Archive pour le Tag 'les français'

Nouveau gouvernement: les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

 Nouveau  gouvernement:  les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

Selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 73% des Français refusent de voir un gouvernement exclusivement composé de ministres du bloc de gauche. Du coup, un gouvernement seulement chargé des affaires courantes pourrait bien occuper l’espace politique pendant plusieurs mois en l’état des divisions des blocs et des partis

. Moins d’une semaine après le second tour des législatives, six Français sur dix (60%) jugent que la dissolution de l’Assemblée nationale était une «mauvaise décision», selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Alors que les résultats des urnes plongent le pays dans l’inconnu avec un Hémicycle éclaté en trois blocs.

Rénovation logement et voitures électriques : beaucoup trop chères pour les Français

Rénovation logement et voitures électriques : beaucoup trop chère pour les Français


Selon une étude de l’Institut de l’économie pour le climat I4CE, un think tank français. Les efforts demandés aux Français en matière de transition écologique sont impossibles à supporter pour la plupart. En dépit des différentes aides, la plupart des Français devront dépenser autour de 50 000 € en moyenne pour rendre les logements plus isolants et acheter une voiture électrique. Pour une isolation du logement, il faut compter entre 10 000 et 40 1000 € selon les cas et pour une voiture électrique entre 10 000 et 40 000 €. Des sommes évidemment impossibles à atteindre en dépit des aides pour les ménages les plus modestes et même inaccessibles pour les classes moyennes.

La conclusion est claire : « Les conditions économiques ne sont pas réunies aujourd’hui pour que tous les ménages puissent investir », avec le risque que cela « génère un rejet des politiques de transition » et conduise « collectivement dans une impasse ».

Pourtant, ce ne sont pas les aides qui manquent. L’argent public prend en charge 25% à 60% de l’investissement, selon les barèmes. De plus en plus indexées sur les revenus, ces aides sont « environ deux fois plus élevées pour les ménages modestes que pour les ménages aisés ». Mais des effets de seuil peuvent venir brouiller la prise de décision pour une moitié de la population, ceux qui ne sont ni pauvres ni riches : « Ils font varier les montants d’aide de plusieurs milliers d’euros », relève l’étude.

Et même avec un prêt à taux zéro, « le financement du reste à charge continue de se heurter à la capacité d’endettement » des ménages. Cela se chiffre en dizaines de milliers d’euros, et représente plus d’un an de revenus pour les classes moyennes, et dix ans ou plus pour les ménages les plus modestes.

Concernant les voitures, le constat est davantage alarmant. « Lorsqu’on compare l’achat d’une citadine électrique standard neuve avec le fait de garder une vieille voiture essence, cet investissement ne se rentabilise sur 20 ans pour aucun ménage », relève l’étude.

En revanche, l’achat d’un véhicule électrique neuf par rapport à son équivalent neuf thermique « est rentable en moins de six ans » grâce aux économies de carburant. Sauf que l’acquisition pose encore « un problème de trésorerie » : même avec les aides, il faut sortir de sa poche entre 10.000 et 40.000 euros pour une voiture neuve et une borne de recharge selon les modèles.

Et aucun salut n’est à attendre des sociétés de location avec option d’achat, ou leasing, qui « en France facturent 56% de plus pour la location d’un véhicule électrique à batterie par rapport à un équivalent thermique ». Reste le marché de l’occasion, privilégié par une majorité d’automobilistes français. Il est cependant « encore peu développé » en électrique et, méfiance, il y a « un problème de compatibilité des véhicules électriques déjà anciens avec les systèmes de recharge actuels ayant connu un progrès technologique rapide », soulignent les auteurs.

Outre des freins financiers, l’étude souligne également une lourdeur administrative. Mais ce constat sans appel n’est cependant pas sans remède. « Une hausse des aides entre 10% et 50% serait nécessaire pour les ménages modestes et le début des classes moyennes », ainsi qu’une augmentation du bonus pour les plus modestes, suggère I4CE. Les auteurs suggèrent au législateur des pistes de changement pour les onze programmes d’aide actuels (six pour la rénovation dont la TVA à 5,5% sur les travaux depuis 1999, cinq pour la mobilité électrique).

Sondage mobilisation contre la réforme des retraites : les Français approuvent largement

Sondage mobilisation contre la réforme des retraites : les Français approuvent largement

56 % des Français approuve la mobilisation sociale contre la réforme des retraites selon un sondage Elabe  pour BFM.

Toutefois la désapprobation rencontre un écho particulièrement profond chez les retraités – qui sont 50% à disqualifier les manifestations d’avance – mais reste très minoritaire partout ailleurs au sein de la population.

Le paradoxe évidemment,  c’est que les retraités sont très peu touchés par cette réforme !

C’est avant tout au sein des actifs – avec une approbation grimpant à 46% après un saut de huit points – et chez les catégories populaires – 50% d’approbation avec une hausse de huit points – que la dynamique a été la plus spectaculaire au cours des derniers jours.

Ce soutien à la lutte politique contre le projet de réforme des retraites est tel que 55% des Français « comprendra

le  blocage du pays », vu comme « seul moyen » pour que le gouvernement « le retire ou le modifie ».

Ce taux atteint même 63% si on considère les seuls actifs. 44% des Français, en revanche, ne « comprendraient pas » un tel « blocage ».

Échantillon de 1000 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet du 17 au 18 janvier 2023.

 

Sondage Passe vaccinal : les Français pour mais provisoirement

Sondage Passe vaccinal : les Français pour mais provisoirement

Selon un sondage Odoxa Backbone-Consulting réalisé pour Le Figaro, ils sont en effet 62% à approuver le dispositif qui doit entrer en vigueur ce lundi, selon les récentes annonces gouvernementales.

Dans le détail, le dispositif est particulièrement apprécié par les plus de 35 ans (57%), mais surtout les seniors (80%) et les Français les plus aisés (69%). Tandis que les catégories populaires (50%), les jeunes de 25 à 34 ans (57%) et les Français les plus modestes (49%) le désapprouvent davantage.

 

Pour une partie de l’opinion publique (61%), il serait même acceptable d’aller plus loin et d’étendre l’obligation vaccinale à tous les Français. Une part encore plus importante (76%) souhaite porter cette obligation sur les personnes âgées ou fragiles.

 

Cependant 71% des Français souhaitent ainsi que l’outil soit «automatiquement suspendu» dès que la situation sanitaire s’améliorera. Or pour l’instant, l’exécutif n’a pas souhaité apporter de précisions sur les conditions qui permettraient de lever le passe vaccinal.

Sondage plan de relance et Coronavirus : les Français dubitatifs vis-à-vis de l’union européenne

Sondage plan de relance et Coronavirus : les Français dubitatifs vis-à-vis de l’union européenne

Selon un sondage réalisé par Elabe pour « Les Echos », Radio classique et l’institut Montaigne, quatre Français seulement sur dix estiment que « l’emprunt commun des Européens sera efficace face à la crise économique ». Plus précisément 42 % des interrogés pensent qu’il le sera contre 38 % qui pensent le contraire. 20 % ne se prononcent pas, faute sans doute d’avoir bien compris de quoi il retourne.

A la question classique des bénéfices retirés ou non de l’appartenance de la France à l’Union européenne, la balance s’est un peu redressée en faveur de l’Europe. La conviction que l’Union apporte plus d’avantages que d’inconvénients reste largement minoritaire puisqu’elle concerne seulement 27 % des Français mais le chiffre est en hausse de 3 points par rapport à octobre 2018. L’enthousiasme touche surtout les jeunes de moins de 35 ans et les Macronistes. Mais chez les sympathisants de Jean-Luc Mélenchon, la méfiance vis-à-vis de l’UE recule aussi. D’ailleurs, la proportion de ceux qui considèrent que l’Europe a plus d’inconvénients que d’avantages reste majoritaire à 39 % mais perd 4 points.

Les Français se montrent généralement sévères sur le rôle joué par l’Union européenne dans la gestion de la crise sanitaire et économique provoquée par le coronavirus. Pour 58 % d’entre eux, l’UE n’a pas été à la hauteur. Elle enregistre le pire score loin devant les communes, jugées efficaces à 68 %, les régions, 61 % et l’Etat, 38 %. Au début du mois d’août, date de ce sondage Elabe, l’image de l’Union européenne s’est toutefois améliorée par rapport au 6 mai (précédent sondage) quand le continent subissait de plein fouet le confinement. « Le rôle protecteur de l’Union européenne n’est pas perçu par les Français qui voient davantage l’action des acteurs au niveau local », commente Vincent Thibault, chargé d’études chez Elabe.

Déchéance de nationalité : les Français toujours favorables, pourquoi ?

Déchéance de nationalité : les Français toujours favorables, pourquoi

 

 

En dépit de la formidable mobilisation de tous les bobos de gauche et des indignés permanents (journaliste, juriste, intello, artiste etc.) de la jet-set médiatique les Français demeurent largement favorables à la déchéance de nationalité. Il faut dire que l’argumentation des bobos est un bleu rudimentaire « un terroriste ne remettra pas son acte en cause du fait de la perte de nationalité » « on crée de catégories de citoyens en France ». Un argumentaire évidemment caricatural. L’enjeu est en effet d’inscrire dans la constitution tout autant les droits que les devoirs de tous citoyens français. Le symbole est important car il sous-tend désormais que l’appartenance à la citoyenneté française implique l’intégration et le respect donc des valeurs communes. Un principe essentiel pour lutter contre le terrorisme mais au-delà pour bien faire comprendre qu’en France il n’y a d’autre choix qu’entre l’intégration ou partir. On peut comprendre l’inconfortable position des bobos qui sans doute non guère eu l’occasion d’approcher encore moins de vivre dans les banlieues qui fournissent les candidats au djihad ( encore moins d’approcher les prison)s Les trois quarts des Français sont donc  toujours favorables à la déchéance de nationalité pour les binationaux condamnés pour terrorisme, un soutien toutefois en recul de 17 points par rapport à novembre, selon un sondage BVA-Orange-iTELE rendu public dimanche 10 janvier. Dans le détail, 56% sont « tout à fait favorables » et 19% « plutôt favorables » à cette mesure que François Hollande veut inscrire dans la Constitution pour les binationaux nés français. 15% y sont « plutôt opposés » et 9% « tout à fait opposés ». 1% ne se prononcent pas. Au lendemain des attentats de novembre, 92% des Français y étaient favorables, rappelle BVA. En outre, 66% des personnes interrogées soutiennent une déchéance de nationalité étendue à tous les Français condamnés pour des actes de terrorisme (44% tout à fait favorables, 22% plutôt favorables). Concernant l’état d’urgence, 74% souhaitent sa prolongation au-delà du mois de février afin que les pouvoirs publics puissent mieux gérer l’état de crise, alors que 26% sont opposés à sa prolongation. Les sympathisants de gauche sont partagés, avec 58% d’opinions favorables à la déchéance limitée aux binationaux et 60% à la prolongation de l’état d’urgence. Mais seuls 47% soutiennent la déchéance pour tous les Français condamnés pour terrorisme.

Sondage 2017 : les Français pour le ni-ni, ni Hollande, ni Sarkozy

Sondage 2017 : les Français pour le ni-ni, ni Hollande, ni Sarkozy

 

Selon un sondage IPSOS-Steria pour Radio-France, les Français ne veulent ni de Hollande, ni de Sarkozy pour 2017.

-Et pourtant la mécanique des partis va vraisemblablement aboutir à l’affrontement  des intéressés .

-Et pourtant 35% seulement des Français sont pour Sarkozy en 2017 et Hollande ne recueille lui qu’environ 25% .

-Et pourtant c’est Juppé qui arrive en tête avec 55%.

-Et pourtant c’est Sarkozy qui risque d’être élu au second tour face à Marine Lepen grâce au reflexe républicain.  

 

C’est le résultat de la belle mécanique de la démocratie française où en fait ce ssnt les partis qui cadenasse les scrutins. Certes Sarkozy n’est pas très apprécié mais comme il est le préféré des sympathisants UMP, il va s’imposer à toute la droite comme candidat puis emporté le second tour des présidentielles ( sauf si les affaires….mais comme la justice met des dizaine d’années pour les traiter !). Il y a sûrement quelque chose qui ne tourne pas rond dans notre monarchie républicaine.. A la question de savoir qui elles souhaiteraient voir candidat ou candidate à l’élection présidentielle en 2017, c’est Alain Juppé qui arrive en tête (55%), suivi par Manuel Valls (43%) et Marine Le Pen (38%). Nicolas Sarkozy n’arrive qu’en quatrième position à 35% d’opinion favorables. Enfin, 78% des personnes interrogées estiment que voir Marine Le Pen être élue en 2017 est une hypothèse très peu probable. Et 76% ne souhaitent pas son élection. 

Sondage 2015: les Français un peu plus optimistes ?

Sondage 2015: les Français un peu plus optimistes,??

Curieux ce sondage en contradiction avec tous les autres. Sauf sur le chômage, les Français seraient un peu plus optimistes d’après le baromètre annuel Harris Interactive pour RTL publié lundi. Invités à dire s’ils sont optimistes pour eux et leurs proches pour l’année 2015, 52% des sondés répondent par l’affirmative (49% sont « plutôt optimistes », et 3% « très optimistes »), un score en progression par rapport à l’année dernière (50%), à 2012 (49%) et à 2011 (44%). Les pessimistes représentent 46% des sondés (11% très pessimistes, 35% plutôt pessimistes).  Les plus jeunes (- de 35 ans) sont aussi les plus enclins à l’optimisme (71%, contre 41% pour les 50 ans et plus), de même que les catégories socio-professionnelles supérieures (63%), dont l’optimisme progresse de trois points par rapport à l’an passé. Du côté des « CSP- » la progression est encore plus spectaculaire, avec 57% d’optimistes contre 49% il y a un an. En revanche, les inactifs sont plus nombreux à broyer du noir, avec 41% d’optimistes, contre 44% l’an dernier. Les sympathisants de l’UMP et du FN sont également majoritairement pessimistes (56% et 71%). Interrogés sur ce qu’ils considèrent comme les priorités de l’action gouvernementale, les Français placent en tête le chômage (81% affirment que ce sujet doit être « prioritaire » pour le gouvernement, les autres possibilités de réponse étant « important mais pas prioritaire » et « secondaire »). Viennent ensuite le système social (santé, retraite), prioritaire pour 65% des sondés, la croissance économique (64%), le pouvoir d’achat (63%), et la lutte contre le terrorisme (59% et même 76% pour les proches de l’UMP et 73% pour ceux du FN). En queue de classement se trouvent la transition énergétique (26%), la place de la France en Europe (24%), la culture (16%), le droit de vote des étrangers (6%). Si les Français jugent prioritaires les questions macroéconomiques, ils ne se montrent guère optimistes quant à leur évolution. Ainsi, 11% seulement entrevoient une embellie sur le front de l’emploi (13% pour le système social, 14% pour le pouvoir d’achat, 17% pour la croissance économique).

 

Education : Les Français sous la moyenne des Européens

Education : Les Français  sous la moyenne des Européens

 

D’après une enquête INSSE les français sont en dessous de la moyenne européenne ; Et encore il ne s’agit que d’une enquête quantitative qui ne tient pas compte du niveau comparé de connaissances. Exemple la multiplicité de certains bacs pro français qui mènent tout à pôle emploi. Les Français sont moins instruits que la moyenne des Européens, selon une enquête Insee parue en février, 72,5% des 25-64 ans ayant au moins terminé le lycée contre 74,2% en moyenne dans l’UE. Selon ces statistiques, les garçons sont les moins instruits: 13,4% des 18-24 ans ayant quitté prématurément l’école au collège sans suivre une autre formation, contre 9,8% des filles.  Globalement, 11,6% des Français âgés de 18 à 24 ans ont quitté l’école sans diplôme ou avec seulement le brevet en 2012, et ne sont pas en situation de formation.  Les 25-48 ans sont quant à eux 14,8% à ne pas avoir de diplôme ou à avoir arrêté leur scolarité après le certificat d’études primaires (CEP), plus de la moitié des plus de 65 ans étant dans cette situation (56,4%).  La Lituanie est en tête du classement européen avec 93,3% suivie de près par la République tchèque 92,5%, le Portugal et Malte étant en queue de peloton avec respectivement 37,6% et 38,1%.  En France, le nombre de bacheliers a toutefois explosé ces 35 dernières années puisque plus des trois-quarts des Français sont aujourd’hui titulaires du baccalauréat toutes filières confondues (76,7%), soit trois fois plus qu’en 1980 (25,9%).   »Cette forte progression résulte essentiellement de la croissance du nombre de bacheliers généraux et de l’important essor du baccalauréat professionnel », créé au milieu des années 80, selon l’Insee.  Le nombre d’apprentis a pratiquement doublé en 20 ans, atteignant les 436.300 élèves à la rentrée 2011, la progression étant la plus forte chez les jeunes de 20 à 23 ans.  Chez les enfants âgés de deux ans la scolarisation est en recul depuis dix ans, un enfant sur trois était inscrit jusqu’au début des années 2000, contre 11,6% à la rentrée 2011.

 

Sondage aéroport Notre-Dame-des-Landes : les Français contre

Sondage aéroport Notre-Dame-des-Landes : les  Français contre

C’est cuit ou presque pour l’aéroport de Notre Dame des landes. Une majorité de français n’en veulent pas ; En dépit de l’entêtement d’Ayrault, le projet risque d’être enterré. Ayrault n’a plus que quelques mois à demeurer Premier ministre. Son successeur ne voudra pas s’encombrer de ce dossier contesté  peu pertinent qui ressemble davantage à une opération immobilière qu’à un vrai besoin transport. Réalisé pour le compte d’Agir pour l’environnement, Attac et l’Acipa (association locale), un  sondage est publié ce samedi 22 février, jour de mobilisation des opposants au projet. 24% des sondés se déclarent favorables au projet et 20% ne se prononcent pas. L’enquête a consisté en une seule question : « en considérant les incidences économiques, écologiques et climatiques d’une tel projet, estimez-vous que la construction du nouvel aéroport Notre-Dames-des-Landes doit être maintenue ou non? » Si 20% ont répondu ne pas savoir, 8% ont dit « oui certainement », 16% « oui probablement », tandis que 21% ont dit « non probablement pas » et 35% « non certainement pas ». Commentant dans un communiqué le résultat du sondage, Julien Durand, porte-parole de l’Acipa, a appelé le gouvernement « à entendre l’opposition qui s’exprime depuis plusieurs années à l’encontre de ce projet et à l’abandonner définitivement ». Stéphen Kerchkove, d’Agir pour l’environnement, estime qu’à « l’inutilité intrinsèque d’un tel projet, s’ajoute une véritable impopularité ». Les opposants au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes organisent samedi à Nantes une manifestation, deux mois après la publication des arrêtés autorisant la reprise des premiers travaux (défrichage, transfert d’espèces protégées, diagnostic archélogique), qui n’ont toutefois pas encore démarré.

 

Sondage- limitation Retraites chapeaux: les Français pour

Sondage : limitation Retraites chapeaux: les Français pour

Après la révélation de la retraite chapeau de Philippe Varin, le président de PSA, le ministre du Redressement productif avait déclaré qu’il faudrait « légiférer » pour limiter les indemnités de départ, ajoutant que « l’autodiscipline reste à démontrer puisqu’il faut la régulation par le scandale pour que les choses évoluent ». Selon un sondage BVA publié ce samedi 30 novembre dans Le Parisien/Aujourd’hui en France, 77% des personnes interrogées contre 20% se déclarent favorables à une telle loi interdisant les retraites chapeaux.  En revanche, le président du Medef va être déçu. Sur BFM Business jeudi 28 novembre, Pierre Gattaz estimait « qu’il ne faut pas légiférer car nous avons prouvé hier avec Philippe Varin que l’autorégulation fonctionne ». Plus précisément, les Français sont 70% contre 29% à être favorable à ce qu’une loi plafonne la rémunération des patrons à un maximum de 12 fois le salaire le plus bas dans l’entreprise. Une solution rejetée par les Suisses la semaine dernière. Les sympathisants de gauche sondés par BVA sont 92% à souhaiter un tel plafonnement, quand 54% de ceux de droite répondent positivement.  Le gouvernement Ayrault ne semble pas pour l’heure décidé à légiférer, préférant faire le dos rond en attendant que la polémique sur les rémunérations des patrons se calme. Le patronat, lui, a annoncé que son comité d’éthique allait travailler à nouveau sur le sujet

Réforme rythmes scolaires: les français contre

 

Réforme rythmes scolaires: les français contre

 

Près de la moitié des sondés (48%) souhaitent l’annulation de la réforme, qui a fait l’objet de grèves, manifestations et blocages d’écoles cette semaine, à l’initiative d’enseignants, personnels municipaux ou parents.  La proportion monte à 55% dans les communes rurales et descend à 42% dans les villes de plus de 100.000 habitants.  Plus d’une personne interrogée sur cinq (21%) se prononce pour un report de la réforme, qui doit être généralisée à la rentrée 2014. Près d’un tiers (29%) souhaite que la réforme soit appliquée comme prévu et 2% se disent sans opinion.  C’est chez les sympathisants de droite que les sondés se prononcent le plus pour une annulation (72%). L’UMP, qui a instauré la semaine décriée de quatre jours en 2008, a fait de la réforme des rythmes son cheval de bataille à l’approche des municipales. Chez les sympathisants de gauche, les avis sont plus partagés: une majorité (52%) souhaite que la réforme soit appliquée comme prévu, un cinquième (21%) qu’elle soit annulée, un quart (25%) qu’elle soit reportée, tandis que 2% sont sans opinion.  Si le gouvernement met en avant « l’intérêt de l’enfant », le sondage relève un « gros doute dans l’opinion à ce sujet puisque 61% des Français considèrent que la réforme des rythmes scolaires a un impact plutôt négatif sur le bien-être des élèves », indique Céline Bracq, directrice adjointe de BVA Opinion. La proportion s’élève à 69% dans la tranche d’âge des 35-49 ans, « en majorité parents d’enfants scolarisés en maternelle et primaire ». Pour 35% des sondés l’impact est plutôt positif .  Une majorité de sympathisants de gauche (62%) juge l’impact plutôt positif (33% négatif) et une majorité de sympathisants de droite (86%) estime l’impact plutôt négatif (12% positif).  Enquête réalisée les 14 et 15 novembre auprès d’un échantillon de 1.075 personnes âgées de 18 ans et plus, recrutées par téléphone et interrogées sur internet, suivant la méthode des quotas.  Selon un autre sondage jeudi, de CSA pour BFMTV, 54% des Français estiment que le gouvernement devrait abandonner la réforme, 24% pensent qu’il faudrait un délai supplémentaire et 22% que le gouvernement devrait maintenir la réforme au rythme prévu.  Jean-Marc Ayrault a affiché vendredi sa fermeté sur la réforme des rythmes scolaires, qui « doit être faite et se fera », a-t-il dit, en dépit de l’opposition d’élus, de syndicats et de parents d’élèves.

 

Sondage déficit: les réformes que veulent les français

Sondage déficit: les réformes que veulent les français  

 

Les Français veulent bien faire des économies mais pas forcément les mêmes que celles choisies par le gouvernement Selon une enquête Ifop/JDD,. Viennent en tête : la réduction du nombre de députés, la fusion des  départements et régions et la réduction des dépenses militaires et celles des aides aux chômeurs.  La mesure serait plus symbolique que rentable. Mais la réduction du nombre de députés est plébiscitée par les Français interrogés par l’Ifop pour le Journal du dimanche. En matière d’économies, ils sont également massivement (62%) pour une fusion des départements et régions. Une mesure qui figurait dans les propositions de la commission présidée par Lionel Jospin mais qui ont depuis été oubliées. En ce qui concerne les dépenses de l’Etat, les Français placent en tête des économies à faire : l’armée (33%), les aides versées aux chômeurs (24%), l’environnement (20%). Pas question en revanche de toucher aux dépenses pour leur sécurité, les hôpitaux ou les universités. Mais globalement, les Français jugent insatisfaisant (64%) le plan d’économies de 15 milliards du gouvernement car il risque, selon eux, de détériorer les services publics et freiner la reprise économique. Preuve que la rigueur gouvernementale imposée au nom de la politique de redressement économique du Président passe de moins en moins bien. De quoi compliquer davantage l’équation politique et budgétaire de François Hollande. 

 

Sondage droit de vote à 16 ans : les Français contre

Droit de vote à 16 ans : les Français contre

Quelque 82% des personnes interrogées par l’institut de sondage (1) se disent opposés à une telle perspective, 46% y étant même « très opposés », tandis que seules 18% des personnes interrogées y sont favorables ou très favorables (3%), selon cette étude à paraître, ce dimanche 29 septembre, dans le quotidien régional Ouest France. Le taux d’adhésion n’est guère plus élevé que la moyenne dans le segment le plus jeune de l’échantillon, les 18-24 ans (22%), relève l’institut. Au regard de la proximité politique, l’adhésion à l’abaissement de l’âge de vote « apparaît nettement plus forte à gauche (28%) qu’à droite (10%) », note l’Ifop. Si les scores atteignent 36% chez les sympathisants d’Europe Ecologie Les Verts, ils ne sont que de 9% chez les soutiens du Front national. Mardi, la ministre de la Famille Dominique Bertinotti avait indiqué réfléchir à un statut de « pré-majorité » pour les 16-18 ans, tout en soulignant que « le temps de la décision n’est pas encore là ».

 

Sondage Medef : les français pour le dialogue et le contrôle des salaires des patrons

Sondage Medef : les français pour le dialogue et le contrôle des salaires des patrons

 

 

Le dialogue avec les partenaires sociaux et l’encadrement de la rémunération des patrons sont les priorités que les Français aimeraient voir adopter par le nouveau président du Medef Pierre Gattaz, selon le sondage La Question de l’Eco paru jeudi. 49% des sondés estiment que « renforcer le dialogue avec les partenaires sociaux » doit être une priorité pour M. Gattaz, reléguant en deuxième place la tâche de « renforcer les règles de bonne conduite concernant la rémunération des dirigeants d’entreprise », citée par 47% d’entre eux, selon ce sondage Tilder-LCI-OpinionWay.  Interrogés sur les « deux priorités » que devrait choisir M. Gattaz, 41% des sondés citent également l’obtention d’une « simplification des procédures administratives pour les entreprises » et 40% « un allègement des charges sociales et des impôts sur les entreprises ».  Pierre Gattaz, un industriel au ton offensif, est devenu mercredi le nouveau président du Medef, succédant à Laurence Parisot.  Aux critiques qui lui ont reproché son peu de goût pour le dialogue social, il a rétorqué l’avoir pratiqué « sur le terrain » au quotidien dans son entreprise Radiall.  Par ailleurs 69% des sondés sont d’avis qu’ »il est possible de baisser le budget de l’État en 2014 sans baisser la qualité du service », contre 31% qui estiment que ce n’est pas possible.

 

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