais des propositions et je souhaite que progressivement, nous interdisions les véhicules les plus nocifs pour la santé. »

A partir de quelle date ?

« Dès septembre 2014. Mais pour être efficace en 2014, il faut commencer à y travailler maintenant. »

N’est-ce pas risqué d’engager une telle réforme en fin de mandat ?

« Souvent en fin de mandat on s’endort et on conserve ce qui a marché. La vie est telle qu’il faut tout le temps faire preuve d’audace. »

La mesure réellement courageuse ne serait-elle pas de supprimer tout simplement le diesel, principal émetteur des particules fines ?

« Figurez-vous que je n’accepte pas que 60% bus de la RATP fonctionnent au diesel. Je ferai à court terme, avant le 12 novembre, des propositions sur ce sujet. Par ailleurs, je considère que tous les poids-lourds qui n’ont pas à passer à Paris et qui le font parce que ça les arrange devront contourner la capitale. C’est une mesure de bon sens et de salubrité publique. »

C’est votre fameuse idée de péage…

« J’ai toujours refusé le principe d’un péage qui empêche les véhicules de rentrer dans Paris. J’avais en revanche proposé durant mon premier mandat de mettre un péage sur les autoroutes franciliennes, mais j’avais en face de moi un gouvernement extrêmement conservateur en la matière. Avec un gouvernement plus réceptif, je refais des propositions, dont celle-ci. »

Ne craignez-vous pas les réactions des automobilistes ?

« Je ne refuse jamais le débat démocratique. Beaucoup de gens m’ont critiqué quand je faisais le tramway, puis on a fini par reconnaître que j’avais raison. Il y a 25% de voitures en moins à Paris depuis 11 ans, moins de pollution. Les Parisiens utilisent moins leur voiture, 40% en moyenne. Il faut accepter d’évoluer sinon on s’enferre dans des modèles dépassés, dangereux pour notre santé et peu agréables à vivre. »

 

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol